FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 273 résultats dans 19531 notices du site.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Fouchet Frères que son fils Émile, dont la signature figure au bas du folio, retirera chez eux le jeudi suivant la somme de 80 000 F en billets de banque.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit la banque que son fils Émile, dont la signature figure au bas du folio, retirera le jeudi suivant la somme de 200 000 F en billets de banque.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit la banque que son fils Émile, dont la signature figure au bas du folio, retirera le jeudi suivant la somme de 100 000 F en billets de banque.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Marie Howland que l'édition en volume de la traduction de Papa's Own Girl restituera le texte complet du roman sans les coupes qui ont été faites dans les chapitre VII à XIII du feuilleton du journal Le Devoir pour pouvoir offrir le roman en entier aux lecteurs au cours de la première année. Marie Moret indique qu'elle répond en partie aux lettres que Marie Howland a écrites à Godin le 7 avril et le 4 mai avant que ce dernier ne lui dicte une réponse. Marie Howland a lu avec émotion dans Le Devoir la conférence du 4 mai 1878 de Godin aux ouvriers de l'usine : Marie Moret explique que les difficultés qu'il affronte sont le lot des novateurs ; elle loue le génie et la force morale de Godin. Elle livre un portrait de Godin : « Quant aux moyens de distraction et de repos, imaginez-vous qu'il ne s'amuse de rien de ce qui plaît aux autres hommes. Il ne fume pas, n'aime ni les cartes, ni les échecs, ni le billard, ni mille choses dont, en conséquence, j'ignore les noms. Le théâtre le fatigue ; les conversations oiseuses lui pèsent ; la promenade ne lui est bonne qu'en voiture. L'unique distraction qu'il puisse prendre, c'est la conversation entre gens sympathiques et notre cercle est très restreint. » Elle ajoute qu'il joue avec ses deux nièces les plus âgées, de 3 et 6 ans, qui l'appellent oncle André. Sur Albert Brisbane : il n'est pas venu au Familistère ; à la différence de Godin, il ne versa pas un sou des 25 000 $ qu'il avait promis à la Société de colonisation du Texas ; Brisbane se sentirait humilié devant Godin et il ne faut pas compter qu'il vienne au Familistère. Sur le journal Le Devoir : Godin éprouve le besoin d'élargir le cercle de ses auditeurs devant l'insuffisance de son personnel ; il pense que ses articles sur les caisses nationales de prévoyance publiés dans les numéros 16, 17 et 19 du Devoir seraient plus intéressants à traduire en anglais que sa conférence, comme l'ont fait en partie déjà des journaux anglais et américains. Sur l'appréciation de Marie Moret par Marie Howland : Marie Moret compare Marie Howland à Clara Forest [le personnage de Papa's Own Girl], dont le cœur déborde d'amour. Sur la traduction de la lettre d'amour du comte de Frauenstein à Clara Forest : le plus grand soin sera apporté à la traduction. Sur Massoulard : il a appris l'existence du Familistère à New York dans un article réactionnaire de La revue des deux mondes. Marie Moret remercie Marie Howland pour l'envoi du Harper's magazine dont Le Devoir a reproduit l'article sur l'école normale de New York. Sur Kate Stanton : elle a obtenu la dignité de docteur-médecin ; elle est rieuse comme Émile Godin, a un esprit fin mais superficiel. Elle retourne à Marie Howland l'article de monsieur Fields, « Une visite à l'auteur de La Fille de son père » et elle espère que Marie Howland puisse venir en Europe et au Familistère. Elle le prévient que Godin ne supporte pas l'odeur du tabac, qu'elle ne pourrait pas fumer près de lui, et qu'il estime que le tabac affaiblit l'intelligence. Sur la traduction de Papa's Own Girl : Massoulard informe Marie Howland qu'il n'endosse aucune responsabilité dans la traduction en raison des remaniements effectués au texte des chapitres VII à XIII du roman dans le journal Le Devoir ; elle précise que ces chapitres ont été rétablis dans le texte de Massoulard pour l'édition en volume, et qu'elle fait maintenant la révision du texte aidée d'une autre personne ; elle l'assure que Massoulard est resté son ami et celui de Godin. Elle transmet ses compliments à Edward Howland.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un conflit avec les Rouchy. Godin explique à Tisserant que la situation se complique avec Émile et les Rouchy : les clefs des appartements n'ont pas été rendues ; le père et la mère sont partis, mais la fille est restée, occupant son logement, celui de son père et celui d'Émile au deuxième étage dans ses appartements ; une conciliation a lieu ; Baligant a dit qu'Émile avait changé les serrures et que celui-ci prendra fait et cause pour les Rouchy ; le juge de paix a dit à Massoulard de faire citer les Rouchy ; Richer a dit à Godin qu'un avoué de Vervins lui avait rapporté qu'Émile allait lui envoyer une signification stipulant qu'il est en possession du logement et qu'il y restera.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini du 30 septembre 1878 ; il lui reproche d'avoir passé un mois en France sans être venu le voir. Il lui annonce qu'après avoir été en conflit avec sa femme au moment de la construction du Familistère, il est en conflit avec son fils au moment où il va fonder l'association entre le capital et le travail, « c'est-à-dire entre le Familistère et son industrie ». Il l'informe que le journal Le Devoir reçoit de temps en temps des articles de Maistre au 6 Twisden Road à Londres, qui doit être professeur ; il lui demande des renseignements sur ce dernier pour savoir s'il ne s'agit pas d'un condamné politique. Il lui indique que monsieur Melotte lui écrit qu'il pourrait envoyer chaque semaine plusieurs numéros du Devoir en dépôt chez Morel au 56 Charlotte Street, Fitzroy Square, à Londres : il lui demande si la librairie est solvable. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à ses sœurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Falaise qu'il se rendra volontiers auprès du président Blanquinque pour une conciliation dans le procès que lui a intenté son fils. Il indique qu'il est prêt à créer une situation à son fils malgré son attitude hostile, leur séparation étant inévitable.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Cresson du 17 mars 1879. Il lui fait observer que le chèque de 5 000 F qu'il lui a envoyé le 28 avril 1877 s'applique à toutes les plaidoiries de l'affaire Boucher dans laquelle un rapport d'expert est encore attendu. Il lui rappelle qu'il lui a envoyé le 11 février 1879 un autre chèque de 5 000 F qui, en accord avec Alexandre Tisserant, s'applique à l'affaire entre son fils et lui et au procès avec sa femme qui doit bientôt arriver à Amiens. Selon Godin, Cresson devait plaider dans six audiences alors qu'il a plaidé deux fois contre Boucher et une contre son fils : « En ce qui me concerne, je ne prétends au paiement de la marchandise que lorsque je l'ai livrée ». En conclusion, Godin juge que Cresson devrait lui restituer 4 000 F pour l'appel dans le procès contre son fils, pour l'appel du procès contre sa femme et pour le procès dans l'affaire Boucher.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale au directeur de la Caisse commerciale qu'on lui a envoyé par erreur un chèque signé « E. Godin » que la banque n'aurait pas honoré. Godin demande si c'est par défaut de provision de la part du signataire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie 100 F à Tisserant et lui renvoie 4 lettres arrivées en son absence. Sur le procès avec Émile Godin : sur l'établissement du compte d'Émile et la question du taux des intérêts et des amortissements ; Godin veut que la cour décide qu'il n'est pas tenu de fournir à son fils Émile le logement et qu'aussitôt le compte réglé, celui-ci devra libérer les appartements qu'il occupe au Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Falaize que son fils Émile a interjeté appel d'un jugement [du tribunal de Vervins].

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Tisserant a informé Godin que l'affaire avec son fils ne viendra pas avant le début de mai devant le tribunal. Godin exprime son mécontentement. Il lui rappelle qu'il avait écrit à M. Obry à ce sujet le 6 février 1880. Il le prie d'éviter un nouveau report.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès avec Émile Godin. Alphonse Delpech a informé Alexandre Tisserant qu'Émile Godin a fait connaître ses conclusions dans le procès qui l'oppose à son père. Godin demande à Obry de s'occuper du procès, dont l'audience a été fixée au 24 mai 1880.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Neale pour l'envoi d'un ouvrage en deux volumes dont elle a commencé la lecture. Elle estime que l'histoire des pionniers de Rochdale est un exemple remarquable de l'oubli des principes en matière de réformes sociales dont parle Neale. Elle lui annonce qu'elle et Godin seraient heureux de voir le discours de Godin à la fête du Travail publié dans The Cooperative News. Elle lui demande s'il connaît en Angleterre des journaux comme The Cooperative News avec lesquels Le Devoir pourrait échanger.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin exprime son regret que les fonctions gouvernementales auxquelles Goblet a été appelé l'ont privé de son concours. Il lui explique qu'Ernest Obry a plaidé dans son affaire de liquidation de la communauté Godin-Lemaire, mais qu'il est à son tour appelé à remplir des fonctions publiques au moment où va avoir lieu l'audience de son procès contre son fils. Delpech a informé Godin que Goblet est prêt à se substituer à Obry dans cette dernière affaire. Il lui explique qu'il veut être débarrassé de l'affaire, que l'audience a été fixée au 22 juin 1880, et que Tisserant a résumé l'affaire dans un travail approuvé par Obry et Delpech.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès avec Émile Godin. Sur le compte d'Émile Godin. Godin demande à Tisserant d'expliquer à Goblet que la question qui se pose est celle de savoir s'il y a une preuve d'association entre le père et le fils qui justifierait qu'Émile demandait 2 500 000 F ou s'il ne s'agit que d'une intention de dotation du père à l'égard du fils. Dans le post-scriptum, Godin rapporte une conversation avec son fils Émile suivant laquelle celui-ci justifiait d'avoir porté des sommes importantes à son compte par l'intention de se porter le cas échéant acquéreur des usines qu'Esther-Lemaire aurait pu faire vendre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Eugène Nus a demandé à Godin s'il peut être utile pour lui qu'il connaisse un avocat à la Cour de cassation. Godin lui explique que depuis 10 ans il est en procès contre Boucher, industriel ancien avocat du barreau de Paris qui est parvenu, tout en étant déclaré contrefacteur, à annuler un de ses brevets sur l'émaillage de la fonte, et lui a intenté un procès en contrefaçon, aujourd'hui en cassation. Il estime que les magistrats le condamnent d'avance en qualité de socialiste, fouriériste, républicain radical et spirite. Il lui envoie des documents relatifs au procès en cassation. Il l'informe que le procès avec son fils passe en cour d'appel le jour même.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte la médiation dans le procès avec son fils que lui propose, par l'entremise de Delpech, le premier président de la cour d'appel d'Amiens.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À propos de l'ouvrage Mutualité sociale. Godin exprime à Fauvety sa crainte que la presse garde le silence sur son livre et les questions sociales sérieuses. Il espère le concours de ses amis ; il signale qu'il va prévenir Nus de la mise en vente du livre et qu'il n'a plus à redouter l'utilisation du livre dans le procès contre son fils. Fauvety propose à Godin un rédacteur du journal Le Devoir qui ne connaît pas les questions sociales mais pourrait faire des conférences au Familistère : Godin doute de la capacité de celui-ci à faire des conférences de façon simple et claire sur l'association à la population du Familistère. Il regrette que la santé de Fauvety ne l'autorise pas à un concours régulier au journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Pascaly, Charles-Jules (1849-1914)
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Godin adresse à Pagliardini son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il espère que son ouvrage sera bientôt traduit par Edward Vansittart Neale et pense qu'il sera utile pour la coopération en Angleterre. Godin informe Neale que le procès avec son fils Émile s'est achevé par un arbitrage attribuant un million de francs à ce dernier. « Quant à revenir à lui d'esprit et de cœur comme vous en émettez l'espoir, il reste et restera ce qu'il a toujours été, à mon grand regret. » Il transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de lui-même et de Marie Moret

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond tardivement à la lettre du 5 octobre 1880 car il a passé quelques jours à Bruxelles. Sur le paiement de frais et d'honoraires à André et à Godet. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le paiement de frais de procès-verbal. Sur le procès entre Godin et son fils Émile : Godin ne trouve pas trace dans les copies de lettres d'une lettre de remerciement à Saudbreuil pour son intervention officieuse ; il demande à Tisserant s'il a souvenir qu'une telle lettre ait été envoyée. Il l'informe que l'Association coopérative du capital et du travail s'installe et que ses conseils fonctionnent.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès de Godin avec son fils Émile. Godin remercie Saudbreuil pour l'intervention officieuse qui a permis de mettre fin à l'affaire judiciaire entre lui et son fils. Il l'informe qu'il aurait voulu lui adresser plus tôt ses remerciements et lui apprendre en même temps le règlement de l'affaire, mais que son fils a refusé l'arrangement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin se réjouit que Tisserant a recouvré la santé. Il l'informe que l'association du Familistère fonctionne normalement. Il s'étonne que son fils Émile ne se soit pas manifesté pour réclamer ce qu'il lui doit. Il lui indique qu'il n'a pas de nouvelles de l'affaire en cassation [l'affaire Boucher et Cie]. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès avec Émile Godin. Sur le règlement du compte d'Émile Godin. Godin fait un résumé des derniers éléments de procédure. Sur le paiement des honoraires d'un des experts, monsieur André.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès avec Émile Godin : sur le paiement de l'expert monsieur André. Sur l'affaire Duchateau relative au non-paiement de gaz d'éclairage par ce dernier à Godin.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès de Godin avec son fils Émile : sur le moyen de contraindre Émile Godin à accepter la convention passée avec son père et à percevoir l'argent qui lui est dû. Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin demande à Tisserant de lui donner son avis sur la nouvelle rédaction du document.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Tisserant pour sa lettre du 18 février 1881 et se réjouit de l'accueillir au Familistère. Il se dit accablé par les occupations. Il lui donne des nouvelles de l'Association du Familistère : elle fonctionne mais Godin se plaint du manque d'hommes ayant les aptitudes nécessaires à son fonctionnement ; il regrette l'indifférence générale à l'égard du Familistère et de l'Association et que Tisserant n'ait pas pu devenir un collaborateur de l'Association. Il lui annonce qu'il profitera de sa visite pour parler de son testament. Il lui demande, à l'occasion de son passage à Paris, d'aller voir Moret, son avocat à la Cour de cassation dans l'affaire Boucher et Cie, au 13 rue de Tournon. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant qu'Esther Lemaire est décédée au mois d'août 1881 quand il se trouvait à Lausanne : elle aurait imposé à Émile Godin de se marier dans les six mois sous peine de perdre des droits ; Émile Godin souhaite obtenir son consentement pour se marier, consentement qu’il veut bien lui accorder à la condition d’un règlement à l’amiable d’une affaire de 7 ou 8 hectares de terres de l’association du Familistère qu’il détient indûment comme fermier. Il l’informe également qu’il a réussi à obtenir quittance de l’argent qu’il devait à son fils. Il signale à Tisserant qu’il a réglé son abonnement au journal Le Devoir pour 1880.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prie Falaize de faire le dépôt des modifications des statuts de la Société du Familistère. Il lui demande de clore l'affaire entre son fils Émile et la Société du Familistère concernant des biens que celui-ci doit restituer : Godin explique à Falaize qu'une grande pièce de terre est encore occupée par une briqueterie que son fils a fait édifier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire de la restitution par Émile Godin d'un terrain de la Société du Familistère sur lequel sont entreposées des briques. Godin ne souhaite pas faire de transaction avec son fils Émile.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 19 septembre 1884. Il lui indique que le journal Le Devoir sera échangé avec Le Patriote de l'Est. Sur une modification des statuts de l'association du Familistère destinée à prévenir la dissolution de la Société du Familistère par son fils. Sur les honoraires dus à Pouillet pour ses plaidoiries au tribunal d'Amiens et à celui de Nancy.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la modification des statuts de la Société du Familistère, nécessaire pour protéger cette dernière de son fils, de la municipalité de Guise et des autres dangers après la mort de Godin. Godin décrit ces dangers et les difficultés pour trouver des remèdes par les statuts. Il expose à Tisserant plusieurs questions d'ordre juridique et il présente son projet de modification des statuts.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le prochain séjour de Tisserant au Familistère et sur la modification des statuts de la Société du Familistère de Guise. Godin communique à Tisserant un exemplaire annoté des statuts. Sur le titre d'associé à accorder au personnel de Laeken ; sur les certificats d'apport de Godin ; sur les assurances mutuelles à propos desquelles il a écrit au ministre de l'Intérieur ; sur le testament de Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur des actions du canal de Panama. Sur la correspondance adressée à lui-même, à Émile Godin et à la Société du Familistère Godin et Cie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les prétentions des héritiers de Godin à l'égard de la Société du Familistère. Godin communique à Tisserant l'état actuel de sa fortune qui s'élève à 6 400 000 F, dont la moitié pourrait revenir à ses héritiers. Godin demande à Tisserant si son fils ne pourrait pas en outre intenter un procès en dissolution de la société. Godin fait valoir qu'avec l'emprunt hypothécaire, la Société lui rembourserait ses apports et ses épargnes et ne laisserait plus de parts sociales entre les mains de ses héritiers ; la Société du Familistère serait ainsi préservée de leurs revendications. Il demande à Tisserant à quelle heure lui et sa fille arriveront à Guise le 25 octobre 1885.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le contrat de mariage de Godin et de Moret. Godin préférerait ne pas indiquer la valeur des biens de Marie Moret qui s'élèvent à 800 000 F dans la mesure où ils se marient sous le régime de la séparation des biens, pour lui épargner d'avoir à justifier l'origine de ses biens et pour éviter de susciter des convoitises. Il se range toutefois à l'opinion de Tisserant, favorable à une déclaration détaillée des biens de Marie Moret. Sur les honoraires du notaire. Il attend Tisserant le lundi suivant et lui confirme la lettre de Marie Moret du 3 juillet 1886.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la carte de Sauret de la veille. Il informe Sauret qu'il n'a pas demandé de renseignements au Crédit foncier et que sa carte est destinée à un autre Godin ; il transmet la carte à son fils Émile Godin, qui s'occupe d'agriculture. Il précise qu'il est le seul chef d'industrie à Guise nommé Godin et qu'il est le seul à avoir été député.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'excuse de ne pouvoir se rendre à la réunion du comité du 11 janvier 1888 en raison du décès de son fils. Sur l'exposition d'économie sociale et le Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Moneta que son fils est décédé, comme le rapporte le journal Le Devoir, et qu'il n'a pu donner suite à sa proposition immédiatement. Il souscrit en son nom et au nom de la Société de la paix du Familistère à l'initiative de Moneta. Sur la guerre et sur le désarmement.

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Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier fait part à Godin d'une irrégularité comptable qu'il a constatée dans la Caisse de secours mutuels. Il l'informe qu'il en a rendu compte à Émile Godin et qu'il fait la recherche de l'origine de cette irrégularité : « Il y a là une grande incurie dans la surveillance et la direction. »

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Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier dénonce à Godin les activités commerciales de madame Quignon, au n° 193 au 1er étage du « nouveau Familistère », qui se prévaut d'une autorisation de Godin, vend chez elle des articles d'épicerie et fait concurrence aux services alimentaires du Familistère. Taupier ajoute que l'exemple de Quignon est contagieux : monsieur Sénateur, au n° 205 au 2e étage du « nouveau familistère », vend des petits fagots ; Renneville fils, au n° 253 au 3e étage du « familistère neuf », vend du bouillon ; monsieur Choquenet, au n° 85, 3e étage du « vieux familistère », vend du bouillon et tient à manger. Taupier précise qu'il a rendu compte de son enquête à Émile Godin et il demande à Godin quelle conduite il doit suivre sur le sujet. Taupier informe Godin que le lavoir est totalement en exploitation. Il lui transmet des rapports sur les écoles et sur la nourricerie.

Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier assure Godin que les ordres donnés dans sa lettre du 22 mai 1874 [à propos des activités commerciales abusives de certains habitants du Familistère] sont respectés. Taupier donne à Godin des éléments complémentaires à son étude sur le tarif de 1874 des Fonderies et manufactures du Familistère. Il lui transmet un rapport sur la buanderie du Familistère, intitulé « Lavoir nouveau » et daté du 26 mai 1874, copié à la suite de la lettre.

Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier informe Godin que le caviste Gente a donné sa démission pour être garçon de brasserie à Saint-Quentin. Il propose à Godin de recruter à sa place Bruno Hulot, qui a travaillé cinq ans au Familistère, qui en est parti il y a deux ans, et qui demande 125 F d'appointements par mois. Taupier est satisfait du chef de cuisine, Chevrolat. Il indique que l'administration générale fonctionne mais que les affaires sont calmes.

Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier répond à une lettre de Godin transmise par son fils Émile. Sur la maison Leroy et Cie à Buenos Aires et sa caution en France, la maison Quesnel frères et Cie du Havre, que le Comptoir d'escompte juge solvable. Sur l'augmentation des employés Moyat et Goyenval. Taupier propose à Godin de licencier les employés Lefebvre et Quaintenne. Sur le chef de cuisine Chevrolat, chargé de la surveillance de tout le service d'alimentation. Sur la fabrication de boutons. Sur la déclaration au juge de paix de mesdames Paquerot et Dirson. Sur une commande de La Ménagère transmise par Amédée Moret.

Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier répond à la lettre de Godin du 5 juillet 1874. Il lui communique un travail fait par Grangeon. Il alerte Godin sur la personne de Rodolphe Grangeon : bon employé mais faisant la noce quand l'envie lui en prend, avec un penchant pour l'absinthe ; envoyé par un ami diriger une maison de commerce à New York, il a causé des pertes financières et a eu des relations avec la femme de son ami ; Delacourt se souvient que Grangeon résidait rue Condorcet à Paris et indique que le frère de Grangeon est employé aux chemins de fer des Charentes, rue de Châteaudun. Sur la retenue d'un dixième appliquée aux salaires des apprentis : Taupier se plaint de l'ingérence de Grebel dans ses fonctions.

Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier répond à la lettre de Godin du 10 juillet 1874. Il l'assure qu'il est étranger à tout esprit de cabale et qu'il ne subit aucune influence dans la mesure où il vit entièrement avec ses enfants en dehors du travail. Sur une femme surnommée "Grande Taïs" ou Dame Lecrinier, qui aurait été employée comme laveuse par Taupier, dont Godin a été averti de la présence par son fils Émile : Taupier se défend de la connaître. Sur les amendes pour manquement aux écoles et le paiement des cours, en particulier du cours de dessin. Sur l'écoulement des « rossignols » du magasin des étoffes.

Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier accuse réception de la lettre de Godin du 23 juillet 1874. Il justifie sa décision d'exclure Delaruelle de la séance d'ouverture du courrier mais l'informe qu'il l'a à nouveau autorisé pour se conformer à ses ordres. Il proteste qu'il n'a jamais empêché Delaruelle de consulter les livres de comptabilité et que ce dernier a avancé cette excuse pour expliquer son incapacité à accomplir un travail. Sur la décision d'employer Brock dans le bureau d'Alizart. Taupier se défend d'être autoritaire et assure Godin qu'il respectera toutes les observations qu'Eugène André lui fera.

Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier informe Godin que Brock a donné sa démission et lui propose une nouvelle organisation dans les bureaux de l'usine de Guise, approuvée par Émile Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Tisserant, Alexandre (1822-1896)
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Godin accuse réception de la lettre de Falaize de la veille et de la communication qu'elle contient de la part d'Émile Godin. Un jugement du 8 avril 1879 accorde 400 000 F à Émile Godin ; Godin a versé 355 353, 06 F et se tient prêt à verser le solde de 44 646, 94 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au préfet d'accorder son autorisation à l'établissement du port de Longchamps, que son fils Émile a oublié de solliciter en vertu du traité passé le 6 mars 1876 entre lui et l'administration de la Société du canal de la Sambre à l'Oise.

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