FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Pagliardini qu'il se rendra le lendemain au conseil général de l'Aisne. Il l'informe que son mandat de conseiller général est la seule fonction politique qu'il a conservée : « J'ai réellement quitté la vie politique, dégoûté des compétitions du monde officiel et de la stérilité de son action. » Il lui explique qu'il a installé le moulage mécanique à Guise, une révolution dans l'art de la fonderie, qu'il faut encore perfectionner. Sur l'état de l'Europe et de la France : « il ne faut pas s'y tromper, les républicains d'aujourd'hui seront bientôt les conservateurs d'hier ; le monde de la richesse gouverne et ne gouverne que pour son intérêt. Voilà la plaie de notre temps ; il est difficile de prévoir comment la société s'en guérira. » Il félicite Pagliardini pour son engagement en faveur de l'amélioration du sort des classes laborieuses en Angleterre et de celui des femmes ouvrières en particulier. Il estime que l'œuvre du Familistère est trop avancée pour l'époque. Il indique que l'Angleterre ne semble plus avoir l'attrait d'autrefois pour son fils Émile et qu'il n'a pas reçu de lettre de Kate Stanton. Il accuse réception de l'article de Pagliardini paru dans Le Télégraphe sur la guerre : « J'ai donc vu avec plaisir votre conclusion et je dis avec vous "Guerre à la guerre ! Honneur à la paix !" Car sans la Paix, il n'est pas de salut pour l'humanité. » Godin transmet aux sœurs de Tito Pagliardini ses compliments et ceux de Marie Moret et d'Émile Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le placement de capitaux. Godin souhaite savoir si les warrants sont un placement sûr et à long terme. Il informe ses correspondants qu'il a proposé un million de francs à la Banque de Londres et Westminster pour servir à l'achat de warrants, mais que celle-ci en a refusé le dépôt à cause de l'abondance de l'argent. Dans la mesure où Godin ne dispose pas de capitaux à Londres, il demande à ses correspondants s'il ont une solution pour que l'opération soit faite au comptant.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Muller a écrit au mois de mai dernier à Godin pour lui demander des renseignements sur le traité de commerce entre la France et l'Angleterre. Godin est en peine de lui donner l'état de l'opinion de l'industrie française sur le traité car les avis varient suivant la différence des intérêts, même si les résistances à la liberté des échanges s'effacent : le Midi est favorable à l'abaissement des droits pour ses vins et ses soieries ; la métallurgie n'y est pas favorable car elle prend ses matières premières à l'étranger et l'Angleterre a sur la France l'avantage d'un prix de revient moins élevé sur les produits manufacturés ; le commerce fait cause commune avec le consommateur en faveur du bon marché. Sur les acquits à caution. Godin questionne Muller sur le placement de capitaux dans les warrants en Angleterre : il informe Muller qu'il a proposé un million de francs à la Banque de Londres et Westminster pour servir à l'achat de warrants, mais que celle-ci en a refusé le dépôt à cause de l'abondance de l'argent ; il lui demande s'il connaît le moyen d'acheter de façon sûre les warrants au comptant car il ne possède pas de capitaux disponibles à Londres.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin a reçu la lettre de son fils Émile datée du 17 février à Middlesbrough et lui confirme qu'il ne doit pas se presser d'acheter de la fonte quand elle n'est pas de première qualité. Sur une patente de Wilkes relative à des boutons de porte en fonte de fer, brevetée en France en 1849 : Godin désirerait avoir l'adresse de Wilkes pour lui écrire ou pour qu'Émile aille le voir s'il habitait à Londres. Godin demande à son fils Émile d'interroger les fondeurs de Wilkes sur la manière dont on fixait, avant 1867, le noyau dans le moule pour fondre des pièces creuses à une seule ouverture.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Maistre que le journal Le Devoir lui sera régulièrement adressé. Il lui demande s'il peut lui envoyer des petits articles de Londres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin autorise Eugène André à acquérir 1 000 tonnes de fonte n° 1 et 1 000 tonnes de fonte n° 3. Il l'invite à ne pas subir les exigences de Muller au sujet de ses navires pour le transport de la fonte. Il regrette qu'André ne soit pas allé en Angleterre 3 mois plus tôt pour s'approvisionner à meilleur prix, et il lui demande d'y rester le temps qu'il faudra pour étudier la question. Il lui signale que le port de Calais est tellement encombré qu'il télégraphie à Dunkerque pour savoir si on peut y décharger la fonte de ses navires. Il lui demande enfin de profiter de son séjour pour examiner la question des exportations vers Londres et l'Angleterre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Glaser de Willebrord qu'il ne peut pas donner un emploi à son protégé Eccarius surtout s'il ne sait pas suffisamment le français. Il lui explique que le journal Le Devoir n'est pas un journal de propagande d'idées générales, mais qu'il a été fondé pour une œuvre toute spéciale, qu'il entre dans une phase nouvelle depuis la publication des statuts de l'association du Familistère et qu'il doit maintenant servir à établir les bases de la morale pratique dans l'humanité. « L'histoire prouve qu'il ne suffit pas que les hommes aient acquis, même comme nous, la connaissance certaine de la vie d'outre-tombe, pour être véritablement fixés sur ce qui constitue le vrai bien. Il me semble qu'il appartient à notre époque non seulement de déterminer les principes du bien, mais d'en réaliser l'application dans les faits de la vie individuelle et surtout sociale. » Pour accomplir cette œuvre, explique Godin, il lui faut des concours, mais il ne voit pas comment Eccarius pourrait y prendre part. Il précise qu'il a déjà un correspondant à Londres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Maistre une série de renseignements sur la propriété foncière et immobilière à Londres, en Écosse et en Irlande.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Neale que l'on veut éditer Solutions sociales et rééditer Mutualité sociale en anglais aux États-Unis. Il le prévient qu'Amelia Hope Whipple, la présidente de la New York Women's Social Science Society, va lui écrire pour lui demander l'autorisation de publier la traduction qu'il a faite d'une partie du livre [les « Notions préliminaires ». Il lui demande d'envoyer la traduction à Amelia Hope Whipple au 24 Cooper Institute à New York. Il lui explique que Whipple a réuni les fonds pour envoyer madame Bristol au Familistère, et que ce voyage a été la cause de la traduction de Mutualité sociale à New York. Godin demande à Neale des renseignements sur le régime de la propriété foncière et immobilière à Londres, en Irlande, en Écosse et en Angleterre. « Ici, tout va bien, les lueurs de l'association percent petit à petit les ténèbres de mon personnel et cela suffit pour qu'il règne ici un bon état d'esprit général de satisfaction. » Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin donne à Neale des renseignements sur les dispositions des appartements de l'aile droite du Palais social demandés dans sa lettre du 25 mars 1882. Il accuse réception des lettres de Neale du 5 mars sur la propriété foncière à Londres et du 14 mars relative à la traduction de Mutualité social. Il se réjouit qu'Amelia Hope Whipple ait pris contact avec lui. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Morrill que les numéros du journal Le Devoir ont été envoyés à Morgan et Cie, banquiers à Londres conformément à sa demande du 12 avril. Il le remercie pour le sentiment qu'il a exprimé à son égard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que lui et Marie Moret n'ont pas reçu les numéros du journal Le Progrès de l'Est contenant un article sur la Société du Familistère et la lettre de Tisserant à Morand, mais d'autres numéros. À propos de la Conférence internationale sur la paix et l'arbitrage de Bruxelles : Godin pense qu'il faudrait organiser des conférences internationales dans différents pays et éditer en trois langues à Paris, Londres et Berlin une revue de l'arbitrage et de la paix, organe de la fédération des associations internationales de l'arbitrage et de la paix. Il lui transmet les compliments d'Émilie Dallet et de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne une lettre à Barodet et accuse réception d'un modèle de bail. Il sollicite une explication complémentaire sur les baux de 12 à 15 ans [établis par les hospices civils de Lyon], qu'il compare aux baux établis à Londres pour 99 ans.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le logement populaire. Godin informe Manier que les cités Peabody présentent peu d'intérêt selon ses amis d'Angleterre. Il lui adresse une lettre pour Pagliardini à Londres qui pourra l'aider dans ses recherches. Il lui indique qu'il ne connaît rien d'intéressant à Lille ou à Bruxelles et lui signale aux Pays-Bas la Fabrique néerlandaise de levure et d'alcool de J. C. Van Marken. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin espère que Lassassie et son compagnon de visite au Familistère sont de retour à Londres en bonne santé. Il lui demande s'il n'a pas emporté par mégarde la clé de l'appartement du Familistère où il a logé. Il lui transmet le souvenir de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Conland du 1er mars 1886 qui propose à Godin de le représenter à la commission royale enquêtant à Londres sur la crise industrielle mondiale. Il lui indique qu'il lui a adressé à la réception de sa lettre plusieurs ouvrages sur le Familistère. Il lui signale aussi qu'il s'efforce de promouvoir par le journal Le Devoir, en France et à l'étranger, la création d'institutions de prévoyance et de protection mutuelles par le moyen de l'hérédité de l'État. Il évoque plusieurs ouvrages sur le sujet qu'il vient ou qu'il va lui envoyer. Il fait une revue de la presse anglaise sur le Familistère depuis 20 ans.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Conland qu'il n'a pas écrit ses ouvrages pour obtenir des droits d'auteur et il l'autorise à reproduire d'eux tout ce qu'il souhaite. Il l'autorise également à donner à Gray toute garantie de non reproduction simultanée en Irlande, mais non en Angleterre où ses amis ont traduit Mutualité sociale qu'ils pourraient vouloir éditer. Il l'informe qu'il pourra lui fournir des photographies, et il lui indique qu'il peut trouver dans Solutions sociales, en vente à Londres chez Sampson Low, les plans et vues des édifices du Familistère. Il est satisfait de constater leur communauté d'idées en spiritualisme et il l'invite à venir à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Pagliardini si les évènements de Londres ne l'ont pas troublé. Il lui demande s'il a bien reçu sa lettre du 7 février 1886. Il lui fait remarquer que The Arbitrator ne fait que mentionner sa lettre de félicitations aux amis de la paix ; il lui demande qui a réceptionné les brochures envoyées à Thomas Burt ; il le félicite d'avoir été réélu secrétaire correspondant pour l'Italie [de la Workmen's peace association]. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Hodgson Pratt avec un mandat de 13 F pour son réabonnement au journal Le Devoir. Il lui signale que Le Devoir du 28 février rend compte de ses travaux en Allemagne et publie la traduction des pièces sur la paix qu'il lui a envoyées. Il lui fait observer qu'il a dû abandonner la « petite édition » du « Bulletin de la paix » pour s'en tenir au numéro mensuel spécial. Il lui signale que son journal International arbitration and peace association ne lui parvient pas régulièrement et lui demande de vérifier si Le Devoir parvient bien au bureau de son journal. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle au directeur du Courrier de Londres que le numéro du 16 janvier 1886 de son journal a publié sa lettre au directeur du Times en réponse à des articles sérieux mais l'accusant de matérialisme parus dans le journal. Il lui demande de publier sa réponse à un article du numéro du 9 janvier 1886 du journal The Spectator affirmant qu'il n'a même pas abordé la question sociale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Johnston qu'il ne peut s'occuper d'une exposition en Angleterre car la Société du Familistère doit faire face à la crise industrielle et qu'elle ne dispose pas de maison en Angleterre vendant ses produits. Il précise qu'autrefois une maison faisait à Londres 30 000 F d'affaires par an avec la Société du Familistère, mais qu'elle a disparu.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Lovell un chèque de 2 000 F ainsi qu'il lui avait promis [pour financer l'édition américaine de Solutions sociales]. Il lui suggère d'envoyer des livres à Londres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre d'Acland relative à l'édition anglaise de son livre Le gouvernement. Il l'informe que John Lovell et Cie de New York lui ont écrit qu'ils allaient envoyer des exemplaires de l'édition anglaise de Solutions sociales à leur correspondant de Londres, Trübner et Cie au 57 Ludgate Hill. Il lui suggère d'aller démarcher Trübner et Cie si Swan Sonnenschein, Le Bas et Lowry ne veulent rien faire. Godin et Moret transmettent à Acland leur meilleur souvenir.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Buridant pour sa lettre du 15 avril 1899 et aborde différents sujets relatifs au Devoir : le numéro du journal adressé à monsieur Grebel à La Rochelle est revenu avec la mention « Inconnu » ; effacer Miss Gurney à Londres du registre des abonnés ; refuser l'échange avec la Revue jeune de Lyon ; effacer Charles Gouté, dont l'abonnement est échu depuis janvier 1899, du registre des abonnés, et peut-être s'assurer si les abonnés veulent poursuivre leur abonnement. La famille Moret-Dallet affectée par le décès d'Irma Gauchet. Transmet ses meilleurs sentiments à mesdames Louis, Roger et Allart. Dans le post-scriptum, Marie Moret demande à Buridant si Charles Gide a visité le Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Lucy Latter pour sa lettre du 9 août 1899 à laquelle elle répond avec retard, tout son temps et sa santé étant consacrés à l'écriture des « Documents pour une biographie complète de J.-B. A. Godin ». Elle donne des nouvelles d'Émilie et de Marie-Jeanne Dallet en villégiature [à Corbeil-Essonnes] pendant les vacances des écoles. Sur le décès du « dernier membre du cher trio des Pagliardini ». Marie Moret est heureuse que sa correspondante vive parmi de bons amis et de son dévouement pour le bien d'autrui. Elle lui souhaite de trouver un poste dans l'enseignement en rapport avec ses forces et ses capacités. Lucy R. Latter maitrisant bien le français, Marie Moret lui envoie le numéro d'août 1899 du Devoir et attire son attention sur les « Documents biographiques », dont les enseignements sociaux de première valeur justifient le placement du journal dans des bibliothèques publiques en France et à l'étranger « pour les lecteurs de l'avenir. » Elle demande à sa correspondante si celle-ci connait des bibliothèques à Londres qui pourraient garder avec soin, relier et collectionner pour l'avenir les collections du Devoir, et auxquelles elle offrirait de servir le journal gratuitement.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Lucy Latter pour sa lettre du 15 octobre 1899 dans laquelle elle demande son aide pour une conférence sur le Familistère. Comme elle se trouve dans l'impossibilité matérielle de répondre à sa demande, Marie Moret lui fait parvenir Solutions sociales et La fille de son père. Elle ajoute que Marie-Jeanne et Émilie Dallet s'occupent depuis deux ans de la préparation de conférences avec projection, textes et vues, et que leurs travaux ont été envoyés en Angleterre, chez James Johnston, 14 Fennel Street à Manchester, qui donne aussi des conférences sur le Familistère. Marie Moret se propose de mettre en relation sa correspondante avec James Johnston à qui elle doit écrire prochainement. Elle demande des précisions sur trois adresses en Angleterre données par Lucy Latter pour y servir Le Devoir et elle rappelle qu'elle ne souhaite distribuer le journal à des institutions et non à des individus ; elle répond favorablement à la demande de Lucy Latter de lui servir Le Devoir pour qu'elle le remette ensuite à la Library of the Kensington Branch of the New Church à Londres. Les collections du Devoir antérieures à 1898 étant restreintes et irrégulières, Marie Moret envoie à sa correspondante les numéros des années 1898 et 1899. Elle attire son attention sur les « Documents biographiques » des numéros de septembre et octobre 1898 qui traitent des liens entre Swedenborg et les réformes sociales, justifiant le dépôt de ces collections du journal dans une des bibliothèques publiques de Londres. Sur une mention de Zürich dans la lettre de Lucy Latter, Marie Moret informe sa correspondante qu'elle fait servir Le Devoir en France, en Belgique, en Hollande, en Suisse et aux États-Unis, à la Stadtbibliothek de Zürich ainsi qu'aux bibliothèques universitaires de Bâle et de Lausanne. Elle transmet le bon souvenir de Marie-Jeanne et Émilie Dallet et remercie sa correspondante.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception du livre commandé le 7 mars 1900, passe commande du livre The Oneida Community par Allan Estlake et prie Guillaumin et Cie de demander l'adresse de l'auteur à l'éditeur G. Redway à Londres.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception des lettres de Guillaumin et Cie datées du 27 mars 1900 et des ouvrages commandés. Au sujet de l'édition de la brochure Le Familistère illustré : elle remercie son correspondant pour les renseignements concernant la non-obligation de dépôt légal en France des livres imprimés à l'étranger, pour la mention de la maison d'édition à faire figurer en première page et pour l'adresse [d'Allan Estlake] à Londres. Elle annonce leur envoyer cent exemplaires de la brochure dès sa parution et passe commande du livre Les sentiments, la musique et le geste d'Albert de Rochas.

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