FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 3 janvier 1876
Godin explique à Ganault qu'il n'a pas souhaité se rendre à Saint-Quentin, « n'ayant pas le sentiment que ma présence y fut bonne à quelque chose en ce moment d'affaissement politique de la part de vos journaux et de ceux qui les dirigent. » Il lui annonce qu'il aura le plaisir de le voir à l'occasion de la session du conseil général convoqué le mercredi suivant sur la question des chemins de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Joseph Ducruet, 18 avril 1876
Godin annonce à Joseph Ducruet que lui et sa femme sont employé·es à son service à partir de la fin de la semaine. Il lui demande d'arriver au milieu de la semaine suivante en raison de son absence au conseil général. Il lui communique les horaires des trains de Paris à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la vente de tables d'écoles. Godin ne veut pas céder six tables à moins de 136 F mais s'engage à les rendre franco de port à la gare de Saint-Quentin si l'argent est envoyé à Guise avant livraison.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin soumet au président du tribunal une antériorité au brevet Scellier n° 85565 exposée à la page 265 de l'édition de 1858 du Traité de la fonderie telle qu'elle existe aujourd'hui en France et de ses applications à l'industrie par A. Guettier, aujourd'hui directeur gérant de la Société anonyme des fonderies et ateliers de construction de Tergnier-Fargniers. Godin indique que la fonte d'objets creux à une seule ouverture se pratique depuis longtemps dans beaucoup de fonderies, notamment dans la fonderie dirigée par Guettier, alors que le procureur de la République a affirmé que seuls Boucher et Cie avaient résolu le problème dans les procédés décrits soit dans leur brevet n° 74 500 soit dans le brevet Scellier n° 85 565. Godin avance que Wilkes avait parfaitement résolu le problème dès 1849 dans son brevet n° 9 130 sur les boutons de porte, et il précise qu'il en a fait l'expérience dans sa fabrication. Godin explique que le brevet Wilkes de 1849 est tombé dans le domaine public avant 1867, et que la reconnaissance de l'exclusivité de Boucher et Cie sur la fonte de pièces creuses à une seule ouverture blesse à la fois l'équité et le droit. Il ajoute que son avoué Larue a communiqué à l'avoué de Boucher et Cie le passage concerné du traité de Guettier. Sur le folio 269r est copiée une liste d' « Experts à proposer dans l'affaire Boucher » comprenant les noms de Dehaître père, fondeur constructeur à Soissons, Joseph Despret, fondeur directeur de la Compagnie des mines d'Anzin, Guettier, administrateur de la Compagnie anonyme des fonderies de Tergnier-Fargniers au 232 rue Saint-Antoine à Paris, Schreibert, fondeur constructeur, fondateur de l'École de dessin industriel de Saint-Quentin et Hanquez, ingénieur fondeur à Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin fait des observations sur deux articles du nouveau projet de tarif spécial des marchandises des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire par la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise. Il lui retourne une version amendée du projet de tarif et lui propose d'aller la présenter à la Compagnie à Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Edmond Turquet des renseignements sur les récompenses qu'il a obtenues en qualité d'industriel et de fondateur du Familistère depuis 1855.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la construction de l'école normale de Laon. Godin informe Ganault que la commission d'étude du projet d'école normale de Laon est allée visiter l'école normale en construction à Douai et a été désappointée : l'architecture est splendide mais tout y est arriéré du point de vue de l'enseignement. Il lui annonce que la commission estime à la suite de cette visite que le mieux serait de confier la construction de l'école normale à un architecte du département, et qu'elle envisage de demander à deux architectes, Georges Ermant et Cherrier de Saint-Quentin, de faire des études provisoires. Godin demande à Ganault ce qu'il pense de Georges Ermant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la construction de l'école normale de Laon. Godin pense qu'en raison de la dissolution de la Chambre, Henri Martin, sénateur, ne pourra pas assister à la réunion du vendredi suivant de la commission d'étude du projet d'école normale. Il lui adresse la copie du rapport qu'il a rédigé sur la visite de la commission de l'école normale de Douai. Il l'informe que le point important de la prochaine réunion de la commission sera le choix de l'architecte. Entre Cherrier de Saint-Quentin et Georges Ermant, Godin exprime sa préférence pour ce dernier. Godin demande à Henri Martin de s'entretenir de ce sujet avec Malézieux, Soye, Turquet et Ganault avant la réunion.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Malézieux qu'il a reçu une lettre de son homonyme, Léon Godin, élève du lycée de Saint-Quentin, qui a l'ambition d'entrer à l'École polytechnique. Il demande à Malézieux d'intercéder auprès du ministère de l'Instruction publique pour obtenir une bourse en faveur de Léon Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris par Turquet que Fouquet et Villain font partie de la commission sur le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin explique à Fouquet que le gouvernement avait eu l'idée de ce tracé dès 1857 et qu'une convention avait été passée par l'État avec la Compagnie du chemin de fer du Nord pour relier Soissons à la frontière belge en rejoignant la ligne du Nord entre Busigny et Landrecies. Godin cite les termes de la convention ; il indique que la Compagnie du Nord obtint de reporter la ligne d'Aulnoye à Hirson, laissant Guise déshéritée. Il poursuit en informant Fouquet que la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes a repris le projet et que l'État a refusé le décret d'utilité publique, considérant que la ligne était d'intérêt général et non local. Godin cite la réponse faite par le ministre des Travaux publics de Larcy aux questions posées à ce sujet, réponse publiée dans le journal officiel du 18 décembre 1873. Il explique que sous le ministère de Caillaux, le département de l'Aisne a été dépouillé de toutes les concessions faites en 1872-1873, car il n'était pas représenté par des députés cléricaux, bonapartistes ou monarchistes, mais par les républicains Godin et Turquet. Godin envoie deux cartes de lignes ferroviaires à Fouquet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention du préfet sur Vasseur, instituteur de Mondrepuis depuis 22 ans, et envoyé en septembre 1877 à Étreillers près de Saint-Quentin pour cause de républicanisme, qui désire retourner à Mondrepuis.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Émile Muller a exprimé son désir de visiter le Familistère dans les premiers jours du mois d'août. Godin lui explique qu'il est difficile de faire le voyage en un seul jour ; il lui communique les horaires de train et le prévient qu'il n'est pas possible de visiter l'usine et le Familistère en une demi-journée. Il lui propose de venir la veille et de coucher à Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson. Godin informe le ministre que les notabilités industrielles et commerciales de la vallée de l'Oise se sont réunies à Étréaupont puis à Guise pour lui adresser une pétition en faveur de la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson dont la Compagnie du chemin de fer du Nord a obtenu la concession. Godin communique au ministre la pétition signée dans vingt communes du canton de Guise et l'avertit que de semblables pétitions lui seront adressées du canton d'Hirson et du canton de Vervins. Godin explique au ministre les bénéfices que l'industrie et le commerce tireraient de la ligne qui mettrait en communication les vingt communes comprises entre Guise et Hirson avec Paris au sud, avec Valenciennes et Lille au nord et avec Mézières, Sedan et Verdun à l'est. Il souligne que la ligne faciliterait le transport des fontes ouvrées avec les départements de l'est et l'Allemagne, les approvisionnements en charbon de Sarrebruck, le transport des fontes de Longwy ou des ardoises des Ardennes, ou des matériaux de construction et d'empierrement. Il ajoute qu'il y aurait intérêt pour la défense nationale de relier directement les forts d'Hirson avec la place de La Fère : « Or, la jonction du tronçon de Guise à Saint-Quentin permettrait cette communication, moyennant un court embranchement de Sery-les-Mézières à La Fère ou Tergnier. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Mathias que le chef de gare de Saint-Quentin l'avait consulté pour l'amélioration du transport des marchandises de l'usine du Familistère de Guise par la Compagnie du chemin de fer du Nord. Godin demande à Mathias un rendez-vous pour en parler avec lui et il sollicite aussi un rendez-vous avec l'ingénieur chargé des études des tracés. Il explique qu'il voudrait obtenir des renseignements sur le tracé définitif dans la ville de Guise de la ligne de Valenciennes à Laon pour pouvoir arrêter le plan des nouvelles constructions qu'il va édifier dans l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur des expériences à accomplir dans l'usine du Familistère de Guise : Pouillet avait envisagé de venir la semaine précédente, mais c'était la fête du pays et il n'était pas certain que les ouvriers nécessaires étaient disponibles ; Godin propose à Pouillet de venir un jour de la semaine à venir ; il lui communique les horaires de chemins de fer et les informations pratiques de son séjour.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut dissiper un malentendu sur le tracé du chemin de fer du Cateau à Guise avec le directeur de la Construction des chemins de fer à la suite de la conversation qu'il a eue avec lui la veille. Il fait valoir que le meilleur tracé du tronçon de la ligne de Valenciennes à Laon concédé à la Compagnie de Lille à Valenciennes évite la traversée du centre de Guise, permet aux Fonderies et manufactures du Familistère d'avoir accès à la gare située sur le plateau dit des Coutures et présente l'avantage de desservir Hannappes, Tupigny, Vénérolles, Iron, Étreux, Lesquielles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Sadi Carnot qu'une pétition des habitants de Guise au sujet du tracé à travers Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon a été adressée au ministre des Travaux publics et que lui-même s'est rendu à Paris pour essayer sans succès de lui en parler. Le maintien d'un projet considéré à l'origine comme impossible tient selon Godin à deux cause : les intérêts de la compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise ; l'opposition du parti de la réaction. Il évoque les importants intérêts industriels qu'il a personnellement dans cette affaire, et il demande rendez-vous à Sadi Carnot.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Auguste Ghio 290 exemplaires de la réclame pour le roman La Fille de son père. Il lui annonce qu'il va recevoir 300 exemplaires du roman de la part de son imprimeur à Saint-Quentin.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Turquet qu'il devait venir à Sains et lui parler de l'opportunité d'un voyage de lui-même et de Ganault à Paris pour voir le ministre des Travaux publics. Il lui demande de lui donner son avis sur l'opportunité du voyage. Il l'informe que Ganault est prêt à partir jeudi et qu'il lui a demandé une étude sur le raccordement possible entre la ligne de Saint-Quentin et la ligne de l'État passant par Les Coutures.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Ganault qu'il a reçu l'épreuve de son discours au conseil général de l'Aisne qui contient des documents essentiels pour soutenir sa proposition et dont il veut faire une brochure intitulée Observations présentées au conseil général sur le projet de chemin de fer de Wassigny à Guise. Il demande à Ganault de presser Levasseur pour faire le tirage. Il pense qu'il serait utile de remettre la brochure au ministre. Il indique à Ganault que l'étude sur un raccordement de la ligne de Saint-Quentin à Guise avec la ligne de l'État par Les Coutures ne sera pas achevée le jeudi suivant mais qu'il pourra fournir toutes les explications à ce sujet. Il l'informe qu'il a écrit la veille à Turquet, qu'il attend sa réponse et qu'il pense que le voyage devrait être différé pour avoir les exemplaires de son discours du conseil général. Dans le post-scriptum, il indique que l'étude sur le raccordement est achevée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin explique au maire de Guise que la déclaration d'utilité publique du chemin de fer de l'État du Cateau à Laon doit donner lieu à une enquête sur la situation des gares et stations de la ligne, et que la ville de Guise aura à se prononcer sur l'implantation de la gare aux Coutures ou à l'emplacement de la gare actuelle de la ligne de Saint-Quentin à Guise. Au nom du conseil de gérance de la Société du Familistère de Guise, Godin s'engage à verser à la ville de Guise la somme de 100 000 F pour la création d'une avenue prolongeant le boulevard d'Enfer débouchant sur la gare établie dans le quartier des Coutures.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Fortis qu'il l'attend avant la fin du mois [pour occuper l'emploi de rédacteur du journal Le Devoir]. Il lui donne des indications pour le voyage de la gare du Nord à Paris jusqu'à Guise en passant par Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Déclaration stipulant que Pierre-Alphonse Doyen est le gérant du journal Le Devoir, dont Godin est le propriétaire, et que le journal est imprimé à Saint-Quentin à l'imprimerie du journal Le Glaneur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Ganault à quelle heure il arrivera à Saint-Quentin à l'occasion de l'inauguration du monument commémoratif de la défense [de Saint-Quentin en 1870]. Il lui explique qu'Anatole de La Forge l'a invité à l'inauguration alors qu'il se trouvait en Suisse, mais qu'il n'a rien reçu depuis.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Gagneur que son article ne pourra paraître que la semaine prochaine dans le journal Le Devoir. Sur le portrait de Godin [pour la galerie Les Hommes d'aujourd'hui »] : Godin estime qu'il manque de caractère, mais accepte que Gagneur en distribue 100 exemplaires et souhaite en recevoir 700 exemplaires. Il accuse réception de deux exemplaires de la brochure La part du feu et constate leur communauté d'idées en la matière. Il exprime son désir de recevoir Le roman d'un prêtre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Courtin qu'il a reçu de Saint-Quentin des documents relatifs à sa candidature. Il lui explique qu'il hésite à lui accorder l'emploi en raison de son âge de 55 ans.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Ségard que Sekutowicz se rend à Saint-Quentin pour lui remettre les épreuves et surveiller la correction de la brochure du conseil municipal et de celle de la Société du Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Pellarin qu'il envoie à Saint-Quentin [chez l'imprimeur du journal Le Devoir] les trois articles envoyés le 23 septembre 1883. Il lui signale que le rédacteur du Devoir a quitté le journal. Il l'informe qu'il n'adresse pas à Maria Deraismes qui n'en partagerait pas, pense-t-il, la pensée, et que Silberling et Piriou ne sont pas abonnés au Devoir. Il lui indique que Marie Moret a été sensible aux paroles qu'il lui a adressées le 12 septembre 1883.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin espère la visite de Foucart et de son fils pendant les fêtes de Pâques pour l'éclairer sur différentes questions. Il lui communique les horaires de train de Valenciennes à Guise en passant par Aulnoye et Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit le chef de gare qu'un colis de papier expédié par monsieur Darblay d'Essonnes et adressé à Ségard à Saint-Quentin va arriver à la gare de Saint-Quentin ; il lui demande d'arrêter le colis en gare et de lui expédier à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Bribosia quand il compte venir à Saint-Quentin et au Familistère, pour ne pas s'absenter à cette occasion et pour prévenir monsieur Égret de Tupigny.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe que Pitman peut visiter le Familistère, mais l'avertit que le dimanche n'est pas un jour favorable pour cela. Il lui envoie l'étude sociale et le dernier numéro du journal Le Devoir qui contient le bilan de l'année. Il lui signale que le meilleur hôtel à Guise est l'hôtel de La Couronne et que la seule voie ferrée desservant Guise est celle de Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Henri Vogelweith qu'il se rendra chez lui à Saint-Quentin le lendemain, à la suite de la visite que lui a faite Bernardot.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Vogelweith que Gourdon, boulanger du Familistère, va se rendre à Saint-Quentin étudier chez lui la panification.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bajer du 21 juin 1886. Il lui envoie la brochure Associated homes, qui contient une esquisse de sa biographie et qui emprunte à Solutions sociales. Il lui envoie également ce dernier ouvrage ainsi que le numéro du Panthéon de l'industrie, qui contient aussi une notice biographique. Il lui indique qu'il ne faut pas l'identifier à un Jules Godin habitant Versailles et qu'Harald Westergaard est venu visiter le Familistère en mai 1879, avant la constitution légale de l'association du Familistère le 13 août 1880. Il lui demande l'adresse de Westergaard pour lui adresser l'étude sociale Le Familistère, qui présente l'état actuel de l'association. Sur le restaurant du Familistère : il a été fermé car il n'était pas fréquenté par la population, ce qui prouve « que la vie dans un palais unitaire ne modifie pas les mœurs et les habitudes de la famille autant que des critiques opposées le prétendent ». Sur le théâtre du Familistère : il sert chaque hiver ; il accueille les troupes qui exploitent la région. Il l'invite à venir au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à madame Delecroix-Welcomme des renseignements sur monsieur de Lancize père : il a habité à Guise en qualité d'employé des contributions, il est mort il y a sept ans et sa veuve est décédée ; le fils, qui a fait ses études à Saint-Quentin, a été apprécié à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Vogelweith de lui donner les prix du pain à Saint-Quentin.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris que Desmasures avait refusé de publier des articles contre la Société du Familistère, articles qui paraissent aujourd'hui dans le Petit Nouvelliste, journal réactionnaire publié à Saint-Quentin. Godin y voit une manœuvre contre le parti républicain et il demande à Desmasures de lui désigner la personne qui lui a proposé ces articles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe La Perche qu'il est obligé de reporter son rendez-vous avec lui du lendemain jeudi au vendredi 23 décembre. Il lui transmet une lettre de Lavabre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Rietsch qu'il se trouvera à Saint-Quentin le vendredi 23 décembre et qu'il voudrait le rencontrer à cette occasion.

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Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier informe Godin que le caviste Gente a donné sa démission pour être garçon de brasserie à Saint-Quentin. Il propose à Godin de recruter à sa place Bruno Hulot, qui a travaillé cinq ans au Familistère, qui en est parti il y a deux ans, et qui demande 125 F d'appointements par mois. Taupier est satisfait du chef de cuisine, Chevrolat. Il indique que l'administration générale fonctionne mais que les affaires sont calmes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le greffier du tribunal de Saint-Quentin qu'il ne se rendra pas à la convocation à la réunion relative à la faillite de Chantereaux, quincaillier à Saint-Quentin, affaire dans laquelle il est créancier pour un montant de 125,55 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Tisserant répond à la lettre de Riche à Jean-Baptiste André Godin du 30 juin 1880 sur le paiement réclamé par l'intermédiaire de monsieur Lécole de frais émanant de l'étude de maître Bernier dans une affaire avec Esther Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Félix Mathias qu'il lui a écrit il y a un mois à propos du refus de la Compagnie du chemin de fer du Nord de transporter les marchandises des Fonderies et manufactures du Familistère. Les gares de Saint-Quentin, de Marle et de Bohain font de nouvelles difficultés liées à une circulaire exigeant un wagon complet pour l'expédition : Godin explique que cela est possible pour les matières premières mais pas pour les marchandises, et que cette obligation risque de mettre au chômage 1 000 ouvriers, s'il ne peut expédier alors que les magasins sont pleins ; Godin espère une solution de la part de Félix Mathias et il se dit prêt à saisir le gouvernement de la question dans le cas contraire. Dans le post-scriptum, il demande à Mathias de lui faire réponse à l'établissement hydrothérapique de Bellevue où il retourne chaque jour.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Loisy a annoncé son arrivée à Guise le dimanche suivant. Godin l'avertit qu'il l'attendra à Guise au lieu de se rendre à Versailles, où son état de santé lui permettait d'aller, et il attire l'attention de Loisy sur les changements de trains à effectuer à Châlons, à Reims et à Tergnier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin communique à Coulon la copie d'une réponse d'Esther Lemaire. Il rappelle que le tribunal n'a pas tenu compte de sa proposition d'experts et qu'il a nommé un architecte de Saint-Quentin, Pinguet ; il l'informe que dans une affaire d'accident survenu à l'usine, le tribunal a encore choisi un expert en dehors de ceux qu'il a proposés : « Cela vous indique qu'il n'est plus dans d'aussi bonnes dispositions pour moi que quand l'Empire espérait faire ma conquête. »

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