FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lucq, 6 janvier 1847
Godin envoie une facture de 121 F à Lucq en lui précisant qu'il ne peut réduire les prix de ses marchandises en raison de la forte augmentation du coût de la fonte. Il adresse un paiement de 34 F à Lucq et lui indique qu'il pourra livrer à la saison favorable à Étreux la fonte qui se trouve encore à Maubeuge.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lucq, 14 février 1847
Godin demande à Lucq s'il peut transporter 25 tonnes de fonte des Hauts-fourneaux du Nord à Étreux ou à Bohéries.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame veuve Hennequière et fils, 7 mars 1848
Godin accuse réception de quatre effets impayés d'un montant total de 1 847 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bertrand, 18 avril 1848
Godin accuse réception de diverses valeurs, dont une somme en espèces remise par le frère de Godin, pour un montant total de 1 772,62 F, soldant le compte de Bertrand.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jacquet-Robillard, 11 octobre 1848
Godin envoie à Jacquet-Robillard la facture d'une cuisinière qu'il lui expédie le jour même. Il l'informe qu'il ne peut lui acheter des limes car il a dû en prendre chez Bertrand d'Étreux pour se couvrir d'une créance. Il indique que Bertrand connaît des difficultés mais qu'il marche toujours au milieu d'elles ; il demande à Jacquet-Robillard de ne pas communiquer le contenu de sa lettre à Bertrand.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Collart, 3 août [1843]
Réponse à une commande : expédition de robinets à Étreux (Aisne).

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bertrand, 20 novembre [1843]
Godin demande à monsieur Bertrand de remettre à son oncle quatre douzaines de « boules 18 lignes » et trois bottes de fil de fer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs les régisseurs des hauts-fourneaux du Nord, 13 juin [1845]
Réponse aux lettres des 3 et 12 juin 1845 de la Société des hauts-fourneaux du Nord, relatives à la facturation de fourniture de fonte et à son transport.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Maréchal, 25 juillet [1845]
Réponse à une lettre de monsieur Maréchal en date du 24 juillet 1845 : sur le retard de la fabrication de pignons du fait de l'absence de mouleurs. Godin l'assure que les pignons sont désormais en fabrication, qu'il aura quatre mouleurs à partir de la semaine prochaine. Il promet à Maréchal une livraison de tous les pignons réalisés lundi prochain à Étreux chez monsieur Alliot, et de tenir le reste à sa disposition à Esquéhéries à la fin de la semaine prochaine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Maréchal, 15 octobre [1845]
Sur une commande de pignons à la manufacture Godin-Lemaire : Godin annonce à monsieur Maréchal que les pignons qu'il lui reste à enlever sont déposés chez monsieur Godin, serrurier à Étreux ; facturation de la marchandise

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fontaine, 18 octobre [1845]
Information sur le prix des cuisinières de la manufacture Godin-Lemaire, vendues par un distributeur à Étreux. Sur le haut-fourneau de Berlaimont : Godin demande s'il est en activité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux régisseurs des hauts-fourneaux du Nord, 27 février [1846]
Approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Godin annonce qu'il ne lui reste de fonte que pour 6 jours de travail et qu'il n'a pas reçu l'avis d'expédition d'un chargement par bateau ; il demande qu'on lui envoie une voiture en urgence : il signale que le batelier s'est à nouveau trompé en déchargeant à Étreux la précédente expédition. Il adresse un paiement de 1622,60 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le directeur général des postes, 15 [avril 1846]
À propos d'un procès-verbal dressé par la gendarmerie de Leschelle (Aisne) à l'encontre du voiturier Chevalier pour avoir transporté un colis postal adressé par Godin vraisemblablement au domicile parisien de Véran Sabran et contenant des cheveux destinés à une magnétiseuse ; Godin demande l'indulgence pour le voiturier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lenoir, 28 avril 1846
Sur le transport et la vente de poteries : Godin recommande à Lenoir de s'adresser à Blanchard, marchand de charbon à Étreux, pour charger des poteries sur un bateau ; il ajoute que Blanchard propose d'offrir à Lenoir un espace de 5 m² dans son magasin et précise qu'il y a 12 à 13 lieues de route de Signy-le-Petit à Étreux en passant par Esquéhéries.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Depret-Béghin, 19 [août 1846]
Approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Depret-Béghin a informé le 17 avril qu'il pouvait lui livrer 50 tonnes de fonte n° 1 ; Godin demande dans quel délai elle pourrait lui être livrée à Saint-Quentin ; Godin indique qu'il préférerait que le bateau prenne à La Fère le Canal de la Sambre à l'Oise et décharge près d'Étreux ou de Guise ; il demande un échantillon de fonte pour juger de sa qualité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Goulard, 30 [août 1846]
Fait suite à une lettre de Godin en date du 24 août 1846 : réception de soufflets de forge et nouvelle commande de six petits soufflets de 20 cm à l'usage des mouleurs en sable, dotés d'un cuir résistant, à envoyer à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Parmentier, 14 novembre 1862
Sur la route n° 55 de Jonqueuse à Étreux. Godin accepte volontiers le choix de Parmentier en tant qu'expert désigné d'office et lui communique ses observations. Godin fait transporter des marchandises sur un tronçon de la ligne n° 55 ; il a contracté un bail annuel de 250 F avec Brunel pour la location d'un port placé sur le chemin, où les déchargements sont plus économiques qu'au port de Longchamps ; l'administration prétend qu'il a fait des dégâts considérables au chemin en 1861 et 1862 alors que les seuls travaux d'entretien ont été faits par lui ; il renonce depuis à emprunter le chemin et fait décharger ses bateaux au port de Longchamps, aussi la question ne porte que sur le passé ; Godin conteste qu'il ait dégradé la route qui n'est achevée que pour la moitié du trajet ; il a proposé néanmoins une indemnité à l'administration de 200 F correspondant au déchargement de 20 bateaux par an à Longchamps chez Macaigne au prix de 10 F par bateau, indemnité que l'administration juge insuffisante malgré l'inachèvement de la route. Godin communique à Parmentier un état annuel de ses transports en précisant que 2 198 tonnes transitent par le chemin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Barthélemy Godin, 18 janvier 1865
Jean-Baptiste André Godin répond à une lettre recommandée de son frère lui reprochant que ses ouvriers partent travailler à Guise. Godin lui fait observer que depuis longtemps des ouvriers de Guise sont partis chez lui à Étreux, mais que des salaires plus élevés à Guise les attirent et que la solution est d'élever les salaires à Étreux. Il lui signale qu'une difficulté plus grande va surgir, c'est la baisse des prix des marchandises en raison de la concurrence. « Le passé rend l'avenir difficile » : Godin lui rappelle qu'il a cherché à l'associer à son entreprise mais que son frère a « préféré l'indépendance d'une triste concurrence ». Il ajoute que la menace d'une liquidation de sa fonderie par son frère ne le regarde pas. « Je ne professe le dédain pour personne, mais j'ai un certain mépris pour certains actes qui sans doute ont toujours été parfaitement justes à tes yeux. » Godin se refuse à lui donner des conseils ou à lui faire des propositions.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Alexandre Barthélemy Godin, 13 février 1865
Émile Godin informe Alexandre Barthélemy Godin que son père part en voyage pour plusieurs jours, qu'il ne devait pas se rendre à Étreux mais qu'il devait envoyer du papier timbré.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 30 juillet 1865
Sur le conflit avec son frère Alexandre Barthélémy Godin. Godin lui remet une assignation et il fait à Oudin-Leclère l'historique de ses relations avec son frère : il n'a pas réussi à associer son frère à l'établissement industriel de Guise ; celui-ci s'est installé à Étreux et s'est mis à contrefaire ses modèles et à imiter sa fabrication ; Godin laissa faire mais interrompit ses relations avec lui ; son frère, dont la fonderie était proche de la faillite, lui a écrit en début d'année pour lui demander de l'aide : « Vous lirez cette correspondance qui vous fera connaître les faits. » ; Godin consentit à lui reprendre son matériel pour l'aider et éviter que les contrefaçons tombent en d'autres mains et ainsi prévenir d'autres procès ; Godin et son frère établirent un contrat ; Godin versa 26 000 F à son frère, lui racheta même sa matière première pour 7 924 F et à écouler pour lui ses marchandises non écoulées pour un montant de 2 749,05 F. Godin juge que le procès intenté par son frère, qui voudrait être payé pour ses marchandises avant leur vente, est ridicule ; il signale à Oudin-Leclère que son frère a omis de produire une lettre écrite par lui qui se trouve en contradiction avec ses prétentions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 juin 1875
Godin informe son fils Émile que l'élection du conseiller général du canton de Wassigny aura lieu le dimanche suivant et que les députés de l'Aisne soutiennent Maréchal comme candidat républicain et veulent écarter le bonapartiste Godelle. Il demande si Émile peut trouver des employés ou des ouvriers de l'usine qui pourraient donner un concours à la candidature de Maréchal à Étreux, Hannapes, Vénérolles, Mennevret, Tupigny et Verly, et il l'avertit que ce concours est difficile car il consiste à influencer les électeurs sans l'aide de circulaires ou de bulletins. Il lui demande d'informer Eugène André qu'il a envoyé le pouvoir à Delloye à Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Seydoux, 19 avril 1876
Godin demande à Seydoux le nombre de kilomètres que les sociétés Philippart ont rétrocédé à la Compagnie du chemin de fer du Nord dans son département et combien de kilomètres celle-ci s'est engagée à exécuter dès maintenant. Il lui explique que le conseil général de l'Aisne va concéder une voie de Busigny à Hirson sous réserve que le conseil général du Nord consente à concéder la voie de Busigny à la limite du département de l'Aisne.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Béthune que monsieur David de Sains lui demande de lui envoyer 1 000 exemplaires du manifeste électoral signé par Béthune. Il explique qu'il n'a pas encore fait imprimer le manifeste par crainte qu'il ne cause la révocation des maires signataires. Il demande à Béthune s'il veut maintenir sa signature. Si ce dernier la maintenait, Godin propose de le mentionner de la façon suivante : « M. Béthune fabricant à Étreux », sans indiquer sa qualité de maire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Auvray deux timbres postaux en paiement de deux abonnements de 15 jour au journal La France à adresser à monsieur Macon-Lamotte, barbier à Étreux, et à monsieur Gantoi-Macon à Étreux. Il lui rappelle que les abonnements souscrits le 28 septembre 1877 ne parviennent toujours pas à l'économe du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Pruvot du 7 août 1878 en l'informant qu'il se trouvera à Étreux le mercredi prochain à 9 heures du matin.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut dissiper un malentendu sur le tracé du chemin de fer du Cateau à Guise avec le directeur de la Construction des chemins de fer à la suite de la conversation qu'il a eue avec lui la veille. Il fait valoir que le meilleur tracé du tronçon de la ligne de Valenciennes à Laon concédé à la Compagnie de Lille à Valenciennes évite la traversée du centre de Guise, permet aux Fonderies et manufactures du Familistère d'avoir accès à la gare située sur le plateau dit des Coutures et présente l'avantage de desservir Hannappes, Tupigny, Vénérolles, Iron, Étreux, Lesquielles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin approuve l'idée de Ganault de rédiger un article sur le chemin de fer de Valenciennes à Laon. Il lui suggère de s'occuper particulièrement du tronçon de Wassigny à Guise. Il lui signale qu'il a appris que les habitants de Wassigny sont enragés contre lui : on pense qu'il veut faire passer le chemin de fer par Étreux plutôt que par Wassigny, alors que l'idée est de Menche de Loisne. Il ajoute qu'on répand de fausses informations pour exciter la population de Wassigny contre celle d'Étreux et celle de Mennevret contre celle de Tupigny. Il propose d'habituer ces populations à croire à l'excellence du tracé par Hannapes. Godin envoie à ce sujet une série de notes à Ganault. Il propose que son article s'intitule « Chemin de fer du Cateau à Laon. Lettre d'Hannapes ».

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Collection : Aucune collection
Auteur : Taupier, J.
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Taupier répond à la lettre de Godin du 17 juillet 1874. Taupier se défend d'avoir mal agi en signant des bons de pharmacie pour ses enfants à la place du responsable du comité concerné ou en intervenant dans les relations entre elles des familles du Familistère. Sur les « rossignols » du rayon de madame Allart. Sur le renvoi par Émile Godin du charcutier Soyeux et de son épouse et son remplacement par Albert Défontaine, autrefois charcutier à Paris et à Étreux, précédemment employé à l'emballage. Sur le départ de madame Lambert de la buvette et de madame Rouchy de l'épicerie.
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