FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Taupier, J.
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Taupier répond à la lettre de Godin du 17 juillet 1874. Taupier se défend d'avoir mal agi en signant des bons de pharmacie pour ses enfants à la place du responsable du comité concerné ou en intervenant dans les relations entre elles des familles du Familistère. Sur les « rossignols » du rayon de madame Allart. Sur le renvoi par Émile Godin du charcutier Soyeux et de son épouse et son remplacement par Albert Défontaine, autrefois charcutier à Paris et à Étreux, précédemment employé à l'emballage. Sur le départ de madame Lambert de la buvette et de madame Rouchy de l'épicerie.

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Auteur : Taupier, J.
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Taupier répond à la lettre de Godin du 10 juillet 1874. Il l'assure qu'il est étranger à tout esprit de cabale et qu'il ne subit aucune influence dans la mesure où il vit entièrement avec ses enfants en dehors du travail. Sur une femme surnommée "Grande Taïs" ou Dame Lecrinier, qui aurait été employée comme laveuse par Taupier, dont Godin a été averti de la présence par son fils Émile : Taupier se défend de la connaître. Sur les amendes pour manquement aux écoles et le paiement des cours, en particulier du cours de dessin. Sur l'écoulement des « rossignols » du magasin des étoffes.

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Auteur : Taupier, J.
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Taupier répond à une lettre de Godin transmise par son fils Émile. Sur la maison Leroy et Cie à Buenos Aires et sa caution en France, la maison Quesnel frères et Cie du Havre, que le Comptoir d'escompte juge solvable. Sur l'augmentation des employés Moyat et Goyenval. Taupier propose à Godin de licencier les employés Lefebvre et Quaintenne. Sur le chef de cuisine Chevrolat, chargé de la surveillance de tout le service d'alimentation. Sur la fabrication de boutons. Sur la déclaration au juge de paix de mesdames Paquerot et Dirson. Sur une commande de La Ménagère transmise par Amédée Moret.

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Auteur : Taupier, J.
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Taupier informe Godin qu'Eugène André lui a communiqué la lettre qu'il lui a écrite le 22 juin 1874, relative à l'étude des prix de revient de la manufacture, qui a été copiée dans son « Copie de lettres particulier ». Il explique à Godin, chiffres à l'appui, qu'une diminution des prix du tarif de 1874 est possible, bien qu'André pense le contraire et malgré l'augmentation provisoire du prix de la fonte en raison des grèves en Angleterre.

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Auteur : Taupier, J.
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Taupier informe Godin qu'il a commencé l'inventaire général du Familistère. Sur le chef de cuisine, sur le lavoir et sur l'approvisionnement en pain. Taupier informe Godin qu'il a fait établir une carte de France de la clientèle de la manufacture à l'usage des voyageurs de commerce. Sur une réduction du nombre d'employés dans les bureaux et une proposition d'augmentation de deux d'entre eux.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Francisco Albarracin, 19 février 1892
M. Albarracín demandait des informations sur les débouchés commerciaux, les catalogues et les gravures de la Société du Familistère mais Marie Moret ne peut lui répondre et lui indique que ces questions sont du ressort de l'administrateur-gérant de la Société du Familistère. Remerciements pour l'envoi d'une photographie « en souvenir de Godin ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Eugène André, 31 janvier 1875
Sur l'affiche Bouchard. Marie Moret répond à Eugène André en l'absence de Godin qui se trouve à Paris pour affaires. Elle lui rappelle que Godin lui en avait demandé la suppression et son remplacement par un article du règlement, mais n'avait pas pensé que le règlement était encore affiché. Elle l'informe que Godin n'a pas donné suite à la cession à Amédée Moret de quelques villes de l'itinéraire de Darras. Elle présente ses meilleurs sentiments à madame André et à Aline André.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Godin-Lemaire à monsieur Briard, 17 décembre 1845
Facturation tardive de marchandises en raison de la maladie de Godin. Sur une commande de cuisinière.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Godin-Lemaire à monsieur Fiévet-Grain, 13 [décembre 1845]
Sur une commande de cuisinières : Esther Lemaire répond à la lettre de Fiévet-Grain du 11 décembre 1845 en indiquant que Godin est malade depuis longtemps, que le messager a négligé de prendre en charge les marchandises prêtes et que les cuisinières ne pourront être livrées à Saint-Quentin que le samedi suivant ; elle demande à Fiévet-Grain s'il souhaite toujours obtenir les appareils.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Godin-Lemaire à monsieur Grain-Lemaire, 27 novembre 1843
Réponse à une commande de cuisinières et de poêles de la manufacture Godin-Lemaire. La lettre est signée « Godin née Lemaire », l'épouse de Godin Esther Lemaire.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à monsieur Fiévet-Grain, 23 août 1843
Recouvrement d'une créance de monsieur Fiévet-Grain. Sur le retour d'un poêle livré par la manufacture Godin-Lemaire : Godin propose à Fiévet-Grain de le conserver et de ne le payer qu'après l'avoir vendu.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 22 mars 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin annonce à Cantagrel que la séparation avec sa femme est prononcée et lui demande d'en informer Auguste Oyon, s'il est encore à l'hôtel Batavia de la cité Bergère, car il voulait être tenu informé « de cet événement qui va avoir une influence si grande sur ma vie ». « Si je perds ma fortune en partie, je retrouve plus de liberté pour l'avenir s'il m'est donné d'organiser quelque chose, mais quelle va être la suite que la haine et l'envie vont donner à cette catastrophe, cela est bien obscur pour moi. » Il signale à Cantagrel qu'il doit s'occuper en urgence des clients de Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 5 mars 1865
Jean-Baptiste André Godin regrette de devoir à nouveau s'absenter au moment où le tarif de la manufacture doit être imprimé. Il prie Vigerie de rentrer rapidement de Laeken. Il lui envoie la somme de 500 F qu'il a demandée. Il est question d'un Victor et d'un Baptiste, qui pourrait être renvoyé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Joudrain, 14 janvier 1865
Godin accuse réception des lettres de Joudrain des 26 décembre 1864 et 2 janvier 1865. Jean-Baptiste André Godin indique avoir étudié le système de chauffage au gaz proposé par monsieur Jacquet, qui lui semble très coûteux en combustible et doit être encore étudié. Sur le projet d'établissement d'une maison de vente des appareils Godin-Lemaire à Paris : Godin s'interroge sur le manque d'expérience de Joudrain dans ce commerce, différent de celui des combustibles ; il souhaite que Joudrain participe au capital de l'affaire. Dans le post-scriptum, Godin demande l'adresse de l'agent de la maison de vins de Reims que Joudrain lui a recommandée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Blin-Baulmont, 26 juillet 1864
Godin demande des renseignements à Blin-Baulmont, candidat à un emploi de voyageur de commerce : s'il habite Reims depuis longtemps, son âge, sa situation familiale, quelle était son occupation avant son entrée chez Corneau frères, ses employeurs actuels, et s'il représente une autre maison.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 5 juillet 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin suppose que Vigerie n'a pas reçu la lettre qu'il lui a écrite le 25 juin à l'hôtel de l'Étoile d'Amsterdam car il a, dit-il, appris indirectement le commencement de son procès. Il l'informe que Favre et Hébert ont plaidé pour la première fois, mais que le jugement n'est attendu que dans trois semaines. Godin espère que les foyers et la nouvelle cheminée sont arrivés à Laeken et il attend le retour de Vigerie pour qu'il lui dise quelle impression les objets ont fait sur les poêliers de Bruxelles. Il l'informe que madame Vigerie est arrivée la nuit dernière et était déçue de ne pas le trouver à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 11 juin 1864
Godin demande à Cantagrel de se renseigner sur les émaux d'une « décoration présumée des arts et métiers en fonte émaillée », dont ils ont discuté à Paris. Il signale qu'on attribue les émaux à monsieur Paris, émailleur au 107, Grande rue de Bercy, à Paris. Godin demande en outre à Cantagrel si le local est prêt à recevoir des cheminées.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Lemercier, 6 juin 1864
Godin explique à Louis Lemercier pourquoi il n'a pas répondu à sa lettre du 26 février 1864 de demande d'emploi en qualité de voyageur de commerce : parce qu'il avait suffisamment de voyageurs, parce qu'il ne voulait pas prendre en charge les frais de son déplacement de Marseille jusqu'à Guise à Guise nécessaire à la connaissance des produits, et parce qu'il n'avait pas de renseignements sur lui. Godin veut bien toutefois reconsidérer sa position si Lemercier accepte de lui donner des références, de faire un stage à l'usine de Guise et s'il accepte les conditions de rémunération : 6 F par jour, 0,10 F par kilomètre, 3 % de commission sur les ventes jusqu'à 500 F et 1 % sur le surplus.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Grippon, 30 avril 1864
Godin répond à la lettre écrite à Rouen par Grippon en lui confirmant qu'il peut lui confier immédiatement une région à visiter s'il accepte ses conditions : 6 F par jour, 0,10 F par kilomètre, commissions de 3 % jusqu'à 500 F et 1 % sur le surplus. Godin pourrait lui confier un itinéraire traversant 12 à 16 départements, de l'endroit où il se trouve jusqu'à la Loire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Grippon, 27 avril 1864
Godin propose à Grippon d'aller explorer [à l'essai] les localités se trouvant le long de la Loire et dans la contrée comprise entre la Loire et la Seine, avant de l'admettre comme voyageur de commerce de la maison Godin-Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Grippon, 20 avril 1864
Jean-Baptiste André Godin ne peut admettre Grippon en qualité de voyageur de commerce car il a déjà fait partir tous ses voyageurs et déterminé leurs itinéraires. Néanmoins, il souhaite connaître le montant des émoluments auxquels il prétend.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 10 mars 1864
Sur le tarif de la manufacture. Il est question de l'identification de l'individu suspect venu à Bruxelles enquêter sur la relation entre Marie Moret et Godin : Godin ne croit pas que la personne désignée à Vigerie soit la bonne personne. Godin a appris de Marie Moret que madame Vigerie s'ennuyait beaucoup de l'absence de son mari. Dans le post-scriptum, Godin donne un remède que monsieur André doit appliquer pour soulager ses yeux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 9 mars 1864
Jean-Baptiste André Godin annonce à A. Vigerie que madame Vigerie a bien reçu ses compliments. Il est question de l'établissement des tarifs des produits Godin-Lemaire en Belgique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 7 mars 1864
Jean-Baptiste André Godin joint une lettre de monsieur Ackermans, un client, et indique que les remises d'été ne peuvent être en Belgique différentes de celles consenties en France. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire : il demande des nouvelles des renseignements attendus sur l'agent mystérieux envoyé de Guise à Laeken : selon Godin, il ne peut s'agir que de Telliez ou Delabarre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 5 mars 1864
Jean-Baptiste André Godin s'attendait à recevoir une lettre de Vigerie, annoncée par « Le Frère ». Il est question de l'application des nouveaux tarifs des produits Godin-Lemaire en Belgique et des remises à consentir sur le prix des marchandises. Sur la vente d'une partie de la propriété de Laeken : Godin veut connaître le prix des terrains et demande à Vigerie de s'en informer auprès d'un boucher propriétaire dans le quartier de l'usine. Sur un certain « V » que Godin juge de peu de mérite. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire : à propos d'un agent mystérieux au service des ennemis de Godin : Godin prie Vigerie de demander à Louis d'abandonner son travail pendant deux ou trois jours et de s'informer à son sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Benham and Sons, 22 février 1864
Godin rappelle à Benham et fils qu'il lui avait présenté ses produits l'Exposition universelle de Londres en 1862 et qu'ils n'avaient pas voulu se charger de la vente des marchandises Godin-Lemaire qui n'entraient pas dans les usages de la clientèle anglaise. Godin explique qu'il a perfectionné ses appareils depuis et fabriqué des cheminées analogues aux cheminées anglaises. Il demande à Benham et fils s'ils veulent distribuer ses appareils.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Lemercier, 6 février 1864
Candidature à un emploi de voyageur de commerce : Godin explique à Louis Lemercier qu'il a un nombre suffisant de voyageurs de commerce et qu'il ne le connaît pas ; il lui signale que son éloignement de Guise est en outre un obstacle car il est nécessaire d'y séjourner pour bien connaître les marchandises.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Évrard, 5 février 1864
Jean-Baptiste André Godin annonce à Évrard qu'il n'a pas besoin de recruter un voyageur de commerce supplémentaire pour le moment, mais il lui propose cependant de le rencontrer le lundi suivant à Paris, chez monsieur Cantagrel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur J. Loeb, 15 janvier 1864
Jean-Baptiste André Godin demande à Loeb de venir à Guise et lui demande s'il accepte les conditions de rémunération des voyageurs de commerce en titre : 6 F par jour, 0,10 F par kilomètre, 3 % de commission sur les placements jusqu'à 500 F et 1 % sur le surplus.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Sainturet, 15 janvier 1864
Relatif à une entrevue manquée de Sainturet et Cantagrel à Paris, que Godin attendait pour prendre une décision sur sa proposition de services. Jean-Baptiste André Godin propose à Sainturet de l'employer comme voyageur de commerce à la commission pour parcourir les départements suivants : Charente, Charente-Inférieure, Gironde, Dordogne, Haute-Vienne, Lot-et-Garonne, Lot, Tarn, Tarn-et-Garonne, Aveyron, Lozère, Hérault, Haute-Garonne, Aude, Pyrénées-Orientales, Ariège, Hautes-Pyrénées, Gers, Basses-Pyrénées, Landes. Godin indique à Sainturet le montant des commissions et les conditions des placements de marchandises : 3 % sur les placements jusqu'à 500 F et 1 % sur le surplus ; commissions perçues sur les expéditions faites ; se renseigner sur la solvabilité des clients.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Fourrier, 8 janvier 1864
Godin regrette d'avoir répondu à la lettre de Fourrier du 23 novembre uniquement par l'envoi de la cuisinière demandée. Godin indique à Fourrier qu'il pratique le spiritisme. Il lui confie qu'il admire le génie de Charles Fourier mais qu'il ne croit pas à la décrépitude de la civilisation en phase de lente agonie comme celui-ci l'a prédit. Godin explique à Fourrier qu'il fait construire un palais d'habitation dans lequel vivent 100 familles, 400 personnes, et que sa partie centrale, en cours d'achèvement, va pouvoir accueillir 500 personnes. Il se défend d'avoir réalisé l'harmonie, dont les âmes humaines incarnées sont incapables. Il considère qu'il met en pratique les principes de la véritable charité et critique les fouriéristes enthousiastes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 21 décembre 1863
Cantagrel demande les documents utiles à établir l'inventaire des produits Godin-Lemaire qui subsisteront en fin d'année dans les maisons qu'il doit visiter. Godin lui demande ne pas presser l'opération qui devrait avoir lieu seulement lorsque sera édité le tarif de 1864.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Allez frères, 16 mai 1863
Godin demande à Allez frères une réponse à sa lettre du 5 mai 1863 et regrette qu'ils ne veuillent profiter d'une remise importante. Il précise qu'il est sollicité par le propriétaire de bateaux Fernet, disposé à transporter des marchandises et que le prix de celles-ci est au plus bas. Godin demande à Allez frères de lui faire part de leurs intentions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Allez frères, 4 mai 1863
Godin confirme à Allez frères qu'il ne peut accorder une remise sur des marchandises déjà vendues. Il leur explique qu'il l'a fait une fois dans le passé à ses dépens puisque la maison Allez a alors ouvert plus largement ses magasins aux produits concurrents, et qu'il pourrait examiner leur demande uniquement s'ils s'occupaient spécialement de la vente des produits Godin-Lemaire. Il les informe que son chiffre d'affaires avec Allez frères est passé de 124 932 F en 1860 à 146 184 F en 1861 et à 89 665 F en 1862. Godin conclut en leur indiquant qu'il ne peut leur offrir de meilleures conditions de vente si le chiffre de leurs affaires diminue et il leur demande s'ils viendront à Guise dans l'année, lui ne se rendant plus à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Démon, 2 avril 1863
Ville, voyageur de commerce de la maison Godin-Lemaire, a informé Godin du désir de Démon de placer sur son enseigne la mention « Dépôt des cuisinières, poêles, calorifères, cheminées de l'usine Godin-Lemaire de Guise ». Godin l'informe qu'il a autorisé d'autres maisons, à Paris notamment, à faire de même sans que cela ne l'engage en rien à l'égard du commerçant. Il lui donne l'autorisation en lui proposant de mentionner le nom de sa maison dans des annonces publiées dans les journaux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Darras, 3 avril 1863
Godin fait observer à Darras que le compte qu'il a arrêté lors de sa venue à Guise n'est pas conforme à leur accord de mettre sa rémunération sur le même pied que celle des autres voyageurs, soit 3 % de commission sur les ventes de moins de 500 F et 1 % sur le surplus au-delà de cette somme, et 10 centimes par kilomètre sur les itinéraires fixés par lui. Il rectifie le compte de Darras qui s'élève à 3 380,90 F. Il lui fait des recommandations sur ses relations avec la clientèle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Affre, 3 avril 1863
Godin répond à la lettre d'André Affre du 2 avril 1863. Il lui explique qu'il ne peut accorder 10 % de commission à ses voyageurs et qu'il faut abandonner le projet de représentation de la maison Godin-Lemaire malgré sa connaissance des fourneaux en tant qu'industriel. Il précise qu'il prend en charge les frais des voyageurs en titre qui travaillent exclusivement pour lui et qu'il accorde à ceux-ci 4 % du montant des ventes dans les contrées les moins favorables, tandis qu'il accorde au plus 2 % aux voyageurs à la commission.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Allez frères, 2 avril 1863
Godin répond à Allez frères qui signalent qu'ils subissent une perte sur les marchandises qui leur restent en magasin et souhaitent obtenir une remise sur ces marchandises, qu'il ne peut baisser davantage ses prix. Il suggère à Allez frères de profiter des conditions actuelles pour lui faire une commande de 100 000 F. Il annonce à Allez frères les envois qu'ils demandent.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le directeur général des Postes, 31 mars 1863
Godin explique au directeur général des postes qu'il envoie 20 000 circulaires, tarifs, albums et lithographies à ses clients chaque année, et qu'un certain nombre n'arrivent pas à destination. Il lui signale le cas du détournement d'un album par un facteur de Brionne (Eure), Gustave Mabon. Godin demande à ce que le facteur soit réprimandé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Affré Aîné, 30 mars 1863
Godin informe André Affre qu'il entrerait en concurrence avec ses autres voyageurs s'il lui demandait de placer ses produits dans le Midi de la France. Il souhaite toutefois d'attacher les services d'Affre pour profiter de son expérience. Il lui indique qu'il emploie ses voyageurs en leur accordant 3 % du montant net de leurs ventes jusqu'à 500 F et 1 % au-delà de ce montant, et qu'ils sont responsables sur leur provision de 10 % des pertes en cas de placement chez un client non solvable.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à André Affre, 22 mars 1863
Godin répond à la lettre d'André Affre du 15 mars 1863 en lui indiquant qu'il doit examiner si la représentation dans le Midi de la France qu'il propose de faire ne fera pas double emploi avec celle qui existe déjà. Il lui demande de lui communiquer le nom des villes qu'il prévoit de visiter durant ses tournées et si ces visites se renouvelleront ou nom au cours de l'année.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à F. Yarz et Cie, 22 mars 1863
Godin demande à Yarz et Cie des renseignements sur monsieur Affre aîné, ancien constructeur de fourneaux à Toulouse, résidant au n° 51 allée Louis-Napoléon, qui se propose de représenter la maison Godin-Lemaire dans les départements du Midi pour y écouler ses produits.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs F. Toscan et Berly, 19 février 1863
Sur une demande d'expédition d'appareils de chauffage au Mexique. Godin explique à Toscan et Berly qu'il n'est peut-être pas souhaitable d'expédier les appareils démontés car il faut un ouvrier d'expérience pour opérer le montage, et que par ailleurs, l'emballage de chaque pièce dans de la paille augmenterait le volume de l'envoi qui ne serait pas inférieur à celui de l'appareil assemblé. Godin suggère de faire deux caisses pour les fourneaux les plus grands, dont l'une contiendrait le corps du fourneau, comme il l'a déjà fait pour l'Australie et la Turquie. Il donne enfin des recommandations sur la fabrication de tuyaux et précise qu'il ne fabrique pas de lampes en fer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Chabanne et Rolland, 13 janvier 1863
Godin répond à la lettre du 9 janvier 1863 de Chabanne et Rolland qui lui demandent la fabrication de plateaux. Godin les avertit que le prix de fabrication d'une petite quantité de plateaux serait trop important et que ses fours d'émaillage ne permettent de cuire que des pièces de 0,90 à 1 m. Il ajoute que l'exécution de plateaux convexes, conformément au croquis figurant dans la marge, sera plus facile.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Ch. Poirier, octobre 1862
Godin explique à Poirier que ses prétentions ne sont pas justifiées. Godin fixe les conditions de voyage dans l'hypothèse où Poirier voudrait continuer après la fin du mois. Godin ne veut pas voir se créer des positions privilégiées dans l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Ch. Poirier, 18 octobre 1862
De retour de Londres, Godin répond à la lettre de Poirier du 16 octobre. Il lui fait remarquer que ses lettres des 28 mai et 31 mai 1862 ne laissaient pas de doute sur les questions qu'il soulève. Il lui confirme que sa position à l'usine est inchangée, mais qu'il doit augmenter le nombre de ses voyageurs. Il lui rappelle qu'il ne l'a pas laissé inoccupé et ne le laissera pas inoccupé, mais Poirier a eu le tort de penser que telle contrée lui était réservée. Godin lui rappelle qu'il lui a accordé et maintenu la ville de Paris, qu'il n'a rien changé aux conditions de ses voyages, que l'année a été moins heureuse qu'espéré, mais que sa position est plus acceptable que celle de bien d'autres. Godin lui explique qu'il ne veut pas voir se manifester des rivalités entre les personnes chargées de ses intérêts et qu'il regrette sa prévention à l'égard de Darras. Godin souhaite que Poirier éclaircisse ce qu'il veut dire par le besoin d'être fixé sur ce qu'il doit faire avant la fin du mois, car il n'a rien d'autre à lui offrir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à des inconnus, 27 septembre 1862
Godin explique à son correspondant que l'examen des cheminées de luxe exposées dans la section anglaise de l'Exposition universelle lui a démontré qu'il pourrait faire aussi bien et bien moins cher avec des émaux pouvant imiter le marbre et l'acier poli, qu'il a demandé à des artistes de créer des modèles propres à la vente en Angleterre, et qu'il recherche des maisons qui accepteraient des échantillons de ces produits ou voudraient exploiter sa patente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à T. W. Staniforth and Co, 27 septembre 1862
Godin explique à son correspondant que l'examen des cheminées de luxe exposées dans la section anglaise de l'Exposition universelle lui a démontré qu'il pourrait faire aussi bien et bien moins cher avec des émaux pouvant imiter le marbre et l'acier poli, qu'il a demandé à des artistes de créer des modèles propres à la vente en Angleterre, et qu'il recherche des maisons qui accepteraient des échantillons de ces produits ou voudraient exploiter sa patente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Benham and Sons, 24 septembre 1862
Sur l'ouverture de relations d'affaires avec Benham and sons. Godin rappelle à Benham and sons qu'à l'occasion d'un récent voyage à Londres, il leur a fait examiner les produits exposés à l'Exposition universelle pour apprécier les émaux dont il recouvre la fonte de fer. Godin explique qu'il a conscience que ses appareils ne sont pas appropriés aux habitudes anglaises, mais qu'il a conduit des artistes à Londres qui ont commencé l'exécution de modèles conformes au goût anglais sur lesquels il prévoit d'appliquer des émaux. Il leur demande s'ils consentent à recevoir des échantillons de ces produits et leur signale qu'il présente dans le palais de l'Exposition universelle des calorifères qui pourraient convenir au chauffage de magasins et lieux publics en Angleterre comme en France. Il les informe qu'il va se rendre à nouveau à Londres et qu'il recevrait leur réponse avec plaisir avant son départ.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C. H. Furcy, après le 9 septembre 1862
Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin accuse réception de quatre épreuves de gravures sur bois et fait des observations sur l'une d'elles, qui est réalisée d'après l'album de lithographies alors qu'il faut toujours travailler d'après les petites photographies et ne se servir de l'album que pour vérifier les ornements. Godin envoie à Furcy des lithographies ou des photographies. Le post-scriptum est relatif au redressement des lignes des appareils et au renversement des gravures pour présenter les appareils dans le même sens que les lithographies, avec la lumière venant de gauche à droite.
Formats de sortie

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