Facturation de trois cuisinières et de foyers.

Facturation de marchandises livrées l'hiver précédent à Émond-Blanchard. Demande de facture pour des marchandises livrées à la manufacture Godin-Lemaire.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin renouvelle sa demande à Furcy, s'il doit lui envoyer les photographies sur carton ou sur papier simple, et combien de gravures il peut exécuter par semaine.

Godin rappelle à Tricqnaux qu'il avait prévu de venir à Esquéhéries. Godin est prêt à lui accorder la préférence de distribution des produits de la manufacture Godin-Lemaire à Bohain et lui envoie le tarif des appareils de la manufacture.

Renseignements sur les appareils produits par la manufacture Godin-Lemaire. Proposition de reprise de marchandise.

Envoi du tarif des appareils de la manufacture Godin-Lemaire à la suite de la visite faite par Godin à Bavay.

Godin répond à Ane-Cronier au retour d'un voyage en lui indiquant qu'il n'a pas de temps pour envisager de modifier la forme de ses modèles : il lui communique le prix de nouveaux modèles de poêles au charbon de la manufacture Godin-Lemaire.

Sur les itinéraires de Darras et d'Amédée Moret dans la circonscription de Paris. Godin demande à Eugène André quelles sont les villes qu'on pourrait raisonnablement retrancher à l'itinéraire de Darras pour en confier la visite à Amédée Moret. Il lui demande aussi si tout est organisé pour que la tournée de David Tisseron soit reprise par Darras et Lassérée. Godin informe Eugène André qu'on lui propose les services d'un peintre en céramique, et il lui demande son avis sur l'introduction de ce nouvel employé dans l'usine. Il lui demande enfin s'il sait où en est l'affaire Quaintenne.

Dans l'attente des renseignements sur la solvabilité de Dumont, Godin répond à la partie de sa lettre du 3 août 1849 concernant leurs relations commerciales à venir. Il l'informe que le coût du transport de Guise à Paris est de 4 F pour 100 kg, le voiturier étant responsable des accidents de casse ; Godin signale que ces accidents sont de peu d'importance car ses appareils sont composés d'un grand nombre de pièces faciles à remplacer. Godin propose de lui accorder une remise de 6 % sur le prix du tarif des marchandises Godin-Lemaire ; il accepte de reprendre à son dépôt de Paris les marchandises que Dumont ne pourrait pas vendre pour les remplacer par des marchandises répondant mieux aux besoins de sa clientèle. La question de l'exclusivité de la vente à Caudebec des marchandises Godin-Lemaire reste à discuter. Sur la fourniture de poids : Godin fait remarquer que le transport pourrait être un obstacle, et lui indique qu'il lui reste des poids de 50 grammes à 10 kilos.

Godin répond à Letrillart qui a écrit le 18 août pour annuler une commande : Godin s'étonne que Letrillart ait laissé s'écouler quatre mois avant de faire sa demande ; il indique que les marchandises sont prêtes pour le chargement ; Godin comprendrait que le calme des affaires amenât Letrillart à réduire sa commande de 23 articles à 3 ou 4 appareils mais non à une annulation complète, qui pourrait lui laisser penser que Letrillart souhaite s'adresser à une autre maison.

Sur l'affaire Jacquet. Godin communique à Lecoq de Boisbaudran l'état des appareils que Jacquet doit lui remettre. Sur l'appel du jugement par Jacquet. Godin pense qu'il n'a plus de motif de faire appel puisqu'il a offert de lui verser 10 000 F à mesure qu'il remettra les objets qui lui ont été livrés, mais qu'il se trouve peut-être gêné pour lui remettre les objets et qu'il est peut-être balloté par ses hommes d'affaires. Godin suggère à Lecoq de Boisbaudran que Vuillamy, qui désire se mettre en voyage, ne sera plus utile à Paris si Jacquet se refuse à remettre les appareils.

Sur l'embauche d'Évrard en qualité de voyageur de commerce. Jean-Baptiste André Godin indique être sans réponse de monsieur Micolon. Dans l'éventualité où Évrard et lui s'entendraient, Godin lui annonce que son itinéraire lui ferait prendre le chemin de fer de Dijon à la Méditerranée pour revenir ensuite dans l'Est et la Belgique.

Godin signale à Houlon une erreur dans son dernier règlement : les factures s'élèvent à 607,50 F, Houlon a versé 565,95 F, il a droit à un escompte de 11,55 F, et son compte reste donc débiteur de 30 F. Il l'avertit qu'il va lui expédier les objets qu'il demande.

Au sujet du placement des marchandises de la manufacture Godin-Lemaire : Godin n'a pas encore reçu de Saint-Quentin les tarifs de la manufacture, aussi les enverra-t-il à son frère à Épernay ou à Château-Thierry ; Godin encourage son frère à ne pas délaisser des villes ; il le félicite d'avoir placé des produits à Rethel ; il signale à Barthélémy que de Laon une voiture peut le conduire à Liesse, Rozoy-sur-Serre, Aubenton, etc. ; il lui indique qu'il n'a pas encore reçu de réponse aux lettres écrites aux marchands avant le départ de Barthélémy.

Expédition de deux cuisinières à la demande de monsieur Fosset ; demande de renseignements sur monsieur Lefèvre de Revin (Ardennes) qui est venu à Esquéhéries commander une cuisinière, se disant envoyé par monsieur Fosset.

Facturation de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire et communication du prix des nouveaux modèles de poêles et de cuisinières.

Godin adresse à Lenoir-Bry une facture de 652 F pour une expédition de marchandises du 25 décembre 1847. À propos d'une porte de petite cuisinière : Godin demande des précisions avant de la lui envoyer.

Godin remet à Lemor des dessins [des lithographies ?] de trois cuisinières ; il en décrit les caractéristiques de manière à ce que celui-ci fasse un choix.

Réponse à la lettre de monsieur Desfontaines en date du 12 juin 1843 sollicitant le règlement d'une somme par la manufacture Godin-Lemaire. Envoi du tarif des appareils de la manufacture Godin-Lemaire.

Irrité par le nouveau retard de livraison à Guise des prospectus, Godin annule sa commande de papier à lettres à en-tête. Dans le post-scriptum, Godin menace Hourdequin de lui demander des dommages et intérêts si des prospectus n'ont pas été envoyés à Paris comme prévu.

Envoi du tarif des appareils de la manufacture Godin-Lemaire, faute de pouvoir se rendre lui-même à Compiègne.

Godin demande à Curé des renseignements sur la solvabilité de Decroix, Pottier-André et Laplace-Borgnet, marchands de fer à La Fère. Il lui indique qu'il peut lui rembourser d'éventuels frais, par exemple de consultation au bureau des hypothèquess, et que Laplace-Borgnet est le marchand qu'il connaît le moins.

Facturation de poêles de la manufacture Godin-Lemaire.

Godin adresse un pouvoir notarié à Pourrier et lui demande d'assigner Moucheron si ce dernier se refuse à payer ce qu'il doit.

Renseignements sur les nouveaux appareils produits par la manufacture Godin-Lemaire : cuisinière au bois ou au charbon et poêles elliptiques au bois ou au charbon.

Godin informe Vaillant-Sansade qu'il vient d'expédier les échantillons qu'il a demandé au voyageur de la manufacture Godin-Lemaire ; il lui rappelle qu'il a huit jours pour décider de conserver ou non les poêles, et l'encourage à en faire la vente en prenant l'exemple de Noyon où Godin dit faire chaque année 5 000 à 8 000 F d'affaires.

Facturation de marchandises vendues par la manufacture Godin-Lemaire et demande de facture de marchandises achetées par celle-ci.

Sur les voyages commerciaux pour les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin accuse réception de quatre épreuves de gravures sur bois et fait des observations sur l'une d'elles, qui est réalisée d'après l'album de lithographies alors qu'il faut toujours travailler d'après les petites photographies et ne se servir de l'album que pour vérifier les ornements. Godin envoie à Furcy des lithographies ou des photographies. Le post-scriptum est relatif au redressement des lignes des appareils et au renversement des gravures pour présenter les appareils dans le même sens que les lithographies, avec la lumière venant de gauche à droite.

Demande à monsieur Lenoir-Bry qu'il lui écrive pour lui faire savoir le nombre de poêles dont il souhaite encore être livré.

Facturation de marchandises livrées par la manufacture Godin-Lemaire.

Facturation de marchandises livrées par la manufacture Godin-Lemaire.

Facturation de marchandises livrées par la manufacture Godin-Lemaire et demande d'une facture pour marchandises livrées.

Demande de paiement de poêles. La lettre est signée Godin-Lemaire.

Recouvrement d'une traite refusée.

Facturation de marchandises livrées par la manufacture Godin-Lemaire.

Facturation et livraison de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire chez monsieur Dupont à La Capelle, et commande de bottes de fil de fer.

Envoi d'un robinet et proposition de prix pour la fourniture de poids d'horloge et de poids à peser.

Facturation de marchandises livrées par la manufacture Godin-Lemaire.

Réponse à une lettre de monsieur Pottier en date du 16 avril 1889 : sur la fabrication de cuisinières de grandes dimensions et l'avantage de la fonte sur la tôle.

Réponse à une commande d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire et envoi d'une facture.

Réponse à une lettre de monsieur Dumas-Germain en date du 24 avril 1843 : sur l'expédition à Paris d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire auxquels Godin a apporté des perfectionnements.

Réponse à la commande de monsieur Vendryes en date des 6 et 20 mai 1843 : expédition et facturation d'une cuisinière à houille, coke, charbon et bois.

Godin demande à son cousin de s'occuper à Paris de la présentation des appareils de la manufacture Godin-Lemaire à l'exposition de l'Académie de l'industrie.

Au sujet d'un contentieux financier avec Jean Martroux, revendeur d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire. Proposition commerciale faite à monsieur Froment pour la distribution d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire.

Envoi d'une facture correspondant à la vente d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire. Expédition d'une cuisinière à Rouen (Seine-Maritime). Godin invite son cousin et sa famille à venir à Guise assister à la coulée de fonte ayant lieu le samedi suivant [8 juillet 1843], avant « le jour de la fête ».

Réponse à une commande de monsieur Pauquet en date du 3 juin 1843, et commande au même des bobines de fils de fer.

Recouvrement d'une traite auprès de Jean Martroux.

Godin annonce l'expédition d'une cuisinière à la demande de son cousin Manesse, et informe son correspondant qu'il projette de se rendre prochainement à Rouen.

Annonce l'expédition de deux cuisinières et facturation des marchandises et du transport.