FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 1677 résultats dans 19432 notices du site.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur B. Bourgeois, 30 mars 1888
Sur la transcription des immeubles au bureau des hypothèques en France et en Belgique. Elle transmet à Bourgeois des pièces à communiquer au notaire Gustave Eliat.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au maire de Guise, 10 mai 1865
Godin effectue une réclamation auprès du maire de Guise sur le montant des droits d'octroi appliqués à de la chaux vive qui lui sert de chaux à bâtir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 28 avril 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin indique à Lecoq de Boibaudran que son capital s'est accru de 250 000 à 300 000 F depuis la demande en séparation et qu'il n'a pas, depuis la demande, dépensé en construction une somme égale au montant des bénéfices. Il presse Lecoq de Boisbaudran de venir à Guise. Il lui demande le montant de la provision à lui verser. Il lui communique l'état de son capital et lui indique qu'il doit absolument entreprendre pour 100 à 150 000 F de constructions nouvelles dans l'usine et au Familistère. Le folio 475v présente un état détaillé du capital au 20 novembre 1863 et au 31 janvier 1865.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 28 avril 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin informe Favre qu'Oudin-Leclère lui a annoncé qu'Hébert, avocat d'Esther Lemaire, pourrait plaider à l'audience du jeudi 4 mai à Vervins. Il indique que l'on s'apprête aussi à nommer le notaire liquidateur le 3 mai devant la cour d'Amiens. Il sollicite le concours de Favre et lui demande de lui indiquer la provision à lui verser ou à verser à Lecoq de Boisbaudran. Il signale qu'il vient de recevoir une lettre de Lecoq de Boisbaudran et il précise son capital s'est accru de 250 à 300 000 F depuis la demande en séparation et qu'ainsi son intérêt est que l'évaluation des biens de la communauté se fasse à partir du jour de la demande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 19 avril 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin souhaiter bénéficier de l'assistance de Favre dans le « naufrage » d'une « liquidation industrielle comme il ne s'en est jamais faite ». Godin confirme qu'il ne fait pas espérer un arrangement avec Esther Lemaire. Il demande à Favre de l'aider à choisir quelqu'un qui se chargerait de l'affaire. Il pose une série de questions à Favre sur la liquidation de la communauté de biens : l'augmentation de la valeur des immeubles depuis la demande de séparation, la valeur des marchandises en magasin, la nomination d'experts pour l'évaluation des biens, la valeur du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 5 mars 1865
Jean-Baptiste André Godin regrette de devoir à nouveau s'absenter au moment où le tarif de la manufacture doit être imprimé. Il prie Vigerie de rentrer rapidement de Laeken. Il lui envoie la somme de 500 F qu'il a demandée. Il est question d'un Victor et d'un Baptiste, qui pourrait être renvoyé.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 2 mars 1865
Émile Godin informe son père qu'il va lui expédier à Paris une lettre de monsieur Vigerie contenant un travail qui lui avait été demandé avant son départ pour Paris. Il lui signale qu'il pleut de façon continue à Guise et que l'Oise commence à sortir de son lit. Il l'informe enfin qu'il a demandé à monsieur Cornil de livrer de la fonte à Bohain-en-Vermandois car il est sans nouvelles des bateaux. Dans le post-scriptum, il signale le passage de la lettre de Vigerie sur le besoin d'argent de celui-ci.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à monsieur Joudrain, 1er mars 1865
Sur la fondation d'une maison de vente des marchandises Godin-Lemaire à Paris. Émile Godin répond pour son père, parti à Paris, à la lettre que Joudrain a écrite à Jacquet le 22 février 1865. Émile Godin établit les conditions administratives et financières de la fondation et du fonctionnement d'une maison de vente dirigée par Joudrain aidé par sa femme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 7 février 1865
Godin est sans nouvelle de Cantagrel pour le paiement d'une annuité d'un brevet avant le 9 février 1865. Il voudrait, en cas d'impossibilité de sa part, que madame Cantagrel aille demander à monsieur de Fontaine-Moreau de faire le nécessaire. Godin annonce à Cantagrel qu'il a reçu une lettre de Charles Sauvestre, qui souhaite visiter le Familistère pour faire un article dans L'Opinion nationale et qu'il lui a fait part du projet de pèlerinage organisé par lui, même en sachant que de petites dissidences existent entre Cantagrel et Sauvestre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 4 février 1865
Godin demande à Cantagrel de payer les annuités de ses brevets pour 1865.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Barthélemy Godin, 3 février 1865
Sur la liquidation de la fonderie de Barthélemy Godin. Godin communique à son frère le tarif des voituriers de Guise. Il l'informe que, souffrant, il n'a pu s'occuper du traité à faire entre eux pour le rachat de marchandises, de matières premières et de l'outillage de la fonderie de Barthélémy. Godin accepte le prix fixé pour l'outillage, même s'il n'en retirera que le tiers. Il se demande comment Barthélémy, en travaillant pour la manufacture de Guise, pourra compenser la différence. Il lui demande d'inclure dans le prix de cession de 27 000 F son cheval, son cabriolet et une autre voiture.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Armengaud, 8 avril 1864
Jean-Baptiste André Godin envoie à Armengaud 140 francs pour solde de la levée officielle de brevets. Il espère obtenir d'Armengaud une étude soignée sur les fondants et les couleurs dans les brevets consacrés aux arts céramiques, dont le brevet Brianchon. Godin explique à Armengaud qu'il doit déposer plusieurs brevets en France et un en Angleterre, et il l'interroge sur la différence de prix qu'il demande pour en faire le dépôt en faisant ou non les dessins.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Millart, 22 janvier 1864
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Godin demande à Millart la confirmation que l'audience de l'affaire aura lieu le 8 février 1863, date qui peut finalement lui convenir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 21 décembre 1863
Cantagrel demande les documents utiles à établir l'inventaire des produits Godin-Lemaire qui subsisteront en fin d'année dans les maisons qu'il doit visiter. Godin lui demande ne pas presser l'opération qui devrait avoir lieu seulement lorsque sera édité le tarif de 1864.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 22 mai 1863
Sur le paiement de dommages et d'intérêts et d'une indemnité à Lagasse, et d'honoraires à Larue.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à messieurs Berghmans et François Van Leedal, 16 mai 1863
Godin informe ses correspondants que plusieurs bandes de maçons, environ 40 ouvriers, travaillent aux constructions depuis un mois et qu'il les paient : pour les façades à 0,20 F l'heure, soit 2,40 F les 12 heures, plus 2,25 F par mètre cube de maçonnerie ; pour les murs intérieurs à 2,75 le mètre cube. Il leur demande de venir à 7 ou 8 bons maçons parlant français.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Vandenbempt, 21 mai 1863
Godin explique à Danniaux qu'il emploie 30 à 40 maçons, qu'il paie 0,20 F l'heure et 2,25 F le mètre cube de maçonnerie et qui gagnent ainsi plus de 4 F par jour. Il fait valoir que les deux bandes d'ouvriers belges sont contentes et écrivent en Belgique pour faire venir des camarades. Il demande à Vandenbempt de venir avec de bons ouvriers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Danniaux, 21 mai 1863
Godin explique à Danniaux qu'il emploie déjà deux bandes de maçons belges à la maçonnerie, soit 40 maçons, qu'il paie 0,20 F l'heure et 2,25 F le mètre cube de maçonnerie. Il demande à Danniaux de venir avec de bons ouvriers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Pierre Barras, 20 mai 1863
Godin remercie Barras, qui ne peut venir, de sa réponse. Il lui explique qu'il emploie déjà deux bandes de maçons belges à la maçonnerie extérieure mais qu'il peut occuper davantage de bons ouvriers. Il indique qu'il paie 0,20 F l'heure et 2,25 F le mètre cube de maçonnerie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Allez frères, 4 mai 1863
Godin confirme à Allez frères qu'il ne peut accorder une remise sur des marchandises déjà vendues. Il leur explique qu'il l'a fait une fois dans le passé à ses dépens puisque la maison Allez a alors ouvert plus largement ses magasins aux produits concurrents, et qu'il pourrait examiner leur demande uniquement s'ils s'occupaient spécialement de la vente des produits Godin-Lemaire. Il les informe que son chiffre d'affaires avec Allez frères est passé de 124 932 F en 1860 à 146 184 F en 1861 et à 89 665 F en 1862. Godin conclut en leur indiquant qu'il ne peut leur offrir de meilleures conditions de vente si le chiffre de leurs affaires diminue et il leur demande s'ils viendront à Guise dans l'année, lui ne se rendant plus à Paris.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à monsieur Léonard, 1er mai 1863
Godin précise à Léonard qu'il veut confier les murs extérieurs aux bons ouvriers et que les murs intérieurs sont payés aux pièces uniquement au prix de 2,25 F le mètre cube et que ces derniers peuvent être faits par les bons ouvriers ou par les tous les maçons du pays.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Compagnie du chemin de fer du Nord, 17 avril 1863
À propos d'une avarie subie par 5 cuisinières dans un transport par la Compagnie du chemin de fer du Nord et le montant de la réparation des marchandises.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Marbais, 11 avril 1863
Émile Godin informe François Marbais qu'il pourra venir à Guise dans douze jours. Il lui fixe les conditions de rémunération du travail de maçonnerie : 0,20 F par heure et 2 F le mètre cube pour les murs des façades antérieures ; paiement uniquement du prix de l'heure en cas d'obligation de démolir pour malfaçon ; les murs intérieurs payés entièrement aux pièces à 2,75 F le mètre cube.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Darras, 3 avril 1863
Godin fait observer à Darras que le compte qu'il a arrêté lors de sa venue à Guise n'est pas conforme à leur accord de mettre sa rémunération sur le même pied que celle des autres voyageurs, soit 3 % de commission sur les ventes de moins de 500 F et 1 % sur le surplus au-delà de cette somme, et 10 centimes par kilomètre sur les itinéraires fixés par lui. Il rectifie le compte de Darras qui s'élève à 3 380,90 F. Il lui fait des recommandations sur ses relations avec la clientèle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Affre, 3 avril 1863
Godin répond à la lettre d'André Affre du 2 avril 1863. Il lui explique qu'il ne peut accorder 10 % de commission à ses voyageurs et qu'il faut abandonner le projet de représentation de la maison Godin-Lemaire malgré sa connaissance des fourneaux en tant qu'industriel. Il précise qu'il prend en charge les frais des voyageurs en titre qui travaillent exclusivement pour lui et qu'il accorde à ceux-ci 4 % du montant des ventes dans les contrées les moins favorables, tandis qu'il accorde au plus 2 % aux voyageurs à la commission.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Allez frères, 2 avril 1863
Godin répond à Allez frères qui signalent qu'ils subissent une perte sur les marchandises qui leur restent en magasin et souhaitent obtenir une remise sur ces marchandises, qu'il ne peut baisser davantage ses prix. Il suggère à Allez frères de profiter des conditions actuelles pour lui faire une commande de 100 000 F. Il annonce à Allez frères les envois qu'ils demandent.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie, 25 mars 1862
Godin répond à la lettre de Bailey et Cie l'informant du prix de leur fonte à 4 100 livres la tonne franco à bord à Newport en leur demandant d'affréter un bateau pour Calais chargé de bonne fonte de moulage n° 1.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Daire, Gournay et Cie, 25 mars 1863
Godin informe son correspondant qu'il a reçu ses trois lingots de fonte Solenzara et qu'il va en faire l'essai. Dans l'attente des 700 kg annoncés, il demande le prix de la fonte, et leur rappelle qu'il leur a exprimé son souhait lors de leur visite d'être mis en relation directement avec le producteur de la fonte pour négocier les prix.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henri Leborne, 18 mars 1862
Godin demande à Leborne de lui communiquer les prix les plus élevés auxquels ont été vendus depuis 10 ans les charbons gras.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henri Dupont, 9 mars 1863
Godin informe Henri Dupont qu'il pourrait admettre des pièces de bois de section supérieure à celle demandée mais qu'il n'est pas possible d'en modifier la longueur. Il lui demande le prix du fret et lui suggère d'attendre une occasion favorable pour l'expédition. Il lui demande en outre de pallier une erreur de livraison de l'année dernière de bois de mauvaise longueur en lui fournissant des pièces de 12,50 m de longueur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henri Dupont, 6 mars 1863
Au sujet d'une commande de bois. Godin explique à Henri Dupont qu'il a tardé à répondre à sa lettre du 19 février 1863 en raison du prix élevé qu'il demande et parce qu'Émile Godin a pu conster que ses bois étaient secs alors qu'il préfère du bois neuf. Godin indique à Dupont le prix qu'il consentirait à payer pour des madriers en sapin rouge du nord de second choix et des bastings.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur-gérant des Forges et fonderies de Montataire, février 1863
Gauguin de Saint-Vigor a écrit le 3 février 1863 à Godin qu'il ne dispose que de fonte de qualité n° 2. Godin lui demande toutefois de lui communiquer ses conditions de livraison s'il pense que cette fonte est douce à la lime sur toutes ses arêtes et est susceptible de résister au refroidissement après moulage

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Trystram et Crujeot, 7 février 1863
Godin accepte le bois de Gothembourg et de Frederickstadt de seconde qualité que Trystram et Crujeot proposent de lui fournir. Il accepte également de modifier la taille des pièces de bois pour faciliter l'approvisionnement, et leur demande de lui communiquer les prix correspondants avant le 1er mars 1863.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Trystram et Crujeot, 2 février 1863
Godin confirme à Trystram et Crujeot que sa lettre du 4 décembre 1862 lui fournit le détail des pièces de bois qu'il souhaite obtenir, lui indique qu'il n'a pas besoin de bois de premier choix et demande de compléter sa demande par du sapin rouge du nord.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et Cie, 31 janvier 1863
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. À propos d'une livraison de fonte par bateau. Godin se plaint du mauvais vouloir du batelier Grave qui, une fois remise sa lettre de voiture, a refusé de décharger à 500 mètres du quai habituel sans contrepartie financière. Godin explique à Cambier et Cie qu'il a dû lui faire sommation par huissier. Godin recommande à Cambier et Cie d'indiquer désormais le rivage de Longchamps sur la lettre de voiture des bateliers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Augustin Fortuné Gauguin de Saint-Vigor, directeur-gérant des Forges et fonderies de Montataire, 29 janvier 1863
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures "Godin". À la suite de la visite d'Émile Godin aux hauts-fourneaux des Forges et fonderies de Montataire à Outreau et à l'invitation faite par monsieur Accarain d'écrire à monsieur Gauguin de Saint-Vigor, Godin demande à ce dernier s'il produit de la fonte noire à grain de moulage n° 1 en quantité suffisante pour contracter un marché de quelque importance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Vincent-Lévêque, 29 décembre 1862
Godin commande 10 mètres cubes de bois d'orme à 85 F le mètre cube.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Deruelle, 13 décembre 1862
Godin informe Duruelle que les creusets spéciaux qu'il a expédiés se dégradent trop rapidement et il demande à être dédommagé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henri Dupont, 19 novembre 1862
Godin demande à Dupont à quel prix il peut lui fournir les pièces de bois dont il donne la liste.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Parmentier, 14 novembre 1862
Sur la route n° 55 de Jonqueuse à Étreux. Godin accepte volontiers le choix de Parmentier en tant qu'expert désigné d'office et lui communique ses observations. Godin fait transporter des marchandises sur un tronçon de la ligne n° 55 ; il a contracté un bail annuel de 250 F avec Brunel pour la location d'un port placé sur le chemin, où les déchargements sont plus économiques qu'au port de Longchamps ; l'administration prétend qu'il a fait des dégâts considérables au chemin en 1861 et 1862 alors que les seuls travaux d'entretien ont été faits par lui ; il renonce depuis à emprunter le chemin et fait décharger ses bateaux au port de Longchamps, aussi la question ne porte que sur le passé ; Godin conteste qu'il ait dégradé la route qui n'est achevée que pour la moitié du trajet ; il a proposé néanmoins une indemnité à l'administration de 200 F correspondant au déchargement de 20 bateaux par an à Longchamps chez Macaigne au prix de 10 F par bateau, indemnité que l'administration juge insuffisante malgré l'inachèvement de la route. Godin communique à Parmentier un état annuel de ses transports en précisant que 2 198 tonnes transitent par le chemin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C. H. Furcy, 29 octobre 1862
Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin adresse 100 F à Furcy et fait des observations sur le rendu comparé de la perspective de petits objets sur les photographies et sur les gravures.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C. H. Furcy, 24 octobre 1862
Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin fait des observations sur les épreuves des gravures qu'il a reçues. Il demande à Furcy que les artistes qui travaillent pour lui conservent la perspective de la partie supérieure des cuisinières mais qu'ils redressent celle de leur partie inférieure selon le dessin d'un parallélépipède qui figure sous la signature.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C. H. Furcy, 20 octobre 1862
Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin envoie à Furcy des lithographies et photographies d'appareils et fait des observations sur les épreuves des gravures qu'il a reçues.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Th. Boucher, 20 octobre 1862
Godin demande à Boucher s'il fabrique des briques propres à établir des foyers au-dessous des moufles pour l'émaillage de la fonte. Il lui demande également à quel prix il lui procurerait de la terre réfractaire préparée mais non cuite et commande des briques qu'il décrit, à expédier en gare de Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C. H. Furcy, 18 octobre 1862
Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin confirme à Furcy qu'il entend rémunérer convenablement son travail. Il lui demande en échange de soigner les gravures et d'y apporter davantage d'uniformité dans l'exécution. Il remarque que certains dessins redressent les perspectives des photographies et qu'il y a en conséquence des différences de taille des dessins : « Tous ces dessins doivent être sur un grand tableau en regard les uns des autres. Je crains un contraste fâcheux de ces différences qui m'obligent à vous faire recommencer je crois plusieurs gravures, ce qui en définitive me fera coûter le travail cher. » Il enjoint Furcy à représenter les objets comme ils paraissent sur les photographies, à uniformiser les teintes des photographies, d'alléger le dessin des cercles et tampons du dessus des cuisinières. Il fait des observations sur certaines gravures.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C. H. Furcy, 14 octobre 1862
Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin discute le prix des gravures en bois et des clichés en cuivre et presse Furcy d'avancer le travail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C. H. Furcy, 5 octobre 1862
Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dussailly, 9 septembre 1862
Godin adresse à Dussailly une partie de la souscription pour 1861, 1862 et 1863 relative au transport sur le chemin [de Guise à Vadencourt] et souhaite savoir si l'administration acceptera l'offre de Godin.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie, 31 juillet 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin informe Bailey Brothers et Cie que la fonte de leur dernier envoi ne paraît pas de bonne qualité et leur demande de suspendre tout nouvel envoi. Règlement d'une facture de 9 493 F de Bailey Brothers et Cie par l'intermédiaire d'Allez frères au 2, quai de Gèvres à Paris.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lacarole, 1er juillet 1862
Godin fait à Lacarole une série d'observations sur le paiement de ses services de représentation de la maison Godin-Lemaire à l'Exposition universelle de Londres.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2