FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (5) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Julienne, Adnet et alii, 16 mai 1856
Godin accuse réception des courriers écrits par ses correspondants à A. Dupont en réponse à l'offre d'emploi d'agent comptable et commercial parue dans les journaux, et leur propose d'examiner prochainement leur candidature avec eux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Pombla frères, Gorgon et Cie, Maze, Voisine et Touchard, Larpent, Aquar, Bazaille, Dezelu, 16 octobre 1861
Godin demande des renseignements sur un candidat à l'emploi de directeur de fonderie de l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, employé auparavant sous les ordres de son correspondant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Thuillot, Clerin, Poupron, Jaudin, Périé, Lefort, Jérôme, Beck, Breton, Coincart, Lecareux, 18 février 1863
Lettre modèle de réponse aux lettres que les candidats à l'emploi d'économe du Familistère ont envoyées à monsieur Chapus. Godin décrit la fonction d'économe qui sera désormais secondé d'un comptable. Le texte de la lettre, qui n'est pas signée, est suivi d'une liste de noms et d'adresses de destinataires.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Boullet, 24 mai 1862
Godin répond à une lettre de Boullet du 18 mai 1862 en lui indiquant qu'il n'a besoin pour son usine de Laeken que de personnes attachées à la direction industrielle et qu'il n'a pas d'emploi vacant dans son usine de France.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Boullet, 30 novembre 1861
Godin répond à la lettre du 24 novembre de Boullet, candidat à l'emploi d'économe du Familistère, qu'il prend en considération sa candidature, mais qu'il ne veut pas offrir davantage que 2 000 F par an dans le souci de conserver une proportion entre les rémunérations.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Chapel, 16 octobre 1861
Godin invite A. Chapel à venir à Guise faire un essai s'il est sans emploi, mais de lui envoyer les renseignements nécessaires à juger de ses capacités s'il occupe un emploi. Il lui demande d'indiquer quel serait le montant des appointements qu'il pense devoir obtenir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Charles, 11 décembre 1857
Godin expose à A. Charles qu'en 1855, madame Charles lui écrivait, à la suite d'une offre d'emploi publiée dans les journaux, pour lui proposer son beau-frère qui habitait en Belgique, mais qu'il ne donna pas suite. Il souhaite reprendre contact avec la personne, car ses établissements se développent et que des besoins nouveaux se font sentir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Coullay, 7 août 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin juge que les appointements auxquels prétend Coullay sont trop élevés au regard des autres candidatures, bien qu'ils soient justifiés par la position qu'il occupe actuellement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. de France, 26 mai 1856
Godin informe A. de France, qui séjourne à Caen, qu'il ne pourra se rendre à Paris que le 2 juin 1856 et qu'il pourrait alors le rencontrer à l'hôtel Voltaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Duchange fils, 30 mai 1862
Godin répond à une candidature faisant suite à l'offre d'emploi publiée dans les journaux par Laffitte, Bullier et Cie. Il précise que l'usine de Belgique est celle de Laeken et qu'en France, l'emploi est relatif au travail des machines. Il demande à Duchange des renseignements sur ses aptitudes en comptabilité ou en mécanique, sur sa situation familiale et sur sa capacité de faire un cautionnement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Langevin, 11 octobre 1861
Godin explique à A. Langevin que son expérience professionnelle ne paraît pas en rapport avec la direction manufacturière de fonderies.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Albert Gauttard, 1er décembre 1862
Godin répond à la lettre d'Albert Gauttard, candidat à l'emploi de sculpteur dans l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il l'informe que l'usine se trouve à 7 lieues de Saint-Quentin et du chemin de fer du Nord et qu'il n'a pas l'habitude de contracter des engagements avec ses employés. Il lui demande des références. Il lui explique qu'un atelier de sculpture existe depuis longtemps dans l'usine où le travail dure 11 à 12 heures par jour comme dans les autres ateliers, mais que des besoins nouveaux l'engagent à faire appel à un artiste. Il ajoute qu'il a besoin d'un artiste pour tirer parti du nouveau procédé d'émaillage de la fonte à l'imitation du marbre ou de la porcelaine : « C'est d'ailleurs moins dans la sculpture des objets que dans l'harmonie des lignes que je trouverai du mérite, car entrant dans la voie de l'imitation du marbre, le genre des objets devra être sévère et sobre d'ornements. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Amédée Moret, février 1863
Godin répond à la lettre d'Amédée Moret du 4 février 1863 en adressant sa lettre à Crécy. Il lui explique qu'il n'a pas besoin d'augmenter le personnel d'employés de l'usine de Guise, mais il consent à le laisser venir à Guise pour l'employer à nouveau, à condition qu'il accomplisse un travail sérieux sous la direction d'un employé chef qui aura consigne de ne pas le laisser dormir : « Venez donc si vous vous sentez décidé à vous consacrer au travail et à abandonner vos rêves de jeune homme. » Dans le post-scriptum, il transmet ses amitiés à tous les parents.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Mercier, 2 octobre 1861
Godin informe A. Mercier que l'emploi bientôt vacant dans la direction du travail des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, aux appointements de 200 F, comprend la direction de la fusion et du mélange des fontes et le soin de la bonne exécution de toutes les pièces, ainsi que la distribution du travail pour mettre en rapport la fabrication avec le mouvement de la vente selon les indications des bureaux et du magasin, et enfin la direction du personnel de la fonderie. Il précise que la fonction requiert une présence à l'atelier en même temps que les ouvriers et les contremaîtres. Godin demande à Mercier ses références.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Mercier, 11 octobre 1861
Godin informe Mercier qu'il a obtenu des renseignements favorables à son égard, mais qu'il souhaite avoir communication des adresses des établissements où il a exercé. Il précise que les appointements de la personne occupant actuellement le poste sont de 200 F, que chacun se loge comme il lui convient à l'usine ou en ville. Il lui demande de lui indiquer le montant des appointements qu'il souhaite obtenir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Antony-Blanc, 19 décembre 1860
Godin répond à une lettre d'Antony-Blanc du 15 décembre 1860 relative au prix d'une cuisinière et à un emploi de comptable dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin indique à Blanc qu'il la vend 155 F à Guise, mais qu'il peut l'obtenir à un prix raisonnable à Saint-Quentin. Il ajoute qu'il est nécessaire de lui communiquer des renseignements sur son expérience et ses aptitudes en comptabilité pour pouvoir prétendre à un emploi dans la manufacture.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 8 juin 1862
Godin annonce à Vigerie qu'il n'a pu lui répondre avant son départ de Paris. Il lui demande de ne pas perdre son temps à acheter des fournitures pour le Familistère – brosses, éponges, balais de crin et caoutchouc pour lier le papier monnaie – qu'il est possible d'acheter auprès des fournisseurs de l'usine. Il lui remet un plan de cartonnier à faire réaliser chez les Ébénistes associés et lui demande de s'occuper du mobilier de l'asile du Familistère. Il l'informe que madame Piétremont lui a écrit qu'elle ne pourrait pas venir avant un mois et il juge que ce retard nuit à l'éducation des enfants. Il lui demande de s'entretenir avec elle de la manière de meubler l'asile et lui rappelle que des porte-tableaux ont déjà été fabriqués à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 26 juillet 1861
Godin répond à une lettre de Vigerie. Il l'informe que le choix du candidat à l'emploi de comptable n'est pas encore arrêté, mais qu'il a pris sa candidature au sérieux et qu'il lui demandera probablement de s'entretenir avec lui à Paris prochainement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Baffalin, 10 mai 1861
Godon demande à Baffalin, candidat à un emploi dans les Fonderies et manufactures de Guise, des renseignements sur sa situation personnelle et professionnelle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 9 novembre 1862
Godin répond à la lettre de Barbet du 5 novembre 1862, qui présente sa candidature à l'emploi de sculpteur des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin lui rappelle qu'ils se connaissent du temps où il cherchait les moyens d'appliquer des émaux à la fonte de fer. Il lui explique qu'il a réussi depuis, que ses produits sont visibles chez Allez frères, et qu'il veut créer des modèles spéciaux. Il demande à Barbet quelles seraient les conditions de son entrée à l'usine. Il précise qu'il existe à l'usine de Guise un atelier de sculpteur. Dans le post-scriptum, Godin demande à Barbet s'il est marié et s'il a une famille .

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 13 novembre 1862
Godin répond à la lettre de Barbet du 11 novembre, qui lui propose d'exécuter pour lui des travaux, mais sans s'attacher à l'usine de Guise. Godin lui explique qu'il a besoin d'un sculpteur en permanence pour diriger les travaux, en remplacement du sculpteur actuel qui souhaite quitter l'usine, aussi il ne pourra examiner sa proposition qu'après avoir recruté un sculpteur à l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 20 mars 1863
Godin demande à Barbet, qui a renoncé à s'installer à Guise, s'il ne peut venir temporairement travailler dans l'atelier de sculpture, car son chef d'atelier va bientôt partir. IL lui propose de venir de temps à autre et de confier le suivi des travaux à l'usine à un sculpteur de son choix.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Baresvit, 23 septembre 1861
Godin écrit à l'un des experts d'un procès en contrefaçon, dont le rapport lui a donné raison en tous points. Il lui explique que le tribunal d'appel n'a pas tenu compte du rapport d'expertise ni de plusieurs autres affaires déjà jugées en sa faveur depuis 20 ans, qu'il a en conséquence laissé tomber d'autres brevets dans le domaine public, et qu'il a renoncé alors à faire breveter ses inventions, ce qui n'a pas empêché ses manufactures d'occuper 900 ouvriers. Il poursuit en indiquant que la concurrence est la cause de désorganisation dans ses ateliers, car les contrefacteurs viennent embaucher les ouvriers formés dans sa manufacture. Godin a désormais l'intention de faire breveter une industrie nouvelle, celle de l'application à la fonte d'émaux à l'imitation du marbre et de l'application de couleurs à reflets chatoyants d'or et d'argent, mais il sait que son brevet sera contesté. Il demande à son correspondant s'il est possible de placer un brevet sous le patronage de l'opinion des corps savants et s'il veut bien se charger de cela.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barret, 8 juillet 1861
Godin explique à Barret qu'il est forcé de retardé soin voyage à Paris pour arrêter le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il indique à Barret qu'un obstacle s'oppose au choix de sa candidature : Barret veut des conventions écrites alors que Godin considère que la meilleure garantie de durée d'un emploi est la satisfaction réciproque de l'employé et du chef d'établissement. Il lui explique que le candidat doit fixer lui-même le montant des émoluments auxquels il prétend. Il lui demande comment il conçoit son installation à Guise et ce que pourrait être son action sur l'organisation du contrôle et de la comptabilité des manutentions de la vaste cité ouvrière qu'il a érigée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Beaugeois, 10 janvier 1861
Godin demande des renseignements sur le caractère de C. Delachevardière, employé en 1849 de son ancienne maison de commerce, résidant à Neuilly-sur-Seine, candidat à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, qui doit être chef de comptabilité d'une maison à Paris. Godin assure son correspondant de sa discrétion.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Beaugeois, 12 janvier 1861
Godin donne suite à l'offre de concours de Beaugeois concernant C. Delachevardière, son ancien employé et candidat à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il l'informe que ce dernier habite au 12 rue de la Révolte à Neuilly-sur-Seine et qu'il est chef de comptabilité dans la maison d'un facteur commissionnaire aux halles et marchés d'approvisionnement de Paris. Il fait part à Beaugeois que Delachevardière lui est présenté comme fort capable en comptabilité, mais qu'une certaine obscurité subsiste sur son passé, son caractère et sa manière d'être. Dans le post-scriptum, Godin ajoute que Delachevardière lui a écrit qu'il aurait travaillé 4 ans dans sa maison de commerce.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bevenot, 9 septembre 1859
Sur la résiliation du bail de location de la maison de la belle-mère de Godin au Petit-Fayt. À la demande de sa belle-mère, Godin demande à Bevenot s'il consent à résilier amiablement le bail qu'avait contracté son fils défunt. Godin explique que sa belle-mère veut récupérer sa propriété qui n'est plus exploitée et qu'elle est fondée en cela à saisir la justice.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bonnevent, 8 juillet 1861
Godin explique à Barret qu'il est forcé de retardé soin voyage à Paris pour arrêter le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin lui fait observer que ses émoluments actuels de 6 000 F sont ceux d'un employé ayant fait ses preuves dans une maison et qu'il faudrait qu'il ait une capacité avérée pour lui consentir au début un tel montant. Godin estime que 4 000 F lui permettraient d'attirer le bon candidat. Il précise que l'employé choisi devra habiter Guise et s'occuper surtout au début de l'organisation du contrôle et de la comptabilité des manutentions de la cité ouvrière qu'il a érigée. Il lui demande comment il conçoit son installation à Guise et ce que pourrait être son action sur l'organisation de la cité ouvrière.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bonnevent, 13 juillet 1861
Godin informe Bonnevent qu'il va recevoir une invitation de Pernet-Vallier, 29 rue de Trévise, à un rendez-vous pour un entretien relatif à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sous la signature de la lettre se trouve la mention : « Il est écrit dans le même sens à tous les candidats désignés dans la lettre précédente [de Godin à Pernet-Vallier du 13 juillet 1861].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bonnevent, 28 juillet 1861
Godin répond à une lettre de Bonnevent, qui le presse de faire le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures du Familistère. Godin est irrité par la lettre de Bonnevent : « Les suppositions que contient votre lettre sont tout à fait gratuites et si je puis considérer qu'il y ait lieu d'abandonner nos pourparlers, cela ne se fonde que sur votre lettre d'hier. ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bouleau, 17 juin 1856
Sur le travail de Bouleau. Godin a espéré que Bouleau remplirait parfaitement la fonction de direction administrative des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, mais il a dû constater une insuffisance d'organisation dans les bureaux. Godin souhaite apporter des améliorations au fonctionnement de l'usine grâce au recrutement prochain d'un employé supérieur dans le travail des bureaux et des relations commerciales. Godin demande à Bouleau de lui fournir une réponse sur ses intentions à cet égard. Godin indique à Bouleau qu'il ne souhaite pas que celui-ci quitte la maison Godin-Lemaire, mais qu'il veut organiser rationnellement son usine et rémunérer les fonctions en fonction des services rendus. Il propose à Bouleau de lui maintenir ses appointements de 150 F par mois, mais de moduler son boni en fonction de son engagement dans la réorganisation du travail des bureaux dont la direction reviendra à une autre personne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bouleau, 23 avril 1861
Godin indique à Bouleau qu'il a été surpris par la lettre de ce dernier du 18 avril 1861. Il consent à lui offrir l'emploi de surveillant de fonderie dans sa manufacture et précise que ses appointements seraient de 125 F par mois.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bouleau, 27 juin 1856
Sur la démission de Bouleau de son emploi aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin accepte la démission de monsieur Bouleau, qui avait cessé son travail à la comptabilité depuis près d'un mois pour raison de santé. Il établit le solde du compte de Bouleau. Le post-scriptum porte sur la question du loyer et de la récolte du jardin cultivé par monsieur Bouleau.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bouleau, 28 juin 1856
Godin ironise sur la demande faite par Bouleau qu'on vienne lui verser le solde de son compte dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : « Vous trouverez sans doute qu'après avoir été mon comptable, je doive être votre serviteur [...] ». Godin feint de penser que Bouleau devrait lui envoyer un huissier, et il lui demande quelle est la raison de ce brusque changement d'attitude.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Briquet, 2 octobre 1861
Godin informe Briquet qu'aucun emploi n'est disponible dans la manufacture.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 2 novembre 1861
Godin informe Brochot que sa rémunération s'élèvera à 150 F par mois, plus 8 F pour contribution au loyer de son logement, qu'il accepte qu'il vienne à Guise avant tout engagement définitif, qu'il lui verserait 50 F s'il ne l'embauchait pas et 30 F pour son voyage s'il était embauché.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 4 octobre 1861
Godin demande à son correspondant s'il a des aptitudes à la direction d'un personnel ouvrier important, s'il a des connaissances en fonderie de seconde fusion et s'il est capable d'exerce la surveillance du travail dans des ateliers de fabrication. Il précise qu'un caractère facile est une condition nécessaire à la direction des ouvriers. Il lui demande le montant des appointements qu'il prétend obtenir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 14 octobre 1861
Godin demande à Brochot ses références professionnelles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 20 octobre 1861
Godin informe Brochot que son usine ne fournit le logement à ses employés que moyennant un loyer et qu'ils ont la liberté de se loger en ville. Il lui demande de confirmer qu'il prétend à 1 800 F d'appointements, la rémunération étant un élément de choix du candidat. Il l'avertit qu'il pourrait lui confier l'emploi de responsable des magasins et de chef des expéditions des produits plutôt que celui de directeur de la fonderie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 28 octobre 1861
Godin précise à Brochot ce que seraient ses fonctions s'il décidait de venir à Guise. Il l'informe qu'il ne l'emploierait pas à la direction de la fonderie, mais qu'il aurait soin de l'emballage des produits, de leur mise en magasin et de leur expédition. Il lui laisse entendre qu'il pourrait ensuite devenir chef des expéditions aux appointements de 1 200 F. Il lui suggère de visiter l'usine avant de s'installer définitivement à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Burin, 11 juin 1862
Godin informe Burin que sa candidature à un emploi dans l'usine de Guise n'a pas été retenue et que la direction de l'usine de Laeken n'est pas dans ses aptitudes. Il lui retourne ses certificats.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Cappelié, 5 juillet 1863
Godin exprime à Cappelié sa surprise de recevoir sa lettre de du 19 juin, car il pensait qu'il n'avait pas conservé le souvenir de son séjour à Guise pour exécuter les dessins d'architecture du Familistère. Il explique à Cappelié qu'il construit actuellement le nouveau Familistère, où sont introduites des modifications dans les détails d'architecture qu'il avait arrêtés sur l'élévation dessinée par Cappelié, que la vue perspective qu'il avait faite ne peut plus lui servir, et qu'il ne veut pas faire refaire le travail avec les mêmes défauts. Il lui indique qu'il doit attendre la fin des travaux pour faire faire une bonne photographie des différentes parties de l'édifice pouvant servir à une vue d'ensemble dont il pourra lui confier l'exécution.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Carbonnier, 26 juillet 1861
Godin répond à une lettre de Carbonnier. Il l'informe que le choix du candidat à l'emploi de comptable n'est pas encore arrêté, mais il l'engage à ne pas sacrifier ses intérêts, car des candidats lui semblent avoir des chances sérieuses d'être acceptés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Carlotti, 6 avril 1858
Godin rappelle qu'à l'occasion de sa visite récente à Guise, Carlotti lui avait offert la Clef de la vie et lui avait exprimé le désir d'être prévenu de son prochain voyage de Godin à Paris. Godin se prépare à aller à Paris et demande à Carlotti quel jour il pourra le voir.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Carlotti, 9 avril 1858
Godin annonce à Carlotti qu'il prendra le train express qui arrivera à Paris le lendemain à deux heures de l'après-midi, ou le train omnibus suivant. Il l'informe qu'il sera à l'hôtel Voltaire, quai Voltaire, le lendemain à partir de 4 heures et demie de l'après-midi et le dimanche suivant à 8 heures du matin.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Caron, 1er décembre 1862
Godin répond à la lettre de Caron, candidat à l'emploi de sculpteur dans l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui demande des références et il lui explique qu'un atelier de sculpture existe depuis longtemps dans l'usine où le travail dure 11 à 12 heures par jour comme dans les autres ateliers, mais que des besoins nouveaux l'engagent à faire appel à un artiste. Il ajoute qu'il a besoin d'un artiste pour tirer parti du nouveau procédé d'émaillage de la fonte à l'imitation du marbre ou de la porcelaine : « C'est d'ailleurs moins dans la sculpture des objets que dans la perfection des lignes et des moulures que je trouverai du mérite, car entrant dans la voie de l'imitation du marbre, le genre des objets devra être sévère et sobre d'ornements. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Caron, 4 octobre 1861
Godin informe monsieur Caron qu'il n'a pas d'emploi de comptable à lui offrir. Il lui demande de lui faire part de ses aptitudes, ses habitudes de travail et les appointements auxquels il prétend, dans le cas où une autre fonction lui conviendrait.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Charles Armengaud, 1er juin 1862
Godin envoie à Armengaud la somme de 150 F sur le Comptoir d'escompte de Paris pour remplir une formalité en Angleterre qu'il pensait être facultative.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Charles Armengaud, 8 juillet 1863
Godin demande à Armengaud s'il doit prendre un certificat d'addition ou un brevet d'addition au brevet que celui-ci a pris pour lui le 10 février 1862.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Charles Armengaud, 11 juillet 1863
Godin confirme à Armengaud que l'addition qu'il veut prendre se rattache à son brevet comme suite de la même expérience industrielle. Il lui rappelle qu'il a pris une patente en Angleterre et un brevet en Belgique pour le même objet et lui demande s'il doit faire quelque chose en Belgique où, depuis le traité de commerce, il trouve avantage à expédier les produits fabriqués en France, mais où il possède un four à émailler qui peut lui permettre de mettre en pratique le procédé visé par l'addition. Il joint à sa lettre la description à joindre à la demande du certificat d'addition, copiée à la suite de la lettre et intitulée « Demande d'un certificat d'addition au brevet de 15 ans que j'ai pris le 10 février 1862 pour l'application instantanée d'émaux de différentes couleurs sur une même pièce de fonte ».
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