Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin accuse réception de quatre épreuves de gravures exécutées par Furcy et souhaite lui confier d'autres dessins. Il lui demande de suspendre le travail à partir des clichés et il lui signale qu'il fera peut-être recommencer les quatre gravures en raison d'un changement à y faire. Il envoie un album de la maison Godin-Lemaire où se trouve une grande partie des dessins à reproduire, plus lisibles que les petites photographies. Godin souhaite que les cercles et les tampons des appareils soient reproduits. Il informe Furcy qu'il va indiquer sur le carton des photographies le numéro de la planche de l'album correspondante et il lui demande de veiller aux différences éventuelles entre les deux. Godin fait des observations sur le rendu des gravures et demande à Furcy combien de gravures il pourrait exécuter par semaine. Le post-scriptum donne la liste de dessins lithographiques d'appareils envoyés par la poste avec l'album.

Godin demande à Macaigne quelles conditions il lui ferait pour décharger des bateaux à son rivage.

Sur l'achat d'un matériel photographique propre à photographier les appareils de la manufacture Godin-Lemaire. Godin demande pourquoi les prix du matériel photographique indiqués par Arthur Chevalier sont différents de ceux indiqués par son tarif de 1862, et sollicite une remise de 10 % en raison des instruments qu'il a déjà achetés à la maison Chevalier. Godin demande si la chambre ordinaire permet de faire la réduction des objets au 5e ou au 6e de leurs dimensions, et s'il a la possibilité de lui retourner l'objectif de 35 mm pour prendre à sa place un objectif de 108 mm si le parallélisme des lignes n'est pas satisfaisant.

Godin adresse à Dussailly une partie de la souscription pour 1861, 1862 et 1863 relative au transport sur le chemin [de Guise à Vadencourt] et souhaite savoir si l'administration acceptera l'offre de Godin.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin renouvelle sa demande à Furcy, s'il doit lui envoyer les photographies sur carton ou sur papier simple, et combien de gravures il peut exécuter par semaine.

Godin informe le commissaire de police de Guise que Constant Huile, ouvrier chez le relieur Bertaud, a tenté d'acheter des marchandises dans le magasin d'étoffes du Familistère avec des bons de marchandises contrefaits pour une valeur de 21 F.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin accuse réception de quatre épreuves de gravures sur bois et fait des observations sur l'une d'elles, qui est réalisée d'après l'album de lithographies alors qu'il faut toujours travailler d'après les petites photographies et ne se servir de l'album que pour vérifier les ornements. Godin envoie à Furcy des lithographies ou des photographies. Le post-scriptum est relatif au redressement des lignes des appareils et au renversement des gravures pour présenter les appareils dans le même sens que les lithographies, avec la lumière venant de gauche à droite.

Sur l'ouverture de relations d'affaires avec Benham and sons. Godin rappelle à Benham and sons qu'à l'occasion d'un récent voyage à Londres, il leur a fait examiner les produits exposés à l'Exposition universelle pour apprécier les émaux dont il recouvre la fonte de fer. Godin explique qu'il a conscience que ses appareils ne sont pas appropriés aux habitudes anglaises, mais qu'il a conduit des artistes à Londres qui ont commencé l'exécution de modèles conformes au goût anglais sur lesquels il prévoit d'appliquer des émaux. Il leur demande s'ils consentent à recevoir des échantillons de ces produits et leur signale qu'il présente dans le palais de l'Exposition universelle des calorifères qui pourraient convenir au chauffage de magasins et lieux publics en Angleterre comme en France. Il les informe qu'il va se rendre à nouveau à Londres et qu'il recevrait leur réponse avec plaisir avant son départ.

Sur l'achat d'un matériel photographique propre à photographier les appareils de la manufacture Godin-Lemaire. Godin répond tardivement à la lettre du 10 septembre d'Arthur Chevalier en raison d'une absence. Godin passe commande : d'un objectif de 95 mm pour plaques de 30 x 24 cm avec son troisième verre, d'une chambre noire de 37 x 28 cm en noyer avec châssis pour plaques de 30 x 24 cm, d'un pied, d'un bassin en porcelaine et d'un bassin en gutta-percha. Godin précise qu'il choisit une chambre de format supérieur à l'ordinaire pour pouvoir changer d'objectif si nécessaire. Godin demande à Chevalier le moyen de rendre plus puissant un microscope qu'il lui a acheté il y a un certain temps pour la somme de 60 à 80 F

Godin explique à son correspondant que l'examen des cheminées de luxe exposées dans la section anglaise de l'Exposition universelle lui a démontré qu'il pourrait faire aussi bien et bien moins cher avec des émaux pouvant imiter le marbre et l'acier poli, qu'il a demandé à des artistes de créer des modèles propres à la vente en Angleterre, et qu'il recherche des maisons qui accepteraient des échantillons de ces produits ou voudraient exploiter sa patente.

Godin explique à son correspondant que l'examen des cheminées de luxe exposées dans la section anglaise de l'Exposition universelle lui a démontré qu'il pourrait faire aussi bien et bien moins cher avec des émaux pouvant imiter le marbre et l'acier poli, qu'il a demandé à des artistes de créer des modèles propres à la vente en Angleterre, et qu'il recherche des maisons qui accepteraient des échantillons de ces produits ou voudraient exploiter sa patente.

Sur le litige commercial opposant Godin à Pinart et Cie. Godin attend la réponse de Pinart et Cie à sa demande de transaction pour résoudre l'affaire.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin fait une série d'observations sur les gravures exécutées par Furcy. Il lui envoie de nouvelles lithographies et photographies. Godin explique à Furcy qu'il fait en ce moment l'apprentissage du moyen de représenter par la photographie des objets d'industrie et qu'il souhaite que l'album avec gravures sur bois en préparation soit d'aussi bonne qualité que l'album avec lithographies dont il a envoyé un exemplaire à Furcy.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin accuse réception de deux épreuves de gravures sur bois qui le satisfont, mais regrette qu'ils vont devoir voisiner avec des dessins dont les perspectives ont été redressées par rapport aux photographies, et il demande à Furcy de modifier les premières gravures pour rendre « un peu de fuyant » aux lignes des appareils. Il fait une série d'observations sur les gravures et envoie de nouvelles lithographies et photographies à Furcy.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin presse Furcy d'avancer le travail de gravures. Il lui envoie de nouvelles photographies et lithographies, et précise qu'en raison du temps sombre des derniers jours, les fonds sont un peu noirs.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin discute le prix des gravures en bois et des clichés en cuivre et presse Furcy d'avancer le travail.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin confirme à Furcy qu'il entend rémunérer convenablement son travail. Il lui demande en échange de soigner les gravures et d'y apporter davantage d'uniformité dans l'exécution. Il remarque que certains dessins redressent les perspectives des photographies et qu'il y a en conséquence des différences de taille des dessins : « Tous ces dessins doivent être sur un grand tableau en regard les uns des autres. Je crains un contraste fâcheux de ces différences qui m'obligent à vous faire recommencer je crois plusieurs gravures, ce qui en définitive me fera coûter le travail cher. » Il enjoint Furcy à représenter les objets comme ils paraissent sur les photographies, à uniformiser les teintes des photographies, d'alléger le dessin des cercles et tampons du dessus des cuisinières. Il fait des observations sur certaines gravures.

De retour de Londres, Godin répond à la lettre de Poirier du 16 octobre. Il lui fait remarquer que ses lettres des 28 mai et 31 mai 1862 ne laissaient pas de doute sur les questions qu'il soulève. Il lui confirme que sa position à l'usine est inchangée, mais qu'il doit augmenter le nombre de ses voyageurs. Il lui rappelle qu'il ne l'a pas laissé inoccupé et ne le laissera pas inoccupé, mais Poirier a eu le tort de penser que telle contrée lui était réservée. Godin lui rappelle qu'il lui a accordé et maintenu la ville de Paris, qu'il n'a rien changé aux conditions de ses voyages, que l'année a été moins heureuse qu'espéré, mais que sa position est plus acceptable que celle de bien d'autres. Godin lui explique qu'il ne veut pas voir se manifester des rivalités entre les personnes chargées de ses intérêts et qu'il regrette sa prévention à l'égard de Darras. Godin souhaite que Poirier éclaircisse ce qu'il veut dire par le besoin d'être fixé sur ce qu'il doit faire avant la fin du mois, car il n'a rien d'autre à lui offrir.

Godin demande à Boucher s'il fabrique des briques propres à établir des foyers au-dessous des moufles pour l'émaillage de la fonte. Il lui demande également à quel prix il lui procurerait de la terre réfractaire préparée mais non cuite et commande des briques qu'il décrit, à expédier en gare de Saint-Quentin.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin envoie à Furcy des lithographies et photographies d'appareils et fait des observations sur les épreuves des gravures qu'il a reçues.

Godin explique à Poirier que ses prétentions ne sont pas justifiées. Godin fixe les conditions de voyage dans l'hypothèse où Poirier voudrait continuer après la fin du mois. Godin ne veut pas voir se créer des positions privilégiées dans l'usine.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin fait des observations sur les épreuves des gravures qu'il a reçues. Il demande à Furcy que les artistes qui travaillent pour lui conservent la perspective de la partie supérieure des cuisinières mais qu'ils redressent celle de leur partie inférieure selon le dessin d'un parallélépipède qui figure sous la signature.

Sur l'achat d'un matériel photographique propre à photographier les appareils de la manufacture Godin-Lemaire. Après réception du matériel commandé, Godin a fait un essai et s'est aperçu sur le verre dépoli que les lignes des objets n'étaient pas parallèles, contrairement à ce que lui avait indiqué Arthur Chevalier. Godin fait également observer qu'il a reçu une chambre à soufflet au lieu de la chambre n° 80 qu'il a commandée. Il annonce à Chevalier qu'il lui retourne l'objectif et la chambre et qu'il ira le voir à son prochain voyage à Paris pour s'entendre avec lui sur le matériel qu'il lui faut.

Sur l'achat d'un matériel photographique propre à photographier les appareils de la manufacture Godin-Lemaire. Godin justifie auprès d'Arthur Chevalier qu'il lui a retourné immédiatement le matériel après essai : il avait fait des essais de photographie par un photographe compétent avec un objectif de 80 mm sur plaques de 18 x 24 cm et il avait obtenu des épreuves au 5e ou au 8e de la grandeur de l'objet avec des rétrécissements prononcés dans les parties fuyantes ; il a constaté qu'avec l'objectif de 80 mm de Chevalier, meilleur que son objectif universel pour plaques de 24 x 30 cm, il n'a pas obtenu d'amélioration. Godin voudrait éviter un litige avec Chevalier après l'envoi d'une nouvelle chambre par ce dernier et préférerait s'entendre à Paris avec lui sur le matériel pouvant le satisfaire.

Godin précise sa demande de pièces en terre réfractaire pour la construction de foyers.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin adresse 100 F à Furcy et fait des observations sur le rendu comparé de la perspective de petits objets sur les photographies et sur les gravures.

Godin explique à Boucher qu'il veut de la terre réfractaire résistante aux hautes températures pour faire des briques qu'il lui est plus facile de mouler sur place pour la construction de foyers. Il demande l'expédition de 5 tonnes de terre à livrer en gare de Bohain.

Godin demande à Chabrol s'il peut lui fabriquer deux pièces en biscuit décrites par des croquis cotés et légendés pour servir de mortier et de pilon.

Sur l'achat d'un matériel photographique propre à photographier les appareils de la manufacture Godin-Lemaire. Godin répond à la lettre d'Arthur Chevalier du 28 octobre 1862 en l'informant qu'il refuse de prendre livraison d'un matériel qui ne satisfaisait pas ses besoins et lui confirme qu'il entend acquérir auprès de lui un matériel qu'il ira choisir à Paris.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin fait des observations sur les épreuves de gravures sur bois qu'il a reçues. Il demande des corrections sur les dessins de dessus de cuisinières exécutés par le dessinateur de Furcy, et fait des recommandations sur des dessins à exécuter d'après des photographies.

Godin répond à la lettre de Boucher du 3 novembre 1862. Il lui commande d'après son catalogue des briques et carreaux en terre réfractaire et il rectifie sa demande de terre réfractaire dont il souhaite obtenir 1 tonne au lieu de 5 tonnes puisque Boucher n'est pas sûr qu'elle réussira.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin fait des observations sur les épreuves de gravures sur bois qu'il a reçues.

Godin demande à Gilquin s'il a dans ses carrières un bloc de pierre homogène pour réaliser un mortier et un pilon selon les indications fournies par des croquis cotés en coupe et en plan.

Godin fournit des renseignements sur monsieur Gavet à Barbezat et Cie : Gavet a laissé de bons souvenirs à Guise mais la brièveté de son séjour n'a pas permis de l'évaluer sur le plan industriel.

Sur la route n° 55 de Jonqueuse à Étreux. Godin accepte volontiers le choix de Parmentier en tant qu'expert désigné d'office et lui communique ses observations. Godin fait transporter des marchandises sur un tronçon de la ligne n° 55 ; il a contracté un bail annuel de 250 F avec Brunel pour la location d'un port placé sur le chemin, où les déchargements sont plus économiques qu'au port de Longchamps ; l'administration prétend qu'il a fait des dégâts considérables au chemin en 1861 et 1862 alors que les seuls travaux d'entretien ont été faits par lui ; il renonce depuis à emprunter le chemin et fait décharger ses bateaux au port de Longchamps, aussi la question ne porte que sur le passé ; Godin conteste qu'il ait dégradé la route qui n'est achevée que pour la moitié du trajet ; il a proposé néanmoins une indemnité à l'administration de 200 F correspondant au déchargement de 20 bateaux par an à Longchamps chez Macaigne au prix de 10 F par bateau, indemnité que l'administration juge insuffisante malgré l'inachèvement de la route. Godin communique à Parmentier un état annuel de ses transports en précisant que 2 198 tonnes transitent par le chemin.

Godin demande à Dupont à quel prix il peut lui fournir les pièces de bois dont il donne la liste.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin fait des observations sur les épreuves de gravures sur bois qu'il a reçues.

Godin demande à Oudin-Leclère s'il a reçu de Delpech les pièces de l'affaire Pinart et Cie et s'il se trouvera à son cabinet le lundi suivant car il a une cause à faire placer pour l'audience du mardi.

Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin informe Cambier et Cie que la fonte qu'il a expédiée n'est pas de la qualité souhaitée et lui suggère que sa présence serait nécessaire pour régler l'affaire. Le post-scriptum signale l'arrêt du déchargement du bateau en attendant la réponse de Cambier et Cie.

Godin demande à Deruelle s'il peut fabriquer des creusets pouvant résister à la fusion du minium et lui communique un croquis coté.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin fait des observations sur les épreuves de gravures sur bois qu'il a reçues et lui annonce l'envoi de nouvelles photographies.

Godin accuse réception d'un avis du 22 mars 1862. Il informe son correspondant qu'après que son agent de Londres ait quitté la ville, Émile Godin s'est rendu à Londres du 15 au 25 novembre pour procéder au remballage des produits, remettre les colis au bureau français de l'exposition et effectuer les formalités pour leur expédition à la gare de Saint-Quentin.

Godin informe Duruelle que les creusets spéciaux qu'il a expédiés se dégradent trop rapidement et il demande à être dédommagé.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin renvoie à Furcy des épreuves de gravures sur bois, lui remet 200 F et lui annonce l'envoi de nouvelles photographies.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin retourne à Furcy huit épreuves de gravures reçues la veille. Il lui signale que le mauvais temps retarde la réalisation des photographies qu'il doit lui envoyer.

Godin répond à une demande de renseignements sur les tuiles pannes de Royaux et Beghin à Leforest. Il explique qu'il a utilisé les tuiles pour la première fois en 1861 et qu'elles n'ont pas présenté de détérioration après deux hivers, que le vent n'a pas prise sur la couverture des halles qui représentent plus de 10 000 m² et qu'elles ne verdissent pas.

Godin envoie 135 F à Armengaud pour le paiement de brevet pris en France et en Belgique. Il l'informe que le doublon du brevet de Joly exploité par Corneau de Charleville a été pris par Haunet, chimiste préparateur à Reims. Il lui exprime sa surprise que le brevet Joly ne dise rien sur la capacité de l'appareil à brûler toute la journée. Il demande à Armengaud des renseignements sur le brevet des appareils de fosses d'aisance de Rogier et Mothes au 20 cité Trévise.

Godin commande 10 mètres cubes de bois d'orme à 85 F le mètre cube.