FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (9) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Druet, 26 novembre 1866
Sur l'emploi de jardinier du Familistère. Godin répond à la lettre du 20 novembre de Jules Druet qui s'offre pour l'emploi de jardinier du Familistère à partir de janvier 1867. Il lui fait observer que son arrivée en janvier lui paraît tardive. Il précise que le jardinier paye son loyer et sa nourriture et que l'éducation des enfants est gratuite au Familistère, et il lui demande quels sont les appointements auxquels il prétend.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 1er mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin annonce à Jules Favre qu'il a répondu aux craintes et doutes d'Odilon Barrot à propos de sa candidature, même s'il faut s'attendre à ce qu'elle rencontre des obstacles dressés par l'administration. Il explique que la division des candidats de l'administration favorise la candidature d'Odilon Barrot, mais qu'il serait plus facile d'organiser les comités électoraux si la candidature d'Odilon Barrot était rendue publique. Godin évoque le numéro du 27 février du journal Le Siècle et pense que la presse nationale devra suppléer à l'insuffisance de la presse départementale.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 4 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin fait part à Favre du vif désappointement du comité électoral à l'annonce de la décision d'Odilon Barrot de ne pas être candidat à l'élection. Le comité électoral de Guise veut tenter de le convaincre tout de même. Il explique qu'Odilon Barrot a eu tort de se renseigner sur la situation auprès de Chenest : Caudron et Debrotonne, dont parle Barrot, sont morts et l'industriel Chenest est aveugle. Godin fait valoir que Foucamprez s'est mis à la tête du mouvement dans le canton de La Capelle et que ce dernier accompagnera Lefèvre à Hirson. Il veut croire qu'Odilon Barrot sera élu au premier tour ou sera au moins en ballotage. « Dites-lui que l'on montait sur les tables aujourd'hui à [mot illisible] sous grains pour acclamer sa candidature. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 5 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin souhaite obtenir la circulaire d'Odilon Barrot et l'annonce de sa candidature dans les journaux de Paris. Il demande à Favre des renseignements sur les droits de la propagande électorale et appelle l'attention de Favre sur les formalités que doit remplir Odilon Barrot. Godin pense qu'Odilon Barrot devrait dans sa circulaire moins parler de son âge que de son ardeur à défendre les intérêts du pays et de son amour de la liberté et du bien public, qu'il doit dire un mot de l'agriculture, de l'industrie et de l'amélioration des classes ouvrières, « peut-être le tout sans que ce soit trop accentué : l'ombre de l'oppression est trop profonde pour qu'une lumière trop vive n'offusque pas les regards appauvris ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 5 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin propose à Favre un moyen original de soutenir la candidature d'Odilon Barrot : envoyer un exemplaire du numéro de chaque journal de Paris annonçant la candidature de Barrot aux aubergistes et épiciers des 182 communes de la circonscription de Vervins. Godin pense qu'une entente est possible avec les journaux pour qu'ils en fassent l'envoi aux adresses qu'il indiquera et consent à faire cet essai à ses frais.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 8 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Comme Favre, Godin regrette l'abandon de la candidature d'Odilon Barrot : « Chacun a agi pour le bien mais chacun n'a pas fait pour le mieux ». « La France ne peut perdre le sentiment de la justice et de la liberté. Elle dort parce que rien autour d'elle n'agit pour dissiper les fumées du narcotique qui la retient engourdie. Puissions-nous faire que la crise du réveil soit d'autant moins violente que cet état sera moins longtemps prolongé. ». Le post-scriptum de la lettre est relatif à son procès [avec Esther Lemaire].

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 19 décembre 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Jules Favre qu'en raison de son occupation au Corps législatif, il va devoir demander à Emmanuel Arago d'être son avocat dans l'affaire devant la cour de Metz, ce qu'il regrette car Lecoq de Boisbaudran s'était déjà occupé de l'affaire. Il demande à Favre un mot de recommandation auprès d'Emmanuel Arago.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre et à Emmanuel Arago, 20 août 1869
Sur l'affaire Coré. Godin s'engage à respecter la décision de Favre et d'Arago, arbitres du litige, à la condition que Coré en fasse de même.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Gaildreau, 21 juin 1869
Sur l'édition de Solutions sociales. Godin précise à Gaildreau que la taille des lithographies qu'il lui a demandé d'exécuter correspond à deux pages de texte d'un ouvrage in-octavo. Il lui demande s'il peut faire exécuter par un dessinateur lithographe des dessins d'après des photographies. Sur le folio 386v est dessiné un rectangle dans lequel est écrit : « cadre dans lequel doit être compris la plus petite vue du Familistère. Ce cadre est aussi celui qui doit servir pour la vue de la fête ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Lecointe, 10 juillet 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Lecointe a dit à Godin, qu'il a vu dernièrement, qu'il lui serait difficile d'accepter la mission d'expert confiée par le tribunal de Vervins et la cour d'Amiens : Godin souhaiterait qu'il accepte, ce qui serait le signe d'un soulagement à ses peines de famille.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Lesaulne, 21 octobre 1869
Godin répond à la demande de Jules Lesaulne en lui expliquant en quoi consiste le travail de dessinateur à l'usine de Guise. Il précise que les appointements sont de 150 F par mois et qu'il n'accorderait davantage qu'à quelqu'un pouvant prendre part à la direction industrielle d'un établissement de 800 ouvriers, ce qui ne semble pas être son cas au vu de son expérience.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Lesaulne, vers le 27 octobre 1869
Godin explique à Jules Lesaulne qu'il n'a pas répondu à sa question sur sa capacité à diriger des travaux de mécanique et qu'il attend les renseignements sur son talent de dessinateur. Dans le post-scriptum, il lui indique qu'il écrit poste restante à Giacomette.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Julien Roquin, 26 novembre 1866
Sur l'emploi d'économe du Familistère. Godin demande à Julien Roquin s'il a les aptitudes pour surveiller l'approvisionnement de 270 familles.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Maison Allez, 2 février 1867
Godin rappelle à Allez frères sa lettre du 22 janvier relative aux avantages que leur offre son nouveau tarif et relative à l'exposition de ses produits à l'Exposition universelle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Léopold Rollot, 18 juin 1869
Godin explique à Rollot qu'il ne comprend pas pourquoi celui-ci lui intente un procès car faute d'autorisation acceptable, ses ouvriers se sont abstenus de faire jouer toute romance et chansonnette dans leurs représentations privées, conformément à la sommation qui lui avait été faite. Godin se demande quel intérêt la société de Rollot peut-elle trouver à faire un procès. Il semble que des vaudevilles ont été joués sans la musique d'accompagnement. Godin lui explique qu'il fait construire une salle de théâtre où se produiront des acteurs du dehors qui donneront des représentations publiques et que les droits des compositeurs des romances et chansonnettes des vaudevilles seront alors payés à la société de Rollot. Godin suggère à Rollot de ne pas davantage s'engager dans un procès injuste inspiré par des haines et des jalousies. Il exprime son souhait de s'entendre avec sa société comme il s'entend avec la société des auteurs dramatiques, malgré la brouille instillée par son agent de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Léger Vauthier, 1er septembre 1868
Godin accuse réception de l'étude de Louis Léger Vauthier sur le chemin de fer « dans nos départements ». Il explique à Vauthier que le projet de chemin de fer de Guise à Bohain a réuni le capital nécessaire pour l'achat des terrains et l'exécution des travaux, qu'il ne manque qu'une compagnie qui veuille se charger des rails, du matériel et de l'exploitation et que des démarches ont été faites auprès de la Compagnie du chemin de fer du Nord. Il l'informe que l'ingénieur en chef de la Compagnie lui a proposé de faire avec Guise comme ce qui a été fait avec Saint-Gobain, c'est-à-dire d'exécuter la voie et de louer à une petite compagnie le matériel nécessaire pour l'exploitation. Il suggère à Vauthier de s'occuper du tronçon de Guise à Bohain avant que la Compagnie du chemin de fer du Nord ne s'en empare.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Léger Vauthier, vers le 2 septembre 1868
Godin informe Vauthier que le montant de la subvention pour la construction du chemin de fer est toujours de 50 000 F par kilomètre. Il lui explique que le conseil général de l'Aisne a donné sa préférence au tracé de Guise à Saint-Quentin par Ribemont sur le tracé de Guise à Bohain et que cela est contraire à l'intérêt public car le raccordement de Guise à la voie de la Compagnie du chemin de fer du Nord à Bohain sera de 64 km au lieu de 21 km. Il ajoute que le préfet avait envoyé le dossier de l'affaire à la Compagnie du chemin de fer du Nord et que celle-ci était favorable au tracé de Guise à Bohain.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 3 décembre 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté des biens. Godin demande à Oudin-Leclère de vérifier si Alphonse Delpech dispose des pièces nécessaires à l'étude du dossier de l'appel interjeté par Esther Lemaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 5 août 1867
Godin transmet à Oudin-Leclère les pièces de deux affaires appelées au tribunal de Vervins. Sur le détournement de fonds commis par Lasserez. Godin résume l'affaire. Lasserez a détourné des fonds dans les bureaux de la manufacture ; avant d'être emprisonné à Vervins, il a cherché à enlever de la chambre meublée qu'il occupait au Familistère les meubles et effets achetés avec le produit de son vol ; Godin s'y est opposé. Il demande à Oudin-Leclère ce qu'il doit faire. La deuxième affaire est relative à une livraison de marchandises d'une maison de Colmar qui n'ont pas été commandées et qui n'ont pas été retirées de la gare de chemin de fer. La maison de Colmar a assigné Godin au tribunal de Vervins.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 6 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin demande à Oudin-Leclère de terminer au plus vite l'affaire Jacquet. Il lui demande de voir si Jacquet pourra empêcher la vente des marchandises brevetées par lui qui se trouvent dans les magasins des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il interroge Oudin-Leclère sur l'intention de Jacquet de faire appel. « Examinez enfin les mesures à prendre en raison des événements. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 10 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Oudin-Leclère qu'il a vu Jules Favre et que ce dernier est d'accord pour partir de Paris le 15, dîner le soir à Laon, puis aller à Vervins, et que lui-même se trouvera à Vervins le 16 mars vers 9 heures du matin. Il lui demande s'il reste à Vervins des objets émaillés ayant servi à la première audience. Il lui signale dans le post-scriptum que Lecoq de Boisbaudran accompagnera Jules Favre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 11 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Sur l'arrangement à conclure avec Jacquet, les marchandises qu'il a fabriquées pour lui et la somme de 10 000 F qu'il lui doit en vertu du jugement du tribunal. Il suggère à Oudin-Leclère de faire savoir à Jacquet qu'il pourrait accepter les marchandises fabriquées pour lui en paiement de la somme ordonnée par le tribunal et ainsi éviter un procès en déchéance de brevet que Godin aurait intérêt à faire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Denisart, Alfred
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 13 août 1867
Godin s'en remet à Oudin-Leclère pour l'affaire Meyer Levy [la livraison de Colmar]. Sur l'affaire Lasserez. Les sommes détournées s'élèvent à 1 480 F, dont il a remboursé 358 F, mais il faut aussi dédommager le travail accompli pour remettre en ordre les écritures. La famille de Lasserez doit ainsi encore rembourser 1 220 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Denisart, Alfred
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 14 août 1867
Sur l'affaire Lasserez. Godin précise l'état des sommes dues par Lasserez : il évoque la famille de Lasserez. Sur l'affaire Meyer Levy. Godin confirme que ni lui ni son ancien employé Cantelon n'ont passé commande des marchandises livrées.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 16 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin accorde à Oudin-Leclère le versement de 13 000 F au profit de Jacquet à mesure que ce dernier remettra les objets que Godin lui a livrés. Il prie Oudin-Leclère de demander à Larue d'adopter des formes moins rudes à son égard. Il précise dans le post-scriptum qu'il lui remettra la somme en valeur sur Duflot frères.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 17 juillet 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin explique à Oudin-Leclère que la cour d'Amiens a confirmé le jugement du tribunal de Vervins et qu'elle a maintenu l'expertise dans le cas où les parties ne s'entendraient pas. Godin informe Oudin-Leclère que Lecointe, mécanicien, renonce à être expert et l'avertit qu'il faut veiller à ce que le tribunal ne le remplace pas par un homme incompétent en industrie. Godin pense que Mariolle-Pinguet est le seul dans l'Aisne à être à hauteur de la tâche, et qu'à part lui, le constructeur et chef d'industrie le plus habile est Albaret de Liancourt.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 19 février 1870
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin réclame à Oudin-Leclère la note permettant de solder ses frais et honoraires et il lui demande de communiquer à Édouard Larue le dossier de la liquidation de la communauté de biens.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 20 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin transmet à Oudin-Leclère les pièces mentionnées dans son courrier au président du tribunal de commerce de Vervins du 20 avril 1867. Il explique à Oudin-Leclère que les 12 rôtissoires et autres objets livrés sans émail contredisent péremptoirement Jacquet qui a affirmé à l'audience qu'on ne pouvait faire usage des appareils non émaillés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 21 mars 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin constate que l'expertise ne lui est pas favorable. Il demande à Oudin-Leclère de se mettre en relation avec Lecoq de Boisbaudran à qui il demande d'aller plaider à Vervins. Godin estime que la situation est difficile dans la mesure où le tribunal a admis qu'il était obligatoire de placer des émaux à l'intérieur des appareils et que ce n'était pas le fait de Jacquet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Denisart, Alfred
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 26 août 1867
Sur les affaires Lasserez et Meyer Levy.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 27 février 1868
Godin informe Oudin-Leclère qu'il possède une petite maison au voisinage de l'usine de Guise et il lui explique que cette propriété subit dommages et préjudices en raison de travaux effectués par le propriétaire de la maison mitoyenne l'été dernier alors qu'il était malade. Godin demande à Oudin-Leclère comment il doit formuler une assignation à l'encontre de son voisin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 28 juillet 1869
Godin répond à une lettre qu'Oudin-Leclère a écrit à Alfred Denisart demandant pourquoi un autre avoué a été sollicité à Vervins pour une affaire. Godin l'assure qu'il lui conserve son estime mais il lui indique qu'il voulait que l'affaire soit traitée avec célérité, à l'inverse de ce qui a été fait dans les débuts de l'affaire Jacquet. Godin demande à Oudin-Leclère de lui communiquer sa note d'honoraires et de frais.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 28 novembre 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté des biens.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 30 janvier 1870
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Oudin-Leclère qu'il a confié à Édouard Larue ses intérêts devant le tribunal de Vervins ; il demande à Oudin-Leclère de transmettre à Larue la suite de son affaire en liquidation contre Esther Lemaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Lucien Le Chevalier, 30 avril 1868
Godin annonce à Lucien Le Chevallier qu'il souscrit deux actions du journal La Démocratie pour un montant de 50 F, dont il a reçu le programme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame Oyon, 8 octobre 1867
Godin répond à une demande de conseil sur le choix d'un fourneau de la part de madame Oyon. Il fait valoir que le choix d'un fourneau est une affaire personnelle et qu'Allez frères lui ont conseillé un appareil au prix modique. Godin donne à madame Oyon les caractéristiques et le prix de plusieurs appareils entre lesquels elle peut faire un choix. Il transmet ses salutations à Auguste Oyon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Maurice Lavoisier, 23 avril 1867
Godin répond à Lavoisier en lui annonçant l'envoi d'une brochure publiée dans l'Aisne sur le Familistère. Il lui signale qu'il trouverait davantage d'information dans la brochure d'Auguste Oyon et dans l'Annuaire de l'Association pour 1867 publiés à la Librairie des sciences sociales au 13, rue des Saints-Pères à Paris.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs E. Saint-Pierre et Gaudot, 19 mars 1868
Saint-Pierre et Gaudot ont écrit le 12 mars 1868 à Godin pour lui proposer de lui communiquer des plans et devis d'un projet de chemin de fer. Godin leur répond qu'ils peuvent commencer par lui décrire l'idée principale du projet. Godin émet des doutes sur la faisabilité du projet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Giacomette, 21 octobre 1869
Godin demande à A. Giacomette de lui communiquer des références et il lui demande son âge, les appointements auxquels il prétend et le genre de construction qu'il a pratiqué. Il lui précise qu'il fabrique des appareils de chauffage en fonte et que sa production est « expédiable au commerce ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Giacomette, vers le 27 octobre 1869
Godin explique à Giacomette qu'il craint qu'il n'ait pas les aptitudes nécessaires à la direction des modèles de sa fabrication et que les appointements auxquels il prétend ne sont pas en rapport avec ses capacités.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Lheureux, 3 décembre 1866
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Sur l'expertise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Lheureux, 11 avril 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin demande à Lheureux de lui retourner une lettre de Berthin de Neuchâtel et ses lettres adressées à Bertrand des 26 et 29 janvier et du 29 avril. Il lui demande quelles sont les réserves faites par Corneau frères dont il est question dans le jugement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Lheureux, 23 octobre 1867
Godin demande à Lheureux d'envoyer à Cantagrel au 33, rue de Rivoli à Paris le dossier du procès en contrefaçon l'opposant à Corneau frères qui a précédé le procès relatif à la nullité de leur brevet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Lheureux, 26 novembre 1866
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Sur la procédure et l'expertise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Alp. Martin, 26 novembre 1866
Sur l'emploi d'économe du Familistère. Godin demande à Alp. Martin s'il a les aptitudes pour surveiller les opérations de 7 à 8 commerces.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Milon, 5 décembre 1866
Sur l'emploi d'économe du Familistère. Godin invite A. Milon, marchand boulanger candidat à l'emploi d'économe du Familistère de Guise, à venir discuter avec lui à Guise des détails de la fonction rémunérée à 150 F par mois et à lui fournir de bonnes références.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Philippe, 17 décembre 1869
Godin informe A. Philippe qu'il n'avait pu donner suite à ses offres de services en 1868 mais qu'il serait aujourd'hui en mesure de les utiliser.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Philippe, 19 mars 1868
Godin informe Philippe qu'il n'a pas l'intention d'exploiter l'idée qu'il lui a soumise car il ne pense pas qu'elle réponde à la solution cherchée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Philippe, 21 janvier 1870
Godin annonce à A. Philippe qu'il se rendra à Paris et voudrait le voir pour lui parler d'études de brevets et de procédés à réaliser.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Philippe, 26 février 1868
Godin confirme à Philippe qu'à la réception de sa lettre, il avait demandé à Cantagrel d'aller le voir et il s'étonne que Philippe ne lui en fasse pas part dans sa lettre du 25 février 1868. Godin se dit prêt à lui confier l'exécution d'un objet et à offrir à la commission [de l'Académie des sciences] la solution du problème qui l'occupe.
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