Auguste Fabre dément qu'une grève ait eu lieu dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il indique que l'installation de l'Association coopérative du capital et du travail a donné lieu à un échange d'explication avec le personnel. Il demande au Temps d'insérer un rectificatif.

Auguste Fabre dément qu'une grève ait eu lieu dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il indique que l'installation de l'Association coopérative du capital et du travail a donné lieu à un échange d'explication avec le personnel. Il demande au Temps d'insérer un rectificatif.

Pascaly annonce à Nonorgue qu'il a lu dans Le Réveil social que celui-ci était désigné comme secrétaire correspondant du 4e Congrès socialiste ouvrier national. Il lui demande de lui communiquer le nom et l'adresse des journaux qui publient le meilleur compte rendu des 4 congrès ouvriers régionaux. Il lui adresse les numéros du journal Le Devoir qui contiennent le compte rendu du Congrès coopératif de Newcastle.

Sur la comptabilité des Fonderies et manufactures du Familistère et l'existence d'un compte individuel de Jean-Baptiste André Godin.

Boëns a écrit le 17 octobre à Godin à propos d'un livre sur l'hydromagnétisme. Godin lui répond qu'il ne peut lui donner de conseils à ce sujet.

Godin répond à la lettre d'Abby May Richards en lui indiquant qu'il ne peut donner suite à sa demande en détournant du personnel ou des ressources de l'œuvre du Familistère.

Godin envoie 2,50 F à Zeller pour qu'il lui fournisse un échantillon d'étui en carton destiné à recevoir des papiers.

Sur l'ameublement de l'appartement n° 245 de l'aile droite du Familistère. Godin demande à A. Blin une documentation sur les pendules pour salons et salles à manger.

Sur l'ameublement de l'appartement n° 245 de l'aile droite du Familistère. Godin demande à Portal une documentation sur les pendules pour salons et salles à manger.

Godin répond à la carte postale de Zorli du 17 mai 1881 : il lui envoie son livre Mutualité sociale et précise que le Familistère est aujourd'hui tel que le représentent les vues contenues dans l'ouvrage.

À la demande d'Élie Reclus, Godin adresse son livre Mutualité sociale à Theisz. Il espère que ce dernier en rendra compte dans le journal L'Intransigeant.

Godin remercie Tisserant pour sa lettre du 18 février 1881 et se réjouit de l'accueillir au Familistère. Il se dit accablé par les occupations. Il lui donne des nouvelles de l'Association du Familistère : elle fonctionne mais Godin se plaint du manque d'hommes ayant les aptitudes nécessaires à son fonctionnement ; il regrette l'indifférence générale à l'égard du Familistère et de l'Association et que Tisserant n'ait pas pu devenir un collaborateur de l'Association. Il lui annonce qu'il profitera de sa visite pour parler de son testament. Il lui demande, à l'occasion de son passage à Paris, d'aller voir Moret, son avocat à la Cour de cassation dans l'affaire Boucher et Cie, au 13 rue de Tournon. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le partage de frais du procès avec Esther Lemaire. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Tisserant que la Cour de cassation a rejeté son pourvoi.

Godin se réjouit que Tisserant a recouvré la santé. Il l'informe que l'association du Familistère fonctionne normalement. Il s'étonne que son fils Émile ne se soit pas manifesté pour réclamer ce qu'il lui doit. Il lui indique qu'il n'a pas de nouvelles de l'affaire en cassation [l'affaire Boucher et Cie]. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Godin demande à Tisserant des nouvelles de lui et de sa santé. Il lui expose le risque de contravention qu'il encourt pour défaut de dépôt légal du journal Le Devoir. Sur l'affaire Boucher et Cie.

Godin accepte l'offre que lui fait Tisserant et lui demande de faire le nécessaire auprès de Pouillet et Moret. Il l'informe qu'il va confier à Leblon, qui est chargé des brevets, la constitution du dossier.

Godin répond tardivement à la lettre du 5 octobre 1880 car il a passé quelques jours à Bruxelles. Sur le paiement de frais et d'honoraires à André et à Godet. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le paiement de frais de procès-verbal. Sur le procès entre Godin et son fils Émile : Godin ne trouve pas trace dans les copies de lettres d'une lettre de remerciement à Saudbreuil pour son intervention officieuse ; il demande à Tisserant s'il a souvenir qu'une telle lettre ait été envoyée. Il l'informe que l'Association coopérative du capital et du travail s'installe et que ses conseils fonctionnent.

Sur le paiement des honoraires de Delpech, Obry et Goblet.

Sur le tracé dans Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin communique à Tisserant une lettre du ministère qui ne donne pas droit à ses réclamations. Godin accuse le préfet de faire traîner les études pour obtenir en août 1880 le consentement du conseil général au tracé en tunnel sous le fort de Guise favorable à la compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise.

Godin complète sa lettre à Tisserant du 17 juin 1881 en lui demandant l'état des frais composant la somme de 8 772,66 F réclamée par Delpech et de le renseigner sur monsieur Vasselle.

Sur le procès de Godin avec son fils Émile : sur le moyen de contraindre Émile Godin à accepter la convention passée avec son père et à percevoir l'argent qui lui est dû. Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin demande à Tisserant de lui donner son avis sur la nouvelle rédaction du document.

Discussion sur la comptabilité de l'entreprise à propos des charges d'entretien et des amortissements.

Godin répond à la lettre de Vincent du 19 mai 1881. Il se souvient l'avoir rencontré à Paris. Il l'informe qu'à la suite des démarches faites auprès de lui par Leymarie, il a fait le choix d'un autre candidat à l'emploi de rédacteur du journal Le Devoir. Il lui demande cependant s'il connaît l'anglais.

Sur le recrutement de monsieur Bastien, protégé de Caron. Godin explique à Caron que Bastien n'a pas besoin de déposer un mémoire s'il se propose comme auxiliaire sans s'arrêter à une fonction spéciale. Il l'assure qu'aux appointements de 100 F par mois, il lui trouvera facilement un travail dans les ateliers. Godin souhaiterait que Bastien lui écrive pour lui dire s'il a du goût et des aptitudes pour l'industrie ou s'il préfère rester aux écritures.

Sur le procès avec Émile Godin : sur le paiement de l'expert monsieur André. Sur l'affaire Duchateau relative au non-paiement de gaz d'éclairage par ce dernier à Godin.

Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : à propos du partage des frais de procès entre les époux.

Sur le procès avec Émile Godin. Sur le règlement des honoraires et frais de Falaize.

Godin envoie à Falaize un mandat de 852 F sur messieurs Dufflot.

Sur une succession Borgnon.

Sur le procès avec Émile Godin. Sur le règlement du compte d'Émile Godin. Godin fait un résumé des derniers éléments de procédure. Sur le paiement des honoraires d'un des experts, monsieur André.

Godin demande à Naquet des renseignements sur Émile Cantrel, pourquoi il a été détenu à Nîmes pendant 5 ans et s'il est capable d'être rédacteur d'un journal socialiste. Dans le post-scriptum, il demande à Naquet s'il lit les articles sur le divorce publiés dans Le Devoir.

Godin exprime à Naquet sa surprise qu'il n'ait pas reçu les numéros du journal Le Devoir contenant les articles sur le divorce, qui ont été adressés à la Chambre des députés à tous les membres de la commission sur le divorce. Dans le post-scriptum, il précise que les numéros du journal traitant du divorce sont les numéros 92, 93, 94 et 95.

Sur le règlement des honoraires de Goblet, d'Obry et de Delpech fixés par Tisserant respectivement à 4 000 F, 3 000 F et 1 200 F. Godin envoie à Delpech un chèque de 8 200 F.

Lettre tenant lieu de certificat de travail : Godin certifie que Chimot a été employé de janvier 1870 à fin février 1873 à la direction de l'atelier de matériel puis à la direction de l'atelier des modèles de l'usine du Familistère de Guise.

Sur la création de chambres de mines dans le pont sur l'Oise du Familistère : Godin annonce à Drouhet qu'il se rend à Paris à ce sujet et qu'il le tiendra informé.

Godin reproche à Amédée Moret le ton acrimonieux voire malveillant de sa correspondance avec les services de l'usine. Sur l'établissement du compte des voyageurs.

Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin explique à Ringuier qu'il veut faire un testament pour sécuriser l'avenir de l'Association coopérative du capital et du travail. Il lui demande s'il veut être avec Ganault son exécuteur testamentaire.

Godin annonce à Augusta Cooper-Bristol qu'il mettra un appartement à sa disposition au Familistère et l'invitera à sa table. Il l'informe qu'il sera absent une dizaine de jours au mois d'août. Il lui envoie une lettre et une carte postale arrivées qui lui étaient adressées au Familistère, ainsi que son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail.

En réponse à la lettre d'Augusta Cooper-Bristol du 23 juillet 1880, Godin lui confirme qu'il y a à Guise un interprète parlant anglais et français. Il regrette de ne pouvoir parler directement avec elle si elle ne connaît pas le français. Il l'attend le lundi suivant.

Godin avertit Augusta Cooper-Bristol que l'interprète dont il lui a parlé sera absent du Familistère, et il l'engage à venir avec quelqu'un parlant le français et l'anglais.

Godin soumet un croquis à Hourdequin et lui demande de lui soumettre les différents modèles correspondants.

Godin envoie à Hourdequin les caractères choisis pour le titre du journal Le Devoir et il lui demande de faire la modification dès le prochain numéro. Il confirme son télégramme du jour lui réclamant les épreuves du compte rendu du congrès coopératif de Newcastle. Sur le roman La Fille de son père.

Godin demande à Hourdequin d'être attentif aux corrections de l'épreuve de son discours à la fête de l'Enfance. Il lui demande d'insérer tous les quinze jours à la dernière page du journal Le Devoir l'annonce de ses ouvrages.

Sur la composition du prochain numéro du journal Le Devoir, qu'il lui demande de tirer à 480 exemplaires comme d'habitude.

Godin demande à Hourdequin d'être attentif aux corrections des épreuves du journal Le Devoir.

Godin réclame l'épreuve de l'article « Plaies sociales » qu'il veut publier dans le prochain numéro du journal Le Devoir.

Godin annonce à Hourdequin que le journal Le Devoir va publier en articles détachés l'ouvrage intitulé Études sociales sur le gouvernement, et lui donne des préconisations pour l'envoi des épreuves de ces articles. Il donne des recommandations sur le retour des manuscrits envoyés pour la composition des numéros du journal. Jules Pascaly adresse à Hourdequin des articles à composer pour le prochain numéro du Devoir.

Godin adresse à Hourdequin une circulaire [de réclame de ] à imprimer à 1 500 exemplaires.

Godin confirme son télégramme réclamant les épreuves de l'article de Charles Pellarin « Pacifiquement ou à coup de fusil ». Il lui envoie le sommaire du prochain numéro du journal Le Devoir et lui fait des recommandations sur la composition et les épreuves des articles de ce numéro.

Godin renvoie à Hourdequin l'article de Charles Pellarin « Pacifiquement ou à coup de fusil » pour le prochain numéro du journal Le Devoir ; il lui remet un autre article du même Pellarin. Il lui signale qu’il faut signer des initiales J. P. l’article « Association et coopération », lui envoie la suite du feuilleton et il lui demande de tirer à 480 exemplaires.