Envoi d'articles pour la composition du numéro de juillet du journal Le Devoir.

Réponse à la lettre de Chamuel en date du 8 juillet 1891 : remerciements pour l'envoi du numéro du journal Le Socialiste chrétien et envoi à l'abbé Roca au château de Pollestres du numéro du journal Le Devoir.

Commande d'un jersey en tissu de laine noire d'une valeur de 70 F.

Remerciements pour l'envoi et la dédicace du livre d'Alfred Faucheux [dit Charles Barlet], Essai sur l'évolution de l'idée, que le journal Le Devoir mentionnera.

Réponse à la lettre de Meneghelli du 10 juillet 1891 : réception de la brochure La donne e il lavoro ; le journal Le Devoir en fera mention ; envoi d'une liste de journaux sympathiques à la cause féminine.

Commande de la teinture de cinq plumes d'autruche pour un montant de 10 F.

À propos des sciences, des vérités non admises et d'un idéal supérieur des sociétés.

Réponse à une lettre adressée à une madame Godin, relative à l'achat d'un chevreuil : c'est une erreur de destinataire ; plusieurs personnes portent ce nom à Guise.

Demande la fabrication d'une paire de bottines assortie à l'échantillon de tissu joint à la lettre.

Réponse à une carte postale du 16 juillet 1891 annonçant une visite de monsieur de Clercq au Familistère.

Commande de produits de soin et d'hygiène à livrer en gare de Lesquielles-Saint-Germain : camphre en grumeaux ; pommade camphrée au rhum ; eau dentifrice.

Commande d'une paire de bottines.

Échange du journal Le Socialiste chrétien avec le journal Le Devoir : Marie Moret ne reçoit plus le journal.

Commande de perles d'éther sulfurique ; demande si l'on vend en perle du lactucarium [« opium » de laitue].

Paiement d'une facture de 14 F par mandat postal.

Demande l'envoi du catalogue illustré des appareils et meubles fabriqués par Dupont.

Vérification du relevé de compte de Marie Moret. Annonce l'envoi d'un chèque de 300 F à Jules Pascaly.

Demande sous quelle forme se vend le lactucarium [« opium » de laitue] et comment il peut être utilisé.

Sur le numéro de juillet 1891 du journal Le Devoir ; nouvelles de Paul et Gaston Piou de Saint-Gilles et d'Antoniadès, malade et loin de sa famille ; Gaston Piou de Saint-Gilles sensible à Marie-Jeanne Dallet. Invitation à Lesquielles.

Sur une maladie d'Antoniadès. Sur le second volume d'un livre de Deluc. Invitation à séjourner à Lesquielles avec détails sur le voyage en chemin de fer depuis Paris.

Sur le projet de loger dans sa maison de Lesquielles un jeune couple formé par Julien Alavoine et Franceline Maillet, qui travaillent dans la ferme de monsieur Lefevre. Elle demande des renseignements sur le couple.

Communique à François Dequenne la demande de Michel Lavira, ancien représentant de l'usine du Familistère, pour obtenir à prix réduit ou à titre gracieux une cuisinière destinée à la Bouchée de pain à Alger.

Réception des cinq plumes d'autruche teintées et envoi de 0,85 F en timbres postaux pour solde de la facture correspondante.

Réponse à la lettre de Rétout en date du 22 juillet 1891 : réception du mandat de 10 F pour réabonnement au journal Le Devoir ; considération sur la dimension intellectuelle et morale de l'union conjugale ; vie à Lesquielles.

Paiement par chèque d'une facture d'un montant de 70,85 F pour la confection d'un jersey.

Commande d'un cache-pot, d'une corbeille de bureau et d'un sac à main.

Annonce l'envoi d'un chèque de 70,85 F à madame Coussinet.

Départ en vacances de Gaston : où lui adresser le journal Le Devoir ? Sur la matérialisation des idées et le progrès social. À propos du végétarisme d'Édouard Raoux.

Commande d'une table-guéridon à transformations multiples d'une valeur de 180 F.

À propos des examens d'Antoniadès et de son entrée à l'École centrale des arts et manufactures.

Réponse à une lettre du 29 juillet de Charles Soller : envoi de livres.

Constate l'exactitude de son compte à la Société du Familistère, crédité de 25 861,09 F, et demande que soit portée à son débit la valeur de 84 lampions et 84 masses de bougies qui lui ont été fournis par la Société du Familistère.

Informe son correspondant que dans le journal Le Devoir a paru un article sur l'orphelinat du Val des Choues.

Annonce l'envoi d'un chèque de 196,30 F à monsieur Dupont, 10 rue Hautefeuille à Paris.

Sur différents sujets : la maturation de la pensée de Gaston Piou de Saint-Gilles ; son adresse à Saint-Gilles-Croix-de-Vie ; ses examens et ceux de Paul Gaston Piou de Saint-Gilles ; sur la détermination de Godin à accomplir son œuvre : le devoir de choix.

Sur le modelage dans les écoles du Familistère : remerciements au nom d'Émilie Dallet ; rendez-vous manqué de Marie Moret avec mademoiselle Alice.

Sur différents sujets : la maturation de la pensée de Gaston Piou de Saint-Gilles ; son adresse à Saint-Gilles ou à Croix-de-Vie ; ses examens et ceux de Paul Gaston Piou de Saint-Gilles ; sur la détermination de Godin à accomplir son œuvre ; sur l'existence matérielle de l'âme.

Sur la venue prochaine d'Antoniadès à Lesquielles-Saint-Germain.

Envoi d'un chèque de 196,30 F correspondant à la commande d'une table à transformations avec bougeoir et encrier.

Envoi des textes à composer pour le numéro d'août 1891 du journal Le Devoir.

Réponse à une lettre d'Alker en date du 4 août 1891 : remerciements pour la photographie évoquant l'époque où Alker était employé au Familistère, vers 1865 ; projet de visite d'Alker au Familistère ; l'excellent souvenir qu'Alker a laissé au Familistère ; sur François Dequenne, ancien contremaître de menuiserie, devenu directeur de la fonderie puis gérant de la Société du Familistère.

Projet d'une visite de Fabre et de Pascaly à Lesquielles. Émilie Dallet occupée aux examens scolaires ; Marie-Jeanne Dallet « fait de tout : ménage, couture, dessin, peinture, musique, moulage et modelage » pour l'initiation des élèves des écoles maternelles. Sur l'absence de volonté d'organiser un prochain congrès des sociétés coopératives au Familistère : « Ma conviction personnelle est que tant qu'il en sera ainsi de l'état intellectuel et moral nous ferons, au point de vue de l'enseignement social, bien meilleure figure vus de loin que vus de près. » ; le seul véritable coopérateur du Familistère, François Bernardot, n'y est pas populaire. L'Association du Familistère n'est pas en mesure de faire davantage que d'envoyer Bernardot comme délégué au Congrès coopératif de Paris [septembre 1891].

Sur la correspondance de la Compagnie du canal de Suez : elle doit être adressée à Veuve Godin André au Familistère à Guise.

Sur des obligations de la Compagnie du canal de Suez.

Envoie à Monclin des numéros du journal Le Devoir qui ne lui sont pas parvenus et félicite son correspondant pour l'avancement qu'il a obtenu.

Demande de lui envoyer une feuille de papier pelure glacé en vue d'une commande.

Lettre adressée à Jules Pascaly avant son départ à Nîmes chez Auguste Fabre. Sur la préparation du prochain numéro du Devoir.

Demande à Fabre de remettre une lettre à Jules Pascaly qui part chez celui-ci le lendemain.

Commande de produits d'hygiène à expédier à la gare de Lesquielles-Saint-Germain : pommade camphrée au ruhm, acide nitrique.

Sur la perte d'un colis contenant des bottines fabriquées pour Marie Moret.