FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Louis-Victor Colin, 22 janvier 1890
À propos de sculptures confiées à monsieur Martens : le buste de Godin et deux médaillons en plâtre à teinter façon bronze. Comment dédommager Martens ?

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Louis-Victor Colin, 11 novembre 1891
A propos des sonnettes électriques de l'appartement de Marie Moret au Familistère et de sa maison de Lesquielles-Saint-Germain : monsieur Soyeur, occupé dans l'atelier de Colin à l'usine, est-il capable de les réparer ?

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Colin du 7 octobre 1885. Godin consent à réserver à Colin une place dans les ateliers de fonderie de la Société du Familistère mais souhaite recevoir ses notes de sortie de l'École avant son départ pour le volontariat.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Colin du 20 juin 1886. Il l'informe qu'il recevra avec plaisir sa visite pour parler avec lui de l'emploi qu'il pourrait occuper. Il lui indique que des personnes dans sa situation perçoivent à leur début dans l'usine 1 800 à 2 000 F par an.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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De retour d'Auvergne, Godin trouve les bulletins de notes et les certificats d'études de Colin. Il regrette que Colin soit venu en son absence. Il lui confirme qu'il souhaite l'accueillir quand il sera libéré du service militaire. Il fait référence à la lettre de Colin du 20 juin 1886.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Colin qu'il ne peut préciser à l'avance les fonctions qu'il pourra remplir dans l'usine du Familistère car il souhaite faire arriver les élèves des écoles industrielles aux emplois supérieurs de l'établissement, et que dans cette perspective ils doivent s'initier à toutes les fonctions afin de savoir leurs goûts et leurs aptitudes. Il propose de le rémunérer 150 F par mois à ses débuts mais le laisse libre de fixer un autre montant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Colin du 7 septembre 1886. Il lui rappelle que dans sa précédente lettre, il lui indiquait que le montant de ses appointements ne pouvait constituer une difficulté entre eux. Il lui accorde les 190 F mensuels qu'il désire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Colin arrive à Guise à la date indiquée dans sa lettre du 12 novembre 1886. Il l'informe que son installation sera facile, soit au Familistère, soit en ville.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les procès en contrefaçon contre Faure et Paillette.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Rappelle à Colin que chaque numéro du Devoir de juin publie le texte complet des récompenses exceptionnelles remises lors de la fête du Travail. Marie Moret demande à Colin de lui transmettre la liste des récompenses à distribuer une fois que le conseil de gérance de l'Association du Familistère se sera prononcé.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Remercie Colin pour la liste des récompenses pour la fête du Travail et se réjouit de l'augmentation de leur nombre, bien qu'elle ne comprenne pas de travailleurs de Laeken. Demande d'information sur la fête du Travail à Laeken et sa coïncidence avec la fête de la commune.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret exprime à Colin le plaisir qu'elle a eu d'apprendre la venue de 35 personnes du Familistère de Laeken au Familistère de Guise. Elle lui fait part de la demande de renseignements de madame Destriché sur les chiffres de l'assurance mutuelle contre la maladie de la Société du Familistère. Marie Moret ne retrouve pas les éléments dans les comptes rendus annuels : demande que le secrétaire des assurances de la Société lui établisse le nombre de mutualistes dans la section des hommes et celui de la section des femmes d'ici son retour la semaine suivante.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Communique à Louis-Victor Colin un exemplaire du numéro du Devoir comprenant le compte rendu de l'assemblée générale de l'Association du Familistère. Elle informe Colin qu'elle a demandé à l'imprimerie Chastanier de lui adresser directement l'épreuve de la brochure qu'elle doit réaliser pour la Société du Familistère avec ce compte rendu.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à Louis-Victor Colin de la représenter à l'occasion de l'assemblée générale des associés de la Société du Familistère de Guise convoquée le 9 mars 1899, en vertu de l'article 70 des statuts de la Société.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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En son nom et au nom d'Émilie Dallet, Marie Moret remercie Louis-Victor Colin pour sa lettre du 25 février 1899 et les documents qui y étaient joints. Elle l'informe qu'Auguste Fabre a étudié ces documents et qu'il souhaiterait parler avec Colin de « cette grosse question ». Sur un rendez-vous manqué de Fabre et de Colin à Paris : Fabre s'était rendu à Paris pour une réunion coopérative, trois jours avant le jour fixé pour sa conférence au Musée social ; l'espoir de voir Colin à cette occasion a été déçu quand Fabre a appris qu'on avait télégraphié à Colin la nouvelle de la mort du comte de Chambrun ; Marie Moret regrette qu'il n'ait pas communiqué à Colin son adresse chez Jules Pascaly. Elle indique à Colin que Charles Robert a annoncé à Fabre que sa conférence ne pourra avoir lieu avant l'automne 1899. Elle joint à sa lettre à Colin une lettre de délégation pour qu'il la représente à l'assemblée générale des associés de la Société du Familistère du 9 mars 1899.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Louis-Victor Colin que Charles Gide prévoit de visiter le Familistère la semaine suivante et a demandé à Auguste Fabre une lettre d'introduction. En cas d'absence de Louis-Victor Colin, Marie Moret suggère que monsieur Demolon serait le meilleur cicérone pour accompagner Charles Gide.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Louis-Victor Colin pour sa lettre du 29 mars 1899 et son télégramme relatifs à la visite que Charles Gide prévoit de faire au Familistère. Elle l'informe que Fabre a écrit à Charles Gide le 29 mars pour lui faire part du désir de Colin d'être averti du jour de la visite et que Gide a reçu l'« avis aux visiteurs du Familistère » qui prévient qu'il faut éviter les jours fériés et les jeudis après-midi pour visiter les institutions de l'enfance.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Pour préparer le numéro de juin 1899 du Devoir, Marie Moret demande à Louis-Victor Colin de lui communiquer la liste des récompenses décernées à l'occasion de la fête du Travail du Familistère, et de lui signaler si une délégation du Familistère de Bruxelles assistera à celle-ci comme en 1898 ou tout autre fait notable.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Louis-Victor Colin pour son envoi du 6 mai 1899 de la liste des récompenses distribuées à la fête du Travail du Familistère et de la mention de la venue des Familistériens de Schaerbeek quinze jours après la fête. Elle fait part à Colin de sa réflexion sur la fête du Travail du Familistère de Laeken, empêchée jusque-là d'avoir lieu à la date statutaire en raison de la célébration ce même jour de la fête communale de Laeken, et que l'intégration à la commune de Schaerbeek rendrait possible le premier dimanche de mai. Elle prend note de l'information relative au classement de la Société musicale de Schaerbeek, dirigée par monsieur Praecker.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Louis-Victor Colin qu'elle prévoit de publier à nouveau dans Le Devoir l'avis aux visiteurs du Familistère et d'en faire tirer à part une ou deux centaines d'exemplaires : elle demande à Colin s'il souhaite disposer d'exemplaires de l'avis en prévision de l'Exposition universelle [de 1900] et s'il a des modifications à faire au texte de l'avis.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret communique à Louis-Victor Colin trois numéros du Devoir manquant à sa collection et lui retourne une lettre de Charles Gide. Elle espère que le temps sera demain favorable à la visite du Familistère « de ce merveilleux conférencier » dont la « parole aura de l'écho. »

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret adresse à Louis-Victor Colin le numéro d'août 1891 du journal Le Devoir pour compléter sa collection et lui signale que ce numéro est défectueux mais qu'il est complet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Louis-Victor Colin qu'elle est empêchée d'assister à l'assemblée générale des associés de l'Association du Familistère et le prie de la représenter en vertu de l'article 70 des statuts de l'Association.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret attire l'attention de Louis-Victor Colin sur la dégradation d'une partie de la pierre du mausolée de Godin causée par le frottement d'une couronne mortuaire accrochée au buste du fondateur, offerte par la petite-fille du défunt. Elle demande à Colin s'il n'est pas possible d'écarter la couronne de manière à ce qu'elle ne frotte plus sur la pierre.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à Louis-Victor Colin le texte du discours qu'il a prononcé à l'occasion de la fête de l'Enfance du Familistère pour qu'il soit reproduit dans le journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Louis-Victor Colin l'épreuve du compte rendu de l'assemblée générale ordinaire de la Société du Familistère de Guise. Elle lui demande de lui retourner l'épreuve corrigée pour qu'elle la communique à l'Imprimerie Chastanier. Elle lui précise qu'elle demandera à monsieur Chastanier une seconde épreuve du compte rendu le cas échéant et qu'elle lui demandera également de remanier la composition pour le tiré à part aussitôt que Le Devoir sera imprimé.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret souhaite obtenir des renseignements sur les bouilloires électriques fabriquées par la Société du Familistère. Elle l'informe qu'un ingénieur électricien de Nîmes a jugé que les bouilloires électriques de la Société du Familistère étaient satisfaisantes, à la différence des fers à repasser, mal conditionnés et trop prompts à se refroidir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Louis-Victor Colin pour sa lettre du 17 décembre 1900. Elle lui indique que le pot à eau d'un litre décrit page 15 de l'album-tarif, s'il était nickelé à l'intérieur comme à l'extérieur, répondrait mieux à ses attentes que la bouilloire électrique. Elle lui précise que le voltage est à 105 à Nîmes et commande : un pot à eau n° 6 et divers accessoires de branchement électrique. Elle lui demande quel diamètre de fil électrique employer et le prévient qu'elle commandera peut-être un second appareil pour Émilie Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Louis-Victor Colin pour sa lettre du 14 décembre 1900. Elle a transmis à la compagnie d'électricité les indications relatives aux fils d'alimentation de la bouilloire électrique. Elle demande l'envoi du pot à eau et du matériel électrique permettant son branchement. Dans le post-scriptum, elle remercie Colin de lui avoir communiqué la lettre de l'Unione militare de Rome à qui elle écrit au sujet de l'envoi du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret explique à Louis-Victor Colin qu'elle met à jour l'état des collections du Devoir dans les bibliothèques publiques de France et de l'étranger. Elle constate que le volume de l'année 1888 manque dans la bibliothèque du Familistère ; elle l'informe que le volume avait été livré à François Dequenne par monsieur Doyen, le bibliothécaire de l'époque. Elle prie Colin de faire rechercher le volume et de demander une indication à François Dequenne, en lui transmettant, ainsi qu'à son épouse, le meilleur souvenir le la famille Moret-Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Louis-Victor Colin pour sa lettre du 24 avril 1901. Elle pense que le volume du Devoir, [qui a disparu de la bibliothèque du Familistère] et dont la date correspond à la période de succession à la gérance du Familistère, pourra se retrouver ; elle demande à Colin s'il a interrogé Piponnier à ce sujet. Elle demande à Colin de lui communiquer la liste des récompenses distribuées à l'occasion de la fête du Travail pour sa publication dans Le Devoir, de lui confirmer la date de la fête et de lui signaler si quelque chose de particulier s'y déroulera.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret apporte une précision à sa lettre du 3 mai 1901 à propos du volume du Devoir disparu [de la bibliothèque du Familistère] : la parution du journal était alors hebdomadaire, aussi s'agit-il d'un volume in-quarto.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Colin pour sa lettre du 9 mai 1901 qui lui communique des informations sur la fête du Travail et sur la collection du Devoir [de la bibliothèque du Familistère]. Marie Moret compte sur Colin pour interdire le prêt des volumes du Devoir de la bibliothèque du Familistère, elle affirme que les collections complètes sont rares, signale que l'Académie des sciences de Berlin lui en réclame une, et qu'elle pense qu'il vaut mieux ne pas déparer la collection complète de monsieur Caudron et trouver le volume égaré du journal dans une collection incomplète. Elle se refuse à croire que ce volume est définitivement perdu ; elle demande quel usage est fait du numéro du journal servi gratuitement chaque mois à la Société du Familistère à Guise et à Schaerbeek et s'il n'est pas possible de reconstituer une année avec lui.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Louis-Victor Colin de lui avoir communiqué la lettre de l'Alliance coopérative internationale. Elle l'informe de la teneur de sa réponse à l'Alliance coopérative internationale : Le Devoir était autrefois envoyé à l'Alliance au 49, Bedford Street Strand à Londres avant que le service gratuit du journal cesse, faute d'obtenir une réponse à une lettre expédiée à cette adresse ; elle adresse des livres à la nouvelle adresse de l'Alliance et indique qu'à son retour au Familistère, elle enverra à l'Alliance les numéros du journal depuis 1898 et le début du récit de l'expérience fouriériste au Texas.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Sur les collections du Devoir au Familistère de Guise et au Familistère de Schaerbeek : reconstitution de l'année 1888 du journal. Marie Moret fait état des notes qu'elle a prises à l'issue de la dernière conversation qu'elle a eue avec Louis-Victor Colin : le journal est collectionné depuis 1878 par la bibliothèque et par les bureaux de l'usine du Familistère de Guise ; il est collectionné depuis janvier 1889 à Schaerbeek ; projet de compléter la collection de Schaerbeek, à laquelle il manque deux ou trois numéros de 1900, en vue de faire relier la collection. Marie Moret préconise de relier les années du journal pour sa bonne conservation. La liste des numéros manquants de l'année 1888 [de la collection de la bibliothèque du Familistère] du journal Le Devoir est copiée à la suite de la lettre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à Louis-Victor Colin les dates des séances d'admission des sociétaires et participants de l'Association du Familistère par le conseil de gérance, le résultat des admissions, et le résultat des élections au comité de conciliation.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Louis-Victor Colin qu'elle a reçu un exemplaire de Le droit au bonheur et suppose que Colin a reçu le sien. Elle demande que Colin lui remettre l'exemplaire qu'elle lui avait prêté et qu'elle veut communiquer à quelqu'un, l'exemplaire en sa possession étant dédicacé. Elle lui demande s'il a transmis ses remerciements à madame Gagneur. Elle l'informe qu'Émilie Dallet rentre à Guise le lendemain. Sur la collection du Devoir du Familistère de Schaerbeek : elle regrette que beaucoup de numéros manquent à l'année 1893 et en demande l'explication à Colin ; elle ne souhaite pas dépareiller les collections du journal qu'elle conserve et demande si la collection de Schaerbeek pouvait être complétée à l'aide des personnes qui contribuent à la reconstitution de l'année 1888 de la collection du Familistère de Guise. Elle l'enjoint à faire relier la collection du Devoir conservée à l'usine de Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Sur la reconstitution des collections du Devoir à Guise et à Schaerbeek. Marie Moret envoie à Louis-Victor Colin 21 des 23 numéros manquants à la collection du Devoir de Schaerbeek : elle propose de donner une année 1890 complète en échange de l'année dépareillée si le numéro d'octobre 1890 n'est pas retrouvé, mais ne peut faire de même pour l'année 1895 dont il manque le numéro de janvier. Sur la reconstitution de l'année 1888 [de la collection de la bibliothèque du Familistère de Guise] : Marie Moret rappelle à Colin qu'elle lui a remis des numéros le 12 août 1901 et lui indique qu'elle lui fournira encore 13 numéros qui se trouvent à Nîmes ; ces numéros sont en partie en doublon des 15 numéros retrouvés par Colin à l'usine de Guise. Elle demande à Colin de lui indiquer quels sont les numéros en doublon.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à Louis-Victor Colin le texte de son discours à la fête de l'Enfance pour le reproduire dans Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à Louis-Victor Colin de lui communiquer le compte rendu de l'assemblée générale des associés de la Société du Familistère de Guise pour sa publication dans Le Devoir. Elle lui indique qu'elle va s'occuper à nouveau des numéros manquants des collections du Devoir dont monsieur Migrenne lui a fourni la liste.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret rappelle à Colin sa lettre du 1er octobre 1901 lui demandant le compte rendu de l'assemblée générale des associés de la Société du Familistère pour sa publication dans Le Devoir. Elle l'informe qu'elle a examiné la liste transmise par monsieur Migrenne des numéros manquants du Devoir dans les collections de l'usine de Guise et du Familistère de Schaerbeek. Marie Moret dresse un état détaillé des numéros et années du journal qu'elle peut fournir pour compléter les collections. Elle demande à Colin des précisions sur l'ancienneté et la localisation des collections de l'usine de Guise et du Familistère de Schaerbeek, car elle va publier dans Le Devoir l'état des collections en France et à l'étranger. Elle lui demande de faire relier à ses frais les collections simplement brochées de l'usine de Guise et du Familistère de Schaerbeek. Elle lui demande également de tenir compte, pour ordonner les numéros des collections du journal, de l'avis publié dans Le Devoir de septembre 1901, page 561. Elle lui indique qu'elle note que la collection du journal conservée à la bibliothèque scolaire du Familistère de Guise remonte à janvier 1894.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret retourne à Louis-Victor Colin le duplicata du titre d'Auguste Fabre signé et transmet les remerciements de ce dernier pour l'avoir laissé garder le titre original portant la signature authentique de trois administrateurs-gérants, utile lors des démonstrations en conférence.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Louis-Victor Colin le manuscrit qu'il lui a fourni et les 33 pages d'épreuves à corriger du compte-rendu de l'assemblée générale de la Société du Familistère qui sera publié dans Le Devoir de novembre 1899 et dans une brochure. Elle prie son correspondant de lui retourner le manuscrit et les épreuves corrigées pour effectuer son propre contrôle et l'informe qu'elle demandera à monsieur Chastanier de mettre la composition de la brochure à son service dès le tirage du Devoir terminé. Marie Moret a appris par monsieur Alizart que son Colin est en possession de la 5e version du livre de Vavasseur, aussi le prie-t-elle de lui retourner la seconde édition qu'elle compte emmener avec elle à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret profite de sa convocation en séance du conseil de gérance de la Société du Familistère pour rappeler sa situation à Louis-Victor Colin : selon l'article 19e du testament de Godin qu'elle cite dans sa lettre, Marie Moret signale que son droit d'assister aux conseils n'est en rien une obligation, c'est pourquoi elle ne perçoit pas les bénéfices attachés par les statuts à la fonction de conseiller de gérance. Son statut de membre honoraire n'étant pas reconnu par les statuts de la Société du Familistère, le conseil de gérance est complet sans elle. Sa rétribution financière et son statut de membre associé sont justifiés par la publication du Devoir et des travaux de Godin. Elle rappelle à son correspondant qu'au début de la gérance de François Dequenne, le conseil a pris la décision de ne compter Marie Moret « au nombre des conseillers que dans les cas où, par sa présence, elle ferait usage de son droit. » En vertu de ces précisions, elle suggère à Louis-Victor Colin de ne plus la noter absente sur les registres des conseils mais de signaler sa présence lorsqu'il y a lieu. Elle déclare enfin qu'il est inutile, sauf contre ordre de sa part, de lui présenter le registre des convocations, car elle a trop de travail pour participer aux séances.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret propose à Louis-Victor Colin deux exemplaires supplémentaires du numéro d'octobre 1899 du Devoir dans lequel se trouve le discours de son correspondant lors de la fête de l'Enfance. Marie Moret joint à son courrier une lettre qu'elle propose à Colin de lire au conseil de Gérance [au sujet de son rôle de membre honoraire du conseil, en vertu de l'article 19 du testament de Godin].

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret transmet à Louis-Victor Colin le duplicata de la lettre de Jean Boussod, Manzi, Joyant et Cie qui mentionne son accord pour reproduire le portrait de Jean-Baptiste André Godin dans une brochure éditée par la Société du Familistère de Guise. Jules Demolon a proposé de confier le portait à l'imprimeur de la brochure, mais Marie Moret explique que la maison Jean Boussod, Manzi, Joyant et Cie fera tirer les exemplaires nécessaires du portrait, comme cela fut le cas pour l'édition du livre Le gouvernement.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à Louis-Victor Colin la liste des récompenses distribuées lors de la fête du Travail du Familistère afin qu'elle soit publiée dans le numéro du Devoir de mai 1900. Elle demande les dates de la fête et s'il est prévu une inauguration de la voie de raccordement de l'usine à la gare de Guise

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Louis-Victor Colin en son nom, celui d'Émilie Dallet et d'Auguste Fabre, pour l'envoi de trois albums et de trois notices. Elle le remercie également des informations contenues dans sa lettre du 10 mai 1900 et transmet les salutations de toute la famille.
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