FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 17 résultats dans 19393 notices du site.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 13 octobre 1843
Sur la doctrine phalanstérienne : Godin encourage son cousin à étudier l'œuvre de Charles Fourier et évoque la transformation de La Phalange en journal quotidien, La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 4 novembre 1843
Sur la réalisation de la doctrine phalanstérienne et sa propagande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 8 mars 1848
Godin répond à une lettre de Jacques-Nicolas Moret. Il évoque les événements de février 1848, auxquels il a participé à Paris, qui « vont peut-être entraîner la transformation sociale et réaliser le bonheur pour tous sur la terre ». Godin exprime le regret que son cousin n'ait pas étudié la doctrine phalanstérienne et il lui recommande la lecture de L'organisation du travail de Mathieu Briancourt et du Nouveau monde industriel et sociétaire de Charles Fourier. Il l'assure qu'il est capable de comprendre les œuvres du Maître qu'on peut se procurer à la Librairie phalanstérienne au 25, quai Voltaire à Paris. Godin annonce à Moret qu'il souscrit pour lui un abonnement à La Démocratie pacifique : « Courage, peut-être serez-vous un des travailleurs qui vont être appelés à édifier le palais de l'avenir. » Il transmet le souvenir de son épouse [Esther Lemaire].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 8 juillet 1848
Godin répond à la lettre de Jacques-Nicolas Moret du 2 juillet 1848 et lui exprime sa satisfaction d'apprendre qu'il a commencé à étudier la doctrine de Charles Fourier : « Vous aurez chaque jour à vous féliciter de vous être approché du fanal vers lequel le vaisseau de la civilisation vogue au milieu de la tempête pour entrer au port d'harmonie. » Il assure à son cousin, qui est allé à Paris, que les phalanstériens n'ont pas pris part aux tristes événements de juin 1848 : « Nous sommes loin d'espérer rien de bon des commotions sociales. » Godin affirme que les réformes politiques sont accessibles par le suffrage universel, que les réformes sociales ne peuvent s'opérer que pacifiquement, que les idées nouvelles peuvent subir des persécutions, et que les socialistes sont rendus responsables du mal qu'ils n'ont pas fait. Il l'informe qu'un congrès de phalanstériens, prévu le 9 juillet à Paris, a été ajourné en raison des événements. Il l'engage à répandre les idées de rénovation sociale mais avec prudence car les phalanstériens « ne sont pas en odeur de sainteté en ce moment », et lui suggère de souscrire à la rente de l'École sociétaire destinée à soutenir ses publications.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 2 juillet 1847
Godin demande à son cousin d'expédier les poêles en sa possession à Allez fils au 2, quai de la Mégisserie à Paris, et de l'informer des dépenses qu'il a engagées dans cette affaire. Il transmet ses salutations à sa cousine, l'épouse de Jacques-Nicolas Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jacques-Nicolas Moret, 8 mars 1848
Godin répond à une lettre de Jacques-Nicolas Moret. Il évoque les événements de février 1848, auxquels il a participé à Paris, qui « vont entraîner la transformation sociale qui réalisera le bonheur sur la terre  pour tous ». Godin exprime le regret que son cousin n'ait pas étudié la doctrine phalanstérienne et il lui recommande la lecture de L'organisation du travail de Mathieu Briancourt et du Nouveau monde industriel et sociétaire de Charles Fourier. Il l'assure qu'il est capable de comprendre les œuvres du Maître qu'on peut se procurer à la Librairie phalanstérienne au 25, quai Voltaire à Paris. Godin annonce à Moret qu'il souscrit pour lui un abonnement à La Démocratie pacifique : « Courage, vous pourriez bien être ces jours-ci un des travailleurs appelés à élever le palais de l'avenir. » Il transmet le souvenir de son épouse [Esther Lemaire].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 8 juillet 1848
Godin répond à la lettre de Jacques-Nicolas Moret du 2 juillet 1848 et lui exprime sa satisfaction d'apprendre qu'il a commencé à étudier la doctrine de Charles Fourier : « Vous aurez chaque jour à vous féliciter de vous être approché du fanal vers lequel le vaisseau de la civilisation vogue au milieu de la tempête pour entrer au port d'harmonie. » Il assure à son cousin, qui est allé à Paris, que les phalanstériens n'ont pas pris part aux tristes événements de juin 1848 : « Nous sommes loin d'espérer rien de bon des commotions sociales. » Godin affirme que les réformes politiques sont accessibles par le suffrage universel, que les réformes sociales ne peuvent s'opérer que pacifiquement, que les idées nouvelles peuvent subir des persécutions, et que les socialistes sont rendus responsables du mal qu'ils n'ont pas fait. Il l'informe qu'un congrès de phalanstériens, prévu le 9 juillet à Paris, a été ajourné en raison des événements. Il l'engage à répandre les idées de rénovation sociale mais avec prudence car les phalanstériens « ne sont pas en odeur de sainteté en ce moment », et lui suggère de souscrire à la rente de l'École sociétaire destinée à soutenir ses publications.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 23 mai 1843
Godin demande à son cousin de s'occuper à Paris de la présentation des appareils de la manufacture Godin-Lemaire à l'exposition de l'Académie de l'industrie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 18 septembre 1843
Proposition faite par Godin à son cousin d'être dépositaire des marchandises de la manufacture Godin-Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 13 octobre 1843
Annonce l'expédition de poêles et donne des indications sur le fonctionnement de ceux-ci. Sur le fouriérisme : Godin encourage son cousin à étudier l'œuvre de Charles Fourier et évoque la transformation de La Phalange en journal quotidien, La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 4 novembre 1843
Sur le retard d'une livraison de poêles et une erreur d'expédition. Godin recommande de présenter une cuisinière au public dans une maison. Sur la doctrine phalanstérienne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 19 mars 1856
À propos d'une maison d'habitation à Guise pour Jacques-Nicolas Moret. Godin annonce à son cousin qu'il vient de visiter une maison convenable près de son établissement de Guise, dont le loyer est de 300 F, qui comprend 5 pièces habitables, un grenier, une cave, une pompe, un beau petit jardin donnant sur la rivière. Il lui demande de lui faire savoir quand sa liquidation se réalisera pour pouvoir réserver la maison si c'est encore possible. Il informe Jacques-Nicolas Moret qu'en raison de son mauvais état de santé, il n'a pas répondu à Jules et Charles qui lui demandaient un emploi, qu'il ne peut leur offrir, et il le prie de l'excuser auprès d'eux. Il ajoute qu'il est encore d'une santé fragile et attend le retour du printemps pour se rétablir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 28 mars 1856
Godin répond à une lettre de Jacques-Nicolas Moret qui semble exprimer des regrets de s'être engagé à venir travailler avec lui à Guise. Godin examine les raisons de ces regrets : la cession de son fonds de commerce et de son atelier, et la vente de sa maison. Il conclue ainsi : « Cela revient à dire : examinez quelle indemnité il vous faudrait pour quitter votre établissement et attendre l'occasion de vous en défaire. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 12 avril 1856
Sur le déménagement de Jacques-Nicolas Moret à Guise. Godin informe Jacques-Nicolas Moret qu'à la suite de sa dernière lettre, il a réservé la maison qu'il occupera à Guise. Il lui demande de lui communiquer la quantité et le poids des meubles qu'il va expédier à Saint-Quentin pour les faire prendre à Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 16 avril 1856
Sur le déménagement de Jacques-Nicolas Moret à Guise. Godin décrit à Jacques-Nicolas Moret la possibilité de faire transporter ses meubles par un voiturier de Brie-Comte-Robert jusqu'à Guise, en particulier un voiturier nommé Delavierre qui se trouvera le samedi suivant à l'hôtel Saint-Magloire au 166, rue Saint-Denis à Paris.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 28 avril 1856
Sur le déménagement de Jacques-Nicolas Moret à Guise. Godin avertit Jacques-Nicolas Moret qu'il serait onéreux de transporter 1 000 à 1 200 kg de meubles à partir de Brie et qu'il vaut mieux qu'il les expédie à Paris. Il précise que son voiturier Delavierre sera à Paris le 5 ou le 6 mai et que lui-même s'y trouvera le 30 avril et qu'il descendra à l'hôtel Voltaire, sur le quai Voltaire, où Moret pourra le retrouver.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 7 mars 1858
Sur les conditions de rémunération de Jacques-Nicolas Moret. Godin expose à son cousin les nouvelles conditions de rémunération de l'emploi qu'il occupe à Guise. Godin et Moret avaient convenu d'appointements fixes de 3 600 F par an. Godin propose à Moret de lui verser 2 000 F d'appointements fixes, avec en plus 0,25 % du produit général des ventes de la manufacture et la somme des économies et des améliorations qui auraient été réalisées dans les ateliers pendant un an. Pour illustrer cette dernière part de rémunération, Godin prend l'exemple de la nouvelle manière de faire les boulons introduite par Moret, qui a porté sa rémunération à 4 253 F en 1857. Il précise finalement que la rémunération de Moret ne pourra être inférieure à 3 600 F.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2