FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Fortunée Gariot, 1er mai 1880
Remerciements à madame Gariot de son intention de l'inviter à dîner.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 25 février 1894
Sur la diffusion du Devoir : décès de Fauvety, à supprimer des services gratuits ; compte des timbres pour les différents services du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 1er mars 1894
Sur la diffusion du Devoir. Suppression de la liste des destinataires de M. Gaucher du Familistère. Faut-il supprimer La Chaîne magnétique des échanges ? Suppression de M. Fauvety, décédé. Selon Doyen : 76 services étrangers, 27 services limitrophes à 3 centimes le timbre et 138 services dans les départements à 6 centimes le timbre ; selon Marie Moret : 78 services étrangers, 27 limitrophes et 139 dans les départements. Sur l'abonnement et l'adresse de Charles Raymond de Lockport dans l'État de New York.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 3 mars 1894
Sur la diffusion du Devoir et les différences entre le registre de Marie Moret et celui de Doyen. Selon Marie Moret : 139 services dans les départements, en conservant La Chaîne magnétique qui parvient à nouveau au Devoir et après suppression de Fauvety, décédé ; 77 services à l'étranger au lieu de 76, même après suppression de Charles Raymond de Lockport. Abonnement de Jules Delbruck et son changement d'adresse (28, avenue d'Iéna, Paris). Félix Loubris à Somerville (États-Unis) résilie son abonnement.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Massoulard, 26 août 1879
Marie Moret souhaite à Antoine Massoulard d'être heureux auprès des siens suite à sa décision de quitter Angoulême pour rejoindre sa famille à Saint-Léonard-de-Noblat. Massoulard ayant proposé son aide, Marie Moret l'informe qu'il serait utile de traduire pour Le Devoir des articles anglophones sur les conditions sociales. Elle lui dresse un bilan de son passage à la direction de l'administration de l'usine du Familistère . Elle lui dresse une liste les visiteurs attendus au Familistère, dont Neale « si difficile à comprendre en français » avec qui Massoulard aurait pu parler en anglais. Elle évoque un procédé inventé par Massoulard apparu également en Amérique [le sablage des pièces métalliques], leurs pensées communes à propos de sa nièce Lilie, et le fils de Massoulard. Elle lui transmet les salutations de plusieurs personnes du Familistère. Le post-scriptum évoque la figure de Victor Hugo mentionnée dans Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Massoulard, 11 septembre 1879
Marie Moret remercie Massoulard pour l'article envoyé et s'excuse du délai de sa réponse, dû à la fête de l'Enfance et aux nombreux visiteurs ayant séjourné au Familistère. Réflexion sur la beauté de l'âme des personnes ayant consacré leur vie à l'espèce humaine. Neale a proposé d'intéressantes modifications aux statuts. Marie Moret décrit les améliorations apportées aux bâtiments du Familistère. Elle évoque : des exclusions du Familistère pour « ne garder que les éléments propres à entrer dans l'association » ; l'échec de Léon Godin dans ses études ; Jules Pascaly et le rôle qu'il pourrait jouer au Familistère ; une lettre de Marie Howland qui leur pardonne ce qu'ils ont fait à son texte ; l'abandon du mariage complexe par la communauté Oneida. Elle demande à Massoulard de traduire le très long discours inaugural de James Stuart au Congrès coopératif de Gloucester de 1879, et elle le remercie pour l'article de l'American Socialist qui paraîtra dans Le Devoir de la semaine prochaine.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur J.-V. Fauré, 9 mars 1892
Envoi de plusieurs brochures et d'un numéro du Devoir. Regrette de ne pas pouvoir répondre à la question de M. Fauré au sujet d' « aisances de Lorraine » et de contacts dans le Pas-de-Calais. Post-scriptum au sujet d'un opuscule de Louis Varlez pouvant intéresser M. Fauré.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur des vide-poches offerts à Marina Leymarie. Sur un accident survenu à Pierre-Gaétan Leymarie. Godin accuse réception des ouvrages annoncés par Pierre-Gaétan Leymarie dans sa lettre du 12 octobre, mais il indique qu'il n'a pas encore reçu de numéro du Messager de Liège auquel il a souscrit un abonnement d'un an à compter du 1er septembre 1877. Il signale que la Religion laïque de la fin d'octobre a fait paraître un article sur sa visite chez Slade, article qui doit faire disparaître le reproche adressé à la revue de Fauvety par le dernier numéro de la Revue spirite. Il communique les remerciements de Marie Moret à Pierre-Gaétan Leymarie pour la Genèse qu'il lui a offert. Il transmet au couple Leymarie et à leur fille les compliments de toute la famille Godin-Moret-Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin, retenu par la session du Conseil général de l'Aisne et ayant des difficultés à lire l'écriture de Courtépée, s'excuse du retard de sa réponse. Il l'informe qu'il a renvoyé à Fauvety l'article qu'il lui avait envoyé avec ses observations. Il l'avertit qu'il ne partage pas ses vues sur la rémunération du capital et sur les limites qu'il pose à la justice ; il lui annonce qu'il reviendra dans Le Devoir sur le quatrième facteur de richesse de Courtépée, lui n'en admettant que trois qui doivent déterminer les bases sociales de la répartition de la richesse dans la société. Godin discute des mérites des êtres humains : « S'en remettre aux apparences sociales pour apprécier l'importance du droit et de la justice de nos semblables, de leur valeur et de leur mérite, autrement que par leurs actions, cela me paraît être une dangereuse erreur. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Eugène Nus qu'à l'occasion de leur entrevue récente, il lui a laissé espérer qu'il prendrait une part dans la rédaction du journal Le Devoir. Il lui fait part de la proposition de Fauvety d'attacher au journal des collaborateurs rémunérés uniquement par le partage des bénéfices éventuels, mais lui confie que ce mode d'organisation ne lui semble pas offrir toutes garanties possibles pour s'attacher des collaborateurs assidus. Il lui annonce qu'il est prêt, malgré les frais qu'il doit supporter pour la publication du journal, à lui offrir une rémunération pour ses articles. Il assure Nus qu'il n'a jamais été autant en communion d'idées avec quelqu'un. Il lui demande quand il viendra étudier le Familistère sur place et lui offre l'hospitalité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Nus que le procès avec son fils s'est conclu par arbitrage du premier président de la cour d'appel d'Amiens, accepté par les deux parties. Il explique à Nus que 18 ans de luttes et 3,5 millions de francs soutirés à ses valeurs liquides ont jusque-là paralysé l'œuvre d'association qu'il s'apprête à fonder et dont les statuts sont désormais en vente. Il regrette de ne pas avoir davantage de collaborateurs dévoués et demande à Nus de lui adresser les personnes de valeur aptes aux fonctions administratives, comptables et industrielles. Sur la publicité à faire à l'ouvrage Mutualité sociale et l'influence de ce dernier sur la transformation du journal Le Devoir. Il lui signale que la santé de Fauvety ne lui permet pas d'offrir un concours régulier au Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Reclus qui justifie son silence. Il lui envoie un exemplaire de Mutualité sociale, dont il pourrait rendre compte dans un journal comme le lui a dit Charles Fauvety. Il le remercie de sa proposition de venir aider quelques jours à la publication du journal Le Devoir, mais lui explique qu'il cherche plutôt des collaborateurs nouveaux en vue de l'avenir, et qu'à ce titre, il serait heureux de recevoir des articles de lui conformes aux idées défendues par le journal.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Nus du 4 décembre 1880. Il lui indique qu'il veut continuer le journal Le Devoir dans les limites des ressources dont il peut disposer. À propos de la contribution de Fauvety au journal : Godin explique à Nus qu'il a fait des observations à Fauvety sur son article « À propos du divorce », qui consistait en une interprétation de la Bible et des Écritures, mais qu'il ne repousse pas toute discussion religieuse qui aurait un but véritablement social. Godin estime que Le Devoir doit rester une publication éminemment socialiste et éviter d'être théologique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce que sa « causerie anticatholique » a été publiée dans le numéro du 23 octobre 1881 du journal Le Devoir ; il lui fait observer que l'article est trop long. Il l'interroge sur la religion rationnelle. À propos de l'article de Bourdain « Plaies sociales » qui mêle les questions d'association et de mariage alors qu'elles devraient être séparées : « Les plaies sociales se ferment lentement. Exiger une guérison immédiate de toutes ensemble, c'est s'exposer à n'arriver à rien. Les remèdes sont bons à indiquer dans les livres sur la matière mais la revue ou le journal doit faire la thérapeutique sociale par les remèdes applicables dans l'état présent des choses. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Drivon du 4 avril 1882. Drivon, une connaissance de Fauvety, a le projet de fonder un journal et de se créer des ressources par ce moyen. Godin l'en dissuade. Il lui explique qu'il ne peut lui tendre la main que dans la mesure où il deviendrait un collaborateur de l'association du Familistère. Il lui demande s'il a l'intention de remplir une fonction dans l'association, quelles sont ses prétentions salariales et d'autres références que celles qu'il lui a communiquées.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Versigny du 22 janvier 1883. En raison de l'importance du travail, il lui demande de négliger sa demande de copier le chapitre de la Genèse. Il lui confirme qu'il pourra consulter la traduction de Fabre d'Olivet chez son ami Charles Fauvety.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Nielly ce que lui a dit Fauvety : il est prêt à accepter des concours à condition que tout soit subordonné à l'œuvre du Familistère. Sur les conférences de morale aux élèves du Familistère : « Je donne et fais donner ici des conférences morales plus morales que religieuses dans le sens propre du mot en vue d'élever l'esprit et le cœur de notre jeunesse. Mais c'est surtout dans le champ de la morale usuelle et pratique aboutissant constamment aux faits journaliers de l'humanité matérielle que je veux maintenir ces conférences. »

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la suggestion de Charles Fauvety, Godin invite Eugène Simon, dont il a lu avec intérêt les articles sur la Chine dans la Nouvelle revue, à visiter le Familistère en compagnie de son hôte monsieur de Maricourt, partisan des études psychologiques.
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