FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Chaumont, 22 août 1889
Marie Moret prévient qu'elle retarde de quelques jours son arrivée dans l'appartement de Gaston Ganault à Paris.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Amédée Moret, 24 août 1889
À propos de la procuration sollicitée par Amédée Moret à la suite du décès de la tante Lucile. Marie Moret informe son frère et sa belle sœur de l'organisation de leur voyage à Paris.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Chaumont, 26 août 1889
Demande à monsieur Chaumont de réserver un bon accueil à Joseph et Isanie Ducruet qui la précèdent à Paris.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Amédée Moret, 26 août 1889
Envoi de la procuration sollicitée par Amédée Moret à la suite du décès de la tante Lucie. Marie Moret prévient son frère de son arrivée à Paris le jeudi 29 août 1889.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edmond Turquet, 9 décembre 1882
Marie Moret joint comme papiers d'affaires à ce courrier la note détaillée que son correspondant lui a demandée sur les services industriels et civils de Godin. Elle a reçu une nouvelle lettre de Turquet, qu'elle a immédiatement fait lire à Godin. Ce dernier est sensible à l'affection dont témoignent les démarches que font Turquet et Gaston Ganault et il accepte la croix de chevalier de la Légion d'honneur, acceptation qu'il a confirmé au préfet de l'Aisne en réponse à sa demande télégraphique.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 19 mars 1888
Moret confirme sa lettre du 16 et transcrit l'avis de Flamant sur le litige avec Patoux. La question des fontes qui se trouvent en Angleterre doit être réglée rapidement. Elle compte sur la visite très prochaine de Ganault.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Aimé Flamand, 20 janvier 1888
Marie Moret remercie Flamant pour son concours à la cérémonie de funérailles de Godin. Elle souhaite que la réunion d'inventaire ait lieu mercredi prochain, jour qui conviendrait à messieurs Ganault et Ringuier.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 21 janvier 1888
Marie Moret confirme la lettre d'Émilie envoyée la veille ainsi que son télégramme expédié ce jour. Elle explique à Tisserant qu'elle espérait ne pas avoir à assumer la charge de la gérance de l'Association et qu'elle avait accepté que Godin écrive dans son testament qu'elle aurait à publier ses manuscrits et éditer Le Devoir ; elle ajoute qu'elle doit achever le dernier ouvrage de Godin mais qu'on la presse de prendre la gérance pour éviter « l'inquiétude, l'insécurité, un trouble profond ». Elle exprime son inquiétude et sollicite les conseils de Tisserant. Elle explique qu'elle aurait voulu partir en Suisse ou à Jersey avec Émilie et Jeanne « pendant le retour de la période de 89 à 93 » : « J'ai une épouvante puérile, maladive du retour de ces terribles années. Guerres civiles ; guerres étrangères, bouleversements sociaux surtout, je redoute tout, et nous avons déjà eu les anarchistes ici ! » Elle imagine que Dequenne aurait été nommé administrateur-gérant et Pernin gérant désigné (car monsieur André est simple participant). Elle demande pourquoi il est besoin d'avoir une gérante fictive alors qu'elle voudrait se vouer à la publication des manuscrits inédits de Godin et à la rédaction d'une biographie de celui-ci. Elle affirme qu'à côté de la gérante fictive, André et Dequenne seront les gérants réels, déchargés de la responsabilité illimitée qu'elle devrait assumer. Elle précise que l'assemblée générale qui doit l'élire aura lieu le dimanche 29 janvier. Elle demande à Tisserant de l'éclairer sur sa responsabilité en tant que gérante, en particulier si l'Association devait subir des pertes financières, et exprime sa crainte de devoir être un jour à la charge d'autrui. Dans le post-scriptum, elle transcrit le télégramme qu'elle lui a adressé et l'informe qu'à la demande de Gaston Ganault, Aimé Flamant va organiser la réunion d'inventaire de la succession de Godin le mercredi suivant.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 23 janvier 1888
Sur la volonté de Godin que soit publié le contenu de son testament dans les colonnes du journal Le Devoir. La veuve d'Émile Godin « s'émeut, selon Marie Moret, des blâmes pourtant contenus et je dirais presque indirects qui atteignent son mari et elle-même sans doute. Elle a trois petits enfants qui pourront lire cela ». Marie Moret réfléchit à sa demande de « laisser sous quelques points de suspension certains passages ? ou certains mots ? ». Elle transmet à Tisserant les passages qui pourraient être blessants pour la veuve d'Émile, bien que celle-ci n'ait pas directement donné d'indications à Marie Moret. Il est enfin question de l'inventaire de succession à réaliser. Dans le post-scriptum, elle accuse réception d'un télégramme de Tisserant.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 26 janvier 1888
Marie Moret informe Tisserant que les opérations d'inventaire vont commencer le mercredi 1er février 1888 et elle lui fait part de ses craintes sur des réclamations qui pourraient être formulées sur la donation réciproque des époux Godin-Moret et sur sa fortune personnelle. Sur la créance hypothécaire : « Cette dette me répugne. » Elle aimerait que Tisserant puisse vivre ici un temps comme autrefois ; elle lui explique que les préoccupations d'affaires liées à la succession lui sont odieuses. Sur l'emprunt hypothécaire. Elle envoie ses compliments et ceux de sa sœur et de sa nièce à la famille Tisserant.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 28 janvier 1888
Marie Moret, occupée par la prochaine assemblée générale de l'Association du Familistère, remercie brièvement Tisserant pour sa lettre du 25 janvier 1888. Elle lui demande s'il pourra venir à Guise quelques jours à partir du 3 février et que sa visite est attendue par messieurs Ganault et André, et par elle-même, Émilie et Marie-Jeanne Dallet. Elle l'informe que les opérations d'inventaire commenceront le 2 février et qu'elle pourrait retenir Ringuier et Ganault s'il arrivait dès le 3 février pour qu'ils discutent ensemble au cas où des incidents se produisaient au cours de l'inventaire. Elle lui annonce : que le conseil de famille des enfants d'Émile a été constitué et que Patoux, avoué à Saint-Quentin et ancien homme d'affaires d'Émile, a été nommé subrogé tuteur et assistera à l'inventaire ; que Ganault et Ringuier séjourneront à Guise trois jours et qu'ils ne feront venir Falaize qu'en cas d'incident ; que Dequenne, probable futur gérant désigné de la Société du Familistère, représentera celle-ci accompagné de monsieur André, le plus au courant des affaires de l'usine. Sur la modification de la raison sociale de la Société du Familistère : Veuve Godin et Cie au lieu de Godin et Cie.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Offroy et Cie, 5 février 1888
Marie Moret confirme que Ganault est l'un des exécuteurs testamentaires de son mari. Elle écrit au sujet du titre des 3 000 titres alloués dans l'emprunt fédéral suisse en janvier dernier. Elle avait demandé que ces titres soient déposés à la Banque cantonale de Berne au nom de sa sœur Émilie Moret veuve Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Angéline Bernardot, 5 février 1888
Marie Moret remercie madame Bernardot pour le prêt de la croix de la Légion d'honneur de son mari et pour être allée à Saint-Quentin à sa place.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alfred Falaize, 8 février 1888
À la demande de Ganault, l'un des exécuteurs testamentaires de Godin, Marie Moret informe Falaize qu'il recevra le lundi suivant une lettre de sa part.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 15 février 1888
Marie Moret indique à Tisserant lui avoir retourné, la veille, 3 lettres à Nancy. Elle l'informe du décès brutal de monsieur Ringuier, dans la nuit de son retour à Paris, d'une congestion cérébrale. Elle en informe Ganault. Elle évoque la publicité légale à la ratification de la nomination de M. Dequenne en qualité de gérant désigné, prononcée dans la dernière assemblée générale. Elle interroge son correspondant sur la manière de procéder à cette publicité ; faut-il la faire immédiatement ou bien attendre que le gérant-désigné devienne gérant, comme le pense Aimé Flamant. Elle transmet ses sentiments à Tisserant et à sa fille Marguerite qu'elle remercie pour sa lettre.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 15 février 1888
Marie Moret explique à Ganault qu'elle a la main fatiguée. Elle lui raconte qu'elle a reçu la veille un télégramme signé Cellier lui annonçant la mort de Ringuier, qui mangeait avec elle le jour précédent, qu'elle lui a envoyé un télégramme lui demandant le jour des obsèques de Ringuier pour que l'Association du Familistère s'y fasse représenter et qu'elle a envoyé un télégramme de condoléances à monsieur Cellier au 33, rue de Varenne. Sur la mort de Ringuier et la vie ultra-terrestre. Sur l'acceptation du legs de Godin par l'assemblée générale de l'Association du Familistère du 23 février 1888. Sur la désignation de représentants de l'Association du Familistère dans la succession de Godin. La lettre est suivie (folio 405r) d'un projet de résolution de l'assemblée générale sur l'acceptation du legs de Godin et la désignation d'un représentant de l'Association du Familistère distinct de son administratrice-gérante dans la succession de Godin.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Georges Coulon, 18 février 1888
Marie Moret accuse réception de la lettre de Coulon du 17 janvier 1888 et du télégramme de madame Coulon. Elle lui explique qu'elle est accaparée par la gérance de la Société du Familistère alors qu'elle voudrait se consacrer aux manuscrits de Godin et à l'achèvement de l'ouvrage que son mari évoquait dans sa lettre à Coulon du 3 décembre 1887. Elle fait référence au Devoir pour évoquer son élection à la gérance et la délégation de certains de ses pouvoirs à des conseillers de gérance. Elle lui demande d'intervenir dans la question soulevée par Godin dans sa lettre du 29 novembre 1887, relative à des poursuites en contrefaçon contre Faure père et fils à Revin, et Deville, Paillette et Cie à Charleville. Elle soutient que les deux affaires doivent être plaidées ensemble. Sur la succession de Godin : elle explique à Coulon que deux députés de l'Aisne, Ganault et Ringuier, ont été désignés exécuteurs testamentaires et que Ringuier est décédé. Elle transmet à madame Coulon les compliments d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, vers le 20 février 1888
Marie Moret informe Tisserant que le nécessaire se fait pour la publication de la nomination du gérant désigné, conformément à ses indications. Elle explique à Tisserant qu'elle a retrouvé un peu de sommeil en prenant définitivement le parti de transmettre la gérance, et que c'est pour elle une nécessité afin d'avoir le temps de publier les manuscrits de Godin. Elle donne l'exemple de Ringuier pour évoquer l'incertitude du lendemain. Elle explique ensuite qu'André, Dequenne et Pernin sont d'accord pour prendre ensemble la gérance de la Société et qu'une modification des statuts est nécessaire. Elle prend pour exemple le magasin Le Bon Marché, Veuve Boucicaut et Cie, qui vient de passer d'une commandite simple à une commandite par actions. Elle informe Tisserant qu'André, Dequenne et Pernin pensent consulter Vavasseur sur cette question, projet dont elle informe également Ganault. Elle lui transmet les compliments d'Émilie et de Marie-Jeanne Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Paul Tony-Noël, 25 février 1888
Sur le mausolée de Godin. Marie Moret précise à Tony-Noël que ceux qui veulent présenter un projet au conseil de gérance de la Société du Familistère, à elle-même et à l'exécuteur testamentaire de Godin le font à leurs risques et périls. Elle l'informe qu'en raison de la neige, le plan de la partie du jardin où s'érigera le mausolée ne sera achevé que la semaine suivante, et qu'une décision n'interviendra pas avant la fin de mars ou le début d'avril. Marie Moret lui indique qu'elle n'a pas eu le temps de réfléchir à une allégorie possible de l'esprit général de Godin. Elle lui recommande de descendre à l'hôtel de la Couronne s'il vient à Guise avec un ami pour examiner l'endroit où sera élevé le monument. Elle revient ensuite à la question de l'allégorie de la pensée de Godin et lui donne des indications : « Il était en outre profondément spiritualiste et savait bien que son tombeau ne recèlerait que la partie grossière de son enveloppe matérielle. Il serait donc bon que son mausolée indiquât ces traits généraux. » Elle lui confie qu'il a l'avantage d'avoir connu Godin et d'avoir réalisé son buste. Elle lui demande à quel prix il pourrait réaliser un nouvel exemplaire en bronze de celui-ci s'il était décidé de placer un buste sur le mausolée ; elle l'interroge sur la tenue du bronze à l'extérieur et sur l'emploi de granit pour le mausolée.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Clovis Degon, 25 février 1888
Marie Moret informe Clovis Degon que l'exécuteur testamentaire de Godin est Gaston Ganault, député de l'Aisne résidant au 46, rue Notre-Dame des Champs à Paris, mais qu'il n'est pas fait mention de lui dans le testament de Godin.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 28 février 1888
Sur la gérance de l'Association du Familistère. Marie Moret remercie Tisserant pour sa lettre du 28 février 1888. Elle est résolue à réorganiser la gérance mais ne veut pas réaliser son projet en « casse-cou ». Elle lui explique que Ganault pense que le changement ne peut advenir qu'après le règlement complet de la succession de Godin. Elle veut, en attendant, conférer à Eugène André la qualité d'associé, projet auquel pourraient s'opposer les trois « dissidents » ; elle expose le projet de modification des statuts pour conférer le titre d'associé à ceux qui ont travaillé 25 ans consécutivement au service de l'Association ; elle demande à Tisserant s'il confirme son accord pour un tel changement ; elle l'informe qu'elle est résolue à accomplir cette modification car Dequenne ne veut pas être gérant définitif et que Pernin ne doit pas devenir gérant, et que l'idée d'un triumvirat pourrait faciliter l'acceptation de ce changement ; elle fait valoir que Godin était favorable à une gérance partagée, plus efficace qu'une gérance individuelle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 20 novembre 1875
Sur les élections sénatoriales. Godin explique à son fils Émile que Ganault et lui ne voient pas d'un bon œil que Waddington veuille introduire dans la liste le royaliste de Saint-Vallier à côté d'Henri Martin, plutôt que deux candidats moins conservateurs comme Joseph Soye ou François Malézieux. Il indique que la plupart des députés sont favorables à la liste Waddington, de Saint-Vallier et Henri Martin. Sur les élections législatives. Godin pense qu'avec le scrutin uninominal, les efforts de l'administration tourneront contre lui, aussi veut-il s'assurer s'il a des groupes sympathiques à sa candidature dans les quatre cantons. En ce qui concerne le canton de Sains-Richaumont, Godin veut attendre pour savoir si Turquet se présente contre lui. Il recommande de s'occuper avant tout des grandes communes. Sur l'envoi des brochures : Godin observe qu'elles n'ont pas été envoyées proportionnellement au nombre d'habitants des communes ; il recommande d'envoyer les 7 000 exemplaires restants de Au suffrage universel dans toute la circonscription, y compris le canton de Sains, proportionnellement à la population des communes. Sur une visite à faire à Maréchal : Godin laisse chacun faire ce qu'il pense devoir faire ; il précise que Waddington a été hostile à la candidature de Maréchal et que les articles de L'Argus contre celui-ci ont été inspirés par Waddington ; il conseille à Émile de dire à Maréchal qu'il ne doit pas compter sur l'appui de Waddington. Godin annonce que le plus important dans l'immédiat est de savoir si les électeurs de Guise et de Wassigny sont bien disposés à son égard.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Paul Victor Nice, 4 décembre 1875
Sur les élections sénatoriales. Godin répond à la lettre de Nice du 2 décembre et se déclare satisfait que Nice ne se soit pas rallié à la combinaison Waddington, de Saint-Vallier, Henri Martin pour les candidatures au Sénat, nuisible au parti républicain, mais à laquelle Buffet accorde les deux-tiers de sa protection. Godin explique que Waddington est opposé à la république démocratique et que les républicains qui le soutiendront seront inconséquents. Il estime qu'il faut ranimer la foi républicaine, quand bien même les élections sénatoriales ont un système inventé par les royalistes. Il souhaite que Le Courrier de l'Aisne se place au-dessus des intérêts électoraux dans l'intérêt de la République. Il indique à Nice qu'il essaiera de se rendre à Laon à son invitation mais que les travaux de l'Assemblée pourraient l'en empêcher et l'assure que Ganault y participera.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Adolphe Hourdequin, 17 décembre 1875
Sur les élections sénatoriales : Godin adresse à Hourdequin un premier article en lui suggérant de le faire passer pour un article de la rédaction, comme le fait Le Courrier de l'Aisne en accord avec Ganault. Il l'informe que le candidat annoncé est l'ancien préfet Audoy.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à René Goblet, 12 juillet 1876
Sur un procès avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin explique comment la mention « sans responsabilité » ajoutée à ses lettres de voiture par la compagnie lui cause du tort : il conteste le droit de la compagnie à modifier ses lettres de voiture. Godin demande à Goblet de s'entendre avec Delpech sur la conduite à tenir dans l'affaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la construction de l'école normale de Laon. Godin pense qu'en raison de la dissolution de la Chambre, Henri Martin, sénateur, ne pourra pas assister à la réunion du vendredi suivant de la commission d'étude du projet d'école normale. Il lui adresse la copie du rapport qu'il a rédigé sur la visite de la commission de l'école normale de Douai. Il l'informe que le point important de la prochaine réunion de la commission sera le choix de l'architecte. Entre Cherrier de Saint-Quentin et Georges Ermant, Godin exprime sa préférence pour ce dernier. Godin demande à Henri Martin de s'entretenir de ce sujet avec Malézieux, Soye, Turquet et Ganault avant la réunion.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Turquet qu'il devait venir à Sains et lui parler de l'opportunité d'un voyage de lui-même et de Ganault à Paris pour voir le ministre des Travaux publics. Il lui demande de lui donner son avis sur l'opportunité du voyage. Il l'informe que Ganault est prêt à partir jeudi et qu'il lui a demandé une étude sur le raccordement possible entre la ligne de Saint-Quentin et la ligne de l'État passant par Les Coutures.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au ministre des Travaux publics une audience pour l'entretenir du chemin de fer de Wassigny à Guise sur la ligne de Valenciennes à Laon. Il l'avertit qu'il viendra avec Gaston Ganault, conseiller général de l'Aisne et ancien député comme lui. Il lui indique qu'il joint à son courrier une brochure montrant que les études d'avant-projet de l'ingénieur en chef des ponts et chaussées compromettent les intérêts de l'État, des communes, de l'industrie et du trafic général. Il lui annonce qu'il lui remettra des plans et des profils rectificatifs de cet avant-projet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : à propos du partage des frais de procès entre les époux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin explique à Ringuier qu'il veut faire un testament pour sécuriser l'avenir de l'Association coopérative du capital et du travail. Il lui demande s'il veut être avec Ganault son exécuteur testamentaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin déclare à Gagneur qu'il veut l'aider dans son travail de propagande et qu'il a fait traduire sa biographie publiée en Angleterre par Edward Vansittart Neale, qu'il lui adresse avec une vue générale du Familistère et des portraits photographiques, ainsi que Mutualité sociale. Il estime que le projet de Gagneur d'amener au Familistère le président de la République est un simple rêve ; il juge que Grévy, qu'il estime et à qui il fait servir le journal Le Devoir, n'est pas sensible aux questions sociales, et que les hommes d'État doivent considérer comme une utopie sa position à l'égard de la guerre. Il confie à Gagneur que Ganault et Ringuier sont les seuls députés de l'Aisne avec qui il est en relation de sympathie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Brialou 10 exemplaires de La réforme électorale. Il lui signale qu'il a envoyé la brochure et les articles du journal Le Devoir sur la question à Ballu, Clemenceau, Delattre, Floquet, Ganault, Constans, Gambon, Giard, Granet, Laisant, Lesguiller, Lockroy, Maret, Tony Révillon, Ribot, et Rivet. Il lui demande de lui adresser le rapport sur le projet de loi relatif au scrutin de liste que devait lui transmettre Constans.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Godin. Sur les bruits de guerre qui aggravent la crise économique. Il consulte Tisserant pour connaître quels changements il devrait faire à son testament à la suite de son mariage avec Marie Moret. Il lui envoie le contrat de mariage paru dans le journal Le Devoir et une copie de son testament, et il lui soumet une série de questions.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Offroy et Cie des coupons de rente française faisant partie de la succession de Godin et sollicite, en accord avec Gaston Ganault, le versement des arrérages sur son compte.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à Falaize de s'adresser à Ganault, exécuteur testamentaire de Godin, pour les questions qu'il a posées à Bernardot, relatives à la succession de Godin. Elle le remercie pour sa lettre du 11 février 1888.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet des intérêts d'un titre d'apport de 300 000 francs, de l'envoi d'une note de Ganault, du compte des rentes Lefèvre, Godin, etc.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet de la succession de Godin. Elle renvoie à Me Flamant et Ganault pour toutes questions car M. Rinquier est mort.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Remercie son frère pour son aide contre les menaces de Marcel Laporte. Portera plainte que quand elle ne pourra plus faire autrement. Rapporte ce que Ganault a conseillé. Se rappelle de la dernière fois où a été souhaité la fête à Godin. Pascaly est venu au Familistère.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Flore Moret, Émilie et Marie-Jeanne Dallet vont mieux. Écrit pour envoyer son souvenir et être avec eux pour Noël. Remercie pour ses impressions sur la faillite de la Compagnie du canal de Panama. Diffusion d'une feuille par le comité Panamiste. Avant de la signer Marie Moret demande des renseignements à son frère.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Explique pourquoi elle ne peut plus payer les abonnements au Droit des femmes et l'association. Elle peut seulement continuer à soutenir dans Le Devoir. Elle est obligée de restreindre ses dépenses à cause de la faillite de la Compagnie du canal de Panama. Elle n'a pas hérité de la fortune de son mari car ils se sont mariés sous le régime de la séparation de biens. La fortune de Godin est allée à ses héritiers et à la Société du Familistère de Guise. Donne les noms de Ganault et Adèle Brullé s'il souhaite plus de renseignements.
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