FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 20 novembre 1868
À propos de la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire. Godin évoque la disparition de Lecoq de Boisbaudran. L'arrêt de la cour d'Amiens contraint Godin à verser 700 000 F à Esther Lemaire mais Favre lui a fait valoir qu'il serait imprudent de verser la somme « sans des garanties du remploi de la part de Mme Godin ». Godin craint qu'il n'obtiendra pas ces garanties ; à son avis et à l'avis d'Alphonse Delpech, il serait prudent de verser la somme. Godin demande conseil à Favre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 26 avril 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin rappelle à Favre sa lettre du 19 avril et l'informe que sa femme « a opté pour la communauté » le 24 avril et que le même jour, elle a demandé que des scellés soient apposés dans l'usine sur les papiers, l'argent, les marchandises, les modèles, les matières premières, etc., demande à laquelle Godin s'est opposé par un référé. Il explique à Favre que le référé a eu pour conséquence de porter à l'audience de mai la question de savoir si la séparation remonte au jour de la demande ou au jour de l'arrêt du tribunal. Godin demande à Favre son avis. Il interrompt le cours de sa lettre pour annoncer qu'il reçoit une lettre de Lecoq de Boisbaudran [lui proposant ses services dans l'affaire de la liquidation]. Il demande à Favre de le presser de venir à Guise. Sur une lettre de Delpech relative à la nomination du notaire liquidateur. Godin signale que maître Dauphin le représentera à l'audience du 3 mai et qu'il n'a pas de raison de s'opposer à la nomination du notaire désigné par Esther Lemaire, qui est le meilleur de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 28 avril 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin informe Favre qu'Oudin-Leclère lui a annoncé qu'Hébert, avocat d'Esther Lemaire, pourrait plaider à l'audience du jeudi 4 mai à Vervins. Il indique que l'on s'apprête aussi à nommer le notaire liquidateur le 3 mai devant la cour d'Amiens. Il sollicite le concours de Favre et lui demande de lui indiquer la provision à lui verser ou à verser à Lecoq de Boisbaudran. Il signale qu'il vient de recevoir une lettre de Lecoq de Boisbaudran et il précise son capital s'est accru de 250 à 300 000 F depuis la demande en séparation et qu'ainsi son intérêt est que l'évaluation des biens de la communauté se fasse à partir du jour de la demande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 25 avril 1865
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin : Godin annonce à Cantagrel qu'on vient d'envoyer de Reims un calorifère de 1858 et un ancien foyer venant de Belgique ; il lui demande de prévenir Allez frères qu'il vont les recevoir. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire : Il indique à Cantagrel qu'il a renoncé à utiliser les services de Puteaux et qu'il lui préfère Lecoq de Boisbaudran ; il l'informe qu'un nouveau procès est en cours pour savoir si la liquidation prend effet le jour de la demande ou le jour de l'arrêt du tribunal. « Je suis accablé de tout cela et trouve la vie bien lourde ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 2 mai 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin évoque la procédure concernant le référé, la date de référence de la liquidation et l'apposition des scellés. Il fait valoir que cette dernière mesure est absurde. Il lui signale que Lecoq de Boisbaudran est avec lui à Guise et que jules Favre a écrit pour lui dire qu'il craignait que la nomination qu'un second notaire pouvait jeter Gauchet entièrement dans le camp d'Esther Lemaire. Godin fait remarquer que Gauchet s'attendait à faire le travail avec un second notaire et a affirmé qu'il s'entendrait facilement avec Flamant, et que Dauphin pourrait présenter les choses ainsi sans blesser Gauchet. Il ajoute qu'il est de notoriété publique que l'agent d'affaires Cottenest donne ses directives à Gauchet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 28 juin 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise : Godin annonce à Oudin-Leclère qu'il abandonne l'affaire de l'octroi suivant la recommandation de ce dernier pour éviter d'être accusé d'outrage au maire de Guise. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin annonce à Oudin-Leclère qu'il a choisi Borgnon pour notaire ; il lui communique une lettre du secrétaire de Jules Favre. Sur Alexandre Barthélémy Godin : Godin a reçu une lettre de monsieur Cagnart ; il juge que « c'est une assez triste idée de chicane qui est passée par la tête de mon frère en échange des services que j'ai cherché à lui rendre » ; Godin a écrit à son frère pour qu'il lui restitue des pièces comptables dérobées ; le litige porte sur le montant du rachat par Godin à son frère de matières premières ou de produits manufacturés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 2 juillet 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin signale à Oudin-Leclère qu'il ne partage pas entièrement l'opinion exprimée par Lecoq de Boisbaudran dans sa lettre. Il lui demande s'il doit se rendre à l'audience du tribunal de Vervins et il lui indique qu'il pourrait fermer son usine s'il devait partager le fruit de son travail actuel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 23 mars 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin remet à Oudin-Leclère une lettre de Lecocq de Boisbaudran faisant part des conseils de Jules Favre pour les conclusions sur la liquidation de la communauté de biens, qu'il commente. Sur l'affaire Jacquet : Godin refuse de traiter l'affaire par l'intermédiaire d'avoués ; il demande que Jacquet lui fasse des propositions ; il avertit Oudin-Leclère qu'il va prévenir Delpech au cas où il ferait appel, et lui envoyer le traité avec Jacquet ; il demande une copie du rapport de monsieur Houlon.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 14 juin 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Delpech que Jacquet fait encore des annonces qui font la promotion des appareils qui sont la cause du procès qu'il lui intente. Il lui envoie le numéro du périodique contenant l'annonce que lui a communiqué Lecoq de Boisbaudran. Il explique à Lecoq de Boisbaudran qu'il comprend d'autant moins l'attitude de Jacquet qu'il a entendu dire qu'il dépréciait la marchandise aux acheteurs dans son magasin. Il lui envoie la copie du traité conclu avec Jacquet qui fait l'objet de la lettre qu'il écrit à Dauphin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 17 novembre 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Il informe Delpech qu'il va demander à Jules Favre de plaider en appel et il lui demande de s'entendre avec son secrétaire Lecoq de Boisbaudran à ce sujet. Il lui annonce qu'il va régler ses frais et il lui demande de lui communiquer ce qu'il doit à Dauphin dans l'affaire Jacquet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 17 novembre 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Favre que Delpech lui apprend qu'Esther Lemaire fait appel du jugement du tribunal de Vervins. Il lui demande de plaider sa cause dans laquelle un intérêt supérieur est engagé. Il lui envoie la brochure rédigée par un journaliste sur le Familistère. « Si le Familistère n'est pas dans l'ordre des idées sociales à la défense desquelles vous vous êtes consacrés, vous n'en êtes pas moins le seul aujourd'hui parmi les avocats qui puissiez vous faire le véritable interprète de la part que cette fondation prendra au milieu des événements contre lesquels j'aurai à lutter. » Il l'informe que Borgnon est à Paris et doit s'entretenir avec Lecoq de Boisbaudran, et que Delpech lui enverra les pièces du dossier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 8 décembre 1866
Sur l'affaire Jacquet. À propos de l'expertise. Il est question d'un monsieur B., dont Godin n'espère rien. Godin est partisan de pousser les experts à mesurer le taux de plomb dans les aliments cuits dans les poteries émaillées. À propos de plats de boulanger.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 28 mars 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin prie Favre de le conseiller dans l'affaire. Il met en relation la fondation du Familistère et les procès qu'on lui intente. Il annonce à Favre qu'il reçoit à l'instant une dépêche télégraphique l'informant qu'il a été condamné par le tribunal de Charleville à verser des dommages et intérêts à Corneau frères. « Je me souviens qu'un jour, en me parlant de ma grosse affaire, vous m'avez dit que mes juges verraient défavorablement pour moi que je me sois occupé d'autre chose que d'industrie (de spiritisme). Qu'en sera-t-il si l'un de ces jours je prends place dans le monde philosophique avec la prétention de poser dans des écrits la base et les lois naturelles de la morale et de la religion de l'humanité ? »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 1er mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Favre qu'il a perdu son procès, que son contrat avec Jacquet est résilié et qu'il est condamné à 10 000 F de dommages et intérêts et à tous les dépens. Godin constate qu'il perd ses procès alors que les faits ou le droit sont de son côté : « Je ne puis donc guère faire autrement que de me dire qu'une fatalité singulière me poursuit devant la judicature [...] » Il demande à Favre s'il doit faire appel du jugement et lui demande ce qu'il pense de l'affaire Corneau frères.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Alphonse Delpech, 20 juillet 1867
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Émile Godin communique à Delpech une lettre du notaire Borgnon rendant compte de sa démarche auprès d'Esther Lemaire. Il lui demande de consulter Jules Favre avant de lui dire ce qu'il doit faire. Sur des versements de pension alimentaire depuis le jugement du 22 juillet 1864. Il demande à Delpech d'en informer Lecoq de Boisbaudran. La copie de la lettre de Borgnon du 20 juillet 1867, manuscrite à la plume, se trouve sur le folio 494ter ; la lettre est adressée à « Mon cher maître » : Borgnon a proposé à Esther Lemaire, par l'intermédiaire du notaire Gauchet, de recevoir une pension alimentaire de 15 000 F par an, mais s'est aperçu que le versement devait cesser avec l'instance en séparation de corps du 23 mars 1865.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Cantagrel, 26 juillet 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Émile Godin demande à Cantagrel d'aller voir Émile Barrault, 33 boulevard Saint-Martin à Paris, pour reprendre le dossier qui lui avait été confié par son père, et le confier à une autre personne afin d'obtenir la nullité d'un certificat d'addition. Il lui communique une lettre de Lecoq de Boisbaudran qui mentionne les adresses de deux personnes. Dans le post-scriptum, il informe Cantagrel que son père est d'une grande faiblesse.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 3 décembre 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté des biens. Godin demande à Oudin-Leclère de vérifier si Alphonse Delpech dispose des pièces nécessaires à l'étude du dossier de l'appel interjeté par Esther Lemaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 4 décembre 186[6]
Sur l'affaire Jacquet. Godin avertit Cantagrel qu'il enverra le lendemain aux experts ses observations sur le dire de Jacquet, lui demande de communiquer son mémoire à Lecoq de Boisbaudran et à Barreswil et l'informe qu'il a écrit à Juette pour le prévenir. Sur l'Exposition universelle : Godin regrette de n'avoir pas communiqué à Cantagrel sa lettre au commissaire général de l'Exposition pour faire avancer sa demande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 17 décembre 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Cantagrel qu'il a dû quitter Paris sans avoir pu le revoir. Il lui explique qu'il a passé la soirée de vendredi avec Lecoq de Boisbaudran et qu'il a revu monsieur Juette le samedi matin et s'est entendu avec lui pour faire chez Cantagrel les expériences de cuisson de deux rôtis. Godin annonce à Cantagrel qu'il lui envoie trois exemplaires de son dire sur l'affaire destinés à Lecoq de Boisbaudran et aux experts. Il lui indique enfin qu'il a vu monsieur Tinard avant son départ.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 2 février 1867
Sur l'affaire Jacquet. À propos de l'arbitrage que Godin souhaite équitable. Sur le paiement des annuités des brevets de Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 21 mars 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin constate que l'expertise ne lui est pas favorable. Il demande à Oudin-Leclère de se mettre en relation avec Lecoq de Boisbaudran à qui il demande d'aller plaider à Vervins. Godin estime que la situation est difficile dans la mesure où le tribunal a admis qu'il était obligatoire de placer des émaux à l'intérieur des appareils et que ce n'était pas le fait de Jacquet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 10 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Oudin-Leclère qu'il a vu Jules Favre et que ce dernier est d'accord pour partir de Paris le 15, dîner le soir à Laon, puis aller à Vervins, et que lui-même se trouvera à Vervins le 16 mars vers 9 heures du matin. Il lui demande s'il reste à Vervins des objets émaillés ayant servi à la première audience. Il lui signale dans le post-scriptum que Lecoq de Boisbaudran accompagnera Jules Favre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C. Vuillamy, 22 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin annonce à Vuillamy qu'il a averti Béchet, Dethomas et Cie de déposer à la Caisse des consignations 10 000 F à la suite de la condamnation prononcée contre lui dans l'affaire Jacquet. Il prie Vuillamy de demander à Lecoq de Boisbaudran la formule convenable à donner à ce dépôt.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C.  Vuillamy, 24 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Vuillamy que sa présence à Paris est nécessaire pour réceptionner les objets remis par Jacquet, mais que si ce dernier ne veut rien remettre et si Lecoq de Boisbaudran en convient, il pourra partir en voyage. Godin pense que les événements et l'atonie désespérante des affaires font moins regretter le temps perdu. Dans le post-scriptum, il demande à Vuillamy si Cantagrel se trouve à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guillemont, 29 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Guillemont qu'il a demandé à la banque Béchet, Dethomas et Cie de lui remettre la somme de 10 000 F pour lui permettre de faire des offres à Jacquet. Il demande à Guillemont de s'entendre avec Lecoq de Boisbaudran, avocat, rue du Pont-de-Lodi.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 23 octobre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. À propos de la disparition de pièces du dossier du procès. Godin pense que Jules Favre plaidera au procès à Metz. Il annonce à Cantagrel que son fils Émile est à Paris. Il l'informe que sa santé se rétablit et qu'il est heureux que celle de Cantagrel se soit améliorée sous l'influence de l'eau froide. À propos d'une invention de Cantagrel relative au chauffage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 19 décembre 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Jules Favre qu'en raison de son occupation au Corps législatif, il va devoir demander à Emmanuel Arago d'être son avocat dans l'affaire devant la cour de Metz, ce qu'il regrette car Lecoq de Boisbaudran s'était déjà occupé de l'affaire. Il demande à Favre un mot de recommandation auprès d'Emmanuel Arago.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 28 mars 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. À propos d'un mémoire de monsieur Hébert.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 24 avril 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin explique à Delpech que le notaire Borgnon, maltraité par le mémoire d'Hébert, désire s'en entretenir avec monsieur Lepelletier à Amiens ; il lui demande si celui-ci s'y trouvera le mardi suivant. Il l'informe que son mémoire s'imprime.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 6 mai 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin explique à Delpech qu'il n'a pu se rendre à Paris pour travailler avec Lecoq de Boisbaudran à la rédaction de son mémoire parce qu'il est alité à cause de la mauvaise application d'un remède.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 12 mai 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. À propos du certificat d'addition de Corneau frères et du brevet de Haunet. Sur les dessins et brevet à communiquer à Arago. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : l'audience aura lieu le 23 mai prochain ; Cantagrel peut obtenir un exemplaire du mémoire auprès de Lecoq de Boisbaudran.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 26 octobre 1868
Godin informe Delpech que les journaux lui ont appris qu'un accident est arrivé à Lecoq de Boisbaudran en Suisse. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens.

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