FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Anastasie Paquerot, 10 juillet 1875
Marie Moret regrette son prochain départ avec monsieur Paquerot. Elle lui demande jusqu'à quand elle assurera le cours de sa classe de jeunes filles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 30 août 1875
Le préfet de l'Aisne a indiqué à Godin lors de la dernière session du conseil général qu'il n'était pour rien dans la transformation des écoles mixtes du Familistère en écoles séparées de garçons et de filles. Godin demande au préfet de constituer les écoles du Familistère en école libre sous la direction d'Alexandre Onésime Poëtte assisté d'adjoints ou d'adjointes pour chaque division de l'enfance, et que les écoles sont ainsi une seule institution. Godin explique qu'en raison de la division des âges dans les écoles, la mixité permet de placer les enfants du même âge sous la direction d'une même personne « souvent prise parmi les mères de famille les plus recommandables de la population », et qu'ainsi la surveillance ne fait pas défaut et les leçons sont les mêmes pour chaque classe. Godin ajoute qu'il a d'autant plus besoin de trouver une solution à la situation que madame Paquerot, qui avait fait la déclaration pour l'école des filles, est partie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Benoist, 2 septembre 1875
Sur le recrutement d'un instituteur. Godin expose à Benoît l'organisation du système éducatif de ses écoles, de la nourricerie à l'apprentissage, et il lui explique qu'il cherche un instituteur pour s'occuper de la première classe (10 à 12 ans et au-dessus) et surveiller les autres divisions, aux appointements de 200 F par mois, logement à sa charge, et de préférence marié avec une femme institutrice.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Benoist et Fourmestraux, 7 septembre 1875
Godin explique à Benoist et Fourmestraux qu'il ne fait pas une condition absolue de recruter un instituteur marié à une institutrice, voire simplement marié, même s'il serait satisfait que le mari et la femme prennent ensemble la direction des écoles. Il précise que les appointements des adjointes du chef d'institution sont de 700 à 800 F, pour donner une référence pour les appointements de l'institutrice épouse de l'instituteur.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 29 octobre 1875
Godin fait remarquer au préfet que la décision du conseil départemental de l'instruction publique ne change rien à la situation des écoles du Familistère, bien que le préfet lui ait laissé espérer, lors de la dernière session du conseil général de l'Aisne, qu'il était disposé à le laisser librement organiser ses écoles. Il rappelle au préfet que ce dernier avait rédigé une note pour lui servir de modèle à sa demande au Conseil départemental de l'instruction publique ; Godin reproduit le texte de la note du préfet sur l'autorisation d'ouverture d'une école mixte dirigée par monsieur Poëtte comprenant des classes mixtes en dérogation à la loi. Godin constate que la décision du Conseil départemental ne donne pas satisfaction à cette demande. Godin prévient le préfet qu'il renouvelle sa demande et qu'il vient de faire remplir les formalités exigées par la loi pour l'entrée d'un nouveau chef d'institution des écoles du Familistère. Il signale enfin que la décision du conseil départemental l'obligerait à construire une 7e salle pour les classes supérieures qui accueilleraient seulement 20 à 25 enfants.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un conseiller général de l'Aisne, 29 octobre 1875
Godin explique à son « cher collègue » que la décision du Conseil départemental de l'instruction publique ne le satisfait pas car elle lui interdit la mixité des classes de 10 à 12 ans et l'obligerait à construire une 7e classe pour séparer filles et garçon dans les classes supérieures, qui n'accueilleraient dès lors que 20 à 25 élèves. Il prévient son correspondant qu'il renouvelle sa demande et qu'il en adresse le duplicata à chacun des membres du Conseil départemental. Il adresse en outre à son correspondant toutes les pièces principales de l'affaire depuis le mois d'août précédent et il lui signale que depuis 3 mois la première classe des écoles du Familistère est privée de maître faute de solution définitive. Il lui demande de hâter cette solution.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 29 octobre 1875
Godin explique à son correspondant que le 30 août 1875, il a envoyé au préfet de l'Aisne une demande concernant les écoles du Familistère qui a été portée récemment devant le Conseil départemental de l'instruction publique. Il informe son correspondant qu'il renouvelle sa demande qui n'a pu être complètement appréciée par le Conseil, dont il lui adresse le duplicata.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Poëtte, Alexandre Onésime ; Briquet, Charles Joseph (1816-)
Jean-Baptiste André Godin, Alexandre Onésime Poëtte et Charles Joseph Joubert au préfet de l'Aisne et aux membres du Conseil départemental de l'instruction publique, 29 octobre 1875
Demande d'autorisation de classes mixtes dans les écoles du Familistère déposée par Jean-Baptiste André Godin, Alexandre Onésime Poëtte, chef d'institution, et Charles Joseph Briquet qui a déposé sa déclaration de chef d'institution. La demande décrit les avantages de la mixité dans les classes des écoles du Familistère

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Benoist et Fourmestraux, 18 novembre 1875
Sur un emploi d'institutrice. Godin rappelle à Benoist et Fourmestraux qu'il leur a demandé il y a deux mois de lui fournir un instituteur. Il leur demande de lui fournir une institutrice pour tenir une classe de jeunes filles de 8 à 12 ans au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin donne de ses nouvelles à Tisserant : « Je puis vous dire qu'ayant renoncé à perdre mon temps à Versailles, je reste ici et répare le désordre que l'ordre moral a cherché à y introduire. Mais nous sommes loin encore de jouir de la liberté nécessaire, car il n'y a de liberté réelle en ce moment que pour le cléricalisme. J'attends donc avec impatience le jour où l'influence de cette caste malheureuse aura perdu sa prépondérance sur la France. ». Il lui indique qu'il est entouré de procès qui le paralysent, mais que les tracasseries ont cessé à l'égard des écoles. Godin demande des nouvelles de Tisserant, en particulier de ses projets en Algérie. Sur une liasse de papiers déclarée disparue par Grebel et finalement retrouvée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à l'inspecteur les tableaux adressés à l'école du Familistère. Il lui rappelle que le conseil départemental [de l'enseignement] a décidé en octobre 1875 que les classes du Familistère ne constituent qu'une seule école sous la direction d'un seul chef d'institution, raison pour laquelle un seul tableau a été complété.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Lecail a écrit à Godin le 21 mars 1877 pour se plaindre d'un refus d'augmentation d'appointements. Godin lui fait remarquer qu'Eugène André lui a indiqué que les écritures du magasin n'étaient pas régulières et qu'un employé doit être jugé d'après les faits, même s'il aurait eu plaisir à promouvoir un ancien élève des écoles du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'éducation de l'enfance au Familistère. Godin indique à Bordet que tous les emplois de maîtres et de maîtresses sont pourvus, mais qu'il peut visiter le Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Leymarie que la session du conseil général lui permet de se trouver à Guise et de l'accueillir. Il lui signale que les écoles du Familistère vont être en vacances les jours qui vont précéder la fête de l'Enfance du dimanche 2 septembre. Il lui semble qu'il ne trouvera pas à la fin de la semaine le calme nécessaire aux expériences spirites qu'il a proposé de faire. Il l'invite à venir avant le jeudi suivant, ou alors pour la fête de l'Enfance ; il précise que le lundi suivant la fête, l'usine reprendra ses travaux mais que les enfants resteront en vacances toute la semaine. Godin demande à Leymarie quand il compte venir au Familistère en compagnie de son médium.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'excuse de ne pas avoir répondu plus tôt à la lettre du 14 août d'Edward Vansittart Neale en raison de la session du Conseil général de l'Aisne. Il l'autorise à traduire ce qu'il veut des ouvrages qu'il a publiés et de reproduire les gravures de Solutions sociales, dont une partie des clichés ont été cependant détruits. Sur l'organisation collective des services alimentaires : Godin nuance les théories de l'École sociétaire sur les économies réalisées, vraies sans doute en période d'abondance, mais pas lorsqu'il s'agit du strict nécessaire ; il met également en avant la difficulté à trouver des personnes « excessivement compétentes » pour réaliser une cuisine à bon marché. Il lui envoie trois photographies de lui pour qu'il en choisisse et qu'il en commande des exemplaires à la librairie du Familistère. Il lui transmet les compliments des personnes qu'il a vues au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention de Rousseau sur la conduite de son fils Jules dans les écoles du Familistère, privé de récompenses en septembre 1878 pour cause d'insubordination. Godin explique à Rousseau qu'à la dernière rentrée scolaire, il avait averti les élèves qu'ils ou elles pourraient être privé·es de récompenses et même interdit·es d'entrer à l'usine du Familistère en cas de mauvais comportement en classe, mais que Jules a continué à se montrer insoumis et insolent. Godin avertit Rousseau que son fils se verra refuser l'entrée à l'usine s'il ne montre pas désormais une conduite exemplaire ; il lui demande d'exercer sur lui son autorité paternelle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention de monsieur et madame Défontaine sur la conduite de leur fils dans les écoles du Familistère, bien que madame Défontaine soit employée dans l'enseignement. Il leur demande de faire preuve de fermeté à l'égard de leur fils, qui ne sait jamais ses leçons, et se montre indocile et insubordonné. Il leur rappelle qu'à la dernière réunion scolaire, il a été déclaré que la première condition pour obtenir une place à l'usine est de donner satisfaction aux maîtres et maîtresses.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Leymarie de publier dans sa revue une offre d'emploi pour un jardinier du Familistère capable de donner un cours de jardinage hebdomadaire aux élèves des écoles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Bourgeois d'avoir recherché, même sans succès, un jardinier pour le Familistère capable de donner des leçons de jardinage aux enfants des écoles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a vu dans les Petites affiches l'annonce de Sholler s'offrant comme jardinier. Il prie Sholler de lui donner les moyens de se renseigner sur son compte et souhaite connaître son âge, sa situation familiale et les appointements qu'il désire obtenir. Il lui demande en outre s'il est capable de donner un cours hebdomadaire de jardinage aux enfants des écoles du Familistère âgés de 12 à 14 ans.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À propos d'une méthode éducative suivie à Aisonville, éditée sans nom d'auteur par Théodore Lefèvre et Cie, 2 rue des Poitevins à Paris.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin informe Neale qu'à la suite de ses observations, il a remanié la rédaction de son testament ; il lui en envoie une copie. Il lui demande s'il compte se rendre au congrès coopératif de Milan. Il lui demande également s'il éprouve des difficultés à publier la traduction anglaise de Mutualité sociale. Il lui adresse les remerciements de Marie Moret pour le volume de morale qu'il lui a envoyé et qui est en cours de traduction pour en faire usage dans les écoles. Il l'informe que Marie termine la traduction des Équitables pionniers de Rochdale et la coopération en Angleterre de Holyoake.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Ragot-David du 8 octobre 1881 : à propos de petits livres de Morale universelle à l'usage des écoles du Familistère. Il demande à Ragot-David de lui envoyer 50 exemplaires du volume contenant la première et la deuxième partie. Il lui transmet le souvenir de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Rétout a adressé à Godin le 9 octobre sa candidature à un emploi d'enseignant dans les écoles du Familistère. Godin l'avertit qu'il cherche non seulement un bon professeur mais aussi quelqu'un capable de diriger et d'organiser l'institution. Il souhaiterait que l'association puisse ouvrir une institution secondaire ou un pensionnat pouvant rivaliser avec l'enseignement clérical. Il demande à Rétout son sentiment sur la question et le prie de lui communiquer ses références.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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En réponse à la lettre de Gibout du 11 octobre, Godin lui communique des renseignements sur les écoles du Familistère : écoles libres d'une association industrielle, susceptibles d'être déclarées d'utilité publique, situées au milieu des logements de la population ; l'instituteur habite dans un des logements, paie son loyer, reçoit uniquement ses appointements mais pourrait avoir droit aux assurances mutuelles et à un pension de retraite ; les heures de classe sont de 8 à 9 h, de 10 à 1 h, de 3 à 6 h, et le jeudi après-midi est libre. Godin lui indique qu'il désirerait recruter non seulement un bon professeur mais aussi une personne capable d'organiser l'institution et de lui adjoindre une institution secondaire et un pensionnat pouvant rivaliser avec l'enseignement clérical. Godin demande à Gibout de lui écrire la manière dont il conçoit l'enseignement de l'histoire ancienne, moderne ou contemporaine à des enfants de 12 à 14 ans ; il veut connaître sa situation familiale et souhaite que Gibout lui communique ses références.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin regrette que Rétout ne puisse trouver le temps pour venir à Guise et découvrir l'association du Familistère ; il lui donne cependant les informations utiles à son voyage en train. À propos des appointements attachés à la fonction de direction des écoles du Familistère. Sur un adjoint [à la fonction de secrétaire] pouvant remplir le rôle de copiste : « Ce qui pourra être le moins agréable pour vous sera de me déchiffrer ; ma rédaction est souvent laborieuse et surchargée. » Sur les émoluments d'une femme pouvant travailler avec Rétout pour l'association du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin délivre des informations sur les écoles du Familistère et la fonction de ses instituteurs. Les écoles sont une dépendance du palais d'habitation ; elles existent depuis 20 ans ; elles sont des écoles libres de l'association du Familistère, qui pourraient être déclarées d'utilité publique ; elles sont gratuites. La ville de Guise a des écoles primaires de filles et de garçons et des pensionnats congréganistes. Godin voudrait élever l'enseignement du Familistère à un niveau supérieur à celui des établissements de Guise. Godin décrit la répartition des enfants de 0 à 12 ans dans les 6 classes mixtes des écoles. Il annonce la construction de deux nouvelles classes pour les enfants de 12 à 14 ans et au-dessus, qui pourront accueillir des pensionnaires. Il explique qu'il n'y a pas de vacances scolaires pour assurer une surveillance constante des enfants. Il décrit la fonction des instituteurs, leur rémunération, leurs charges. Il demande à son correspondant comment il conçoit l'enseignement de l'histoire ancienne, moderne ou contemporaine à des enfants de 12 à 14 ans ; il lui demande également son âge, sa situation de famille, s'il fait usage de tabac et ses références.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le mobilier scolaire des écoles du Familistère : Godin indique à Prudot que le prix des bureaux varie de 22 à 30 F selon le type ; il l'informe qu'il devra préciser l'âge des élèves concerné·es dans le cas d'une commande de mobilier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Jobin que les écoles du Familistère ont leur directeur en chef et qu'il ne peut lui offrir que la direction d'une des classes supérieures. Il lui demande ses prétentions salariales et lui précise que le loyer, le chauffage ou l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Viret que les écoles du Familistère ont un chef d'institution et qu'il ne peut lui offrir que la direction d'une classe. Il lui demande ses prétentions salariales et lui précise que le loyer, le chauffage ou l'éclairage sont à la charge des membres de l'association. Il indique que la fonction comprend 7 heures de classe par jour et que les droits à la retraite sont fixés par les statuts.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à madame Sulzer qu'il serait heureux de trouver une institutrice capable de s'occuper des écoles maternelles et capable en même temps de s'occuper de l'une des classes de l'école primaire. Il lui signale qu'il ne connaît pas l'institution Rama et ne peut donc apprécier ses capacités. Il lui demande ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à madame Alexandre qu'il serait heureux de trouver une institutrice capable de s'occuper des écoles maternelles ou de s'occuper de l'une des classes de l'enseignement primaire. Il lui demande ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Th. Déret que le Familistère de Guise loge une population industrielle de 1 200 personnes, que les écoles sont fondées depuis 20 ans pour les enfants de 7 à 14 ans, que chaque classe a son professeur et compte 35 élèves de même âge des deux sexes, que les professeurs ont 7 heures de travail par jour et que leurs congés sont réduits à une semaine en septembre et un ou deux autres jours. Il ajoute que l'association cherche la stabilité des professeurs. Il lui demande ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage ou l'éclairage de son logement seraient à sa charge. Il précise que les instituteurs et institutrices peuvent devenir membres de l'association. Il lui demande de lui donner les moyens de se renseigner sur lui et sur sa femme si elle est candidate à une fonction vacante.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie au préfet un croquis des écoles du Familistère et lui donne des renseignements détaillés sur celles-ci pour solliciter leur reconnaissance en tant qu'institution d'utilité publique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Clausse de venir à Guise pour qu'ils puissent s'entendre. Il l'informe qu'il y a 7 heures de cours par jour dans les écoles du Familistère, que les classes comprennent 30 à 35 élèves, que le prix des loyers des logements est proportionnel au nombre de pièces et que la vie n'est pas bon marché à Guise. Il lui signale qu'il ne pourrait pas donner à Guise des leçons particulières de musique ou de dessin.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Ringuier que le Familistère a besoin de professeurs dans la force de l'âge formés aux méthodes nouvelles alors que la personne est un maître qui a l'âge de la retraite.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Moret qu'il a déjà fait son choix parmi les candidats aux emplois d'instituteurs des écoles du Familistère, et qu'il ne manque qu'une directrice d'école maternelle. Il lui demande si sa demoiselle peut venir à Guise sans lui et si, étant donné son jeune âge, elle a l'autorité et l'expérience d'une directrice. Il lui demande où elle a obtenu son diplôme, où elle a enseigné, auprès de qui il pourrait se renseigner sur elle, et quelles sont ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Périn qu'il va prendre des renseignements sur lui. Il lui demande s'il pense avoir les aptitudes à diriger un cours élémentaire ou un cours moyen selon les directives du dernier décret du gouvernement, bien qu'il ne soit pas élève des écoles normales. Il l'informe que les classes des écoles du Familistère sont mixtes et l'avise que les écoles du Familistère sont libres et que par conséquent l'engagement décennal ne peut s'y accomplir. Il lui demande s'il est libéré du service militaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris que l'inspecteur a proposé une directrice d'école maternelle à la commune de Gérardmer. Il souhaiterait, si elle est toujours disponible, entrer en relation avec elle pour lui proposer la direction des écoles maternelles du Familistère. Il indique à l'inspecteur qu'il satisferait les conditions de celle-ci : 1 500 F et le logement.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris que Doudelle recherchait un poste d'instituteur. Il lui propose d'enseigner dans les écoles du Familistère pour une classe de 35 à 40 élèves de même âge et des deux sexes. Il lui demande s'il est titulaire du brevet supérieur ou du brevet élémentaire, et quelles sont ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Périn qu'en raison de la jeunesse de ce dernier, il ne sait s'il doit l'accepter pour occuper un emploi d'instituteur dans les écoles du Familistère qui comprennent 5 classes dirigées par 5 professeurs. Il lui demande toutefois de lui communiquer ses prétentions salariales compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à ses frais.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Clausse que les embarras que pourraient lui causer l'affaire évoquée dans sa lettre du 22 septembre pourraient l'empêcher d'occuper le poste d'instituteur dans les écoles du Familistère qu'il lui avait accordé.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Broperon qu'il est pressé d'arrêter son choix définitif pour le recrutement des instituteurs des écoles du Familistère. Il souhaite connaître ses prétentions salariales, sa situation familiale et les adresses des personnes pouvant le renseigner sur lui.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à madame Bourguet si elle peut le mettre en relation avec une directrice d'école maternelle capable d'appliquer les méthodes nouvelles dans les écoles maternelles du Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Clausse pourquoi il n'est pas encore arrivé au Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin presse Broperon de venir enseigner dans les écoles du Familistère. Il lui demande si sa femme a déjà enseigné.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Vézier pour l'envoi de quatre registres d'appel journalier pour école primaire, mais lui fait observer que les écoles du Familistère comprennent cinq classes.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la déclaration d'utilité publique des écoles du Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Muzeau qu'il peut lui offrir la direction d'une classe des écoles du Familistère aux appointements qu'il souhaite. Il lui communique des informations sur les écoles : 5 classes mixtes de 35 à 40 élèves ayant chacune son professeur ; programme de toutes les classes concerté entre les maîtres. Il lui demande de venir immédiatement et propose de lui allouer la somme de 250 F pour ses frais de déplacement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à l'inspecteur des renseignements sur Broperon, instituteur à Grandhoux et candidat à la direction des cinq classes des écoles du Familistère. Il précise que celles-ci sont une institution libre, que Broperon devrait par conséquent avoir rempli son engagement décennal et qu'il serait prêt à offrir 300 F par mois à ce dernier.
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