FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Fernando Garrido y Tortosa, 27 octobre 1867
Réponse à la demande de photographies du Familistère de la part de Fernando Garrido, dont Godin garde le souvenir de la visite à Guise : Godin ne dispose pas d'une vue générale du Familistère en photographie ou en gravure. Il n'a pas de dessinateur sur place et l'exigence de fidélité du dessin ne lui permet pas de contenter Garrido dans un bref délai. Godin invite Garrido à venir au Familistère pour parler de cela. Godin évoque la demande par la Librairie des sciences sociales (« la rue ses Saint-Pères ») d'un article sur le Familistère à l'Exposition universelle, à paraître dans l'Annuaire de l'Association, pour lequel il aimerait utiliser une traduction d'un texte de Garrido en espagnol.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 27 octobre 1867
Sur un article demandé par Noirot à Godin sur le Familistère pour l'Annuaire de l'Association. Godin demande à Noirot s'il consent à publier la traduction d'un texte en espagnol [de Garrido] sur les récompenses décernées aux habitations ouvrières exposées à l'Exposition universelle de 1867, critique à l'égard de l'Empereur, ainsi que les documents réunis par Godin montrant comment on l'a empêché d'y présenter le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 octobre 1867
Godin demande à Émile, qui se trouve à Paris, de le représenter pour recevoir le 27 octobre 1867 une récompense de la Société de protection des apprentis et des enfants employés dans les manufactures. Il précise que l'adresse de la société n'était pas indiquée dans la lettre qu'il a reçue et qu'il ne sait pas de quoi il s'agit. Il demande à Émile de s'informer sur la remise des médailles aux exposants [de l'Exposition universelle de 1867]. Il transmet ses compliments à la famille Cantagrel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 7 janvier 1865
Godin remet à Cantagrel 1 066,65 F en paiement de ses émoluments et pour des annuités de quatre brevets et d'une patente anglaise. Godin explique à Cantagrel qu'il n'est pas sûr de devoir proroger la patente anglaise. Il demande à Cantagrel de soumettre à monsieur de Fontaine-Moreau la patente anglaise et le brevet français qui l'a précédée, ainsi que les brevets sur la cheminée et celui sur l'application des émaux pour voir s'ils pouvaient être patentés en Angleterre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 24 janvier 1865
Sur les patentes anglaises de Godin. Après avoir reçu une note de monsieur de Fontaine-Moreau, Godin pense qu'il ne pourra prendre une patente en Angleterre sur le procédé d'application des émaux par voie sèche qu'à la condition de faire valoir des applications d'un certain mérite. L'Exposition universelle de Paris de 1867 lui donnera l'occasion de montrer des cheminées émaillées aux industriels anglais. Il s'interroge sur la possibilité de prendre en Angleterre une patente sur son système de cheminée et une patente pour son procédé d'émaillage après avoir déposé un brevet pour les mêmes objets en France et avoir vendu des produits hors d'Angleterre. Godin demande à Cantagrel de lui confirmer qu'il a remis tous ses brevets à monsieur de Fontaine-Moreau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 27 janvier 1866
Godin envoie trois photographies du Familistère à François Cantagrel ainsi que le « tableau » de son exposition [de l'Exposition universelle de 1867]. Il précise à Cantagrel qu'il n'exposera pas si l'on réduit, comme l'indique la circulaire reçue, à 1/8e la place demandée par les exposants. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères : Godin demande à Cantagrel pourquoi il n'a pas reçu la réponse de Corneau frères à ses arguments.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Cappelié, 15 juillet 1866
Sur des plans du Familistère. Godin fait à Cappelié des observations sur les études qu'il lui a transmises. Il lui signale que le pouponnat est à peu près achevé et qu'il peut l'intégrer dans le plan général du Familistère. Il lui fait des observations sur un « plan en projet » d'un bâtiment d'habitation pour lequel il joint un croquis à sa lettre : les cabinets d'aisance doivent se trouver derrière les escaliers des angles ; les cages de ces escaliers doivent être isolées pour que les cabinets d'aisance ou les cabinets à ordure, ne perturbent pas les locataires. Il lui explique qu'il préfère obtenir un plan général du Familistère et de l'usine qui sera utile pour l'Exposition universelle de 1867. La copie de la lettre est suivie de la copie d'un croquis légendé intitulé « Croquis d'un projet pour 800 chambres ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin indique à Cantagrel que l'affaire Jacquet l'empêche de s'occuper de la question de l'Exposition universelle de 1867. Il lui explique que l'affaire peut lui donner l'occasion de remplacer ses émaux à base de plomb par des émaux sans plomb, surtout pour préserver la santé des ouvriers. Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin annonce à Cantagrel qu'il va essayer de rédiger une note pour Frédéric Le Play afin d'obtenir une place qui lui permette de disputer un prix à l'Empereur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Frédéric Le Play, 14 octobre 1866
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin présente son établissement industriel, rappelle qu'il a exposé à Londres mais que ses produits sont passés presqu'inaperçus en raison d'une erreur de classification et d'un emplacement désavantageux par rapport à ses concurrents anglais. Il pensait trouver une compensation avec l'Exposition universelle française, mais il n'a pu obtenir d'exposer dans le Palais, aussi se demande-t-il s'il doit figurer au nombre des exposants. « Vous trouverez sans doute inadmissible, Monsieur le Commissaire général, qu'un industriel qui s'est non seulement distingué en industrie, mais qui peut apporter au concours ouvert pour un nouvel ordre de récompenses dans l'organisation du travail et des rapports entre les ouvriers et ceux qui les dirigent, un des faits pratiques des plus importants, ne soit pas convenablement représenté à l'Exposition pour les produits de son industrie, si surtout l'on y accorde attention aux habitations ouvrières qu'il a fondées, et qui font l'objet de la nouvelle demande que je joins à la présente. » La copie de la lettre est suivie de la copie de la demande de Godin de prendre part au concours ouvert au titre IV du règlement des récompenses de l'Exposition universelle de 1867, à laquelle il joint une brochure sur le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 20 novembre 1866
« Le diable se déchaîne contre moi » : Godin recense ses démêlés avec Jacquet, avec sa femme qui fait appel d'un jugement qu'il croyait définitif, avec Corneau frères, avec son « triste frère », et avec le maire de Guise qui s'oppose à son projet de locomotive terrestre. Il lui remet la lettre destinée à la Société d'encouragement pour l'industrie nationale, mais ne se fait pas d'illusions sur l'effet de sa lettre. Il lui annonce que son exposition industrielle à l'Exposition universelle de 1867 est toujours en attente : Le Play lui a écrit au sujet de sa demande pour le nouvel ordre de récompenses mais ne lui a rien dit au sujet de ses produits. Il lui envoie une brochure dont il vient de recevoir plusieurs exemplaires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 28 novembre 1866
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Cantagrel que son avoué de Charleville le prévient que les débats auront lieu le 6 décembre prochain. Sur l'Exposition universelle de 1867 : Godin informe Cantagrel qu'il adresse une lettre de 12 pages sur le Familistère à Frédéric Leplay pour être examinée par le jury d'examen du nouvel ordre de récompenses. Sur l'affaire Jacquet : Godin avertit Cantagrel qu'il doit rédiger un mémoire mais que l'incident de la Société d'encouragement pour l'industrie nationale ne l'encourage pas à le faire. Le post-scriptum porte sur l'Exposition universelle : « Pensez-vous que les petites maisons de l'empereur donneront place à la discussion des 28 articles dont je saisis la commission ? »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Dietz-Monnin, 4 janvier 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin répond à la demande d'information sur le Familistère que lui a envoyée Dietz-Monnin le 2 janvier 1867 par le moyen d'un formulaire qui l'oblige à la concision. Il l'avertit qu'il demande à Cantagrel, 33 rue de Rivoli à Paris, de lui fournir des renseignements complémentaires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 5 janvier 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin communique à Cantagrel la note qu'il avait adressée à Frédéric Leplay au sujet du nouvel ordre de récompenses, afin qu'il aille démarcher Dietz-Monnin, qui lui a écrit à ce propos, et lui remettre des brochures sur le Familistère et son article « pitoyablement écourté » de l'Annuaire de l'Association.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Frédéric Le Play, 21 mars 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin précise sa demande relative à la réintégration de son exposition dans le Palais : il ne souhaite pas transférer la totalité de ses produits du hangar de la classe 24 au Palais mais, au titre du nouvel ordre de récompenses, récupérer la place qui lui avait d'abord été attribuée afin d'exposer des spécimens remarquables de sa production avec des vues et plans du Familistère. Il lui rappelle qu'en réponse à sa lettre du 6 novembre 1866, il lui a adressé une note et des publications sur le Familistère. Godin demande à Le Play s'il doit faire exécuter les plans et vues du Familistère susceptibles d'être présentés au public, ou de lui dire si le Familistère est mis hors concours.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Wladimir Gagneur, 24 juin 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin remercie Gagneur pour sa lettre du 21 juin 1866. Il s'excuse de ne pas donner suite à la démarche que Marie-Louise Gagneur a faite à son intention auprès de l'Empereur. Il a répugnance à solliciter des faveurs pour lui-même mais pas au bénéfice des idées utiles. Il lui explique qu'il a déposé le 14 octobre 1866 une demande pour concourir au grand prix du nouvel ordre de récompense de l'Exposition universelle, qu'il a joint à sa demande en double exemplaire une brochure d'Oyon puis la brochure de Stenger et l'Annuaire de l'Association ainsi qu'une photographie du Familistère et qu'il a répondu à une demande de renseignements par Leplay par un mémoire, mais qu'il n'a pas reçu de réponse à ses demandes réitérées d'exposer les vues et plans du Familistère, et qu'ainsi il a dû y renoncer. Il pense qu'il est superflu d'agir auprès du gouvernement, même si le Familistère figure dans le volume de l'enquête du dixième groupe. Il lui exprime sa déception de ne pas l'avoir accueilli à la première fête du Travail du Familistère dont Marie-Louise Gagneur aurait été satisfaite.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 27 juin 1867
Sur la fête du Travail du Familistère de 1867. Godin regrette de ne pas avoir invité Pagliardini à la fête du Travail du Familistère le 2 juin précédent. Il lui explique que les ouvriers et les employés avaient 2 000 F à se répartir en élisant les plus méritants d'entre eux. Il mentionne les journaux qui ont rendu compte de la fête : L'Opinion nationale, le Courrier français. « Un vaste portique avait été élevé à l'une des extrémités de la grande cour. L'industrie distribuant les récompenses au travail était représentée au-dessus par une vaste peinture improvisée avec goût. Dix trophées représentant les diverses atelliers (sic) de l'usine s'élevaient jusqu'au deuxième balcon. L'éducation avait son trophée spécial couronné par un berceau. Le tableau de tout cela a été fidèlement conservé par un artiste. Je vous le ferai voir sur le papier puisque vous n'avez pas eu l'occasion de le voir dans ce qu'il a eu d'émouvant. » Sur l'Exposition universelle de 1867. Il informe Pagliardini que le 28 novembre il a envoyé à Frédéric Le Play les brochures d'Oyon et de Stenger, l'Annuaire de l'Association et une notice comprenant 49 articles sur le Familistère, mais qu'il n'a pas eu de réponse à sa demande d'exposer des vues et plans. Il salue madame Pagliardini de la part de Marie Moret.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Cantagrel, 23 juillet 1867
À propos d'une médaille et de plaques émaillées à présenter aux visiteurs de l'Exposition universelle. Émile Godin informe Cantagrel que son père se porte mieux grâce au beau temps et à un traitement hydrothérapique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 4 décembre 186[6]
Sur l'affaire Jacquet. Godin avertit Cantagrel qu'il enverra le lendemain aux experts ses observations sur le dire de Jacquet, lui demande de communiquer son mémoire à Lecoq de Boisbaudran et à Barreswil et l'informe qu'il a écrit à Juette pour le prévenir. Sur l'Exposition universelle : Godin regrette de n'avoir pas communiqué à Cantagrel sa lettre au commissaire général de l'Exposition pour faire avancer sa demande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 31 décembre 1866
Sur l'Exposition universelle de 1867. À propos d'un monsieur B. Sur des placements que pourrait faire monsieur Vuillamy. Sur les dépenses à consentir pour l'Exposition. Godin adresse ses vœux de bonne année à la femme et au fils de Cantagrel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 21 janvier 1867
Godin explique à Cantagrel qu'il n'est pas satisfait de la place qui lui est faite pour exposer les produits de son industrie, qui n'est pas proportionnée à son importance. Il demande à Cantagrel d'aller voir Focillon pour tenter d'obtenir de meilleures conditions, et il l'autorise à prendre tous les engagements nécessaires pour son emplacement dans l'Exposition ; il lui demande s'il est nécessaire qu'il fasse une démarche personnelle auprès de Le Play et s'il est utile qu'Émile se rende bientôt à Paris pour s'occuper des préparatifs de l'exposition de ses produits.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Maison Allez, 2 février 1867
Godin rappelle à Allez frères sa lettre du 22 janvier relative aux avantages que leur offre son nouveau tarif et relative à l'exposition de ses produits à l'Exposition universelle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 19 février 1867
Godin annonce que les essais pratiqués sur la fonte de Mineur et Demoustier ne sont pas satisfaisants et que cette fonte ne diffère pas d'une fonte n° 2. Il lui indique qu'il vaut mieux qu'il reste à Paris pour s'occuper des préparatifs de l'Exposition plutôt qu'aller voir la fonte. Il transmet ses amitiés à Cantagrel et à sa famille.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Frédéric Le Play, 11 mars 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin se plaint auprès de Frédéric Le Play de l'exclusion du Palais de l'Industrie dont il lui semble faire l'objet. Il lui rappelle ses demandes antérieures et la visite infructueuse qu'il a faite au Palais de l'industrie. Il lui apprend que son fils l'a informé que des appareils de chauffage produits par des fabricants sans notoriété seraient exposés dans le Palais de l'Industrie, et fait observer que les vues et plans du Familistère et de l'usine auraient utilement figuré au-dessus de ses produits dans le Palais de l'Industrie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 20 mars 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin évoque une expédition pour l'exposition. Il informe Émile que Le Play lui a répondu et qu'il va lui écrire pour lui demander les 3 mètres qu'on lui avait promis dans le Palais de l'Industrie pour y présenter des produits remarquables et des vues et plans du Familistère : « Si on ne le fait pas, c'est que le Familistère sera mis hors de concours, alors ce sera drôle. » Il demande à Émile d'aller chez un fabricant de parapluies voir sa fabrication pour savoir si le Familistère ne pourrait pas en vendre : P. Bétaille au 418, rue Saint-Honoré, Ant. Bétaille au 53, rue Richer ou Boulzaguet au 92, boulevard Sébastopol.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 4 avril 1867
Godin accuse réception de la lettre de Barbet du 1er avril 1867. Godin informe Barbet qu'il part pour Paris le soir même et il lui donne rendez-vous le lendemain au Grand hôtel du Louvre ou au hangar du palais de l'Exposition universelle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 6 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin demande à Oudin-Leclère de terminer au plus vite l'affaire Jacquet. Il lui demande de voir si Jacquet pourra empêcher la vente des marchandises brevetées par lui qui se trouvent dans les magasins des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il interroge Oudin-Leclère sur l'intention de Jacquet de faire appel. « Examinez enfin les mesures à prendre en raison des événements. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 16 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin explique à Lecoq de Boisbaudran que Jacquet ne se presse pas pour lui remettre, conformément au jugement, les objets qu'il lui a livrés : les uns sont à l'Exposition universelle, il en a vendu d'autres et il s'en trouve à Soissons et Reims qu'il ne peut faire venir à Paris ; Jacquet réclame les 10 000 F de dommages et intérêts qui lui sont dus mais semble vouloir garder l'argent de la vente des appareils qu'il a réalisée. Godin demande conseil à Lecoq de Boisbaudran. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin indique qu'il ne connaît aucun avoué à Metz mais son avocat de Charleville a recommandé Charles René Noizet. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran si Jules Favre ne s'oppose pas à ce choix.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 2 août 1867
Godin explique au préfet de l'Aisne que sa santé ne lui permet pas d'honorer ses obligations envers la Commission d'étude des chemins de fer et la Commission de l'Exposition universelle. Il précise qu'il avait commencé une étude des locomotives routières qu'il a été contraint d'abandonner et qu'il fait rédiger sa lettre par son fils.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Malézieux, 2 août 1867
Godin accuse réception de la circulaire du 27 juillet 1867 relative aux missions des membres de la Commission départementale pour l'étude de l'Exposition universelle. Godin explique qu'il avait commencé ses études lorsqu'il tomba malade, et que son état de faiblesse ne lui permet toujours pas de satisfaire à ses obligations, au point où il a demandé à son fils de prendre la plume à sa place.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au secrétaire de la Commission départementale de l'Aisne sur l'Exposition universelle de 1867, 4 octobre 1867
Godin répond à la lettre du 30 septembre 1867 du secrétaire de la Commission qui lui demande de lui transmettre son étude sur l'Exposition universelle de 1867, en lui indiquant qu'il a déjà écrit au préfet pour lui dire que son mauvais état de santé n'avait pu lui permettre de réaliser le travail attendu. Il propose d'envoyer ses notes sur la question des locomotives routières.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 7 novembre 1867
Godin informe le préfet que le secrétaire de la Commission des études de l'Exposition universelle lui a demandé de lui adresser son travail sur l'exposition, inabouti en raison de sa maladie. Il lui annonce qu'il lui a adressé ses notes sur les locomotives routières et il lui rappelle qu'il avait essayé d'obtenir l'autorisation d'ouvrir un service de locomotives sur routes, mais que l'autorisation qui lui avait été accordée était assortie de telles restrictions et de charges qu'il a renoncé à son application. Il explique qu'il n'a pu se servir de sa locomotive que pour les transports du canal à l'usine de Guise. L'administration avait mis à la charge de Godin notamment la reconstruction des ponts qui se trouvaient pourtant déjà en mauvais état pour la circulation ordinaire. Godin demande au préfet d'examiner la possibilité d'étendre son service de locomotive routière sur l'ensemble du parcours de Guise à Bohain, et pour y parvenir de faire réparer le pont qui se trouve près de Longchamp.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Edmond Turquet des renseignements sur les récompenses qu'il a obtenues en qualité d'industriel et de fondateur du Familistère depuis 1855.
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