FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Frederik qu'il ne peut pas l'aider à entrer en relation avec un journal important de Paris. Il le remercie pour l'invitation qu'il lui a transmise au nom de Slade, mais il ne pense pas qu'il l'honorera « car je dois vous dire que je suis tellement fixé sur la réalité des phénomènes que M. Slade a produit devant moi que je n'éprouve pas le besoin d'une nouvelle séance. » Il l'informe qu'il envoie une brochure sur le Familistère à Chenard.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le médium Slade, la malhonnêteté dans les phénomènes spirites et la propagande du spiritisme. Godin demande à Bertrand-Godar de lui communiquer les adresses des lecteurs et abonnés du Messager ; il lui envoie les études sociales publiées.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin et Moret compatissent à la douleur qui frappe Fauvety et espère que les communications intimes avec sa chère disparue adouciront les douleurs de la séparations matérielle.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Benoît Malon, 24 février 1888
Marie Moret remercie Malon pour sa lettre du 18 janvier 1888 ; elle exprime à Malon le sentiment que provoque en elle la perte de Godin. Elle le remercie également pour l'article que la Revue socialiste de février 1888 a consacré à Godin ; elle lui demande toutefois de rectifier une inexactitude dans une note relative aux croyances mystiques et spirites que Godin aurait professées « dans les dernières années de sa vie » : il était déjà spiritualiste en 1856. Elle lui fait part de l'estime et de l'affection que Godin avait pour lui, qu'il aurait voulu accueillir au Familistère ; elle souhaite que la santé de Malon, désormais dans le Midi, se rétablisse.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Félicite Templeton pour ses deux articles dans The Miner et lui envoie Le Devoir. Lui précise qu'elle se consacre aux manuscrits de son mari et à la publication du Devoir. Elle ne pourra pas venir en Palestine en raison de son travail. Discours sur l'élévation de l'âme et de la constitution de la "bi-unité". Donne des conseils à Templeton au sujet de sa "bi-une" et le remercie pour les détails fournis sur Rosamond Dale Owen et Laurence Oliphant.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Est intéressée par un ouvrage qui traite de l'application des doctrines de Swedenborg à la solution des questions sociales. Livre dans 15 jours à l'imprimerie le manuscrit de son mari. Rapporte le changement du rédacteur en chef du Devoir. Sur la position de Godin sur le spiritisme qu'il percevait comme une introduction à l'étude de Swedenborg. Refuse l'invitation d'Humann car elle se perçoit comme "une vraie sauvage".

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, 29 septembre 1891
Sujets divers : réflexions de Gaston Piou de Saint-Gilles ; la Ligue française de la Croix blanche ; une pêche à la crevette ; des manifestations spirites éprouvées par Gaston ; séjour de Pascaly à Lesquielles et au Familistère ; installation de Flore Moret à Guise, dont elle est originaire ; nouvelles de l'Association coopérative du Familistère.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame Dubos-Foy, 14 janvier 1896
Réponse à la lettre de madame Dubos-Foy du 10 janvier 1896 contenant un mandat de 10 F pour réabonnement au journal Le Devoir. Remerciements pour l'expression de sympathie de madame Dubos-Foy à l'égard du Devoir : « Mes lecteurs sont en très petit nombre, bien qu'il s'en trouve jusqu'en Amérique, et leur sympathie m'est très précieuse ». Sur le spiritisme : madame Dubos-Foy n'a pu obtenir de communication avec l'esprit de ses disparus et demande à Marie Moret si elle communique en esprit avec Godin : « Ce ne sont pas des communications telles que celles décrites communément dans beaucoup de livres spirites, que j'ai avec mon mari. » Marie Moret se trouve en union spirituelle avec Godin quand son travail sur les « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin » la « reporte toute entière et du fond du cœur aux pensées et aux sentiments qui animaient mon mari ». Mais, ils se trouvent séparés lorsque leurs occupations sont différentes, comme ils l'étaient pendant la vie matérielle de Godin : « La pensée fait la présence, et la tendresse fait l'union ».

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 20 décembre 1896
Sur les élections municipales à Guise : constitution du conseil municipal et retrait de F. Bernardot. Les fantaisies de L'Illustration font douter Marie Moret de la crédibilité du journal : donne l'exemple d'un article sur les immeubles à 29 étages de New York où Marie Moret aimerait être. Remercie Piponnier du temps qu'il lui consacre pour ses recherches et est contente d'être fixée sur la date du paiement des salaires par sections. Marie Moret travaille en ce moment sur l'École sociétaire de la période d'avant 1840. Quelques considérations spirites de l'esprit de Marie Moret enfermé dans une « lourde chrysalide ».

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet de l'édition de la brochure Le Familistère illustré à Genève : Marie Moret confirme sa lettre de la veille, 7 juin 1900 ; elle a reçu une carte de Louis-Victor Colin adressée à Marie-Jeanne Dallet, la prévenant qu'il a demandé à monsieur Waton de Saint-Étienne d'envoyer au plus vite à la Société des arts graphiques de Genève la planche sélectionnée par Marie-Jeanne ; Marie-Jeanne peut donc contacter la Société des arts graphiques de Genève pour donner l'autorisation de reproduction de la planche dans la brochure, de la part de la Société du Familistère et de « Made Vve Godin ». Marie Moret espère que sa nièce et sa sœur s'amusent et se reposent, le temps est moins gris mais toujours froid, les fleurs embaument les jardins et les pompiers et les musiciens sont revenus au Familistère. Elle continue sa lettre à 10 h du matin. Elle accuse réception de la lettre d'Émilie Dallet, ne peut accorder plus de temps à sa correspondante et la prie de ne pas s'y consacrer longtemps non plus. Elle déplore que le temps se gâte. Accaparée par son travail, Marie Moret ne peut dire à sa sœur si elle a senti que celle-ci était en train de lui écrire la veille ; « Ces choses sont si délicates qu'il faudrait n'avoir qu'elles en tête pour les suivre comme il faudrait. » Enfin, elle demande des nouvelles d'Eugénie Louis, d'Adèle Herbron et de Marie-Jeanne Dallet à qui elle transmet sa tendresse.
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