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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (4) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Blanchard, O.
Monsieur O. Blanchard à Alexandre Brullé, 7 juillet 1861
O. Blanchard demande à Alexandre Brullé de verser 100 F à la famille du maçon Jean-Baptiste Strens, à Céroux-Mousty.

Auteur·e : Blanchard, O.
O. Blanchard à monsieur A. Vigerie, 26 février 1864
Communique la copie d'une lettre du Comptoir qui renouvelle sa confiance dans la maison J. Delloye, Tiberghien et Cie de Bruxelles.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Alexandre Brullé, 12 août 1857
Dolot informe Brullé qu'il est rentré le 8 août au soir de Forest, que Godin n'était pas disposé à partir à Forest à cause de constructions qui l'occupent à Guise et qu'il était content du calque de plan qui va l'aider à prendre une décision [sur l'acquisition d'un terrain à Bruxelles]. Dolot indique à Brullé qu'il est passé à Charleroi sans avoir pu voir monsieur Leborne et lui signale que le coke de Monceau-sur-Sambre, dont l'usine de Forest allait être privée à cause du chômage de la navigation, est livré actuellement par un wagon de 10 tonnes livré en gare de Marchienne au prix de 23 F, auquel il faut ajouter le coût du transport de Marchienne à Bruxelles. Il lui annonce qu'il va lui envoyer des échantillons de boules en cuivre de 40 mm pesant 60 gr, ainsi que de l'émail blanc. Il lui adresse une valeur de 2 000 F dont Brullé doit créditer le compte de Godin-Lemaire.

Auteur·e : Dolot ; Godin, Émile (1840-1888)
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 18 septembre 1858
Dolot avertit Godin que les deux caisses contenant outils et poulies destinées à monsieur Farineau ont été remises au chemin de fer le 15 septembre 1858. Sur la recherche auprès de l'administration postale d'une lettre adressée à Boinet et Guébin. Dolot signale à Godin que son fils Émile lui a adressé hier la copie d'une lettre de Pigé demandant une réponse à propos de générateurs. Dolot signale à Godin que la gare de Bohain a du mal à s'organiser pour le transport d'une quantité importante de marchandises ; il lui conseille d'y aller à son retour de Bruxelles. Il indique que les transports de coke sont suspendus et qu'il écrit à Frameries pour en connaître la cause. Il transmet ses salutations à madame Godin et à monsieur et madame Brullé. Dans le post-scriptum, Dolot donne des informations sur l'approvisionnement en fonte de l'usine de Guise : les bateaux Pinart se succèdent, il ne reste presque plus de fonte Cleveland et il a demandé un échantillon à Bolkow et Vaughan. Dans la marge de la feuille, Émile Godin indique à son père qu'il n'a rien à ajouter à la lettre de Dolot et il transmet ses compliments à monsieur et madame Brullé.

Auteur·e : Dolot ; Godin, Émile (1840-1888)
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 20 septembre 1858
Dolot communique à Godin l'offre de prix de la fonte Cleveland faite par Trystram et Crujeot : 13,90 F les 100 kg de fonte n° 1 supérieure et 13,25 F les 100 kg de fonte n° 1. Il précise que ces prix de la fonte Cleveland par l'intermédiaire de Trystram et Crujeot sont équivalents à ceux donnés directement par Bolkow et Vaughan. Dolot propose à Godin de régler une facture de Pinart avec un effet sur Allez frères. Il lui communique la copie d'un courrier de Pigé au sujet de l'essai d'un générateur. Il lui fait part de la bonne marche de la fabrication à l'usine de Guise et lui signale qu'il n'a pas de nouvelle de la lettre égarée. Émile Godin ajoute un mot à la lettre de Dolot à son père : il lui recommande d'écrire à Pigé s'il ne rentre pas prochainement à Guise ; il lui annonce que les gardes nationaux se relaient pour monter la garde à Guise, faute de soldats, et il conseille à son père de rester à Laeken s'il ne veut pas passer la nuit au fort [de Guise].

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 21 mars 1859
Dolot annonce à Godin qu'il a terminé l'affaire Damonville et que le notaire de Melun lui adressera sous huit jours les pièces nécessaires. Il informe Godin qu'il n'a pas rencontré monsieur Bridon à Paris et précise que sa présence était facultative pour les acquisitions dont Godin avait chargé celui-ci. Dolot informe également que monsieur Allez n'avait pas d'information à fournir sur le crédit de Godin chez lui, que celui-ci lui a donné un échantillon d'un émail admirable et qu'il a proposé de faire venir à l'usine de Guise l'ouvrier qui le lui a fourni, un ouvrier qui travaillait chez Rogeat frères, habite Morez dans le Jura et s'est adressé à Allez pour trouver un emploi d'émailleur dans une manufacture.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 18 juillet 1859
Dolot envoie à Godin quatre traites sur Paris d'une valeur totale de 2 000 F destinées à Brullé. Il annonce à Godin que l'inspection du garde-mines a eu lieu le matin même et que ce dernier a paru étonné que le générateur ne marche pas encore. Dolot informe Godin qu'il a reçu une réponse de Trystram et Crujeot et qu'il en a communiqué un extrait au batelier Decoster ; il donne copie à Godin des renseignements fournis par Trystram et Crujeot sur la fourniture de bois de construction et sur la fonte de Cleveland qui devrait compléter l'expédition. Dolot demande à Godin s'il a donné des instructions pour une scie circulaire. Il indique qu'il a reçu des réponses pour les fermes des bâtiments mais qu'elles ne contiennent pas de dessin, aussi Dolot pense-t-il que Godin trouvera mieux à Paris. Dans la marge du folio, Dolot annonce à Godin que le père de Guerdoux a été trouvé asphyxié hier au coin d'une borne et que Merriaux, l'un des mouleurs de l'usine de Guise, s'est noyé en prenant un bain après son repas.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 19 juillet 1859
Dolot confirme à Godin sa lettre de la veille contenant quatre effets sur Paris d'un montant de 2 000 F pour les besoins de l'usine de Belgique. Il avertit Godin qu'une construction entreprise par Medaets est arrêtée au niveau du 1er étage car ni Émile Godin ni monsieur André n'ont pu lui indiquer les bois destinés aux poutrelles. Dolot conseille à Godin de faire transporter par chemin de fer les bois que doit fournir Trystram et Crujeot en raison du prochain chômage de la navigation. Il explique à Godin que plusieurs ouvriers belges de l'usine de Guise ayant été débauchés par R. Bes sans que leur livret soit en règle, Émile Godin voulait que Dolot écrive une lettre de rappel à ce dernier ; Dolot demande l'assentiment de Godin avant d'écrire la lettre. Dolot avertit Godin que son fils Émile veut obliger des ouvriers de l'usine à travailler aux constructions ; Dolot pense que ce serait une cause de désorganisation des ateliers. Il demande enfin à Godin s'il doit attendre son retour pour déclarer les briques et la chaux. Dans le post-scriptum, Dolot indique à Godin que Pinart a annoncé qu'ils reprendront leurs expéditions après le chômage de la navigation, mais ne comptent pas faire de rabais.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Alexandre Brullé, 22 juillet 1859
Dolot communique à Brullé une note indiquant les retenues sur la quinzaine de plusieurs ouvriers de l'usine de Laeken à la date du 23 juillet 1859, d'un montant total de 84 F à payer par l'usine de Laeken à leurs ayants droit : Demesmaeker, Pierre Renard, Pierre Dewes, Vanmalderen et Moerenhout

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 12 août 1859
Dolot avertit Godin que des caisses de modèles sont parties le matin de Guise. Sur des traites de Bolkow et Vaughan transmises à monsieur Oppermann, dont l'une comprend une commission de banque que Godin ne veut pas payer. Il accuse réception du brouillon d'une circulaire rédigée par Godin et qu'il fait imprimer ; Dolot indique qu'il en a donné communication à messieurs Poirier et Georges et à monsieur Telliez.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 31 octobre 1859
Dolot donne à Godin des nouvelles de la mise en marche des cubilots de la nouvelle fonderie de Guise : tout fonctionne parfaitement, sauf la pompe alimentaire qui ne donne pas d'eau lorsque la chaudière est en pression ; il fait des observations sur la montée en pression de la vapeur ; 11 000 kg de fonte ont été fondus avec la même quantité de combustible que pour les autres fusions ; la fusion a commencé à 4 h 30 et était terminée à 5 h 30.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 2 novembre 1859
Dolot informe Godin qu'il a remis à monsieur André la lettre qu'il a reçue de lui le matin même, et qu'André a fait à Ménard les recommandations pour qu'une charpente soit établie comme il le désire. Dolot communique à Godin des renseignements sur la marche de la nouvelle fonderie ; il fait des observations sur la montée en pression de la vapeur. Dolot signale à Godin que les commandes de marchandises arrivent en foule et qu'il est difficile d'y répondre étant donné le manque de voituriers.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 3 novembre 1859
Dolot fournit à Godin des informations sur la marche de la nouvelle fonderie : la pompe alimentaire n'a pas fonctionné et n'a pas permis d'envoyer de la vapeur à la grande machine ; le retour de Godin est attendu pour remédier aux problèmes. Il signale à Godin que le bateau de fonte Pinart est en déchargement à Vadencourt, et que le coke ne manque pas. Il l'informe que Telliez est parti la veille pour effectuer une tournée d'un mois en commençant à Lille et en terminant dans les Ardennes.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 6 novembre 1859
Dolot fait part à Godin des difficultés d'expédition des marchandises qu'il s'efforce de surmonter en faisant appel à Amédée [Moret] en remplacement de monsieur Lemaire et en faisant expédier par la gare de Bohain pour soulager celle de Saint-Quentin, encombrée à cause de la fin de la foire. Il évoque également les problèmes survenus à la nouvelle fonderie ; il juge qu'elle a été mise en marche à un moment inopportun ; il indique que Jacques Nicolas Moret va tenter de colmater les fuites des bouilleurs avec des pommes de terre. « Quoique j'espère peu dans la juste appréciation de mon zèle, croyez Monsieur qu'il ne s'amoindrit pas et agréez je vous prie l'expression de mes sentiments distingués. »

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 27 novembre 1859
Dolot informe Godin qu'il a versé 7 999,60 F à De Dorlodot frères pour la fonte livrée à l'usine de Laeken et qu'il leur a demandé les factures correspondantes. Sur une procédure de contestation d'une exigence de la Compagnie du chemin de fer du Nord relative aux indemnités dues en cas de retard, illégale au regard du Code du commerce : Dolot est allé à Saint-Quentin s'en entretenir avec monsieur Lemonnier et monsieur Mornard ; il a fait une demande d'indemnité de 255 F pour le retard causé aux voituriers par le refus de la gare et son dérangement ; Dolot indique à Godin que le commissaire administratif suggère d'écrire au préfet. Il annonce à Godin qu'il a reçu des lettres de Telliez sur ses placements en Belgique. Il évoque le paiement d'une facture de messieurs Vandenberleke de Lille, que Dolot juge de mauvaise foi.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 30 novembre 1859
Dolot informe Godin qu'il a oublié de signalé dans sa lettre du 27 novembre 1859 que des retenues d'un montant total de 28 F sur la quinzaine des ouvriers belges Pierre Renard et Vanhaesendonck sont à payer à leurs ayants droit à Laeken.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 14 décembre 1859
Dolot informe Godin que l'ouvrier Pierre Renard a laissé en compte 10,11 F, à payer à Laeken à ses ayants droit. Il lui annonce qu'il est en train d'établir le compte de monsieur Georges.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 21 décembre 1859
Sur une affaire de probable faillite de monsieur Damonville, débiteur à l'égard des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, à propos de laquelle Dolot est allé consulter Delabarre. Dolot communique à Godin le compte détaillé de monsieur Georges et attend ses instructions pour le créditer. Il signale à Godin que les commandes avaient repris avec le froid mais que le dégel a commencé. Dans le post-scriptum, Dolot demande à Godin de se prononcer sur un projet professionnel qui le concerne.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 21 janvier 1860
Dolot communique à Godin une note sur les retenues des quinzaines de Moerenhout et Vanhaesendonck, d'un montant total de 15 F, à payer à Laeken à leurs ayants droit. À propos des voyageurs Telliez et Poirier : Dolot ne veut pas les laisser partir sans les « dessins » des appareils ; les dessins des cuisinières sont prêts à imprimer ; Dolot demande à Godin ses intentions pour l'impression du tarif et s'il ne souhaite pas cette année l'imprimer au dos de lithographies.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 22 janvier 1860
Dolot demande à Godin de bien vouloir faire passer 60 F par bon postal à la femme de l'ouvrier maçon belge Moulard, madame Marie-Françoise Bodainghem épouse Moulard à Céroux.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 16 février 1860
Sur les comptes de l'usine de Laeken. Dolot rectifie une erreur comptable qui a échappé à Brullé et à Godin. Dolot demande à Godin de valider l'impression des « tarifs-lithographies ». Il lui demande également s'il peut envoyer à monsieur Marie le dessin de la petite cuisinière que monsieur Poirier réclame.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à Laeken, vers le 17 mars 1860
Note intitulée « Quinzaine du 17 mars 1860 », indiquant que la somme de 50,50 F est à payer sur le compte de Moulard et Strens à madame Moulard par un mandat postal.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 20 février 1860
Sur les comptes de l'usine de Laeken. Dolot informe Godin que monsieur Poirier partira de Paris le lendemain et que ce dernier envoie une commission pour 134 cuisinières placées auprès de monsieur Séguin. Dolot donne copie des renseignements communiqués par Poirier sur un monsieur Jacob, homme d'affaires, résidant au 47, rue de Paris à Belleville, dont la réputation semble bonne.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 30 avril 1860
Dolot annonce à Godin qu'il a crédité de 322,60 F le compte de l'usine de Belgique, somme à verser aux ayants droit des ouvriers belges Jean-Joseph Moulard (à sa femme à Céroux), Jean-Joseph Villain (à sa femme, rue Vigneron à Ransart), Édouard Frapez (à remettre à Louis Piette).

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 4 mai 1860
Dolot communique à Godin une lettre de Trystram et Crujeot qui fait une offre de vente de fonte. Dolot signale à Godin que Bolkow et Vaughan de Middlesbrough ont fait une offre de 535 shillings la tonne de fonte Cleveland n° 1. Il avertit Godin que l'usine de Guise manquera de produits cette année si les commandes continuent à affluer et si le nombre d'ouvriers n'augmente pas. Il indique enfin qu'il n'a pas de nouvelles des lithographies.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 7 mai 1860
Dolot communique à Godin une nouvelle lettre de Trystram et Crujeot et annonce qu'il crédite l'usine de Belgique de 100 F à verser par celle-ci aux familles des ouvriers belges Michel Verhaegen et Vancampenhout. Dolot demande à Godin s'il doit expédier la cuisinière vendue par monsieur Camatte à Trystram et Crujeot.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 4 août 1860
Dolot communique à Godin une lettre de Bolkow et Vaughan de Middlesbrough pour leur faire réponse et l'avertit que Jacques-Nicolas Moret lui a signalé qu'il n'y a plus de fonte Cleveland à Guise. Il lui rappelle que monsieur Vendroux, commissionnaire en douane à Calais, est chargé de la réception de la fonte de Bolkow et Vaughan. Sur la pénurie de marchandises à l'usine de Guise : Dolot rappelle à Godin sa lettre du 4 mai 1860 indiquant qu'une désorganisation des ateliers allait produire une pénurie, mais lui explique qu'il ne pensait pas qu'elle surviendrait aussi vite et sur les modèles nouveaux comme le lui a signalé monsieur Lemaire ; il incite Godin à donner des ordres fermes pour que la fabrication permette de répondre aux commandes : « Si je me permets ces quelques observations, c'est que mes intérêts aussi bien que les vôtres souffriront d'un semblable état de choses et qu'il me serait extrêmement désagréable d'avoir une rétribution inférieure à celle de l'année dernière après le surcroît de travail et les relations aussi pénibles qui m'auront été imposées cette année. » Le post-scriptum est relatif à la fourniture de meules par Essig ou par Picard.

Auteur·e : Fonderies et manufactures Godin-Lemaire
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire au directeur spécial de la Compagnie anonyme de Hourpes-sur-Sambre, 23 juillet 1855
La lettre indique que Godin est absent quelques jours, qu'il prendra alors connaissance de la lettre des Hauts-fourneaux de Hourpes-sur-Sambre et qu'il se rendra bientôt à Forest.

Mots-clés :

Auteur·e : Fonderies et manufactures Godin-Lemaire
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire au directeur-gérant de la Société anonyme de Hourpes-sur-Sambre, 18 septembre 1855
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. On prévient le directeur des hauts-fourneaux de Hourpes que Godin est absent pendant une huitaine de jours et qu'il répondra à son retour à la lettre relative au marché pour la fourniture de 50 tonnes de fonte. On lui confirme qu'il doit livrer immédiatement un wagon de fonte à l'usine de Forest malgré l'augmentation du prix de la fonte.

Auteur·e : Fonderies et manufactures Godin-Lemaire ; Bocheux
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à Alexandre Brullé, 18 septembre 1855
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Bocheux communique à Brullé une copie de la lettre de la Compagnie de Hourpes reçue en l'absence de Godin et de la réponse qu'il a faite. Le texte de la lettre des Hauts-fourneaux de Hourpes-sur-Sambre à Godin du 18 septembre 1855 est copié au-dessous : la fonte de Charleroi ayant subi une augmentation, ils proposent de lui vendre 50 tonnes de fonte à 16,50 F voire 16,75 F les 100 kg et demandent confirmation de l'expédition d'un wagon de fonte. Le texte de la réponse des Fonderies Godin-Lemaire aux Hauts-fourneaux de Hourpes du 18 septembre 1855 est copié en haut du folio 21r.

Auteur·e : Fonderies et manufactures Godin-Lemaire
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à Alexandre Brullé, 31 octobre 1855
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire informent Brullé que Godin se trouve à Paris pour quelques jours et qu'elles lui envoient immédiatement la lettre que Brullé lui a écrite, et lui communiquent l'acte de société qu'il réclame. Elles l'informent que madame Godin fera le nécessaire auprès de son mari et transmettent les compliments de celle-ci à monsieur et madame Brullé.

Auteur·e : Fonderies et manufactures Godin-Lemaire
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à Alexandre Brullé, 26 juin 1856
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire informent Brullé qu'à son retour, Godin a fait expédier à Forest les 6 poêles n° 8 demandés par Brullé.

Auteur·e : Fonderies et manufactures Godin-Lemaire
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à Alexandre Brullé, 11 juillet 1856
Les Fonderies et manufactures annoncent à Brullé que les foyers au bois des poêles n° 8 n'ont pas été expédiés en raison de frais de transport élevés. Elles lui envoient le dessin du foyer pour qu'il le fasse réaliser à Forest. Elles lui signalent que la facture de transport des 6 poêles n° 8 compte un transport de Guise à Landrecies, soit 3,15 F, alors qu'ils ont été transportés jusqu'à Valenciennes, aussi lui demandent-elles d'ajouter 3,10 F à la facture. Elles signalent à Brullé que Godin est absent pendant quelques jours et qu'il répondra à son retour à sa dernière lettre.

Auteur·e : Fonderies et manufactures Godin-Lemaire
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire de Guise aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire de Laeken, 30 janvier 1862
Sur la comptabilité de l'usine de Laeken et des opérations sur le compte ouvert auprès de la banque Adan à Bruxelles, en particulier des sommes versées à deux sociétés de charbonnage, dont le charbonnage de l'Agrappe.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Joseph Adan, 13 juin 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin explique à Adan qu'il a confié la direction de son usine de Forest à Alexandre Brullé à l'occasion de son dernier séjour à Bruxelles et qu'il l'accrédite auprès de lui sur le plan financier. Brullé est ainsi habilité à percevoir des sommes de la part d'Adan en échange de valeurs à recouvrer en Belgique ou en Hollande ou contre des mandats sur Godin-Lemaire ou sur Allez à Paris.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amand frères et sœurs, 7 avril 1856
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande à Amand frères et sœurs s'ils disposent de fonte n°1 de bonne qualité et quel est son prix.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 13 juin 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin annonce à Brullé qu'il envoie à Valenciennes une caisse de 52 kg de verre pour qu'elle soit livrée à Bruxelles. Il l'informe qu'il vient d'écrire à Adan et cite sa lettre à ce dernier du 13 juin 1855 qui autorise Brullé à recevoir des sommes en échange de valeurs à recouvrer en Belgique ou en Hollande ou contre des mandats sur Godin-Lemaire ou sur Allez à Paris. Godin souhaite envoyer à Bruxelles un modèle de cheminée avec sa série de châssis [pour la faire fabriquer à Forest], mais demande à Brullé de se concerter avec Van Elewyck pour connaître les droits d'entrée de ces objets en Belgique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Flament, 13 juin 1855
Godin avertit Flament qu'il lui envoie une caisse de 52 kg de verre moulu qu'il lui demande de livrer à l'entrepôt de Bruxelles à l'intention de Godin-Lemaire manufacturier à Forest-lez-Bruxelles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Puissant frères, 17 juin 1855
Sur une commande de carreaux. Godin précise que les carreaux doivent avoir 40 à 45 cm de largeur sur 40 cm ou 30 cm de longueur pour 5 cm d'épaisseur. Il voudrait que Puissant frères lui en expédie une cinquantaine sans que cela retarde l'expédition des autres par Leborne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur général des Hauts-fourneaux de Hourpes-sur-Sambre, 19 juin 1855
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande qu'on lui confirme que les Hauts-fourneaux de Hourpes peuvent lui fournir de la fonte n°1 de qualité supérieure pour son établissement de Belgique au prix de 15,75 F les 100 kg. Il demande de livrer à Forest 20 tonnes d'une fonte de qualité équivalente à celle livrée précédemment et d'en expédier immédiatement un wagon. Il signale que l'élévation du prix de la fonte des Hauts-fourneaux de Hourpes l'ont jusqu'ici obligé à se fournir ailleurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur des Hauts-fourneaux de Hourpes-sur-Sambre, 7 avril 1856
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande si les Hauts-fourneaux de Hourpes ont en magasin de la fonte n° 1 de très bonne qualité et quel est son prix.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 19 juin 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin demande à Alexandre Brullé de lui faire un compte-rendu hebdomadaire de l'activité des ateliers de Forest afin de lui faire des recommandations pour la bonne marche d'un établissement pour lequel il manque d'expérience. Godin juge que la clôture des écritures tarde et il demande à Brullé si Cador a trouvé un emploi et s'il a quitté son logement. Il informe Brullé qu'il a demandé aux Hauts-fourneaux de Hourpes de livrer un wagon de fonte n° 1 à Forest et lui demande de juger de sa qualité.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Leborne, 21 juin 1855
Godin répond à la lettre de Leborne du 19 juin 1855 en lui indiquant qu'il préférerait prendre des briques ailleurs que chez Puissant frères si ceux-ci n'ont pas encore fait celles qu'ils devaient fournir. Il précise qu'il avait commandé à Puissant frères : 3 000 briques panneresses, 1 000 briques à cintre et 50 carreaux de 25 cm de large par 30 à 40 cm de long et 5 cm d'épaisseur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 7 juin 1855
Godin envoie à Brullé deux effets sur Paris d'un montant de 2 000 F et lui demande d'envoyer des pièces « qui puissent faire avancer la fin de la fin ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 26 juin 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin annonce à Brullé qu'il ne peut pas se rendre à Bruxelles. Il résulte de la lettre que Brullé a écrite à Godin que Cador n'a pas déménagé : Godin désire avoir un logement à Forest pour lui et sa femme et presse Brullé de s'entendre avec Cador pour qu'il achève la clôture des écritures et effectue son déménagement. Godin demande à Brullé d'acheter du mobilier et du linge pour son appartement : un lit, un sommier élastique, une table de nuit, une commode, une table, une paire de draps, deux oreillers, un traversin, des rideaux. « Quant à la manière dont nous y vivrons, ne vous en préoccupez pas trop [...] Ma femme sait faire le pot-au-feu et nous avons une cuisinière. » Sur des questions financières, d'inventaire et de modèles d'appareils relatives à l'établissement de Forest. Dans le post-scriptum, Godin indique à Brullé qu'il faut envoyer sans tarder un huissier faire sommation à un monsieur Straus (?)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 21 juillet 1855
Godin reçoit la lettre de Brullé au moment où il partait à Forest. Il est heureux d'apprendre que madame Brullé l'a rejoint à Bruxelles. Il lui annonce qu'il diffère son voyage de quelques jours, qu'il fait moudre du silex et prépare du vernis pour la cheminée n° 11, et qu'il envoie à Bruxelles des châssis en fonte contenant des modèles de calorifères. Il l'informe qu'il part à Paris quelques jours et se rendra à Forest ensuite, peut-être avec son premier mouleur Aillot, de façon à mettre en route le travail sur les modèles envoyés. Sur la comptabilité de l'établissement de Forest : Godin fait un examen détaillé des documents établis par Cador ; il compare l'économie de la production des usines de Forest et de Guise ; l'usine de Guise consomme 439 kg de charbon par jour (contre 348 kg à Forest) et on y fait fonctionner une machine à vapeur de 10 chevaux de quatre heures et demie du matin à sept ou huit heures le soir. Sous sa signature, Godin écrit en forme de devise : « Bien sot qui se fait breveter ». Un post-scriptum manuscrit à la mine de plomb sur la copie de la lettre complète l'information sur l'expédition de matériel à Forest.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 26 juillet 1855
Avis non signé d'envoi à Bruxelles de colis d'un poids total de 230 kg contenant du sable, du verre, des modèles de la cheminée n°11 et d'un bac à charbon en fonte, ainsi que du fer, de tôle et de cuivre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Cador, 8 août 1855
Godin informe Cador qu'il a différé son voyage à Bruxelles à cause de mauvais temps et qu'il se rendra à Charleroi avant le 11 courant pour régler avec lui le litige qui l'oppose à son frère [comptable à l'usine Godin-Lemaire de Forest].

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 4 septembre 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin communique à Brullé un modèle d'écritures comptables. Il lui annonce qu'il a réussi à persuader des ouvriers de ses ateliers Guise à aller travailler à Forest en voyageant à leurs frais, ce que l'arrivée du chemin de fer à Guise facilitera, en espérant qu'ainsi Brullé devra engager moins d'apprentis de Bruxelles à des conditions onéreuses. Sur les intérêts dus par Cador pour une somme de 4 000 F qu'il a empruntée. Godin signale à Brullé qu'il quitte Guise pendant quelques jours, transmet ses civilités à madame Brullé et demande l'état des cuisinières et cheminées qui se trouvent en magasin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 6 septembre 1855
Godin annonce que Gordien, mouleur à l'usine de Guise, partira le dimanche suivant pour Forest. Il lui demande de lui confier la réalisation l'un des deux modèles [de calorifères] et les châssis d'une cheminée. Il précise que Gordien sera payé au prix de Guise et qu'il voyage à ses frais. Il prévient que si même Margry ne réussit pas parfaitement le moulage, il faudra confier les deux modèles à Gordien. Godin prévoit d'envoyer d'autres mouleurs pour mouler tous les jours pour doubler la production. Il remet à Brullé les extraits de lettres évoquées dans un mémoire.
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