FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 375 résultats dans 19519 notices du site.
Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (5) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Théodule Nique, 20 août 1861
Godin informe Théodule Nique que sa candidature à l'emploi de jardinier n'a pas été retenue malgré ses bons certificats et son livret. Au bas du folio se trouve la mention manuscrite : « Il demandait 800 F pour tout appointement ».

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au commandant de la Garde nationale à Guise, 10 août 1856
Godin informe le commandant de la Garde nationale de Guise qu'il s'est rendu le dimanche précédent à la première réunion de la Garde nationale malgré son mauvais état de santé pour montrer sa bonne volonté. Il demande à être dispensé du service motivé par son absence prochaine et par le mauvais état de sa santé.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au Commissaire de police de la Ville de Niort, 9 juin 1856
Godin demande des renseignements sur A. de France, employé chez monsieur Demoury à Niort, candidat à l'emploi d'agent comptable et commercial des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au maire de Thenailles, 17 mai 1862
Godin demande au maire de Thenailles des renseignements sur Renaux, qui fut instituteur dans sa ville.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 25 novembre 1861
Godin répond à une candidature à l'emploi d'économe du Familistère. Il explique qu'il a édifié une cité ouvrière qui comprend des magasins et un restaurant, que 400 personnes y vivent actuellement et que de nouvelles constructions vont permettre d'accueillir 1 000 personnes. Il indique ce qu'il attend de l'économe de la cité en ce qui concerne l'approvisionnement des magasins et les services de propreté générale, et précise que l'économe est placé sous le contrôle de l'administrateur comptable de l'usine. Il demande au candidat des renseignements sur ses aptitudes professionnelles, sur sa situation familiale, sur son expérience professionnelle, et à quels appointements il prétend.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 27 mai 1862
Lettre modèle de réponse à une candidature faisant suite à l'offre d'emploi publiée dans les journaux par Laffitte, Bullier et Cie. La lettre donne des précisions sur les usines de Laeken et de Guise et demande au candidat de fournir des renseignements complets sur son compte.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un destinataire inconnu, 30 septembre 1861
Godin informe son correspondant que l'emploi qui va se trouver vacant dans la direction du travail des fonderies donne actuellement lieu à un traitement de 200 F par mois, et qu'il ne comprend pas les soins de l'outillage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, novembre 1861
Godin répond à une candidature à l'emploi de cuisinier dont l'annonce a été faite. Il précise ce qu'il attend de la cuisine qui ne doit pas valoir pour la délicatesse des mets, mais par le talent de préparer à peu de frais une nourriture saine et variée pour l'ouvrier. Celui-ci vit avec 1,25 F par jour et prend 3 repas : de 9 à 10 heures le matin, de 2 à 3 heures, et de 7 à 8 heures. Godin indique que le cuisinier doit se préoccuper de ses approvisionnements, qu'il doit être d'un caractère facile. Il demande au candidat de lui communiquer des renseignements sur son expérience professionnelle, sur son âge et sa situation familiale, sur les appointements auxquels il prétend, une chambre garnie, sa nourriture et le blanchissage du linge de cuisine étant à la charge de l'établissement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 12 janvier 1861
Sur l'établissement de l'usine à gaz des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin fait la demande d'autorisation d'établir une usine à gaz pour l'éclairage de son établissement, usine qui pourrait servir à l'éclairage de la ville dans le cas d'un accord avec la municipalité. Godin explique au préfet que les pièces du dossier d'autorisation ont été envoyées à la mairie de Guise, que l'enquête de comodo et incomodo s'est déroulée du 23 novembre 1860 au 3 décembre 1860, mais qu'il s'est aperçu que le maire de la ville n'avait pas envoyé à la préfecture les procès-verbaux de l'enquête et a proposé au conseil municipal de délibérer sur son projet d'usine à gaz, soi-disant en raison d'un rapport de la commission d'hygiène qui n'avait en réalité pas été consultée. Le conseil municipal a repoussé unanimement le projet, poursuit-il, et les procès-verbaux d'enquête se trouvent toujours dans le cabinet du maire. Godin attribue les difficultés qui lui sont causées à une mesquine hostilité. Dans la mesure où le préfet Chamblain lui avait donné, à l'occasion de sa visite de l'été dernier, l'assurance de sa bienveillance, Godin demande au préfet d'ordonner la suite de l'enquête : « Vous trouverez que quand le gouvernement de l'empereur fait si largement appel à l'accord de toutes les forces intelligentes de la nation, il serait heureux que les agents de l'administration locales ne fissent pas obstacles à ses dessins. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au procureur impérial près du tribunal de Vervins, 11 janvier 1861
Sur la mort d'un ouvrier. Godin écrit au procureur après que le commissaire de police de Guise lui a donné communication d'une lettre qu'il lui a écrite, relative à des révélations de délits qu'il commettrait. Godin proteste que son passé témoigne de son attachement au respect des lois. Il explique que son établissement emploie actuellement 600 ouvriers et qu'aucune mort accidentelle n'a été à déplorer depuis 20 ans. De même, poursuit-il, il a employé plus de 500 ouvriers manœuvres, maçons et charpentiers à des constructions importantes sans que personne ne soit sérieusement blessé. « Cela n'établit-il pas d'une manière évidente les soins qui sont pris chez moi dans l'intérêt de la conservation des personnes ? ». Godin relate qu'un maçon était en train de construire un fourneau en briques dans une cuisine quand deux manœuvres le virent s'effondrer et constatèrent qu'il était mort, et qu'un médecin conclua à une mort par attaque d'apoplexie foudroyante ; comme ni lui-même ni le médecin ni les personnes présentes pensèrent à une mort accidentelle, le corps fut remis à la famille du défunt sans intervention de la police. Godin admet avoir ignoré devoir faire une déclaration immédiate des faits, mais il affirme ne pas avoir eu l'intention de soustraire à la loi. Selon Godin la révélation faite au procureur a pour origine un sentiment de mesquine rivalité.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au Secrétaire d'État directeur général des ponts et chaussées et des chemins de fer, 21 avril 1860
Godin remercie son correspondant d'avoir accusé réception de la pétition envoyée au ministre de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics par les chefs d'industrie de Guise et des environs en faveur de la création d'une ligne de chemin de fer desservant Guise et la vallée de l'Oise. Godin sollicite une audience pour lui remettre une suite de la pétition et il exprime son espoir que son correspondant s'en fera l'écho auprès de la Compagnie du chemin de fer du Nord et des Ardennes.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Véran Sabran, 3 juillet 1859
Godin a reçu à son retour de Bruxelles la lettre de Véran Sabran du 25 juin 1859, qui lui faisait part de la mort de son frère : « Mais nous pouvons croire que le défunt trouve moins que nous à s'en plaindre [de son décès] est un sentiment de consolation qui peut adoucir la tristesse de cette perte pour vous. » Godin invite Véran Sabran à Guise lorsqu'il se rendra à Origny. Il lui fait part du dérangement de sa santé. Il demande à Sabran d'informer Bourdon de porter à son compte de la rue de Beaune 50 F destinés à Julien Blanc et 25 F pour un autre ami nécessiteux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Véran Sabran, 15 décembre 1862
Godin répond à la lettre de Véran Sabran du 31 novembre 1862 qui lui demande des renseignements sur des calorifères. Il lui indique qu'il construit de grands calorifères qui brûlent 12 heures environ, dont il lui décrit le fonctionnement, et coûtent à Guise 159 à 174 F. Il lui annonce qu'il envoie à son beau-frère un album et une notice relative au calorifère. Il explique à Véran Sabran qu'il ne veut pas consentir de dépôts de marchandises, mais il ne veut pas repousser les offres d'amis qui voudraient représenter ses produits dans une exposition nîmoise. Il attend la visite de Véran Sabran en février à Guise et lui demande de dire à Donnedieu qu'il est flatté du souvenir qu'il a gardé de lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Véran Sabran, 24 mai 1863
Godin demande à Véran Sabran de l'aider à secourir l'un de ses premiers employés, Vigerie, dont les appointements font l'objet d'une opposition pour plus de 7 000 F et qui risque de perdre sa position. Il l'informe que le passé de cet employé est obscur pour lui et qu'il sait seulement qu'il avait été en faillite avec un associé du nom de Fusy. Il souhaiterait que l'opposant, Édouard Paris résidant au 9 rue des Prêcheurs à Paris, puisse transiger et accepter une somme au lieu de tout perdre si Vigerie est renvoyé. Godin indique qu'il a jusqu'ici renvoyé rigoureusement tout employé ou ouvrier dont les appointements faisaient l'objet d'une opposition et qu'il pourrait être amené à faire de même pour Vigerie, qui perçoit 3 000 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Véran Sabran, 24 mai 1863
Godin fait part à Véran Sabran de son soupçon que Vigerie ne soit la victime de la rivalité qui existe à son égard. Il lui exprime le plaisir qu'il aura de l'accueillir à Guise avec des amis, et leur faire voir les travaux des nouvelles constructions du Familistère, à la condition qu'ils se garde de rien écrire ou dire sans son autorisation « car je tiens au silence au par-dessus (sic) toute chose ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Lefert-Pannet (veuve) et A. Duchange, 26 mai 1856
Godin demande à son correspondant des renseignements sur un monsieur Fournier, habitant Parvis Notre-Dame à Reims chez monsieur Cretelle, qui est candidat à l'emploi d'agent comptable supérieur et de responsable commercial dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame veuve Thiébaut, 29 [novembre] 1861
Godin demande à madame veuve Thiébaut des renseignements sur Beaudeloche, qui a été contremaître dans ses ateliers, s'il a des capacités à diriger le travail de moulage de petites pièces et quels étaient ses appointements.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Calland, 9 décembre 1857
Sur la construction d'habitations pour les ouvriers des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin soulève le problème de la conception architecturale d'habitations de familles qu'on cherche habituellement à isoler les unes des autres alors que l'architecture sociétaire a pour objectifs de réaliser des économies par la concentration des ressources pour le bien-être de tous. Godin explique à Calland qu'il a lu son projet de palais de familles, et il sollicite son concours : « Sorti de l'humble condition d'ouvrier dont j'ai porté les misères, je me rappelle m'être dit que s'il m'était donné un jour de pouvoir contribuer à améliorer le sort de ceux dont je fesais (sic) partie que je négligerais pas l'occasion. Je suis aujourd'hui à la tête d'une industrie dans laquelle j'occupe sous mes yeux 300 pères de famille ou adultes. Jusqu'à ce jour je n'ai pu que travailler à créer (?) les moyens matériels d'occuper cette population. Maintenant, je désire consacrer chaque année cent mille francs [mot illisible] à la fondation près de mon établissement d'un édifice destiné à les loger et à leur procurer tout le bien-être compatible avec leurs gains [mot illisible] dans un milieu où tout sera coordonné pour qu'ils puissent en tirer le parti le plus profitable. Avare des sommes que je puis dépenser dans ce but comme d'un bien qui appartient déjà au pauvre, cela m'engage à vous prier de me dire à quelle condition vous consentiriez à vous occuper avec moi des plans et devis propres à réaliser ce projet s'il entre dans votre intention de le faire. » 

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Calland, 22 décembre 1857
Godin répond à une lettre de Calland du 17 décembre 1857 et lui indique qu'il vient de recevoir une lettre de Carlotti, chargé de venir le voir pour le projet de construction d'habitations. Il lui explique que la venue de Carlotti rend inutiles les explications qu'il voulait lui donner à propos du projet ; il remercie Calland pour l'intérêt qu'il porte à celui-ci, et le prie de dire à Carlotti qu'il attend sa visite. Godin ajoute que le projet doit rester secret, particulièrement à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Calland, 26 janvier 1858
Godin répond à une lettre de Victor Calland du 3 janvier 1858 rédigée après la visite d'Albert Lenoir et de Carlotti. Il explique à Calland que Lenoir lui a soumis un plan de palais des familles conçu pour les besoins des classes moyennes et aisées, mais qu'il a reconnu qu'il devrait être révisé sérieusement pour répondre aux exigences de son projet. Il fait valoir que ce qu'il doit faire doit être facilement extensible et pouvoir commencer par un essai restreint puis se développer graduellement. Il lui indique qu'il a depuis repris des études sur la question et qu'il ne manquera pas de reprendre contact avec lui lorsqu'il les aura complétées. Godin donne à Calland une appréciation positive de son projet de suppression des loyers, de haute portée sociale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Versigny, 10 décembre 1863
Godin remet à Versigny une « note des dates » et la copie de fragments de manuscrits laissés par madame Godin avant de quitter la maison. Il l'informe qu'il verra son avoué le jour même, que sa femme est venue hier enlever ses effets et qu'il est question d'un inventaire de tout l'avoir mobilier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Versigny, 11 décembre 1863
Godin informe Versigny que son avoué ne lui a rien appris de nouveau, que sa femme demande une provision de 12 000 F et que lui-même propose 5 000 F. Godin explique à Versigny que son avoué lui a recommandé de différer les poursuites en diffamation contre celui qui en est l'origine, afin d'obtenir une preuve contre lui. Godin, qui ne pense pas obtenir de preuves valables, demande son avis à Versigny sur l'opportunité des poursuites. Il cite une note que Cantagrel lui a écrite de chez Versigny à propos d'une enquête.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Versigny, 12 décembre 1863
Godin communique à Versigny la copie d'une lettre de son ancien directeur [de l'usine de Laeken]. Il l'informe qu'un mouvement de réaction se produit à Guise contre les diffamations dont il est l'objet depuis le 15 novembre, dont il pense que les instigateurs sont sa femme et un complice, ancien employé de sa maison « qui lui a fait toucher le piano pendant un an ». Il explique que ses soupçons sont fondés sur une menace qu'il lui a écrite quand il est parti de chez lui il y a deux ans, que sa femme a fait disparaître. Il ajoute qu'en venant enlever ses effets, sa femme a pris soin d'enlever un discours prononcé par Camatte à la louange de Godin à l'occasion de la Sainte-Cécile il y a deux ans, que la rumeur fait de Camatte l'auteur des libelles et chansons, que ce dernier est peut-être caché à Guise et qu'il a quitté la maison qui l'employait. Godin précise que Camatte était avant 1848 propriétaire d'un pensionnat important de Versailles et qu'il aurait été soupçonné d'assassinat d'un élève et qu'il aurait été acquitté par la cour d'assises de Versailles. Godin suggère à Versigny qu'il pourrait enquêter sur cet homme qui pourrait être appelé par sa femme comme témoin de réputation, qui joue de l'orgue dans l'église et passe pour un pianiste distingué à Guise. Il signale enfin à Versigny que Cantagrel détient de la correspondance de Camatte et la chanson qu'il a écrite contre lui-même.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Versigny, 15 décembre 1863
Godin transmet à Versigny une copie de son examen des faits présentés par Esther Lemaire revue par ses soins et l'informe qu'il a demandé à Oudin-Leclère de l'informer de la procédure du tribunal de Vervins. Il lui demande s'il est utile de lui fournir une note sur les préventions à son égard à Guise : « Comme précédent à la position exceptionnelle que je possède à Guise, j'ai eu à souffrir dans l'opinion par suite des événements de 1848. Je me trouvais par hasard à Paris à la révolution de février qualifié de socialiste. Avec cela, vous pouvez comprendre le reste. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Wagret, E. Serret et Cie, 26 décembre 1860
Godin demande à Wagret, E. Serret et Cie de lui fournir des renseignements sur les capacités et la réputation d'un jeune homme, Rémi Ville de Fresne-sur-Escaut, candidat à un emploi de comptable dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2