FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (9) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lourmet, 4 octobre 1867
Godin accuse réception en bon état des raisins envoyés par Lourmet, qui proposait dans sa lettre du 3 juillet 1867 de lui vendre du vin. Godin lui explique qu'il doit procurer à bon marché du vin à la population du Familistère et qu'il doit acheter du vin vieux pour sa propre consommation. Il lui demande son tarif.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au secrétaire de la Commission départementale de l'Aisne sur l'Exposition universelle de 1867, 4 octobre 1867
Godin répond à la lettre du 30 septembre 1867 du secrétaire de la Commission qui lui demande de lui transmettre son étude sur l'Exposition universelle de 1867, en lui indiquant qu'il a déjà écrit au préfet pour lui dire que son mauvais état de santé n'avait pu lui permettre de réaliser le travail attendu. Il propose d'envoyer ses notes sur la question des locomotives routières.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame Oyon, 8 octobre 1867
Godin répond à une demande de conseil sur le choix d'un fourneau de la part de madame Oyon. Il fait valoir que le choix d'un fourneau est une affaire personnelle et qu'Allez frères lui ont conseillé un appareil au prix modique. Godin donne à madame Oyon les caractéristiques et le prix de plusieurs appareils entre lesquels elle peut faire un choix. Il transmet ses salutations à Auguste Oyon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guy, 9 octobre 1867
Godin demande à Guy s'il connaît un élève de mérite sorti l'an dernier de l'École des arts et métiers qui pourrait devenir employé dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire en vue d'occuper un emploi de direction.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Ceroni, 18 octobre 1867
Godin demande à Ceroni de lui expédier pour appréciation des feuillettes de vins de Bordeaux de 1858 et 1862.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François, Jean et Corne, 18 octobre 1867
Godin demande à François, Jean et Corne de lui expédier pour appréciation des feuillettes de vins de côte de Beaune de 1862 et 1864.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 22 octobre 1867
Sur la séparation des époux Godin et la liquidation de la communauté de biens. Sur la communication à Delpech d'informations comptables utiles au procès en appel de Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Lheureux, 23 octobre 1867
Godin demande à Lheureux d'envoyer à Cantagrel au 33, rue de Rivoli à Paris le dossier du procès en contrefaçon l'opposant à Corneau frères qui a précédé le procès relatif à la nullité de leur brevet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 23 octobre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. À propos de la disparition de pièces du dossier du procès. Godin pense que Jules Favre plaidera au procès à Metz. Il annonce à Cantagrel que son fils Émile est à Paris. Il l'informe que sa santé se rétablit et qu'il est heureux que celle de Cantagrel se soit améliorée sous l'influence de l'eau froide. À propos d'une invention de Cantagrel relative au chauffage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 7 novembre 1867
Godin informe le préfet que le secrétaire de la Commission des études de l'Exposition universelle lui a demandé de lui adresser son travail sur l'exposition, inabouti en raison de sa maladie. Il lui annonce qu'il lui a adressé ses notes sur les locomotives routières et il lui rappelle qu'il avait essayé d'obtenir l'autorisation d'ouvrir un service de locomotives sur routes, mais que l'autorisation qui lui avait été accordée était assortie de telles restrictions et de charges qu'il a renoncé à son application. Il explique qu'il n'a pu se servir de sa locomotive que pour les transports du canal à l'usine de Guise. L'administration avait mis à la charge de Godin notamment la reconstruction des ponts qui se trouvaient pourtant déjà en mauvais état pour la circulation ordinaire. Godin demande au préfet d'examiner la possibilité d'étendre son service de locomotive routière sur l'ensemble du parcours de Guise à Bohain, et pour y parvenir de faire réparer le pont qui se trouve près de Longchamp.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Wimy, 15 novembre 1867
Godin s'informe auprès de Wimy de l'encaissement de ses titres de la rente italienne. Il lui demande de remettre la moitié de la somme au Comptoir d'escompte et de verser l'autre moitié sur son compte de la banque Béchet, Dethomas et Cie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Flori, 21 novembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Discussion relative au brevet de Corneau frères.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 12 décembre 1867
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Delpech que Jules Favre lui conseille de répondre à une sommation d'Esther Lemaire, relative à la communication des livres de comptabilité de l'usine, par une déclaration copiée dans le registre à la suite de la lettre (folio 217r à 220r).

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 15 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin se plaint que M. Coré, à qui il avait confié la question des brevets, ne s'en est pas suffisamment occupé. Il demande à Cantagrel de s'entendre avec celui-ci. Il lui demande de l'avertir à l'avance de sa prochaine visite à Guise. Sur l'affaire Jacquet : Godin demande à Cantagrel si Jacquet continue à exploiter ses appareils à gaz et s'il paie les annuités de son brevet ; il constate que Jacquet ne se presse pas pour lui restituer les appareils.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 17 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Noizet que le président de la cour de Metz veut juger l'affaire, qui a pris du retard à cause de la maladie de Jules Favre et de la sienne, et qu'en raison de l'indisponibilité de Jules Favre retenu au Corps législatif jusque mars 1868, il doit demander à un avocat de plaider à la place de ce dernier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Coré, 17 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin annonce à Coré que Cantagrel lui a envoyé les dessins de calorifères qu'il veut lui faire exécuter, et qu'il choisit Arago à Paris pour avocat plutôt qu'un avocat à Metz. Il lui indique qu'il ne souhaite pas que Dureteste plaide dans le procès en appel. Il lui fait part du plaisir qu'il aura à recevoir sa visite au Familistère, annoncée par Cantagrel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 17 décembre 1867
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin confirme l'envoi de sa réponse à la sommation d'Esther Lemaire et il informe Delpech que Jules Favre ne pourra pas plaider à Amiens avant le mois de février prochain.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 17 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Cantagrel qu'il a écrit à Coré pour lui indiquer qu'il accepte qu'Arago soit son avocat dans l'affaire et pour l'inviter à visiter le Familistère. Godin informe Cantagrel qu'il a également écrit à Noizet que le retard causé par la maladie de Jules Favre et la sienne l'oblige à changer d'avocat, Jules Favre étant retenu à la Chambre des députés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 19 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Cantagrel qu'Arago a accepté de s'occuper de son affaire avec Coré et qu'il peut en discuter avec lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 19 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'en raison de l'indisponibilité de Jules Favre retenu au Corps législatif, il va devoir demander à Emmanuel Arago d'être son avocat dans l'affaire devant la cour de Metz.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Emmanuel Arago, 19 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin demande à Arago s'il consent à être son avocat en remplacement de Jules Favre dans l'affaire dont Coré lui a parlé et dans l'affirmative quelle provision il doit lui verser.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Coré, 22 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin envoie à Coré une copie de ses dessins pour l'exécution de spécimens de calorifères, dessins à propos desquels il fait une série d'observations en vue de leur correction. Il lui demande s'il doit lui envoyer un calorifère Joly et il lui annonce qu'Emmanuel Arago accepte d'être son avocat dans l'affaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 22 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Noizet qu'il a fait remettre le dossier de l'affaire à Emmanuel Arago, 16, place Vendôme à Paris, et il lui demande de se mettre en relation avec lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Calisti, 28 décembre 1867
Godin informe Calisti que le jeune instituteur qu'il lui avait envoyé doit partir du Familistère : « Malheureusement, il a un défaut, qui, s'il peut passer inaperçu dans une école de village, ne peut lui permettre d'exercer au Familistère. C'est de s'enivrer. » Godin ne peut le tolérer car il s'efforce par ailleurs de moraliser la classe ouvrière. Godin demande à Calisti s'il peut remplacer Hincellin par un autre instituteur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Calisti, 4 janvier 1868
Godin répond à Calisti qu'il accepterait volontiers un homme marié pour instituteur. Il l'informe qu'il a reçu la visite de monsieur Laime, employé à Prémontré, qui a enseigné dans les écoles congrégationnistes. Godin confie à Calisti qu'il préférerait un instituteur issu de l'école normale ou un instituteur de l'enseignement laïque. Il apprend à Calisti qu'Hincellin ne quittera le Familistère que quand il lui donnera congé, aussi est-il possible de prendre le temps pour trouver son remplaçant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 6 janvier 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin rappelle à Noizet qu'il lui a demandé de se mettre en relation avec Emmanuel Arago.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Stenger, 6 janvier 1868
Godin rappelle à Stenger qu'il lui a envoyé pour son journal quelques lettres sur les chemins de fer d'intérêt local, mais il se demande s'il faut en dire davantage que la proposition contenue dans l'article qu'il lui envoie pour ne pas sembler donner la marche à suivre à l'administration et mettre en lumière ce qu'elle pourrait faire pour atténuer les effets de la crise industrielle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Piette, 7 janvier 1868
Sur les effets de la crise industrielle et commerciale de 1867. Godin explique à Piette que son industrie repose sur la prévision et le calcul car il fait fabriquer pour des besoins éventuels. Il raconte qu'au début de 1867, l'apaisement de la guerre d'Allemagne avait créé un climat propice aux affaires et qu'il avait donné une grande activité à la fabrication de ses produits, mais que tout d'un coup l'affaire du Luxembourg a créé de l'incertitude et qu'ensuite les affaires de Rome ont effacé la confiance, si bien qu'un tiers de la production de l'usine est restée en magasin. Il poursuit en expliquant qu'avec la rigueur de l'hiver et la cherté des subsistances, il a résolu de maintenir l'activité de la fabrication pour permettre aux ouvriers de traverser la saison la plus dure. Il indique qu'il devra ensuite réduire le nombre des ouvriers et réduire les heures de travail : « Mais je ne baisserai jamais les salaires, cela est à mes yeux un grave abus dont malheureusement trop de chefs d'industrie profitent et qui dans tous les cas établit une concurrence dépréciative qui prolonge les crises et les souffrances de la classe ouvrière car les produits faits au rabais augmentent l'encombrement, ils peuvent plus tard être vendus à prix réduit, par conséquent, ils sont cause de la prolongation de l'avilissement des salaires. Ou s'il n'en est pas ainsi, ils tournent au profit du fabricant et ne sont cette fois qu'une spéculation sur la misère du travailleur [...] » Il mentionne un avis paru dans Le Journal de l'Aisne conseillant à l'administration et au préfet de créer des chemins de fer vicinaux, quitte à recourir à l'emprunt ; Godin déclare qu'il serait souscripteur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brunois, 13 janvier 1868
Godin souhaite obtenir de Brunois des renseignements sur monsieur Poëtte, ancien professeur de son institution. Il explique qu'il a besoin d'un instituteur capable d'appliquer les méthodes nouvelles d'éducation et bienveillant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 13 janvier 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin évoque un voyage à Guise et au Familistère que pourrait faire Emmanuel Arago. Il est question des dessins de spécimens réalisés par Coré, du calorifère Joly que Godin lui a envoyé et du brevet de Corneau frères. Sur l'affaire Jacquet : Jacquet doit restituer les appareils ou les payer ; Godin pense que le chauffage au gaz de ce dernier est trop coûteux ; sur la possibilité d'un nouveau procès concernant les émaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Coré, 13 janvier 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin annonce à Coré qu'il lui a expédié le petit calorifère Joly avec son brevet et un petit modèle. Il fait des observations sur les dispositions de celui-ci. Il lui demande de s'entendre avec Cantagrel pour lui rapporter les objets et faire les corrections qu'il jugerait utiles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime Poëtte, 15 janvier 1868
Monsieur Calisti a informé Poëtte que Godin avait besoin d'un instituteur au Familistère. Godin l'invite à prendre ses fonctions. Il lui indique que ses appointements seront de 100 francs par mois et que les employés se logent et se nourrissent à leur convenance et à leurs frais.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 22 janvier 1868
À propos de brevets d'inventions. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères : Godin informe Cantagrel qu'il a demandé à Emmanuel Arago de lui communiquer le montant de la provision qu'il désire ; il souhaite que Cantagrel puisse en parler avec Arago au cas où il lui confierait d'autres procès.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime Poëtte, 25 janvier 1868
Godin informe Poëtte que monsieur Hincellin ne quittera le Familistère qu'au 1er mars et qu'ainsi son entrée en fonction pourrait être différée, mais Godin lui réitère sa proposition de l'employer autrement en attendant son départ. Il ajoute qu'Hincellin doit aller voir monsieur Calisti et que cet entretien pourrait précipiter son départ.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Calisti, 3 février 1868
Calisty a informé Godin qu'Hincellin a été nommé instituteur adjoint au Nouvion. Godin apprend à Calisti qu'Hincellin a refusé cette nomination pour des motifs qu'il lui expliquera. Godin demande à Calisti si Hincellin est libre de partir, car Poëtte doit prochainement arriver.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au maire de Guise, 3 février 1868
Godin informe le maire de Guise qu'il va édifier des constructions en lisière du chemin des vaches et appelle son attention sur le mauvais état de celui-ci, sur la dangerosité du mur du jardin de l'octroi et sur les inondations de la chaussée provoquées par le fossé longeant le chemin. Godin propose que la Ville lui cède le terrain contenant le fossé en échange de quoi il fera construire un aqueduc rejetant les eaux pluviales vers la rivière, en laissant 8 à 10 mètres de large au chemin. Il demande que le maire soumette la proposition à l'examen du conseil municipal.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Emmanuel Arago, 11 février 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Arago qu'il a reçu la visite de Cantagrel à qui Coré a indiqué qu'il demandait 2 000 francs de provision pour se charger de l'affaire. Il l'avertit qu'il lui envoie un chèque de ce montant sur Béchet, Dethomas et Cie. Il s'inquiète de ne pas avoir de nouvelles de la réalisation d'un mémoire imprimé. Il demande à Arago de porter son attention sur la question de la nullité du certificat d'addition de Corneau frères, dont il fait un exposé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 19 février 1868
Sur la prétendue insalubrité des poêles en fonte de fer. Godin demande à Cantagrel de se renseigner sur A. Philippe pour savoir s'il doit donner suite à sa proposition qui concerne la salubrité des poêles et pourrait mettre en évidence un brevet qu'il s'apprête à déposer. Il demande à Cantagrel de voir A. Philippe, lui demander s'il s'occuperait uniquement de ses brevets et lui dire s'il peut lui faire confiance. Il évoque la commission de l'Académie des sciences et il se demande si leurs études valent un billet de 1 000 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Philippe, 26 février 1868
Godin confirme à Philippe qu'à la réception de sa lettre, il avait demandé à Cantagrel d'aller le voir et il s'étonne que Philippe ne lui en fasse pas part dans sa lettre du 25 février 1868. Godin se dit prêt à lui confier l'exécution d'un objet et à offrir à la commission [de l'Académie des sciences] la solution du problème qui l'occupe.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 27 février 1868
Godin informe Oudin-Leclère qu'il possède une petite maison au voisinage de l'usine de Guise et il lui explique que cette propriété subit dommages et préjudices en raison de travaux effectués par le propriétaire de la maison mitoyenne l'été dernier alors qu'il était malade. Godin demande à Oudin-Leclère comment il doit formuler une assignation à l'encontre de son voisin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 10 mars 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. À propos d'une sommation d'Esther Lemaire relative à la communication des livres de comptabilité des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Petiet, 13 mars 1868
Godin rapporte à Petiet qu'un incident est survenu entre son fils Émile et le chef de gare de Maubeuge : Émile a, semble-t-il, changé de train à Maubeuge, passant d'un train omnibus à un train express muni d'un seul billet de première classe ; le chef de gare a dressé procès-verbal. Godin juge que cela est excessif et contraire aux intérêts de l'industrie et du commerce et il demande à Petiet l'abandon des poursuites.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Petiet, 17 mars 1868
Godin explique à Petiet qu'il ne conteste pas l'irrégularité de la situation de son fils vis-à-vis de la Compagnie du chemin de fer du Nord mais qu'il voulait signaler qu'un de ses agents s'était comporté de manière peu courtoise. Il renouvelle son désir que l'affaire en reste là.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Olivia Bussery de Rocourt, 19 mars 1868
Godin indique à Olivia de Rocourt, avec qui il a déjà été en relation, qu'il ne fabrique pas de rails de chemins de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Philippe, 19 mars 1868
Godin informe Philippe qu'il n'a pas l'intention d'exploiter l'idée qu'il lui a soumise car il ne pense pas qu'elle réponde à la solution cherchée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs E. Saint-Pierre et Gaudot, 19 mars 1868
Saint-Pierre et Gaudot ont écrit le 12 mars 1868 à Godin pour lui proposer de lui communiquer des plans et devis d'un projet de chemin de fer. Godin leur répond qu'ils peuvent commencer par lui décrire l'idée principale du projet. Godin émet des doutes sur la faisabilité du projet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 28 mars 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. À propos d'un mémoire de monsieur Hébert.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 1er avril 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin demande à Cantagrel de faire cesser l'intervention de monsieur Coré dans l'affaire et de retirer de chez celui-ci tout ce qui appartient à Godin. Godin ajoute qu'il n'est pas disposé à lui payer un reliquat de 1 000 F car il juge qu'il a fallu le pousser dans ses retranchements pour qu'il accomplisse son travail. Il demande également à Cantagrel d'informer Emmanuel Arago que Coré n'est plus chargé de l'affaire et de s'entendre avec lui sur les objets à envoyer à Metz.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Calisti, 4 avril 1868
À la suite de la visite effectuée par Calisti aux écoles du Familistère, Godin rend compte à ce dernier des résultats obtenus par les maîtres du Familistère, Marchand et Poëtte, dans l'éducation des adultes : en deux hivers, des hommes illettrés, dont des contremaîtres de l'usine, ont appris à lire, à écrire et à compter.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 7 avril 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin demande à Cantagrel d'envoyer les calorifères déposés chez Coré à François Vaillant, fabricant de fourneaux à Metz. Il lui annonce qu'il va étudier les conclusions [sur les brevets de Corneau frères].
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