FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (12) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Claire Muller, après le 5 septembre 1872
Marie Moret propose à madame Muller qu'elle-même et Godin aillent lui porter l'exemplaire des cahiers de comptabilité des enfants du Familistère qu'elle voulait consulter afin d'avoir la possibilité de voir ses classes Fröbel. Elle demande à madame Muller si les vacances sont terminées et si ses classes ont repris leur cours régulier. Elle lui demande également s'il existe une école normale ou une institution pour la formation des institutrices à la méthode Fröbel. Elle lui explique la difficulté de recruter au Familistère une institutrice formée à la méthode Fröbel : seule, elle se trouverait isolée ; mariée, son mari devrait trouver un emploi dans l'usine. C'est pourquoi la solution pourrait être d'envoyer des jeunes filles du Familistère dans une école-modèle de la méthode Fröbel.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Despret, 24 décembre 1872
Godin donne suite à la lettre de Despret en date du 22 décembre. Il l'exhorte à sortir de l'inaction pour permettre l'ouverture de l'enquête [sur la voie de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme passant par Guise].

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Despret, 19 août 1872
Godin informe Despret que le rapport du préfet de l'Aisne pour la prochaine session du conseil général indique qu'il lui a adressé le 6 juillet dernier la convention de concession de la ligne du Cateau à Saint-Erme et qu'il espère qu'il lui retournera la convention signée avant le 17 août 1872. Il évoque des réflexions échangées avec Meynard sur le tracé de la voie de chemin de fer. Il lui demande si quelque chose est à faire à ce sujet pendant la session du conseil général et si la déclaration d'utilité publique subit des retards du fait du conseil général.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Despret, 11 décembre 1872
Godin demande à Despret pourquoi il tarde à déposer à la préfecture de l'Aisne les études nécessaires à l'ouverture de l'enquête préalable à la déclaration d'utilité publique.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux conseillers généraux de l'Aisne, 8 mai 1872
Godin adresse un nouvel exemplaire du questionnaire de la commission d'enquête sur le régime des transports. Il leur rappelle qu'ils l'ont prié au cours de la dernière session de les convoquer à Paris ou à Versailles au sujet de cette enquête, mais les invite néanmoins à remplir le questionnaire et à le lui renvoyer pour servir de base à la discussion. Godin évoque les annuités à payer pour la Sambre canalisée et le canal de jonction de la Sambre à l'Oise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au président de la Société de secours aux blessés, 13 novembre 1872
Le président de la Société de secours aux blessés a écrit le 9 septembre 1872 à Godin qu'il pouvait obtenir un appareil pour un amputé au bras. Godin précise qu'il s'agit de Laporte, soldat blessé au siège de Strasbourg. Il lui demande d'adresser l'appareil à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 24 novembre 1872
Sur les écoles du Familistère. Godin explique au préfet que l'instituteur des écoles du Familistère veut contracter l'engagement décennal, mais que les écoles libres du Familistère ne sont pas encore reconnues d'utilité publique. Il propose que l'instituteur entre momentanément dans les écoles communales de Guise et y contracte son engagement avant de reprendre sa fonction au Familistère, comme l'y invite le ministère. Godin ajoute qu'il ne craint pas la visite des inspecteurs dans les écoles du Familistère, mais « je désire beaucoup rester maître du programme d'enseignement et de la direction de ces écoles ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 11 décembre 1872
Godin explique au préfet qu'il n'a pu le voir la veille à Versailles au ministère de l'Intérieur, où il voulait l'interroger sur ce qu'il y a à faire pour que le jeune Faivre, instituteur dans les écoles du Familistère, puisse contracter son engagement, et lui parler des travaux sur le chemin de sa propriété à l'intersection avec la route départementale n° 25 ; il voulait également lui demander pourquoi l'enquête sur la voie de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme par Guise ne s'ouvre pas.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 6 juin 1872
Sur l'admission du docteur Devillers dans le service médical de l'hospice de Guise. Godin communique au préfet la délibération de la commission administrative de l'hospice. Godin explique au préfet que les mesures prises permettront aux médecins en exercice de poursuivre leur activité « sans presque s'apercevoir de la présence d'un nouveau médecin ». Godin donne l'exemple des modifications faites par la ville de Péronne dans le service des médecins de son hospice.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 2 mai 1872
Godin a reçu la lettre du préfet de l'Aisne du 19 avril 1872 lui demandant de surseoir à l'installation du docteur Devillers en qualité de médecin de l'hospice de Guise. Il lui rappelle qu'il lui avait écrit le même jour que cette mesure aurait une fâcheuse influence sur l'administration municipale et les établissements de bienfaisance de la ville de Guise. Il regrette de n'avoir pu s'entretenir de cette question avec le préfet à Laon le lundi précédent et il lui demande d'approuver la nomination du docteur Devillers en qualité de médecin de l'hospice.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 7 mai 1872
Godin invite son correspondant à venir le voir au 22 rue des Réservoirs à Versailles.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au maire de Rozet-Saint-Albin, 13 novembre 1872
Godin demande au maire de Rozet-Saint-Albin (Aisne) des renseignements sur monsieur Lagniel, propriétaire dans sa commune : il lui demande s'il a été maire de la commune, pourquoi a-t-il quitté ses fonctions, quel est son âge, s'il peut être chargé d'une fonction de surveillance, etc.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur de l'École centrale des arts et manufactures, 12 novembre 1872
Godin informe le directeur de l'École centrale qu'aucun des candidats qu'il lui a proposés ne lui a écrit, mais qu'ils peuvent le rencontrer à l'hôtel Vatel, rue Pétigny à Versailles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Truchy et Vaugeois, 24 décembre 1872
Godin informe Truchy et Vaugeois qu'il a reçu une demande d'emploi de comptable de la part de Debetz, qu'ils ont employé. Il leur demande si Debets n'est pas parti de chez eux à la suite d'un procès avec sa femme, et il les prie de lui donner des renseignements sur ses capacités de comptable.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Truchy et Vaugeois, 23 mai 1872
Godin demande à Truchy et Vaugeois d'exécuter la bannière selon le croquis qu'ils lui ont communiqué. Il leur demande de prendre soin du trophée d'instruments de musique et d'expédier à Guise la bannière.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Truchy et Cie, 20 mai 1872
Commande d'une bannière pour la société musicale du Familistère. Godin commande à Truchy et Vaugeois une bannière cornet en moire cramoisie peinte non d'une lyre mais d'un trophée d'instruments en cuivre. Il leur communique le texte des inscriptions à placer sur la bannière et leur demande de lui envoyer le croquis du projet. Il suggère que la bannière peinte sera moins chère que la bannière brodée au prix de 250 F.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 27 mai 1872
À la suite de la lettre de Tito Pagliardini du 14 mars précédent, Godin demande des nouvelles de sa santé et de celle de sa femme. Il l'autorise à faire ce qu'il veut du texte ou des gravures de Solutions sociales. Il lui annonce que le Harper's Magazine qui se tire à New York à 175 000 exemplaires a publié en avril 1872 toutes les planches et vues du Familistère parues dans Solutions sociales avec de nombreuses citations du texte du livre. Il l'informe que la traduction complète du livre en anglais devrait bientôt paraître aux États-Unis. Il émet des réserves sur la construction d'un Palais social en Angleterre « car il ne suffit pas de se mettre en possession des dispositions matérielles, il faut faire pénétrer dans les esprits la pensée religieuse et morale indispensable au succès ». À propos de la traduction par la Société de l'hygiène publique de quelques chapitres de Solutions sociales : Godin comprend qu'on élimine les deux premières parties mais il considère que les deux dernières sont solidaires et qu'autrement, on risque de faire du Familistère un instrument d'exploitation. Il transmet ses amitiés et celles de Marie Moret aux époux Pagliardini.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Pierre Lerouge, 1er octobre 1872
Godin signale à Lerouge qu'il y a longtemps qu'il regrette de voir la propagande royaliste se faire sans concurrence républicaine. Il l'assure de son concours pour la fondation d'un journal et d'une Société d'instruction républicaine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Paul Saussier, 29 novembre 1872
Godin désire obtenir de Saussier des renseignements sur Plisson, jeune comptable employé il y a 4 ans chez Marq et Lachausse, banquiers à Troyes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Nicolas Balline, 25 mai 1872
Godin accuse réception des deux livres envoyés par Balline mais lui fait remarquer qu'il a dû payer 18 francs de port. Il lui annonce l'envoi de Solutions sociales dans l'édition in-12. « Je serais heureux que vous puissiez non-seulement traduire mon livre en russe, mais que vous puissiez aussi faire de la Russie un champ d'expériences y en (sic) érigeant des Familistères. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Wood, 25 mai 1872
Godin répond à la lettre de Wood du 21 mars précédent en lui envoyant l'édition in-12 de Solutions sociales. Il indique à Wood que le fondateur d'une entreprise comme le Familistère doit en prendre la direction : « Quiconque voudrait considérer une telle entreprise comme une simple affaire industrielle risquerait fort de ne rien faire de bien. » Il s'agit selon Godin d'une œuvre de dévouement social.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Viney, 19 mai 1872
Godin indique à Viney qu'il a répondu le 15 mai à sa lettre du 11 mai en lui demandant des précisions que sa lettre du 18 mai ne donne pas. Il lui rappelle qu'à son arrivée à Guise, il lui avait demandé de chercher l'erreur dans le compte des banquiers ou de chercher les moyens de trouver une solution rapide aux litiges liés au chemins de fer, mais constate qu'il ne lui a rien communiqué à ces sujets. Il lui rappelle aussi qu'il lui a déjà fait observer que des lettres urgentes ne passent dans ses mains qu'un mois après leur réception. Godin veut savoir s'il a remédié à ce dernier problème.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Viney, 15 mai 1872
Godin répond à une lettre de Viney. Il le met en garde contre l'esprit de cabale. Il lui rappelle qu'il avait été convenu avec Alfred Denisart qu'il serait sous-chef de comptabilité, et donc chargé de surveiller l'exactitude du travail comptable dans tous ses détails. Aussi, Godin est-il étonné d'apprendre par son fils Émile qu'il n'a pas eu communication en temps convenable des lettres sur le chemin de fer, alors qu'il lui revient de prendre connaissance des lettres à l'ouverture du courrier. Il lui demande des éclaircissements et des renseignements sur des négligences commises à l'égard de la caisse. Il souhaite également avoir des renseignements sur la tenue de la caisse de secours. Il l'encourage à exerce sa surveillance sur la comptabilité et de proposer à Denisart ou à lui-même les changements à effectuer. Godin juge enfin que le bureau de la caisse de secours doit rester dans l'atelier de comptabilité et non être installé dans la fonderie, mais il soumet la question à la commission administrative.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Viney, 12 juin 1872
Godin informe Viney, en période d'essai dans les bureaux de l'usine, qu'il ne peut le maintenir à son poste à la suite des informations obtenues sur lui. Il lui demande de restreindre son travail au litige avec les chemins de fer en accord avec Alfred Denisart, et de se préparer à quitter l'établissement à la fin du mois.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Tourneur, 17 juin 1872
Godin accuse réception de la lettre de Tourneur du 16 juin 1872. Il lui annonce qu'il ne peut rien décider à son sujet. Il juge inutile que Tourneur se déplace à Versailles car les renseignements fournis sont suffisants.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Tisseron, 19 décembre 1872
Godin annonce à Tisseron qu''en rentrant quelques jours à son usine de Guise, il va pouvoir examiner la compatibilité de sa représentation à Rouen avec les tournées des autres voyageurs de la maison.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Sirieix, 30 novembre 1872
Sue une demande d'augmentation de salaire de Sirieix. Siriex ayant demandé 0,70 F par heure, Godin lui fait remarquer qu'il devrait se contenter d'un salaire plus modeste tant qu'il n'aura pas acquis les connaissances nécessaires à remplir dans l'usine une fonction correspondant au salaire demandé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Silbernagel, 26 novembre 1872
Godin répond à la lettre de Silbernagel du 21 novembre 1872, dans laquelle celui-ci fait remarquer que les fourneaux fonctionnant au charbon sont peu utilisés en Suisse. Godin lui indique qu'il fabrique des appareils au bois dans beaucoup de modèles. Il précise les conditions faites à ses représentants sur place : 3 % sur les ventes jusqu'à 500 F et 1 % sur le surplus ; participation de 10 % aux pertes sur des mauvaises affaires placées par le représentant. Il lui signale qu'il est prêt à cesser de faire voyager en Suisse s'il peut lui donner l'assurance de bien représenter la maison Godin-Lemaire. Il lui demande de lui communiquer la liste des villes qu'il visiterait régulièrement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Silbernagel, 10 décembre 1872
Sur les conditions de rémunération de Silbernagel, représentant de commerce, et sur ses références.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rousseau, 30 juin 1872
Godin accuse réception de la demande d'emploi apostillée par Pernet-Vallier, que lui a envoyée Rousseau le 24 juin 1872. Il lui demande de venir le voir à Versailles et de lui indiquer dans quelles maisons il a travaillé en qualité de comptable et les autres emplois qu'il a occupés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rollin, 19 décembre 1872
Godin demande à Rollin de lui donner l'adresse de monsieur Debetz ou de le prier de lui écrire pour lui donner des références. Godin précise qu'il faut lui écrire à Guise car il va avoir quelques jours de vacances.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rivière, 2 novembre 1872
Godin indique à Rivière qu'il craint l'influence des constructions nouvelles sur sa santé et il lui annonce qu'il choisit le logement de l'hôtel composé de 2 chambres et d'un salon au prix de 220 F par mois avec les meubles nécessaires pour ses papiers et ses vêtements, mais qu'il aurait préféré au premier étage plutôt qu'au second. Il l'avertit qu'il arrivera à Versailles pour l'ouverture de l'Assemblée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rascol, 26 novembre 1872
Godin répond à la lettre de Rascol du 19 novembre 1872 : il lui demande comme il traite les affaires à Alger pour les maisons qu'il représente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rapp, 30 juin 1872
Godin invite Rapp, qui a envoyé une demande d'emploi de comptable à monsieur Moret, à venir le voir à Versailles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Plisson, 13 novembre 1872
Godin indique à Plisson qu'il peut venir le voir à l'hôtel Vatel, rue de Pétigny à Versailles.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Maréchal, 26 novembre 1872
Godin demande à Maréchal de lui communiquer des informations sur lui-même pour savoir s'il peut l'accepter comme voyageur de commerce même si, lui explique-t-il, il recherche surtout des représentants sur place dans les grands centres de France.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Loisy, 26 mai 1872
À propos de la question de la caisse de secours. Godin reproche à Loisy de se laisser entraîner dans des intrigues. Godin juge qu'il est normal que la commission administrative s'intéresse à la caisse de secours. Il lui rappelle qu'un des principes du Familistère est le respect de la volonté exprimée par les commissions instituées. Sur un litige né de l'application d'amendes : Godin suggère à Loisy de réunir la commission de la caisse de secours et la laisser voter sur le sujet. Sur un rapport de Loisy concernant les attributions des employés de l'atelier de montage. Sur un élève de l'École des arts et métiers de Châlons à la direction de l'atelier de montage. Sur la fabrication de coquilles. Godin demande à Loisy s'il obtient des mouleurs « à la machine » plus de travail que les mouleurs ordinaires et si Lefer est en état de s'occuper de ces machines.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Loisy, 17 juin 1872
Godin rappelle à Loisy qu'il lui a demandé il y a 15 jours d'accélérer la fabrication des boutons, mais qu'il apprend que la fonderie ne produit pas davantage. Il demande à Loisy des explications.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Loisy, 15 mai 1872
Godin répond à une lettre de Loisy. Sur des mésententes dans l'usine en l'absence de Godin. Il reproche à Loisy de ne pas s'exprimer franchement dans les réunions de la commission. « Combien je désirerais vois voir tous animés d'un plus grand amour du prochain et de moins de préoccupations personnelles ! » Sur Dury : Godin préconise de l'accepter définitivement. Sur la fonderie : le coulage de pièces en fonte dure est une faute de direction. Sur le procédé de Grebel pour le moulage de lanternes pour boutons : Godin recommande d'en faire usage. Sur une machine à découper les rondelles : Godin indique à Loisy qu'il aurait dû faire des plans raisonnés pour la faire admettre. Sur les approvisionnements : Godin l'encourage à attirer l'attention du conseil sur ce sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lemoult-Garnier, 26 novembre 1872
Godin demande à Lemoult et Garnier des renseignements sur Galmard, qui a été leur employé, notamment s'il a les qualités d'un bon voyageur de commerce.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lefer, 28 mai 1872
Sur le moulage mécanique. Godin préconise à Lefer de trouver un système de rail pour emmener les moules les uns après les autres au pressage plutôt que de déplacer la presse elle-même. Sur une note rédigée par Deplanque pendant l'absence de Lefer et sur l'organisation de l'atelier de fonderie. Il demande à Lefer de ne pas prendre ombrage de ce qui a été fait pendant son absence.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lefer, 21 mai 1872
Godin répond tardivement à la lettre de Lefer du 11 mai car il voulait que sa santé se rétablisse avant de lui donner un travail d'étude. Godin n'est pas favorable au déplacement des machines à mouler, considérant qu'il vaut mieux déplacer les sables, les châssis et les moules.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lefer, 19 novembre 1872
Sur un nouvel ouvrier nommé Sirieix (?). Godin explique à Lefer qu'il veut évaluer la capacité d'un nouvel ouvrier ajusteur qui lui a demandé 7 à 8 F par jour, soit 0,70 par heure, qui correspond au salaire d'un ouvrier de première force. Il demande à Lefer d'établir le prix de sa journée en fonction de sa capacité et de lui dire, s'il venait à réclamer, qu'il lui compterait personnellement la différence en attendant de déterminer une autre place pour lui dans les ateliers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lassérée, 24 décembre 1872
Godin informe Lassérée que les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire ont suffisamment de voyageurs de commerce et qu'il ne peut utiliser ses services.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lagniel, 20 novembre 1872
Godin explique à Lagniel qu'il lui est difficile de lui offrir un emploi en raison de son âge et de son inexpérience dans le genre d'industrie concerné qui ne correspond pas aux 125 F d'appointements demandés. Godin évoque la possibilité que monsieur Broit, le gendre de Lagniel, puisse lui donner des indications sur l'emploi qu'il pourrait occuper dans l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Mercier, 4 octobre 1872
Godin répond à une demande de renseignements sur le Familistère : il signale à Mercier, qui a lu des articles de journaux sur le sujet, le livre Solutions sociales. Sur l'emploi de Mercier en qualité de menuisier ou de mouleur, et de sa femme : Godin demande à Mercier de réfléchir avant de vouloir s'installer au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Thiébault, 28 août 1872
Sur un litige opposant Thiébault à Godin. Godin demande à Thiébault de réparer ses torts et de le rembourser avant qu'il ne porte plainte auprès du procureur de la République.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur G. Rhein, 24 décembre 1872
Godin informe Rhein qu'il ne peut s'entendre avec lui sur la représentation des produits Godin-Lemaire car il ne veut pas modifier la tournée de ses voyageurs.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gomel, 24 décembre 1872
Godin informe Gomel que les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire ont suffisamment de voyageurs de commerce et qu'il ne peut utiliser ses services.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gallais, 19 novembre 1872
Godin soumet à Gallais l'étude du problème de la construction d'un plateau tournant de moulage mécanique pour évaluer son aptitude industrielle. Godin précise qu'il consent à rémunérer son étude sur le pied de 8 F par jour. Un croquis légendé est copié sous la signature de la lettre.
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