FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (18) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin apprend d'Alphonse Grebel de retour à Guise que Boucher prétend que Cresson demande lui-même en faveur de maître Senart la remise des plaidoiries fixées au 14 décembre 1876. Godin estime que c'est à son adversaire de faire la demande de remise au tribunal de Vervins et que Cresson devrait demander au tribunal la fixation définitive d'une audience la plus rapprochée possible au vu des lenteurs que Boucher et Cie fait subir au procès.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin pense qu'il faudrait demander à la Cour de cassation d'interpréter son arrêt dans l'affaire Boucher pour savoir si c'est la cour d'Amiens ou celle de Nancy qui doit apprécier la question des dommages et intérêts et si le brevet pris en 1864 pour une cheminée et ses organes accessoires peut être entaché de nullité par cet arrêt.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Furcy un mandat de 6 F en paiement des travaux effectués.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Tisserant s'occupe du contentieux de ses affaires, à commencer par le procès avec Boucher et Cie. Il l'invite à venir à Guise le plus tôt possible.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Veyrac du 9 novembre 1876 contenant des documents sur Icarie de Cabet. Sur une école économique nommée solidarisme : selon Godin, elle existe dans le principe d'association étendue à toutes les fonctions humaines ; il fait l'éloge de l'association par rapport au communisme tel que Veyrac l'a vu pratiqué à Nauvoo ou Icaria. Sur la direction par l'élection qui, selon Godin, doit être doublée du concours : le système du concours s'établira grâce des institutions d'éducation développées. Sur l'absence de religion signalée par Veyrac à Nauvoo et à Icaria : Godin pense qu'une notion vraie et supérieure de la destinée humaine doit unir les êtres humains à côté des intérêts matériels quotidiens, une religion de la solidarité. Godin envoie à Veyrac sa brochure Les socialistes et les droits du travail qui est un extrait de Solutions sociales et porte sur l'association. Il lui indique qu'il n'a pas reçu de réponse de la communauté d'Oneida et il commente celle qui a été faite à Max Veyrac : Oneida est une famille qui ne cherche pas à conquérir le monde ou à être discutée ; « C'est moins la lumière sur les idées sociales que l'on cherche que le désir de soutenir une œuvre dans laquelle l'amour propre et des intérêts de secte sont engagés. » Godin signale à Veyrac qu'il a les principales publications d'Oneida. Il assure Veyrac que la liberté en France n'est pas aussi grande qu'il le croit. Il lui annonce qu'il lui a fait adresser les numéros de 1876 du Bulletin du mouvement social.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Denisart a demandé à Godin des documents sur le Familistère dans l'espoir que monsieur Menier en fasse l'application à Noisiel. Il lui adresse des imprimés des magasins de vente et des livres de l'économat dont il dresse la liste. Dans le post-scriptum, il lui transmet les amitiés de Marie Moret et évoque la naissance de mademoiselle Pétilleau.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin doit proposer des experts au tribunal de Vervins dans un procès en contrefaçon. Il prie Ganault de demander à Menche de Loisne, l'ingénieur en chef du département qu'il a vu récemment, s'il accepte d'être nommé. Il précise que l'audience aura lieu le 13 janvier 1877. Il informe Ganault que Goblet et Delpech pensent venir à Guise le 22 décembre 1876.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Delpech que des chambres seront prêtes pour lui [et Goblet] à leur arrivée. Sur la répartition de la valeur des biens de la communauté entre Godin et sa femme Esther Lemaire : Godin souligne le risque d'être ruiné dans le cas d'une licitation dans les conditions de répartition proposées par les experts, et la possibilité qu'Esther Lemaire, peut-être associée à certains industriels, fasse monter le prix de vente. Godin explique que le moyen d'échapper à la ruine est de faire valoir son droit de propriété sur ce qu'il a fait depuis 1863, sauf les dépenses dans les constructions : modèles, outils, brevets, marchandises, matières premières. Il explique également qu'il n'a pas attaqué l'expertise pour ne pas ralentir le règlement de l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut se rendre compte si les objets nickelés sont un produit d'avenir. Il annonce à Amédée Moret qu'il va envoyer à Paris Taconet, voyageur de la maison, pour aller montrer à la clientèle des marchandises nickelées. Il demande à Amédée d'aider Taconet dans cette mission, y compris en lui indiquant des quincailleries de luxe qui ne sont pas intéressées par les articles de chauffage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Amédée Moret qu'il lui envoie un dossier concernant un procès de chemin de fer. Il demande à Amédée Moret d'aller chez Allez frères leur demander l'adresse d'un bon agréé auprès du tribunal de commerce de Paris à qui il pourrait confier le dossier et qui pourrait le représenter à l'audience du 14 décembre 1876.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Ganault pour les renseignements donnés sur la personne qu'il renonce à proposer pour expert. Il l'informe qu'il a peu de chances de faire accepter la personne dont Ganault lui parle dans sa lettre de la veille et qu'il préfère proposer le nom de quelqu'un occupant des fonctions officielles à Paris.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin se plaint auprès de Larue de la lenteur avec laquelle ses affaires sont conduites à Vervins, en particulier son procès avec le chemin de fer de Guise. Il explique que la gare de Guise lui est fermée et il veut que Larue presse le règlement de l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Richon des informations sur l'aspect de l'eau au fond du trou de sondage. Il l'avertit qu'il lui envoie un paquet de papiers fermés pour l'envoi d'échantillons.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Seydoux pour sa lettre du 28 novembre 1876 sur les chemins de fer. Il l'informe qu'en réponse à sa demande, il lui a envoyé des estampes d'appareils de cuisine pour qu'il puisse faire son choix, et lui signale qu'il peut aussi obtenir des renseignements auprès des marchands de sa ville qui pourraient lui vendre les fourneaux. Godin préfèrerait que Seydoux s'entende avec l'un des marchands dans l'intérêt de ses relations avec eux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Louis Graux qu'il ne peut se fournir auprès de lui en charbon car le prix de 30 F la tonne est bien plus élevé que celui du charbon de Douchy, de Bruay ou de Ferfay. Il lui demande toutefois de lui communiquer le prix du charbon livré à la gare de Schaerbeek pour son usine de Laeken. Il lui renvoie deux bulletins dont il ne peut faire usage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Comte un mandat de 5 F en paiement de sa facture du 11 décembre 1876.

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Auteur : Inconnu
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Sur des dommages et intérêts.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à l'inspecteur les tableaux adressés à l'école du Familistère. Il lui rappelle que le conseil départemental [de l'enseignement] a décidé en octobre 1875 que les classes du Familistère ne constituent qu'une seule école sous la direction d'un seul chef d'institution, raison pour laquelle un seul tableau a été complété.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique au préfet que la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise a soumis à son homologation un tarif spécial pour les produits en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, suivant lequel la Compagnie est exonérée de toute responsabilité en cas de dommage causé aux marchandises. Godin proteste contre cette mesure, qui revient à une interdiction d'utiliser les services de la Compagnie. Godin demande au préfet de refuser d'homologuer ce tarif.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin estime que Richon met trop de lenteur dans ses travaux et qu'en vertu de leur traité, il ne peut lui verser aucune avance de fonds.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin regrette que Turquet ne l'ait pas tenu informé de la question du chemin de fer du Cateau à Saint-Erme après son retour à Versailles et que Leroux n'ait pas répondu à la longue lettre qu'il lui a écrite à ce sujet, qu'il devait diffuser auprès de Turquet et des autres députés de l'Aisne. Godin a appris que la commission [de la Chambre des députés] réunie le 8 décembre pour examiner les projets de chemins de fer n'avait pas dit un mot de la ligne du Cateau à Saint-Erme. Godin se demande pourquoi les intérêts de l'Aisne sont ainsi oubliés, bien que Waddington fasse partie de la commission. Godin suggère à Turquet de s'intéresser à la question car elle intéresse ses électeurs.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Turquet des documents relatifs à la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme, à porter à la connaissance de la commission (de la Chambre des députés] et pour servir à défendre un amendement de la Chambre des députés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin envoie à Delpech une étude faite à Guise avec Tisserant, à intégrer à sa propre réflexion et à celle de Goblet pour le projet de conclusions dans l'affaire de répartition de la valeur des biens de la communauté entre Godin et Esther Lemaire. Sur l'inventaire de 1863, réclamé par Delpech mais que Godin n'estime pas pouvoir être utile aux juges. Il lui signale qu'il écrit à Larue. Il lui annonce que lui-même et Tisserant sont prêts à se rendre à Amiens pour achever le mémoire à imprimer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin fait des recommandations pour l'envoi des échantillons de sable par Richon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin veut savoir si Delpech et Goblet ont étudié le travail qu'il leur a envoyé. Sur le projet de conclusions de Delpech : Godin estime qu'il peut servir à Goblet mais que les chiffres ont besoin d'être plus justifiés et que le séjour de Delpech à Guise a été trop court pour lui permettre d'avoir toutes les informations nécessaires. Il lui annonce que lui-même et Tisserant pourront se rendre auprès de lui pour arrêter les conclusions après que lui et Goblet aient étudié le travail de Godin et Tisserant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Deguise que les six tables demandées seront le lendemain soir à la gare de Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Goblet qu'après leur entrevue et sur sa suggestion, il a fait réaliser [par Tisserant] un travail qu'il adressé à Delpech et que ce dernier lui a probablement communiqué. Il lui annonce que Tisserant pourra se rendre à Amiens lui exposer le fondement des chiffres présentés dans ce travail.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le projet de conclusions pour le procès en appel : Godin est en accord avec le projet de Delpech mais souhaite qu'y figurent certaines données établies par Tisserant dans son étude. Il suggère à Delpech de commencer son mémoire par un tableau comparant l'état de la fortune commune au moment du mariage et au moment de la dissolution de la communauté pour mettre en valeur les avantages qu'Esther Lemaire retire de la situation. Il lui explique que la note de Tisserant reflète exactement la position qu'il compte adopter à l'audience, et que celui-ci a réuni les différents documents demandés, sauf le plan de l'usine de Guise qui sera prêt dans quelques jours. Il souhaite que Tisserant puisse leur donner des explications sur leur travail commun. Godin insiste sur l'importance de l'audience du procès pour sauvegarder ses intérêts.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. René Goblet considère que la répartition de la licitation défendue par Godin, 5/7e pour lui et 2/7e pour la communauté, est exagérée. Godin prend en compte l'observation de Goblet ; il se range à son avis et à celui de Tisserant sur la répartition, même si c'est le travail de toute son existence qui est en question. Godin évalue les conséquences financières d'une répartition 2/6e pour la communauté et 4/6e pour lui, et demande à Goblet de lui faire part de sa décision sur la répartition à proposer. Dans le post-scriptum, il annonce qu'il envoie à Delpech le plan, que la note jointe commente. La dite note distingue les bâtiments teints en carmin (construit après 1863), les bâtiments en gris (dont l'affectation n'a pas changé depuis leur construction) et les bâtiments en rose (servant d'ateliers et de magasins provisoires puis convertis en ateliers) ; elle précise que le sol des ateliers est pavé de ciment, que des voies de chemins de fer traversent tous les ateliers, et que des conduites de gaz permettent d'éclairer chaque ouvrier par un bec.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Denisart une copie des règlements des caisses de l'usine et des services du Familistère. Il précise qu'il n'y a pas de règle pour la chorale et que la société dramatique n'existe plus. « J'espère qu'avec tout cela, vous serez en mesure de fonder immédiatement une institution pour laquelle bien des études seront évitées ». Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Marquette a écrit le 9 janvier 1877 à Godin pour lui demander un emploi de comptable. Godin lui pose une série de questions : quel emploi occupait-il dans les bureaux de monsieur Robert de Massy, quels étaient ses appointements, s'il est marié et s'il a des enfants, quel autre emploi pourrait-il occuper et quel minimum d'appointements il accepterait.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Benoist et Fourmestraux qu'il a communiqué leur demande à monsieur Quellien. Il les informe que Quellien avait des difficultés financières quand il est arrivé au Familistère, que madame Quellien s'occupe d'éducation avec son mari au Familistère mais qu'elle ne lui paraît pas institutrice.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre d'Édouard Larue en possession de Cresson selon Godin, qui cite une réponse de Cresson à la lettre qu'il lui avait adressée le 12 novembre 1875.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre se trouvant dans les mains de Guillaume Ernest Cresson. Godin veut prouver que les faits présentés par Goblet à la cour d'Amiens sont avérés en produisant les originaux et les copies des lettres de la correspondance qui a eu lieu à ce sujet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin envoie 500 F à Richon tout en regrettant les lenteurs des travaux de sondage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Marquette qu'il l'accepte en qualité d'employé comptable aux appointements de 165 F par mois à ses débuts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Chenest et les pompiers de son usine d'être intervenus pour éteindre le début d'incendie qui s'est produit dans la nuit de lundi dans l'usine du Familistère en son absence. Il souhaite offrir aux pompiers de Chenest une gratification par l'entremise de monsieur Trezé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre d'Édouard Larue retrouvée par Cresson et dont Delpech détient une copie. Sur la valeur de l'usine de Laeken : Godin explique qu'il a commencé en 1852 par ouvrir un atelier à Forest, administré par un associé qui a mal géré l'affaire, et que la société a été dissoute en 1858 avec des pertes de 142 000 F qui ont été ajoutées aux dépenses d'acquisition du site de Laeken qui s'élevaient à 160 852 F. Sur la licitation des biens de la communauté, la propriété intellectuelle des modèles et des brevets. Godin indique que de 1863 à 1874, il a créé 295 appareils pour la fabrication desquels, à raison de 30 modèles par appareil, près de 9 000 modèles sont nécessaires. Il annonce à Goblet que « nous arriverons demain soir dimanche à Amiens ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Mariolle-Pinguet qu'il n'a pas eu le temps de lui envoyer ce qu'il demandait depuis leur entrevue à la préfecture et qu'il ne pourra le recevoir que le mercredi prochain en raison de son absence. Il estime qu'ils peuvent s'entendre sans être convoqués au tribunal de Vervins. Il expose les conditions débattues avec monsieur Bauchart sur le tarif du transport des marchandises des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : 0,16 F par tonne en direction de Paris et de l'Ouest ; 0,08 F par tonne en direction de l'Est et du Nord ; réduction du tarif à 0,14 F et 0,07 F par tonne pour des wagons complets ; 0,20 F de droits de gare perçus par la gare de Guise ; la manufacture fournit les hommes et la paille nécessaires au chargement ; la Compagnie compte 0,55 F par lettre de voiture ; la Compagnie s'engage à ne pas laisser la manufacture manquer de wagon ; un traité serait fait avec ces conditions pour une durée de 6 ans.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin avertit Delpech que Godin partira demain pour lui porter les réponses à ses questions. Il l'informe qu'il ne se rendra pas à Amiens le mardi suivant car il est convoqué par le substitut du procureur de Vervins pour le procès en contrefaçon Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Édouard Larue qu'à son invitation, il se rendra à Vervins le lundi suivant pour rencontrer le substitut du procureur.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin demande à Édouard Larue de lui faire connaître les arguments produits par le substitut du procureur dans ses conclusions dans l'affaire Boucher et Cie avant que ces dernières soient prises.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le président du tribunal de commerce de Vervins qu'il lui sera impossible de se rendre à sa convocation car il se trouve à Amiens jusqu'au mercredi suivant pour une affaire devant la cour d'Amiens. Il le prévient qu'il ne lui semble pas possible qu'un arrangement ait pu être conclu sous les yeux du tribunal, alors que 5 ou 6 longues conférences entre l'administration du chemin de fer et lui n'ont pu aboutir à un accord, et il souhaite que le tribunal rende son jugement. Il annonce qu'il serait prêt à conclure une convention avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise si celle-ci offrait des conditions acceptables comme celles que propose aux industriels la Compagnie du chemin de fer du Nord.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle au président du tribunal sa lettre du 22 janvier 1877. Le tribunal a reporté d'une quinzaine la comparution de Godin et du représentant de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, Godin s'est rendu à Vervins le lundi précédent, mais la comparution a été à nouveau reportée car l'ingénieur de la Compagnie n'était pas disponible. Godin estime que sa comparution est inutile. Dans la mesure où la Compagnie lui interdit depuis un an l'accès à la gare de Guise, qu'il s'agit d'une situation inédite faite à une industrie employant 1 200 ouvriers située à l'entrée d'une gare de chemin de fer et ne demandant que l'application des règles de droit commun, Godin demande au tribunal de rendre son jugement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin sollicite de Boigues, Rambourg et Cie des renseignements sur le moulage des projectiles de guerre ou pièces de fonte creuses avec une seule ouverture avant 1867.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Hucher que Guyot lui a fait la demande d'un emploi pour lui et lui a communiqué la lettre qu'il lui avait écrite le 5 février. Godin souhaite obtenir des renseignements complémentaires sur Hucher et son autorisation pour écrire à Bouvier frères, chez qui il a été employé depuis avril 1873. Il lui demande quelles sont ses capacités en comptabilité et quels emplois il a occupé avant d'entrer chez Bouvier frères.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin commande 25 bouteilles d'eau de Spa du Pouhon du Prince de Condé, à expédier à la gare de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Henri de Hulster si, après avoir renoncé à faire des travaux de sondages pour lui l'année précédente, il serait en mesure de travailler pour lui maintenant.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin souhaite qu'Amédée Moret aille chez tous les fabricants de boules de Paris pour savoir quels sont ceux qui ont fait autrefois des boules creuses fondues d'une seule pièce. Godin cherche à savoir quel moyen était utilisé pour maintenir le noyau dans le vide du moule. Il lui signale que le Bottin lui donnera les adresses des fabricants de boules à l'article « Cuivrerie pour bâtiments ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Larrivé de se rendre à Sardy pour connaître les raisons de la cessation du travail de sondage conduit par Richon et les raisons pour lesquelles celui-ci garde le silence. Il indique à Larrivé qu'il le dédommagera de ses frais à son prochain passage à Corbigny.

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