FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (19) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Monsieur Soye a demandé à Godin de faire fabriquer pour Cabaret trois tables d'école modèles sans lui préciser l'âge des élèves. Godin précise à Cabaret la taille des tables selon l'âge des élèves et lui demande si les modèles lui conviennent.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation d'une association syndicale de tous les corps d'état de la commune de Gautier : Godin discute les objections que le ministre de l'Intérieur fait au projet ; il fait des recommandations d'ordre juridique à Gautier pour la réussite de son projet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Leymarie qu'il est toujours dans l'attente des objets de la Gymnastique des sens. Il lui demande s'il n'a pas reçu de nouveaux abonnements au journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Guyétant du 25 novembre 1878. Godin avertit Guyétant qu'il lui a envoyé de nouveaux portraits photographiques de lui non pour servir de modèles mais pour lui faire voir le manque de ressemblance du camée. Il lui envoie une nouvelle photographie. Il lui confirme qu'il le préviendra de sa venue à Paris.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Bonnefont la lettre de Pierre Gaétan Leymarie contenue dans sa lettre. Il le prévient que le moment n'est pas favorable aux recrutements. Il lui demande s'il fait usage de tabac, quels appointements il reçoit à Anzin et auprès de qui il pourrait se renseigner sur lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini du 30 septembre 1878 ; il lui reproche d'avoir passé un mois en France sans être venu le voir. Il lui annonce qu'après avoir été en conflit avec sa femme au moment de la construction du Familistère, il est en conflit avec son fils au moment où il va fonder l'association entre le capital et le travail, « c'est-à-dire entre le Familistère et son industrie ». Il l'informe que le journal Le Devoir reçoit de temps en temps des articles de Maistre au 6 Twisden Road à Londres, qui doit être professeur ; il lui demande des renseignements sur ce dernier pour savoir s'il ne s'agit pas d'un condamné politique. Il lui indique que monsieur Melotte lui écrit qu'il pourrait envoyer chaque semaine plusieurs numéros du Devoir en dépôt chez Morel au 56 Charlotte Street, Fitzroy Square, à Londres : il lui demande si la librairie est solvable. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à ses sœurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Maistre que le journal Le Devoir a publié ses premiers articles. Il lui fait observer que le journal ne peut publier des opinions sur les questions sociales contraires à ses principes et qu'ainsi il ne publiera pas ses derniers articles sur l'autonomie communale auxquels il aurait préféré une étude comparée des communes anglaises et françaises.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Marie Drouin le manuscrit de son roman Frères et rivaux. Il lui explique que l'intrigue d'amour ne convient pas au Devoir et que les questions sociales sont à peine abordées dans le roman. Il lui fait en outre remarquer que le caractère de ses personnages n'est pas assez étudié. « Il faut surtout que les questions traitées dans le Devoir le soient au point de vue d'un enseignement utile et pratique, qu'il n'y soit question du mal que pour en indiquer le remède, et qu'on y propose plutôt des moyens d'amélioration sociale que de faire une vaine critique du mal existant. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Daguet du 28 novembre 1878. Il lui explique que l'administration du Familistère gère les questions de mutualité et d'association et que pour le reste, les familles s'occupent d'elles-mêmes, et aussi que le Familistère n'admet que les familles des ouvriers et employés attachés à l'établissement. Il l'informe que la ville de Guise compte 6 000 habitant·es, qu'elle compte plusieurs établissements industriels mais qu'elle offre moins de possibilités pour un employé que la ville du Mans. Il précise qu'il ne cherche pas de nouveaux employés en ce moment.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Barré du 1er décembre 1878. Il lui demande de lui fournir des références et lui pose une série de questions sur sa situation professionnelle et personnelle, et aussi s'il fait usage de tabac.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Chevallier que ses articles destinés au journal Le Devoir ne devraient pas s'en tenir à des généralités mais aborder des études utiles et pratiques, par exemple sur les réformes à introduire dans l'enseignement. Il lui fait aussi observer que Le Devoir s'occupe d'enseigner ce qui est à faire pour le bien de tous plutôt que de critiquer le mal sans indiquer de remèdes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gosselet du 1er décembre 1878 qui lui demandait une coupe de son sondage de Guise. Il lui explique qu'il a commencé un nouveau sondage pour approvisionner en eau le Familistère et son usine et qu'il avait retardé sa réponse pour lui donner des renseignements plus précis grâce à celui-ci. Ce nouveau sondage traînant en lenteur, il lui promet une réponse prochaine.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tourasse qu'il ne peut lui indiquer une histoire à l'usage des écoles. Il lui explique que l'article du journal Le Devoir avait justement pour but de stimuler les auteurs à écrire une telle histoire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise. Godin avertit Henri de Hulster qu'il ne peut plus laisser la direction du sondage à monsieur Maurois, qui est « en ribotte » chaque semaine et s'est même retrouvé en prison. Godin fait également observer à de Hulster que l'outillage est insuffisant ; Godin pense que le fils de Maurois lui a écrit à ce sujet. Godin indique que le sondage est arrivé à une profondeur de 181,50 m.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique au préfet de l'Aisne le procès-verbal de la dernière séance de la délégation cantonale avec un tableau portant les annotations de cette dernière.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une autorisation de passage sur un chemin à la lisière d'une terre de Viéville cultivée par Dussart. Godin demande à Viéville si en outre il l'autoriserait, contre indemnité, à extraire du sable sur sa propriété.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Dans une lettre du 23 novembre 1878, madame Carrière-Dubois a appris à Godin la mort de son père dont il a reçu la visite à Guise récemment. Godin la remercie de lui avoir communiqué la lettre que Carrière lui avait écrite. Il l'informe que les numéros du journal Le Devoir vont être envoyés à sa nouvelle adresse.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de deux médaillons envoyés par Galbrunner. Godin indique à Galbrunner que ses amis ont jugé que le médaillon avec son effigie de trois-quarts est très éloigné de la vérité, et que celui à son effigie de profil présente une certaine ressemblance phrénologique sans cependant que le visage soit ressemblant. Godin lui annonce qu'il ne peut tirer aucun parti des médaillons et lui demande s'il doit les lui renvoyer.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Galbrunner qu'il lui renvoie deux médaillons à son effigie. Il précise à Galbrunner qu'il ne doit pas interpréter avec exagération ce qu'il lui a écrit sur le manque de ressemblance de son effigie de profil.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Barré qu'il ne peut prendre sur lui des renseignements auprès des Fonderies de Sougland ou de Faure en raison de sa situation à leur égard ; il lui demande l'autorisation de le faire auprès de Le Bachellé et Cie. Il l'avertit qu'il ne peut recruter en ce moment un nouveau voyageur de commerce.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Lessard qu'il est trop tard pour songer à placer des objets de bureau chez les libraires, mais qu'il ne s'oppose pas à ce qu'il étudie ce qu'il y aurait de possible entre eux pour voyager dans les villes où les libraires peuvent être visités.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise. Godin demande à Henri de Hulster l'envoi de tubes pour poursuivre le sondage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le maire d'Étréaupont qu'il ne pourra se rendre à la réunion dimanche prochain à Étréaupont relative à la ligne de chemin de fer par la vallée de l'Oise. Godin l'assure qu'il soutient la création de la ligne de chemin de fer par Guise et par Hirson, comme en témoigne la pétition envoyée l'année précédente au ministre des Travaux publics, dont il lui envoie 10 exemplaires. Il lui envoie également 10 exemplaires de la brochure La question des chemins de fer devant le conseil général de l'Aisne. Il explique que la ligne de Guise à Hirson a été classée par le gouvernement, comme celle de Busigny à Hirson ; les deux lignes n'entrent pas en concurrence selon lui ; Il indique qu'il a lui-même soutenu la ligne de Busigny à Hirson ; il lui demande d'encourager les communes de la vallée de l'Oise à soutenir ce tracé. Godin renvoie Violette à la lecture d'une page du Journal officiel du 4 décembre 1878 relative aux chemins de fer dans l'arrondissement. Il indique enfin que la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme, qui passe par Guise et Laon, justifie le tracé par la vallée de l'Oise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remet à Levasseur un chèque de 210 F pour trois mois de rédaction [du bulletin politique du journal Le Devoir].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Barré qu'il n'a pas actuellement besoin d'un voyageur de commerce.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Cadoret le document qu'il lui avait envoyé la veille à la suite du mauvais accueil qui lui avait été réservé à l'école des filles de Bernoville, après en avoir donné communication à monsieur Lefèvre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a reçu des invitations pour une réunion à Laon à des jours différents [à propos du chemin de fer par la vallée de l'Oise]. Il informe Laurent qu'il renonce à faire le voyage. Il lui demande ce qu'il s'est passé à Étréaupont.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a reçu des invitations pour une réunion à Laon à des jours différents [à propos du chemin de fer par la vallée de l'Oise]. Il informe Delaby qu'il renonce à faire le voyage mais qu'il se rendra volontiers à une réunion qui pourrait être organisée à Proisy.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un appareil à faire chauffer l'eau inventé par Mingrat. Godin a fait des expériences avec tous les appareils à faire chauffer l'eau qu'il a pu réunir : il informe Mingrat que son appareil a été le moins performant et le plus consommateur de gaz, et qu'il est le plus coûteux à fabriquer. Il lui annonce qu'il lui renvoie les objets qu'il lui avait confiés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Goblet qu'il va porter en appel devant la cour d'Amiens son affaire de compte avec Esther Lemaire qui a été jugée en première instance. Il lui demande s'il veut bien se charger de l'affaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du mandat correspondant au reliquat de fermages qui lui sont dus. Il lui demande si le propriétaire voisin ne voudrait pas acheter ses terrains.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Guillaume Pierre qu'il a vu Eugénie Pierre, qu'il a publié certains de ses articles dans le journal Le Devoir en lui recommandant de traiter les questions dans un sens pratique plutôt que de faire une critique générale des institutions sans proposer de remède. Il lui indique qu'il ne sait rien de la Maison rurale de Ry « que je n'ai jamais considéré comme une chose durable ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Jean Guérin pour les trois volumes qu'il a reçus, qui contiennent des interprétations remarquables des Évangiles. Sur des conférences et la fondation de bourses dans les établissements d'instruction du pays de Guérin. Godin communique à Guérin l'adresse du journal La Finance nouvelle.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le spiritisme. Dans sa lettre du 30 décembre 1878, Streiff sollicite Godin pour contribuer à la propagande du spiritisme. Godin lui fait observer qu'il a la lourde tâche de s'occuper de la théorie des devoirs sociaux des êtres humains et de leur application. À propos des commentaires de Streiff sur un article du journal Le Devoir : Godin précise que l'État ne doit pas se mettre à la place des citoyens mais que l'État c'est la société, et que celle-ci a des devoirs à remplir envers les citoyens ; il ajoute qu'en disant que les principes généraux de la morale supérieure sont connus, il voulait dire qu'ils ne sont pas mis en pratique ; Godin indique à Streiff que l'enseignement religieux n'est pas ce qu'il voudrait qu'il soit au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une visite que Fauvety devait faire en novembre 1878 au Familistère. Godin annonce à Fauvety qu'il voudrait lui parler des statuts de l'association du Familistère quand il viendra au Familistère avec sa femme. Sur les séances de madame Hugo d'Alési : Godin indique à Fauvety que le Traité du ciel et de l'enfer de Swedenborg exposait les mêmes phénomènes. Il transmet à Fauvety et à sa femme les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertir le directeur du Comptoir d'escompte de Paris qu'il retirera 200 000 F le samedi suivant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Guyétant qu'il pourra se rendre chez lui le vendredi et le samedi suivants pour poser.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tresca qu'il pourra se rendre chez lui le vendredi ou le samedi prochains.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin constate la rupture de son fils avec lui. Il veut faire cesser le désordre que son fils Émile introduit par son comportement violent à l'égard du personnel de l'usine et du Familistère. Il lui rappelle les articles du code pénal pouvant sanctionner ses agissements. Il lui indique qu'il est prêt à le doter de la fortune nécessaire, à condition qu'Émile ne s'immisce plus dans la direction et l'administration du Familistère et de l'usine et qu'il ne vive plus sous son toit. Il avertit Émile qu'il agira à son égard suivant la réponse qu'il fera à Tisserant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Thiaudière qu'il se rend à Paris au Grand hôtel du Louvre, où il pourrait discuter avec lui du sujet abordé dans sa lettre du 6 janvier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson. Godin informe le ministre que les notabilités industrielles et commerciales de la vallée de l'Oise se sont réunies à Étréaupont puis à Guise pour lui adresser une pétition en faveur de la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson dont la Compagnie du chemin de fer du Nord a obtenu la concession. Godin communique au ministre la pétition signée dans vingt communes du canton de Guise et l'avertit que de semblables pétitions lui seront adressées du canton d'Hirson et du canton de Vervins. Godin explique au ministre les bénéfices que l'industrie et le commerce tireraient de la ligne qui mettrait en communication les vingt communes comprises entre Guise et Hirson avec Paris au sud, avec Valenciennes et Lille au nord et avec Mézières, Sedan et Verdun à l'est. Il souligne que la ligne faciliterait le transport des fontes ouvrées avec les départements de l'est et l'Allemagne, les approvisionnements en charbon de Sarrebruck, le transport des fontes de Longwy ou des ardoises des Ardennes, ou des matériaux de construction et d'empierrement. Il ajoute qu'il y aurait intérêt pour la défense nationale de relier directement les forts d'Hirson avec la place de La Fère : « Or, la jonction du tronçon de Guise à Saint-Quentin permettrait cette communication, moyennant un court embranchement de Sery-les-Mézières à La Fère ou Tergnier. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Edmond Turquet qu'il a envoyé au ministre des Travaux publics les pétitions des vingt communes dont il lui communique la liste [non copiée]. Il lui remet une copie de sa lettre au ministre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Delaby qu'il a envoyé au ministre des Travaux publics les pétitions des vingt communes et qu'il a remis à Edmond Turquet la liste des communes et une copie de sa lettre au ministre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Thiaudière qu'il accepte sa proposition de représenter le journal Le Devoir sur la place de Paris et d'affecter au Devoir l'ancien bureau de la Revue des idées nouvelles. Godin passe en revue les obligations de Thiaudière dans cette fonction rémunérée 100 F par mois. Il accepte également que Thiaudière puisse contribuer dans une certaine mesure à la rédaction du journal. Il lui demande son avis sur la modification de la manchette du journal pour signaler l'existence d'un bureau à Paris.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale à Berteaux qu'il n'a pas reçu la communication qu'il a dit à Champury lui avoir adressée pour le journal Le Devoir. Il précise qu'il n'a rien reçu de lui depuis sa lettre du 20 novembre 1878. Il lui demande d'envoyer une copie de son travail.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention de Rousseau sur la conduite de son fils Jules dans les écoles du Familistère, privé de récompenses en septembre 1878 pour cause d'insubordination. Godin explique à Rousseau qu'à la dernière rentrée scolaire, il avait averti les élèves qu'ils ou elles pourraient être privé·es de récompenses et même interdit·es d'entrer à l'usine du Familistère en cas de mauvais comportement en classe, mais que Jules a continué à se montrer insoumis et insolent. Godin avertit Rousseau que son fils se verra refuser l'entrée à l'usine s'il ne montre pas désormais une conduite exemplaire ; il lui demande d'exercer sur lui son autorité paternelle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention de monsieur et madame Défontaine sur la conduite de leur fils dans les écoles du Familistère, bien que madame Défontaine soit employée dans l'enseignement. Il leur demande de faire preuve de fermeté à l'égard de leur fils, qui ne sait jamais ses leçons, et se montre indocile et insubordonné. Il leur rappelle qu'à la dernière réunion scolaire, il a été déclaré que la première condition pour obtenir une place à l'usine est de donner satisfaction aux maîtres et maîtresses.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Marie Moret a communiqué à Godin une lettre de madame Brullé sollicitant un emploi au Familistère. Godin explique à madame Brullé qu'il a commencé à construire la dernière aile du Familistère il y a deux ans, que l'administration du Familistère est complètement organisée sans nécessiter de nouvelles fonctions, que l'association a commencé à être fondée depuis 1877 et que l'habitation au Familistère est réservée aux associés et aux sociétaires. Il ajoute que la population du Familistère est majoritairement ouvrière et qu'elle ne correspond pas à l'idéal qu'elle a conçu. Il transmet ses compliments à Alexandre Brullé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Hourdequin que Massoulard a attiré son attention sur la différence des marges du journal Le Devoir d'une page à l'autre. Il lui envoie un nouveau modèle de manchette du journal dont il veut un spécimen et qu'il voudrait voir appliquer au prochain numéro. Il lui envoie deux notices qu'il voudrait voir composer sur la justification d'une colonne d'un des grands journaux de Paris comme Le Rappel, à tirer en un certain nombre d'exemplaires chaque semaine. Il lui envoie enfin le bon à tirer de la 13e feuille du roman.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Berteaux qu'il va publier son article en première page du prochain numéro du journal Le Devoir. Il lui demande si l'article peut être signé « Un prêtre catholique » ou simplement « X ». Il lui demande également s'il peut faire précéder l'article d'une mention alléchante pour le lecteur : « Un prêtre catholique nous adresse l'article suivant auquel nous nous empressons de donner place dans nos colonnes. »
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