FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (20) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Pagliardini que le journal Le Devoir fait échange avec The Cooperative News de Manchester. Elle lui demande avec quel autre journal anglais de réformes sociales, Le Devoir pourrait échanger. Elle transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de Godin et d'elle-même.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Pagliardini qu'elle lui écrit de la part de Godin, appelé à Paris pour une question de chemin de fer. Elle l'avertit que l'ouvrage contenant les statuts de l'association du Familistère est mis en page et qu'elle pourra bientôt lui en envoyer un exemplaire. Elle lui explique que le travail consacré à cette étude, en plus des questions de l'usine et de celles du Familistère ont empêché Godin de rédiger l'article sur l'ouvrage de monsieur Jozon. Elle lui demande s'il suit la publication du Dernier-né de Ginx dans le journal Le Devoir, qui est une bonne œuvre mais de peu d'étendue. Elle lui demande s'il connaît une œuvre qui pourrait être publiée en feuilleton à la suite de Ginx's Baby. Elle transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de Godin, de sa sœur et d'elle-même.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie la chambre La Solidarité pour les deux cartes qu'elle a décernées à elle et Godin dans sa séance du 7 avril 1880, et qu'Auguste Fabre leur a remises.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de la lettre de Neale du 22 janvier 1880. Elle ne s'oppose pas à ce que Neale écrive que les notes complémentaires relatives à Godin lui ont été fournies par une parente et amie intime de ce dernier. Elle l'informe qu' « ils » corrigent actuellement la 2e épreuve des statuts de l'association du Familistère et elle lui promet l'envoi d'un exemplaire aussitôt le volume achevé.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Neale une notice biographique de Godin que ce dernier lui a laissé compléter. Elle l'informe que Godin va bientôt pouvoir lui envoyer un exemplaire des statuts de l'association du Familistère. Elle lui envoie un portrait de Godin.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Godin accuse réception de la brochure Associated Homes de Neale et l'en remercie. Neale a indiqué à Godin qu'il aurait recours au journal Le Devoir pour effectuer la traduction des statuts de la Société du Familistère : Godin lui promet l'envoi prochain du livre, dont la mise en page est en cours. Il lui transmet le meilleur souvenir de Marie Moret.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Neale pour l'envoi d'un ouvrage en deux volumes dont elle a commencé la lecture. Elle estime que l'histoire des pionniers de Rochdale est un exemple remarquable de l'oubli des principes en matière de réformes sociales dont parle Neale. Elle lui annonce qu'elle et Godin seraient heureux de voir le discours de Godin à la fête du Travail publié dans The Cooperative News. Elle lui demande s'il connaît en Angleterre des journaux comme The Cooperative News avec lesquels Le Devoir pourrait échanger.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Neale que ce qu'il a écrit dans The Cooperative News sur les pionniers de Rochdale inspire à Godin et à elle le désir de connaître exactement leur programme. Elle lui demande dans quel document elle pourrait trouver ces renseignements. Elle l'informe que l'ouvrage Mutualité sociale est mis en page et qu'elle pourra bientôt lui en envoyer un exemplaire. Elle lui signale que Godin est actuellement absent de Guise mais qu'elle est chargée de lui présenter ses amitiés.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Antoine Massoulard que Jean-Baptiste André Godin va répondre le jour même à sa lettre du 16 septembre 1879 et à sa dernière qui est arrivée quelques heures avant leur départ de Guise. Elle lui indique que Picot peut conserver son mobilier quelque temps encore. Elle est heureuse de savoir que Massoulard travaille avec plaisir à la traduction du discours de monsieur Stuart qu'elle lui a demandée. Dans le post-scriptum, elle l'informe qu'elle et Godin ne partiront pas de Paris avant dimanche.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Elliot, propriétaire de deux pièces de terrain au lieu-dit Le puits Maillet près de Guise, s'il est disposé à les lui vendre ou à les échanger contre d'autres terres pour faciliter l'exploitation de carrières d'extraction utiles à l'usine du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Hardwicke qu'il lui a donné il y a quelques années au Familistère un livre intitulé Ginx's baby. Il lui demande l'autorisation de publier en feuilleton la traduction du livre dans le journal Le Devoir. Il lui envoie quelques numéros du journal et lui précise que son œuvre viendrait à la suite d'un roman américain qui traite également de questions sociales.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Virginie Griess-Traut qu'il ne peut réaliser le travail qu'elle demande. Il lui indique qu'il a publié dans Solutions sociales des documents sur la nourricerie ou crèche du Familistère. Il regrette de ne pouvoir lancer dans Le Devoir un appel pour un ménage sociétaire, comme le souhaite Jean Griess-Traut : « J'ai éprouvé trop de déboires dans l'École sociétaire au sujet des appels au public pour me faire moi-même l'organe de nouveaux appels, surtout dans une question où les anciens phalanstériens sont tellement divisés. » Dans le post-scriptum, il accuse réception de l'abonnement d'un an de Virginie Griess-Traut au journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à veuve Éthiou-Pérou l'épreuve corrigée de son livre Mutualité sociale avec le bon à tirer. Il lui fait observer que le papier qu'elle propose n'a pas assez de main selon ses éditeurs. Il lui communique un échantillon de papier de 12 kg qui conviendrait pour les volumes avec gravure ; il précise que le même papier de 10 kg suffira pour les 1 000 volumes sans gravure et que le format double écu conviendra pour les 20 exemplaires à tirer sur papier timbré.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Veuve Éthiou-Pérou la mise en page de son livre Mutualité sociale.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'impression des statuts de l'association du Familistère. Godin indique à Éthiou-Pérou que les statuts devront former un volume in-8° carré et qu'il sera imprimé avec le caractère romain n° 10. Il fait des observations sur la composition des titres et les sous-titres des chapitres. Il souhaite avoir deux épreuves pour la correction.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la deuxième épreuve de son ouvrage Mutualité sociale. Sur la table analytique de l'ouvrage.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin renvoie à madame veuve Éthiou-Pérou les 24 placards corrigés de Mutualité sociale. Il lui demande de fixer le prix de l'ouvrage tiré à 1 000 exemplaires et la prie de tirer 10 exemplaires sur papier au format du papier timbré afin de faire les dépôts des statuts exigés par la loi.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à veuve Éthiou-Pérou sa lettre de la veille et l'envoi des 25 placards de Mutualité sociale. Il lui envoie des corrections supplémentaires des articles 44 et 138 des statuts de l'association du Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Éthiou-Pérou l'engagement des membres de l'association du Familistère à placer juste avant la table des matières de l'ouvrage.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Veuve Éthiou-Pérou les 25 placards de son ouvrage Mutualité sociale pour faire la mise en page, dont il demande des épreuves.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Éthiou-Pérou le placard corrigé des statuts de l'association du Familistère. Il lui demande de lui renvoyer au plus vite deux épreuves du placard.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Veuve Éthiou-Pérou le placard corrigé des statuts de l'association du Familistère et des manuscrits complétant le volume. Il demande que lui soient envoyées deux nouvelles épreuves du placard. Il donne des indications de composition du volume.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Sadi Carnot qu'une pétition des habitants de Guise au sujet du tracé à travers Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon a été adressée au ministre des Travaux publics et que lui-même s'est rendu à Paris pour essayer sans succès de lui en parler. Le maintien d'un projet considéré à l'origine comme impossible tient selon Godin à deux cause : les intérêts de la compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise ; l'opposition du parti de la réaction. Il évoque les importants intérêts industriels qu'il a personnellement dans cette affaire, et il demande rendez-vous à Sadi Carnot.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne au sous-préfet des propositions que ce dernier lui a faites. Godin l'informe qu'il ne dispose pas de la liste des conseillers municipaux et qu'il ne peut en conséquence lui donner les indications demandées.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception d'une liste de noms que lui a communiquée le sous-préfet de Vervins. Il lui suggère de remplacer Jumeaux, maire de Bernot décédé, par son successeur Macaigne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond au sous-préfet de Vervins au sujet de l'application de la loi sur l'apprentissage à Guise : il indique qu'elle est sans application à Guise dans les grands établissements d'industrie ; il explique que dans l'usine du Familistère, aucun contrat d'apprentissage n'a été conclu et que les apprentis de tous âges y sont rétribués dès leur entrée et sont libres de partir quand ils le souhaitent ; il précise qu'une retenue de 1/10e sur leur salaire ne leur est remboursé qu'après deux ans de présence. Il ajoute que dans la filature et le tissage mécanique les apprentis sont également rémunérés sans engagement, mais que dans les ateliers des artisans l'apprentissage se conforme à la loi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la reconstruction du pont sur l'Oise. Godin sollicite l'autorisation d'abaisser les eaux du bief pendant les travaux. Godin explique que cet abaissement peut se faire sans dommage pour personne dans la mesure où les crues de l'Oise ont, au cours de l'hiver dernier, créé un ensablement qui sépare le bief du canal des usines. Il ajoute que cet abaissement pourra servir à la construction du déversoir actuellement à l'enquête.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce au préfet que l'état de sa santé ne lui permet pas de se rendre à la réunion à laquelle il est invité. Il lui fait part de l'accord intervenu entre les maires du canton de Guise sur la répartition des secours aux familles. Il l'informe que la ville de Guise a 250 familles à secourir en temps ordinaire mais qu'elle en compte 500 actuellement, et que cette situation existe dans d'autres communes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin adresse au préfet de l'Aisne son engagement à verser une subvention à la ligne de chemin de fer du Cateau à Laon en réponse à sa circulaire du 4 mars 1880. L'engagement est copié sur le folio 390r : Godin s'engage à verser 60 000 F en 5 annuités à partir de 1881, à la condition que la ligne passe sur le plateau des Coutures et non à travers la ville de Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre du préfet le nommant délégué de l'administration pour la révision des listes électorales d'Aisonville. Faute de temps pour s'en occuper, il demande au préfet de nommer un suppléant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le service médical des ouvriers de Lesquielles-Saint-Germain des Fonderies et manufactures du Familistère. Le docteur correspondant de Godin soulève le problème des ouvriers malades de Lesquielles-Saint-Germain qui se font soigner à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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La lettre fait suite à une première lettre de Godin sur le même sujet. Godin explique qu'il veut recruter des jeunes gens d'une réelle valeur pour les former à la direction industrielle et administrative. Il précise qu'ils percevront à leur début les appointements conformes à leurs capacités mais que leurs positions futures dans l'établissement leur permettront à l'avenir de gagner 10 000 à 20 000 F par an. Il évoque les qualités requises des élèves et l'avantage de pouvoir devenir associés et participer aux bénéfices dans une association comptant 2 500 personnes. Il évoque la question du tabac : « On peut fumer et être un homme laborieux et intelligent, mais certainement on serait plus intelligent et plus laborieux encore, et surtout plus prévoyant, si l'on ne fumait pas. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à son correspondant qu'il désire recruter des hommes doués d'initiative, d'esprit inventif, capables d'accéder à des postes de direction. Il énumère les connaissances et les qualités requises pour ces employés. Il explique que ces qualités sont indispensables dans le contexte d'une association employant 1 000 personnes participant aux bénéfices industriels. Il précise que son industrie repose sur la fonderie appliquée à la construction d'appareils de chauffage et d'ustensiles domestiques et que les employés participent aux bénéfices en plus de leurs appointements fixes. Godin demande à son correspondant quelles seraient ses prétentions salariales. Il espère pourvoir trouver des talents que l'association pourrait rémunérer 5 000 à 10 000 F par an, non compris leur part dans les bénéfices. Il le prie de lui communiquer des renseignements : son âge, sa situation familiale, s'il fait usage du tabac, ses références.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au ministre des Travaux publics une audience pour l'entretenir du chemin de fer de Wassigny à Guise sur la ligne de Valenciennes à Laon. Il l'avertit qu'il viendra avec Gaston Ganault, conseiller général de l'Aisne et ancien député comme lui. Il lui indique qu'il joint à son courrier une brochure montrant que les études d'avant-projet de l'ingénieur en chef des ponts et chaussées compromettent les intérêts de l'État, des communes, de l'industrie et du trafic général. Il lui annonce qu'il lui remettra des plans et des profils rectificatifs de cet avant-projet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le ministre que Louis Quentin Dubois, âgé de 64 ans et habitant à Guise, lui a adressé le 16 février 1878 une demande pour que son fils Louis Dubois, mécanicien à bord du croiseur La Themis affecté au port de Toulon, soit renvoyé dans ses foyers car ce dernier est le seul soutien du vieillard presqu'aveugle et infirme. Il ajoute que Louis Dubois est en permission à Guise depuis 29 jours et demande à bénéficier d'un congé définitif.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le maire de Guise que l'abattoir situé aux Coutures est, depuis quelque temps, cause d'une infection de l'atmosphère dans tout le quartier. Il lui demande de faire observer les règlements relatifs aux abattoirs en matière de salubrité publique. Il lui signale que plus de 1 000 ouvriers de son usine respirent une atmosphère nauséabonde et qu'on ressent les effets de cette infection jusque dans la rue de Cambrai.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce au juge de paix d'Hirson qu'il n'est pas enchérisseur de l'usine d'Hirson et qu'il ne peut utiliser l'offre qu'il lui fait d'un directeur pour cet établissement. Godin lui indique toutefois qu'il pourrait rencontrer la personne dans l'éventualité de l'employer dans les usines des Fonderies et manufactures du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le règlement d'une facture à l'imprimerie du journal Le Courrier de l'Aisne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au directeur du Comptoir d'escompte de Paris d'envoyer 10 000 F à l'usine du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit le directeur du Comptoir d'escompte de Paris qu'il viendra le jeudi suivant retirer la somme de 140 000 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie au directeur du Comptoir d'escompte de Paris sa souscription à la Société du canal interocéanique.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut dissiper un malentendu sur le tracé du chemin de fer du Cateau à Guise avec le directeur de la Construction des chemins de fer à la suite de la conversation qu'il a eue avec lui la veille. Il fait valoir que le meilleur tracé du tronçon de la ligne de Valenciennes à Laon concédé à la Compagnie de Lille à Valenciennes évite la traversée du centre de Guise, permet aux Fonderies et manufactures du Familistère d'avoir accès à la gare située sur le plateau dit des Coutures et présente l'avantage de desservir Hannappes, Tupigny, Vénérolles, Iron, Étreux, Lesquielles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale au directeur de la Caisse commerciale qu'on lui a envoyé par erreur un chèque signé « E. Godin » que la banque n'aurait pas honoré. Godin demande si c'est par défaut de provision de la part du signataire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Pagliardini du 5 octobre 1879. Il l'informe qu'il n'a pu lire encore ses observations sur le livre de M. Jazon (?) car il est absorbé par l'achèvement des statuts de l'association du Familistère, dont il lui promet l'envoi prochain d'un exemplaire. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à lui et à ses sœurs.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Théophile Germain du 21 mars 1879 : Godin lui recommande de ne pas quitter l'industrie dans laquelle il est compétent pour une nouvelle dans laquelle il se retrouverait en infériorité par rapport aux ouvriers expérimentés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Théophile Germain cherche un emploi d'ouvrier dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin lui demande ce dont il est capable ; il indique que l'usine utilise de la tôle pour fabriquer des appareils de chauffage ; il lui demande ce qu'il gagne dans son établissement actuel ; il précise qu'un manœuvre touche 0,25 F l'heure et que sa journée de travail est de 10 à 11 heures ; il ne l'engage pas à venir avec son frère dans l'immédiat et le prévient qu'il est difficile de trouver de l'ouvrage pour tous les ouvriers.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin exprime son regret que les fonctions gouvernementales auxquelles Goblet a été appelé l'ont privé de son concours. Il lui explique qu'Ernest Obry a plaidé dans son affaire de liquidation de la communauté Godin-Lemaire, mais qu'il est à son tour appelé à remplir des fonctions publiques au moment où va avoir lieu l'audience de son procès contre son fils. Delpech a informé Godin que Goblet est prêt à se substituer à Obry dans cette dernière affaire. Il lui explique qu'il veut être débarrassé de l'affaire, que l'audience a été fixée au 22 juin 1880, et que Tisserant a résumé l'affaire dans un travail approuvé par Obry et Delpech.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Leymarie un mandat postal de 100 F en guise de participation à la venue de M. Eglinton.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Leymarie qu'il veut supprimer le bureau du journal Le Devoir de la rue Serpente à Paris pour réduire les frais du journal. Il lui demande s'il accepte que le journal donne son adresse pour la réception des abonnements à Paris, même si ces abonnements sont à peu près nuls. Il accuse réception du livre de Vallès dont Le Devoir rendra compte prochainement. Godin remercie Leymarie pour les renseignements sur les traductions des ouvrages de Swedenborg ; il désirerait avoir Le divin amour et la divine sagesse traduit par Moët plutôt que par Le Boys des Guays. Il lui transmet les meilleurs souvenirs de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Leymarie que lui-même et Marie Moret sont membres du cercle d'études psychologiques. Il commande l'ouvrage Mirette par Élie Sauvage.

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