FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (22) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin délivre des informations sur les écoles du Familistère et la fonction de ses instituteurs. Les écoles sont une dépendance du palais d'habitation ; elles existent depuis 20 ans ; elles sont des écoles libres de l'association du Familistère, qui pourraient être déclarées d'utilité publique ; elles sont gratuites. La ville de Guise a des écoles primaires de filles et de garçons et des pensionnats congréganistes. Godin voudrait élever l'enseignement du Familistère à un niveau supérieur à celui des établissements de Guise. Godin décrit la répartition des enfants de 0 à 12 ans dans les 6 classes mixtes des écoles. Il annonce la construction de deux nouvelles classes pour les enfants de 12 à 14 ans et au-dessus, qui pourront accueillir des pensionnaires. Il explique qu'il n'y a pas de vacances scolaires pour assurer une surveillance constante des enfants. Il décrit la fonction des instituteurs, leur rémunération, leurs charges. Il demande à son correspondant comment il conçoit l'enseignement de l'histoire ancienne, moderne ou contemporaine à des enfants de 12 à 14 ans ; il lui demande également son âge, sa situation de famille, s'il fait usage de tabac et ses références.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Vié et Cie un chèque de 3 248, 70 F en paiement des factures des 19 et 23 octobre 1881. Il souhaite faire une modification sur la suspension lyre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Guérard de lui envoyer la facture de l'installation des sonneries électriques dans son appartement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Maistre s'il peut lui trouver le meilleur traité en langue anglaise sur les appareils de chauffage et de cuisson au gaz.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une modification de la suspension acquise auprès de Vié et Cie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Visseaux un chèque de 1 156,40 F en paiement de sa facture du 30 octobre 1881. Il lui demande comment employer le silicatore et la poudre qui se trouvaient dans la caisse. Il lui réitère sa demande relative à la consolidation au plâtre ou au ciment du pied du groupe des enfants au parapluie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à son « cher collègue » des renseignements sur les marronniers et les tilleuls argentés qu'il pourrait lui fournir.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Ségard de conserver la composition de l'article « Le Familistère de Guise » qu'il fera paraître dans un prochain numéro du journal Le Devoir. Sur la réalisation par Ségard d'imprimés pour l'usine du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Garin-Moroy, qui lui propose Droncourt comme candidat à un emploi de comptable, d'engager ce dernier à lui écrire pour lui communiquer ses références et le montant des appointements auquel il prétend.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Baron-Veillard s'il peut lui fournir 15 à 20 marronniers d'Inde à tige et 15 à 20 tilleuls argentés d'une hauteur de 4 mètres.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin compatit à la peine qui frappe Charles Pellarin. Il le remercie de sa lettre du 14 novembre 1881 et regrette qu'il ne puisse plus accorder sa collaboration au journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Lacouture qu'il a reçu l'atlas mais non le traité de dessin professionnel valant ensemble 10 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Barodet une étude sur les associations anglaises qu'il estime devoir être publiée en volume plutôt que dans un journal parce qu'elle nécessite une étude approfondie et une comparaison entre les différentes parties et qu'elle accentuerait le caractère sérieux du journal si elle paraissait dans Le Devoir. Il regrette de ne pouvoir donner suite à la proposition du fils d'un ancien collègue [à l'Assemblée nationale].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Nicolas du 15 novembre 1881. Il l'informe qu'il a envoyé les numéros du Devoir à Drouet et qu'il entrerait volontiers en relation avec ce dernier. Godin demande à Nicolas de lui communiquer des renseignements sur Jérôme Gillot résidant au 10 rue Bérulle à Saint-Mandé, candidat à un emploi de confiance dans l'association du Familistère, et sur sa femme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin commande 15 marronniers et 6 tilleuls argentés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin renvoie à Vié et Cie les pièces remplacées d'une suspension et lui adresse un mandat postal de 32 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Boisson que sa lettre du 15 octobre 1881 n'avait pas reçu de réponse car il était engagé avec une autre personne, qu'il ne pourra pas conserver, et il lui annonce qu'il pourrait examiner à nouveau sa proposition.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Alamartine du 14 août 1881. Il lui demande de lui envoyer le mémoire dont il lui avait parlé. Sur l'enseignement de la morale aux enfants : Godin ne pense pas, comme Alamartine qu'on puisse pétrir l'esprit de l'enfant, car celui-ci a ses propres facultés naturelles et son libre arbitre. Il est prêt toutefois à accepter la collaboration d'Alamartine au journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Pagliardini qu'il n'a pas reçu son portrait photographique ni les articles sur la question de l'Orient et sur la réforme orthographique. Il lui signale également qu'il n'a pas reçu la visite du révérend ministre qu'il annonçait. Godin ne pense pas que les grands personnages d'Angleterre soient disposés à mettre leur fortune au service du travail et des classes ouvrières ; il constate, d'après ce qui se passe en Irlande, que l'égoïsme est aussi grand en Angleterre qu'en France ou dans les autres pays d'Europe. Il lui transmet ainsi qu'à ses sœurs le souvenir de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Saint-Martin du 18 novembre 1881. Il se fait un plaisir de publier un article sur le journal L'École dans un prochain numéro du journal Le Devoir. Il lui propose d'échanger les deux journaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin déclare à Carret qu'il ne peut lui venir en aide : « C'est assez pour un homme d'avoir fondé l'association du Familistère, je ne me sens pas la possibilité d'en fonder un autre. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Leroux l'état des ventes des exemplaires du livre Solutions sociales en dépôt chez lui.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bécar du 24 novembre 1881. Il lui explique qu'il n'est pas pressé de recruter la personne chargée de la direction de l'émaillerie car il veut être sûr que le candidat possède toutes les aptitudes liées à l'emploi. Il indique que les employés des autres directions de l'industrie perçoivent de 250 à 600 F par mois et que ceux qui ont rang d'associé ont touché en plus cette année une part de bénéfices s'élevant à 37 % de leurs appointements. Il ajoute que la direction de l'émaillerie comprend la direction de 80 ouvriers et de 2 ou 3 contremaîtres.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Gauthier de lui indiquer le jour où il viendra à Guise pour examiner avec lui l'emploi qu'il pourrait occuper dans les Fonderies et manufactures du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Boisson du 30 novembre 1881. Il l'informe que l'emploi auquel il prétend est toujours vacant. Il lui demande s'il est toujours prêt à faire un temps d'essai.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Égloff, candidat à un emploi, que la discrétion demandée par ce dernier l'a empêché de se renseigner sur son compte. Il précise que ses prétentions salariales ne s'opposent pas à son admission dans l'association du Familistère à condition qu'il puisse se renseigner sur ses qualités et son caractère. Il lui propose d'avoir un entretien avec lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Gasc vienne faire un essai dans la fonction d'instituteur dans les écoles du Familistère de Guise. Dans le post-scriptum, il lui annonce qu'il lui adresse 4 numéros du journal du Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin doit comparaître devant le conseil de préfecture. Il demande à Ganault s'il doit solliciter un sursis auprès du ministre du nouveau gouvernement. Dans cette éventualité, il lui remet une demande de sursis. Il l'informe qu'il sera le lendemain à Laon à l'hôtel de la Bannière car il doit participer à la séance de la commission des chemins de fer à la préfecture.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la création de chambres de mines dans le pont sur l'Oise du Familistère. Godin explique au ministre qu'il est appelé devant le conseil de préfecture pour une affaire de contravention due à un « regrettable oubli administratif » au sujet du pont sur l'Oise du Familistère, qu'il entend respecter la loi, mais qu'il ne veut pas interrompre une circulation utile à une usine employant 1 300 personnes, sur laquelle 80 tonnes de marchandises sont transportées chaque jour. Il demande au ministre un sursis pour permettre un meilleur examen de l'affaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Tony-Noël sa promesse de lui présenter ainsi qu'à Marie Moret un estampage ou un plâtre de leur buste à leur retour de Suisse. Il lui demande des nouvelles de son travail.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Gasc de compléter les renseignements qu'il lui a fournis sur sa personne par des renseignements physiques et intellectuels sur sa femme et ses enfants. Il accepte de rembourser à Gasc ses frais de déplacement et ses frais de nourriture à Guise s'il ne restait pas au Familistère après la période d'essai. Il précise à Gasc qu'il pourra choisir un logement au Familistère parmi ceux qui sont disponibles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Ferton un chèque de 76,50 F en règlement de sa facture du 1er décembre 1881.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gabry du 23 novembre 1881 : il consent à prendre en charge ses frais de déplacement jusque Guise. Il le prévient que s'ils tombent d'accord, son entrée en fonction pourrait intervenir immédiatement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Pagny du 27 novembre 1881 : il annonce à Pagny qu'il prend connaissance des observations et rectifications envoyées à la rédaction du journal Le Devoir sans s'engager à les publier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Gagneur qu'il est le seul député à avoir manifesté de l'intérêt pour le journal Le Devoir, dont les numéros lui ont été adressés comme aux autres députés pendant plusieurs semaines, et qu'il continuera à lui envoyer le journal au 25 rue Louis-le-Grand à Paris. Il l'assure que les œuvres de madame Gagneur se trouvent déjà dans la bibliothèque du Familistère mais lui indique qu'il serait utile d'en avoir plusieurs exemplaires. Sur une proposition de Gagneur relative à la galerie Les hommes d'aujourd'hui : Godin n'en comprend pas l'utilité.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Nicolas de s'être renseigné [sur Jérôme Gillot] à sa demande.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Pagliardini pour l'envoi de deux photographies. Il l'informe qu'il a reçu le manuscrit de Tallon relatif à Constantinople, que Fourier avait désignée comme la capitale de l'harmonie universelle, mais qu'il ne peut le publier dans Le Devoir car Tallon n'évoque que la transformation matérielle de la ville et ne traite pas de la transformation sociale universelle. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Gillot les certificats qu'il lui avait confiés. Il lui explique qu'il n'a pu éclaircir les obscurités qui s'opposent à sa venue au Familistère, relatives en particulier à une faillite, et qu'il veut en rester là avec lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la création de chambres de mines dans le pont sur l'Oise du Familistère. Godin accuse réception du télégramme de Ganault lui signifiant que le sursis pour les travaux du pont lui a été accordé et qu'a été décidé le remplacement du dispositif de mines par de simples « forges ». Godin trouve l'explication du mot « forge » dans la lettre de Ganault du 14 décembre : il s'agit du forage de mines dans les maçonneries existantes. Godin craint que cela ne soit pas différent de ce qu'on lui a toujours demandé et que la circulation sur le pont soit toujours compromise pour un long temps.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Émile Bray comment il a utilisé la somme de 200 F qu'il lui a fait remettre, avant de lui demander de passer de nouvelles annonces.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Amelia Hope Whipple pour sa lettre « réconfortante » du 13 novembre 1881. Il la complimente pour être une des rares à comprendre la doctrine de la vie et le sens de l'association du Familistère. Sur l'absence regrettable des « Notions préliminaires » dans la traduction américaine de Mutualité sociale par madame Bristol. Sur le projet d'Amélia Hope Whipple de rééditer Papa's Own Girl sous un titre différent et Mutualité sociale en anglais et la proposition de Godin de lui communiquer la traduction du livre par Edward Vansittart Neale, son premier biographe. Sur le couple Howland : Godin apprécie Marie et Edward Howland, mais aurait eu du mal à communiquer avec elle en anglais si elle était venue visiter le Familistère avec madame Bristol. Il lui demande si elle sait lire le français et si elle a lu Solutions sociales. Sur la communication spirituelle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Flamand qu'il a le projet de fonder une école primaire supérieure et un pensionnat à Guise capable de faire disparaître le pensionnat des frères, et qu'il va édifier au printemps prochain de nouvelles salles et augmenter le nombre de professeurs. Il lui confie qu'il se demande s'il doit faire déclarer d'utilité publique les écoles du Familistère, s'il peut obtenir le patronage de l'État pour des écoles réunissant les deux sexes. Il sollicite le conseil de Flamand.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin déclare à Gagneur qu'il veut l'aider dans son travail de propagande et qu'il a fait traduire sa biographie publiée en Angleterre par Edward Vansittart Neale, qu'il lui adresse avec une vue générale du Familistère et des portraits photographiques, ainsi que Mutualité sociale. Il estime que le projet de Gagneur d'amener au Familistère le président de la République est un simple rêve ; il juge que Grévy, qu'il estime et à qui il fait servir le journal Le Devoir, n'est pas sensible aux questions sociales, et que les hommes d'État doivent considérer comme une utopie sa position à l'égard de la guerre. Il confie à Gagneur que Ganault et Ringuier sont les seuls députés de l'Aisne avec qui il est en relation de sympathie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Bougarel s'il peut le mettre en relation avec de jeunes ingénieurs mécaniciens.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Achkinasi qu'il a reçu une « Lettre de Russie » qu'il ne peut publier dans le journal Le Devoir car elle est signée d'un nom de guerre et parce qu'il met en doute la réalité des faits qu'il signale. Il l'avertit qu'il ne peut payer de tels articles, qui ne sont que des comptes rendus, que 0,15 F la ligne. Il lui indique que Le Devoir ne lui a pas été envoyé car il n'était pas certain qu'il allait continuer sa collaboration au journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Émile Ségard que ses articles publiés dans le journal Le Devoir soient tirés en double épreuve après correction et avant le tirage du journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la création de chambres de mines dans le pont sur l'Oise du Familistère. Godin demande à Ganault s'il a des nouvelles de l'administration sur le sursis qui lui a été accordé et la nouvelle prescription de travaux à faire. Il rappelle à Ganault sa promesse de visiter le Familistère avec Ringuier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale au préfet de l'Aisne que la façon dont certains cantonniers de l'administration de l'État utilisent du poison pour l'entretien des routes présente un danger pour les animaux et pour les enfants.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Achkinasi sa « Lettre de Russie » car il doute de la réalité des faits rapportés. Il informe Achkinasi que Le Devoir n'a pas la capacité de publier son roman Victimes du Tzar et son roman norvégien.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant qu'Esther Lemaire est décédée au mois d'août 1881 quand il se trouvait à Lausanne : elle aurait imposé à Émile Godin de se marier dans les six mois sous peine de perdre des droits ; Émile Godin souhaite obtenir son consentement pour se marier, consentement qu’il veut bien lui accorder à la condition d’un règlement à l’amiable d’une affaire de 7 ou 8 hectares de terres de l’association du Familistère qu’il détient indûment comme fermier. Il l’informe également qu’il a réussi à obtenir quittance de l’argent qu’il devait à son fils. Il signale à Tisserant qu’il a réglé son abonnement au journal Le Devoir pour 1880.
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