FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 90 résultats dans 19519 notices du site.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 7 décembre 1874
Godin a reçu deux foyers qu'il a installés dans son appartement de Versailles. Il décrit à Eugène André les défauts qu'ils présentent et auxquels il faudrait remédier. Il lui retourne une lettre de Tisseron qui doit être prise en considération.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 9 décembre 1874
Sur l'affaire de Rivière. Godin juge que la pièce envoyée par André relative à de Rivière confirme que ce dernier est excité par des esprits corrupteurs. Il y voit une manipulation de sa femme ou des Boucher, Huet et consorts qui auraient à perdre si Godin gagnait son procès en cassation. Il veut qu'André s'entretienne du problème avec l'avoué Larue. Il rappelle à André que c'est de Rivière qui lui a proposé ses services et qu'il ne l'a pas engagé à faire venir sa famille. Il l'avertit que madame Dallet lui remettra les annonces parues dans les journaux et les lettres des autres candidats. Il lui demande de s'informer sur des relations de monsieur de Rivière avec Esther Lemaire ou tout autre de ses ennemis. Sur une expédition à Buenos Aires : Godin informe André qu'il n'est pas favorable à l'expédition de marchandises à Jules Biron à qui il pourrait être écrit que la manufacture fait à Buenos Aires des affaires exclusivement avec Bullrick, si toutefois la maison Bullrick tient ses engagements.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 14 décembre 1874
Sur l'affaire de Rivière. Godin fait un historique de l'affaire qu'on peut suivre dans la correspondance confiée à Larue : en juin 1874, il a passé une annonce dans les journaux pour offrir un emploi de chef d'atelier des travaux de décoration sur émail ; de Rivière a demandé de venir à Guise pour 300 F par mois et il était entendu que ses frais de déplacement ne seraient pas pris en compte ; de Rivière s'est logé au Familistère puis a fait venir sa femme et est allé loger en ville ; de Rivière a dit à Eugène André qu'il n'était pas sûr de rester dans l'usine ; Godin lui a fait savoir qu'en raison de ses prétentions, il devrait le remplacer ; de Rivière a été régulièrement averti. Godin en conclut que de Rivière est de mauvaise foi et sous l'influence de personnes qui redoutent d'être accusées de contrefaçon. Godin demande à Eugène André de prévenir Larue qu'il ferait appel de la plus petite condamnation à son encontre. Dans le post-scriptum Godin suppose que Larue comprendra que si de Rivière se prive de ses appointements à l'usine, c'est qu'il est payé par d'autres pour lui faire un procès.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 13 janvier 1875
Sur les itinéraires des voyageurs. Godin propose qu'on donne à Amédée Moret la ville de La Ferté-sous-Jouarre et d'autres villes, et il demande à Grebel ce qui a été fait à cet égard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 janvier 1875
Godin informe André qu'il retourne à Laeken un chèque acquitté. Il l'avertit qu'il ne faut pas payer de frais à Darras pour sa venue à Guise et qu'il s'oppose à la « condition en dehors » de Lassérée. Sur le tarif des marchandises et les remises. Sur la cheminée à souffleur rotatif. Dans le post-scriptum, Godin aborde la question des affaires traitées par Darras avec la maison Seret : Seret s'engagerait à prendre chaque semaine une voiture de marchandises jusqu'à concurrence de la somme de 15 000 F, prendrait à sa convenance les marchandises pour 15 000 F supplémentaires avant le 31 décembre, et jouirait d'une remise de 6 % ; Godin n'était pas d'accord sur une livraison jusqu'à décembre des marchandises des derniers 15 000 F ; il explique à André qu'il a fait part de son mécontentement à Darras et qu'il priverait ce dernier de ses commissions pour les marchandises livrées à Seret après le mois de septembre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, vers le 21 janvier 1875
Sur les itinéraires de Darras et d'Amédée Moret dans la circonscription de Paris. Godin demande à Eugène André quelles sont les villes qu'on pourrait raisonnablement retrancher à l'itinéraire de Darras pour en confier la visite à Amédée Moret. Il lui demande aussi si tout est organisé pour que la tournée de David Tisseron soit reprise par Darras et Lassérée. Godin informe Eugène André qu'on lui propose les services d'un peintre en céramique, et il lui demande son avis sur l'introduction de ce nouvel employé dans l'usine. Il lui demande enfin s'il sait où en est l'affaire Quaintenne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 23 janvier 1875
Eugène André souhaite donner un encouragement à Lefèvre : Godin lui rappelle que Lefèvre a eu l'habitude de venir travailler le lundi malade ou en état d'ébriété et il lui demande s'il s'est corrigé sur ce point. Il lui apprend qu'en raison de son avis sur le décorateur en émail, il s'est abstenu d'embaucher quelqu'un. Il veut connaître l'état du compte de Hourdequin, et savoir les travaux qu'il a faits car il a une souscription à régler dans son journal [Le Glaneur (Saint-Quentin, 1858-1896)]. Il lui demande si une lettre de Blain-Mariolle de Saint-Quentin, fournisseur des allumettes chimiques au Familistère, est arrivée à Guise. Il lui demande d'informer Alphonse Grebel que Georges Barral va lui renvoyer son dossier et de remettre une note à François Dequenne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 25 janvier 1875
Faute de pouvoir apprécier les employés de l'usine du Familistère, Godin autorise André à faire les augmentations d'appointements qu'il juge utile, mais signale que les augmentations pour Allizart et Bourdanchon lui semblent un peu fortes. Sur ce qu'André appelle juger sur le travail. Sur la retenue faite aux employés des ateliers : Godin indique qu'il pense augmenter la journée de travail au-dessus de 10 heures uniquement dans des « circonstances extrêmes ». Sur le remplacement par Dessons-Froment de Guernut, qu'il a toujours considéré comme un mauvais employé. Godin autorise enfin André à mettre Poulet aux appointements.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 28 janvier 1875
Sur l'affaire Seret : Godin rappelle à André le post-scriptum de sa lettre du 18 janvier 1875 et son opposition aux affaires conclues avec Seret qui risquent de mettre l'usine de Guise en péril au moment de l'hiver à cause de l'encombrement des expéditions. Godin exige que les affaires spéciales conclues par les voyageurs comprennent des commandes fermes expédiées avant le mois de septembre. Il rappelle que Darras a opéré autrement sans son consentement. Sur un placement de fonds sur la Banque d'Angleterre. Godin désire que les albums de la manufacture soient complétés par Hourdequin. Il autorise André à réembaucher le sculpteur Froment si ses prétentions salariales sont acceptables. Il demande à André de remplacer l'affiche Bouchard qui se trouve au magasin par l'article du règlement affiché l'an dernier.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Eugène André, 29 janvier 1875
Sur le père de Godin. Sur la bière de monsieur Drucbert (?). Godin informe André qu'il envoie à Laeken le chèque qu'il a signé.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Eugène André, 31 janvier 1875
Sur l'affiche Bouchard. Marie Moret répond à Eugène André en l'absence de Godin qui se trouve à Paris pour affaires. Elle lui rappelle que Godin lui en avait demandé la suppression et son remplacement par un article du règlement, mais n'avait pas pensé que le règlement était encore affiché. Elle l'informe que Godin n'a pas donné suite à la cession à Amédée Moret de quelques villes de l'itinéraire de Darras. Elle présente ses meilleurs sentiments à madame André et à Aline André.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 31 janvier 1875
Godin confirme à André la réponse qui lui a été faite la veille. Sur l'affaire Seret : Godin explique à André qu'il n'a pas voulu créer un conflit entre Seret, Darras et lui, même si Darras avait contrevenu à ses instructions ; il accepte l'affaire, mais avec une réserve sur la commission de Darras. Sur un abonnement à faire avec la ville pour l'octroi. Sur une cheminée à souffleur. Il lui demande si les annuités des brevets ont été payées en France et en Belgique. Il l'avertit que Grebel va lui demander de solder des frais dus à l'affaire de Nancy. Sur la caisse de secours.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 1er février 1875

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 4 février 1875
Sur la remise à faire aux commissionnaires. Godin accorde à André qu'il ne faut pas refuser de travailler pour les propositions sérieuses, mais l'invite à éviter de devoir faire les modèles de dessus de cheminée demandés. Il lui demande d'aller à Amiens voir Alphonse Delpech pour une affaire de déchargement de bateau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 16 février 1875
Sur la faillite Turgot. Godin demande si cette faillite est le résultat d'affaires traitées par Darras. Il craint que les buanderies fassent du tort à la réputation de la maison Godin-Lemaire ; il affirme que c'est en faisant mieux que les autres et non en les plagiant qu'on obtient du succès, et regrette que « l'esprit de suite dans l'exécution » fasse défaut dans l'usine de Guise ; il demande que les buanderies soient suivies avec célérité. Sur la fabrication de boutons.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 22 février 1875
Godin informe Eugène André qu'il a envoyé à Laeken le chèque de 1 500 F soumis à sa signature. Sur les foyers des buanderies : Godin recommande de perfectionner les foyers en terre réfractaire au lieu de les abandonner au profit de foyers en fonte, plus chers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 24 février 1875
Godin demande à Grebel si un versement de 5 000 F à Cresson par débit de son compte personnel a été porté en écriture. Il lui demande de faire passer en écriture une somme de 5 600 F au débit de la Caisse commerciale versée le 22 février dernier. Il l'informe qu'on lui a remis 2 500 F pour le compte de Marie Moret au Familistère.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 6 mars 1875
Godin informe André qu'il a recommandé aux voyageurs de ne plus vendre sinon avec une augmentation de 6 à 8 %. Sur une machine à vapeur à installer à Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 avril 1875
Godin rappelle à André qu'il doit lui adresser son courrier poste restant à Corbigny (Nièvre). Il demande de remettre 1 000 F à l'avocat Bozérian au retour de son fils Émile. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Il souhaite que Chamolle et Lecaille se tiennent prêts à partir pour la Nièvre. Il rappelle qu'il avait demandé qu'on arrête à la gare de Bohain l'appareil de sondage envoyé de Belgique afin de prendre les mesures des trépans et des tringles et d'en faire de semblables à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 15 mai 1875
Godin prie Eugène André de demander à Delaroche d'expédier un tube qui semblerait manquer dans le matériel expédié. Il souhaite qu'André s'entende avec Antoine Pernin pour vérifier si d'autres pièces ne font pas défaut dans l'expédition et pour se renseigner sur l'acquisition de tubes en Belgique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 2 juin 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. La machine de sondage est arrivée à Bohain : Godin informe Eugène André qu'il vient de télégraphier à Pernin pour qu'il aille examiner les pièces de la machine et prélever une paire de tiges pour pouvoir en faire de semblables à l'usine. Il demande à André de faire ce qu'il faut pour que la machine arrive le plus vite possible à Clamecy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 4 juin 1875
Au vu des chiffres des marchandises subsistant en magasin, Godin demande à André d'augmenter le nombre d'heures de travail des ouvriers à 10 ou à 11 heures.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 5 juin 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Eugène André d'expédier une pompe à Chamolle à Sardy par la gare de Clamecy. Sur l'organisation de la journée de travail de 11 heures dans l'usine de Guise : Godin ne veut pas réduire à une demie heure la pause du déjeuner, cause probable de mécontentement des ouvriers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 8 juin 1875
Godin craint que Colombet n'ait pas complètement pris possession de sa fonction de chef de la comptabilité : en l'absence d'André, il apparaît que le courrier n'a pas été ouvert dès son arrivée. Il souhaite qu'André dise à Colombet que les 9 000 F versés à la Caisse commerciale doivent être portés au crédit de son compte particulier. Sur les conditions pratiquées par les banques. Il exprime son accord avec André sur l'organisation du travail des ouvriers. Il l'autorise à mettre en vente le porte-parapluie. Il ne lui semble pas qu'il doive être à nouveau accrédité auprès de la maison Delloye et Tiberghien et il indique à André que c'est à lui et non à Bourgeois qu'il veut confier les pouvoirs nécessaires. Il lui demande de veiller à l'emballage de la pompe et de la poulie à expédier à Sardy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 juin 1875
Godin annonce à Eugène André qu'il a envoyé à Laeken, à Andenne et à Origny les chèques qu'il lui a soumis. Sur un procédé de nickelage. Il autorise André à embaucher un sculpteur. Il lui demande quelle était la forme de son pouvoir auprès de Delloye à Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 6 juillet 1875
Sur une expérience de nickelage. Sur la fabrication d'un cylindre à Guise pour une machine de Laeken : Godin regrette que cette pièce n'ait pas été faite en Belgique. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : il reproche à André que rien n'a été fait pour la fabrication d'un deuxième appareil de sondage. Sur l'envoi de Demeulenaere à Laeken. Sur l'emploi de Lefèvre. Sur les capitaux placés en banque : il rappelle qu'il a recommandé à Émile de faire de gros achats de fonte car le matériau est bon marché et l'intérêt des capitaux est très bas. Il informe André qu'il a adressé à Laeken le chèque de 4 025,20 F. Il demande à André de faire savoir à la compagnie de chemin de fer que la poulie et la tringle [du matériel de sondage] ne sont pas parvenues à destination.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 22 juillet 1875
Godin informe Eugène André qu'il congédie Colombet et lui demande de surveiller les opérations de comptabilité. Il lui explique que la rupture est due à ce que Colombet pense qu'il n'y a que des flatteurs et des espions autour de lui et qu'il est l'objet de mauvais rapports. Godin indique à André qu'il n'est pas d'accord avec l'engagement de 5 ans que lui propose un sculpteur. Sur des boutons et Boucher et Cie. Sur un vide-poche envoyé de Paris et sur un chandelier à fabriquer à l'usine de Guise. Il demande à Eugène André de voir s'il y a dans l'atelier de montage des ouvriers manquant d'ouvrage et d'autres qui seraient favorisés. Dans le post-scriptum, il l'avertit que la lettre lui sera remise par Émile Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 29 juillet 1875
Sur le licenciement de Colombet. Godin demande à Eugène André de communiquer à Colombet le mot joint qui traite des fonctions de ce dernier jusqu'à son départ. Sur l'indemnité de départ due à Colombet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 10 novembre 1875
Godin informe Eugène André qu'il a signé et adressé à Laeken une lettre de crédit de 4 226,42 F. Il lui remet une lettre. Il lui demande de presser l'envoi à Chamolle du trépan fabriqué par Antoine Pernin. Il accuse réception de sa lettre accompagnant celle de monsieur Le Moine, qu'il verra le vendredi suivant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 15 novembre 1875
Godin explique à Eugène André que Letème a quitté l'atelier de fonte malléable parce qu'il avait des exigences salariales trop élevées et qu'il a installé à son compte un atelier de fonte malléable à Fourmies. Godin estime que c'est un homme de peu de consistance mais n'empêche pas Eugène André de l'employer à une direction d'atelier. Il l'informe qu'il a demandé à Alphonse Grebel de cuivrer des petits objets pour faire des expériences. Sur le travail sur des chandeliers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 6 décembre 1875
Godin informe André que le poêle envoyé à Sardy est arrivé mais qu'il est incomplet. Le post-scriptum traite de numéros de L'Officiel relatifs aux chemins de fer dont il avait parlé à Alphonse Grebel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 10 décembre 1875
Godin demande à Eugène André s'il a reçu deux petits poêles du genre des poêles comtois, qui pourraient servir de modèles. Il lui explique qu'il s'agit d'appareils bon marché dont on vendrait plus de 10 000 exemplaires chaque année à Paris. Il souhaite qu'André étudie la fabrication de tels poêles au moulage mécanique au plus bas prix possible, sans qu'y figure le nom de la manufacture « car dans cet article, c'est au bon marché qu'il faut viser et non à la qualité ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 décembre 1875
Godin est satisfait par la bonne marche de l'usine et des affaires et l'avertit qu'ils s'entretiendront à son retour des questions de personne et d'administration. Sur le litige de 20 F avec l'octroi : Godin explique à Eugène André que son fils Émile est trop à cheval sur ces questions de peu d'importance ; il souhaite que la somme soit payée. Il demande à André de dire à Darras qu'il ne peut satisfaire sa demande. Sur une maison Honoré à Guise : l'administration voudrait l'obliger à des frais d'entretien ou de réparation ; Godin demande à André de vérifier que l'administration ne puisse lui imposer des obligations de propriétaire ; il lui demande de déclarer au maire que c'est par charité pour ceux qui y habitent que la maison est entretenue par la manufacture. Il lui renvoie l'avertissement du commissaire à ce propos.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0128.T.123r.jpg
Godin informe Eugène André qu'il doit s'absenter et il le prie de prendre la présidence du conseil et de proposer la résolution qu'en son absence, la présidence soit prise à tour de rôle par lui-même, Pernin, Dequenne et Grebel.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0168.T.162r.jpg
Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin autorise Eugène André à acquérir 1 000 tonnes de fonte n° 1 et 1 000 tonnes de fonte n° 3. Il l'invite à ne pas subir les exigences de Muller au sujet de ses navires pour le transport de la fonte. Il regrette qu'André ne soit pas allé en Angleterre 3 mois plus tôt pour s'approvisionner à meilleur prix, et il lui demande d'y rester le temps qu'il faudra pour étudier la question. Il lui signale que le port de Calais est tellement encombré qu'il télégraphie à Dunkerque pour savoir si on peut y décharger la fonte de ses navires. Il lui demande enfin de profiter de son séjour pour examiner la question des exportations vers Londres et l'Angleterre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0224.T.219r.jpg
Godin a été informé par Emmanuel Épaulard qu'Eugène André est de retour au Familistère. Il voudrait savoir sir les fourneaux d'Ayresome peuvent fournir de la fonte n° 1 ; il pense qu'il faut s'approvisionner car le cours de la fonte ne va pas cesser de monter, que la fonte de Clarence n'est pas meilleure que celle d'Ayresome et qu'il faut voir lequel des deux établissements vend au meilleur prix.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0153.T.149v.jpg
Godin communique à André un pouvoir en blanc à remplir avec le notaire pour pourvoir signer par procuration l'acte d'achat des propriétés de l'hospice de Bruxelles.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0008.T.4r.jpg
Godin présente les conditions qu'il souhaite négocier avec l'Office de publicité pour la vente de son dernier livre : 33 % au lieu de 40 % du prix de vente fixé à 10 francs pour la première édition in-8°. Il demande à Eugène André de lui présenter ces conditions et d'obtenir une confirmation par écrit.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0056.T.52r.jpg
Godin envoie six exemplaires de son ouvrage à Eugène André. Un exemplaire est pour lui, l'autre pour Demeur. Il lui demande de garder les derniers exemplaires à sa disposition ou de les confier à Demeur s'il peut trouver des journalistes pour donner de la publicité à l'ouvrage.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0092.T.88r.jpg
Godin regrette le mariage de M. Demeur qui va retarder la propagande de son livre dans la presse belge. Il s'en remet à Eugène André pour régler les affaires de l'usine de Guise : il lui conseille de revendre un vieux cheval et lui fait confiance pour l'achat d'une voiture et d'un cheval. Godin se trouve à l'établissement hydrothérapique de Bellevue pour se soigner.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2