FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 4 janvier 1890
Vœux de nouvelle année ; présence de Gaston Piou de Saint-Gilles au Familistère, que Neale a vu avec la famille Moret-Dallet à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 4 septembre 1891
Réponse à la lettre de Neale en date du 1er septembre 1891 sur un projet de visite au Familistère en compagnie de monsieur Gray, du 17 au 19 septembre 1891 : deux chambres réservées à l'hôtel de la Couronne ; les écoles en vacances (pendant lesquelles ont lieu les « promenades surveillées ») ; la nourricerie, les services du Familistère et les ateliers de l'usine fonctionnent normalement ; rencontre possible de Gray et Bernardot au congrès coopératif de Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 27 novembre 1891
Changement d'adresse de Neale pour l'expédition du journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 18 août 1880
Godin retenu par le Conseil général de l'Aisne, Moret répond à Neale à propos des statuts légaux de la Société du Familistère. Elle a reçu de Neale son rapport du Congrès de Newcastle. Pascaly est à Nîmes. Enfin, elle demande à Neale l'adresse exacte de plusieurs personnes mentionnées dans un courrier précédent, sans leurs coordonnées, il s'agit de M. Schulze-Delitzsch et de M. Viganò.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 7 septembre 1880
Marie Moret souhaite se procurer auprès de son correspondant une brochure qu'il a éditée sous le titre Associated Homes. Elle est évoquée dans le rapport d'un congrès précédemment envoyé. Marie Moret joint au courrier 9 F payés pour recevoir les exemplaires. Elle indique que Godin a envoyé à M. Schulze-Delitzsch et M. Viganò un exemplaire de son ouvrage Mutualité sociale. Il est également question d'un accord avec Holyoake, à passer avec Godin par l'entremise de Neale. Moret informe que le périodique Cooperative News a débuté la publication d'un texte intitulé « How Harry Lavale was won ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 20 novembre 1880
Marie Moret écrit à Neale pour lui signifier que Godin s'est entretenu avec un certain Hines afin de pouvoir publier dans Le Devoir certaines de ses histoires. Quant à l'Histoire des pionniers de Rochdale, ouvrage de Holyoake, des extraits sont en train d'être constitués par Moret, pour leur prochaine publication en français. Moret demande l'adresse de Holyoake dans le but de lui envoyer des exemplaires du Devoir. Elle évoque la parution d'un article annonçant le Congrès de Newcastle dans le journal. Moret affirme que Godin est heureux que Neale ait traduit son ouvrage Mutualité sociale. Partant du constat d'un durcissement de l'enseignement moral à l'école républicaine, Marie Moret évoque sa conception de l'éducation des enfants au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 9 décembre 1880
Moret confirme la réception de l'ouvrage Moral and religions [sic] lessons envoyé par son correspondant. Moret affirme qu'elle lira les appréciations de Neale sur le Congrès ouvrier français.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 30 septembre 1880
Marie Moret répond tardivement puisqu'elle était à Paris avec Godin au moment de la réception de cette lettre. Elle remercie son correspondant de lui donner des renseignements sur « les livres d'École ». Elle a demandé à Londres les livres de Miss Edgeworth dont Neale lui a communiqué les titres. Moret indique à propos du Devoir que la coquille signalée par Neale, « révolutionnaire » au lieu de « évolutionnaire », est mentionnée dans les errata du journal de la semaine courante. Moret affirme avoir reçu les publications du Central Board (organe de direction de l'union coopérative anglaise) et remercie son correspondant pour les bonnes paroles dites au sujet du Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 5 octobre 1881
Marie Moret indique que la réponse tardive à la lettre de Neale du 30 juillet 1881 est due à des vacances prises par Godin et par elle en Suisse et qu'ils sont de retour depuis dix jours. Il est question de la répartition des bénéfices aux acheteurs dans les magasins de vente du Familistère. Moret a bien reçu le rapport sur le congrès coopératif de 1881 envoyé par Neale. Moret envoie un mandat postal à Neale pour recevoir son Manual for Co-operators.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 5 janvier 1882
Moret remercie Neale pour son précédent courrier. Elle l'informe que Godin est entré en contact avec monsieur Craig afin de « piller dans l'histoire de Ralahine, comme nous avons pillé dans l'histoire de Rochdale tout ce qui peut nous servir ». Intérêt de l'association de Ralahine. Vœux de bonne année 1882.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 23 septembre 1881
Marie Moret confirme la bonne réception d'une lettre antérieure de Neale ainsi que deux exemplaires du Manuel des coopérateurs. Elle a pris connaissance de la publication dans les Cooperative News de la conférence tenue par Godin à Lausanne (Suisse). Elle fait parvenir à son correspondant un exemplaire du résumé de l'Histoire des pionniers de Rochdale de Holyoake. Marie Moret informe Neale qu'elle travaille à tirer de l'Histoire de l'Association de Ralahine de Craig, parue dans les Cooperative News des passages intéressants pour les publier dans Le Devoir. Demande à Neale l'adresse de Craig.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 6 janvier 1883
Marie Moret envoie un courrier pour souhaiter une bonne année 1883 à son correspondant, en réponse à son envoi d'une gravure relative aux mêmes célébrations. Elle signale à monsieur Neale que, dans le numéro du Devoir daté du 31 décembre 1882, apparaît l'information selon laquelle Godin a été décoré par le Gouvernement de l'Ordre de la Légion d'honneur et des palmes d'officier d'Académie. Elle évoque la mort de Chanzy et Gambetta entre la fin de l'année 1882 et le début de la nouvelle année. Marie Moret espère voir de nouveau Monsieur Neale au Familistère en cette nouvelle année 1883.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 2 janvier 1886
Marie Moret remercie Edward Neale pour ses vœux et l'assure que son affection pour lui ne fait que croître. Marie Moret s'occupe de traduire pour Le Devoir des papiers envoyés par Henry Rowley concernant la Labour association.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 18 janvier 1886
Marie Moret remercie pour le volume envoyé et lui adresse les trois derniers numéros du Devoir demandés. Le dernier numéro contient un article sur la Labour association.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 3 août 1887
Marie Moret annonce à Neale que sa lettre du 31 juillet leur est parvenue le 2 août dans leur cottage de Lesquielles, qu'il avait eu l'occasion de voir. Elle le remercie pour son invitation à séjourner dans son abbaye [Bisham Abbey]. Elle lui indique qu'elle lit le livre Hyms of experience and hope qu'il lui avait donné en janvier 1896 et qu'elle juge précieux. Elle l'informe que Godin a pensé que Neale aurait pu s'éviter la peine de lui envoyer un chèque car il devra faire passer la même somme en Angleterre pour prendre le brevet dont il a été question avec Johnston. Elle lui signale qu'une lettre de Johnston du 20 juillet les avait informé de leur bon voyage de retour. Elle demande à Neale de transmettre ses compliments à Thomson et à Johnston.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 6 août 1887
Marie Moret accuse réception de la lettre de Neale du 4 août 1887. Elle lui explique qu'Ugo Rabbeno et de Boyve devraient visiter le Familistère au moment du congrès coopératif de Tours et qu'ils pourraient loger dans deux des trois chambres d'amis du couple Godin, que la troisième chambre lui serait réservée, mais que Holyoake et sa fille seraient alors obligés de loger dans un hôtel de Guise. Elle signale à Neale que le dimanche n'est pas un jour favorable pour la visite du Familistère et de l'usine et qu'en outre l'assemblée générale de la Société du Familistère aura lieu le 25 septembre 1887, jour de l'arrivée des Holyoake.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 19 septembre 1887
Sur la visite de Neale au Familistère. Marie Moret pense que Neale qui se trouve à Tours avec Rabbeno saura avant elle le jour de la venue de ce dernier. Elle informe Neale que de Boyve a écrit qu'il retournera auprès de sa femme malade et n'accompagnera pas Rabbeno au Familistère. Elle suppose que, le congrès de Tours s'achevant le lendemain mardi, Rabbeno viendra au Familistère avant lui et qu'ainsi les chambres d'amis seront libres pour lui et la famille Holyoake. Elle demande à Neale de s'entendre avec Rabbeno sur cette question. Elle propose à Neale, s'il arrive le samedi 24 septembre avec les Holyoake, d'assister le dimanche à l'assemblée générale des associés de l'Association du Familistère et de montrer le lundi aux Holyoake tout ce qui constitue l'Association.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale , 14 octobre 1887
Marie Moret informe Neale qu'aussitôt après avoir reçu sa lettre du 12 octobre, elle a fait insérer dans Le Devoir de la semaine un erratum relatif à des chiffres, dont elle lui adresse l'épreuve. Elle le remercie pour le récit de son voyage de Guise en Angleterre. Elle lui indique qu'elle écrira à Emilie Holyoake dès qu'elle le pourra et lui demande de lui présenter ses compliments ainsi qu'à Johnston, à qui elle et la Société du Familistère doivent écrire au sujet du brevet de la machine à mouler et des documents qu'il a envoyés sur le canal de Manchester. Elle lui signale qu'Ugo Rabbeno a paru content de son voyage au Familistère et elle suppose qu'un compte-rendu de sa visite paraîtra dans Il Secolo de Milan.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 24 octobre 1887
Marie Moret écrit à Neale pour lui recommander Edward Anseele, fondateur du Vooruit de Gand, qui se trouve au Familistère et dont elle fait l'éloge. Elle lui signale qu'elle a parlé de lui à Anseele et elle suggère qu'il lui envoie son livre Manual for Cooperators et des imprimés sur la « meilleure tenue de livre et sur le meilleur mode de contrôle des magasins coopératifs ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 9 décembre 1887
Marie Moret a bien reçu la lettre de Neale datée du 1er novembre 1887, dans laquelle il évoque les impressions d'Ernest Brelay à l'égard du Familistère. Elle indique que Brelay a exprimé dès 1885 dans L'Économiste français ses sentiments à l'égard de l'Association. Une réponse a été publiée dans le numéro du Devoir paru le 15 mars de la même année. Elle informe Neale qu'Anseele, le fondateur du Vooruit qu'elle et Godin apprécient, lui a écrit il y a trois semaines qu'il devait lui écrire. Elle lui explique qu'Anseele a été charmé par son résumé de l'Histoire des pionniers de Rochdale d'après Holyoake, qu'il lui a demandé l'autorisation de le publier en flamand et que l'association du Vooruit a voté l'impression de la brochure, qui paraîtra dans les colonnes du journal de l'association, puis en un volume qui sera offert au nouvel an de 1898 aux membres du Vooruit. Elle transmet à Neale les compliments de Godin, de sa sœur et de sa nièce et elle lui exprime son amitié.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 17 février 1888
Marie Moret répond aux lettres de Neale des 21 janvier et 16 février 1888. Elle le remercie pour la résolution du comité exécutif du Central Board [de l'union coopérative britannique] relative à Godin. Sur son rôle de gérante de la Société du Familistère : il ne peut être que transitoire ; il faut un gérant actif doué de capacités industrielles ; elle ne peut être qu'une gérante fictive ; elle lui signale qu'il lira dans Le Devoir qu'elle a délégué une partie de ses pouvoirs de gérante à messieurs André, Dequenne et Pernin ; elle pense que le pacte social et les prescriptions testamentaires constituent un lien suffisamment fort pour maintenir l'œuvre. Elle remercie Neale pour ses articles sur Godin parus dans les Cooperative News et lui transmet les remerciements de Bernardot, dont Neale a reproduit une partie du discours [aux funérailles de Godin]. Elle lui demande de transmettre ses amitiés à Johnston qui lui a écrit le 20 janvier et à qui elle ne peut répondre en anglais au milieu des préoccupations qui l'accablent. Elle transmet à Neale le souvenir d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'excuse de ne pas avoir répondu plus tôt à la lettre du 14 août d'Edward Vansittart Neale en raison de la session du Conseil général de l'Aisne. Il l'autorise à traduire ce qu'il veut des ouvrages qu'il a publiés et de reproduire les gravures de Solutions sociales, dont une partie des clichés ont été cependant détruits. Sur l'organisation collective des services alimentaires : Godin nuance les théories de l'École sociétaire sur les économies réalisées, vraies sans doute en période d'abondance, mais pas lorsqu'il s'agit du strict nécessaire ; il met également en avant la difficulté à trouver des personnes « excessivement compétentes » pour réaliser une cuisine à bon marché. Il lui envoie trois photographies de lui pour qu'il en choisisse et qu'il en commande des exemplaires à la librairie du Familistère. Il lui transmet les compliments des personnes qu'il a vues au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Neale du 24 mai 1879. Il lui confie que ses embarras judiciaires l'engagent à la prudence pour donner de la publicité à la répartition des bénéfices qu'il met en œuvre dans son usine, mais qu'il espère toutefois publier prochainement les statuts de l'association du Familistère. Sur la commandite dans l'association du Familistère : Godin précise qu'il ne s'agit pas d'un appel de fonds, car il met 6 millions de francs dans l'association, mais qu'il s'agit d'une manière de laisser la faculté aux travailleurs et travailleuses de faire des apports au capital. Il ajoute qu'il n'y a pas de nécessité pour l'association de recevoir des fonds de l'extérieur, mais que si Neale voulait s'attacher à l'œuvre du Familistère, ils pourront en discuter ensemble.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Neale qu'il n'a pas eu le temps de lui communiquer les éléments demandés pour une notice, qu'il voulait lui envoyer avec les statuts de l'association du Familistère. Il lui explique que ces statuts devraient paraître en volume mais qu'ils ne seront imprimés qu'après que les difficultés légales qu'ils soulèvent seront réglées. Il lui demande de lui confirmer que le compte-rendu des opérations du Familistère a été publié dans l'American Socialist.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Neale du 19 août 1879. Il l'informe que la fête de l'Enfance du Familistère aura lieu le dimanche 7 septembre suivant et que sa visite lui fera plaisir, mais il se demande si un jour de fête est opportun pour faire voir le Familistère à son ami, plutôt qu'un jour de travail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Neale de l'avant-veille. Il l'informe qu'il a répondu à Londres à sa lettre du 19 août. Il lui confirme que la fête de l'Enfance aura lieu le 7 septembre et qu'il sera heureux de sa visite et de celle de ses amis. Il lui confirme aussi qu'il y a des hôtels à Guise. Il lui indique qu'il aurait été heureux de lui offrir des chambres au Familistère mais que cela est difficile au moment des fêtes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des notes envoyées par Neale en septembre 1879 sur les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il lui annonce l'envoi prochain d'un exemplaire imprimé des statuts. Il le remercie pour le don à la bibliothèque du Familistère de 39 volumes des classiques français réceptionnés la veille. Godin demande à Neale de lui envoyer les albums des grands fabricants d'appareils de chauffage au Royaume-Uni, afin d'y relever les termes techniques utiles pour une traduction en anglais des albums et tarifs de la manufacture du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des albums envoyés par Neale et l'en remercie. Il lui annonce l'envoi prochain des statuts de l'association du Familistère. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Neale une notice biographique de Godin que ce dernier lui a laissé compléter. Elle l'informe que Godin va bientôt pouvoir lui envoyer un exemplaire des statuts de l'association du Familistère. Elle lui envoie un portrait de Godin.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de la lettre de Neale du 22 janvier 1880. Elle ne s'oppose pas à ce que Neale écrive que les notes complémentaires relatives à Godin lui ont été fournies par une parente et amie intime de ce dernier. Elle l'informe qu' « ils » corrigent actuellement la 2e épreuve des statuts de l'association du Familistère et elle lui promet l'envoi d'un exemplaire aussitôt le volume achevé.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Godin accuse réception de la brochure Associated Homes de Neale et l'en remercie. Neale a indiqué à Godin qu'il aurait recours au journal Le Devoir pour effectuer la traduction des statuts de la Société du Familistère : Godin lui promet l'envoi prochain du livre, dont la mise en page est en cours. Il lui transmet le meilleur souvenir de Marie Moret.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Neale que ce qu'il a écrit dans The Cooperative News sur les pionniers de Rochdale inspire à Godin et à elle le désir de connaître exactement leur programme. Elle lui demande dans quel document elle pourrait trouver ces renseignements. Elle l'informe que l'ouvrage Mutualité sociale est mis en page et qu'elle pourra bientôt lui en envoyer un exemplaire. Elle lui signale que Godin est actuellement absent de Guise mais qu'elle est chargée de lui présenter ses amitiés.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Neale pour l'envoi d'un ouvrage en deux volumes dont elle a commencé la lecture. Elle estime que l'histoire des pionniers de Rochdale est un exemple remarquable de l'oubli des principes en matière de réformes sociales dont parle Neale. Elle lui annonce qu'elle et Godin seraient heureux de voir le discours de Godin à la fête du Travail publié dans The Cooperative News. Elle lui demande s'il connaît en Angleterre des journaux comme The Cooperative News avec lesquels Le Devoir pourrait échanger.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Neale pour l'envoi prochain du rapport du congrès coopératif de Newcastle et lui confirme que le journal Le Devoir tire profit des informations sur le mouvement coopératif en Angleterre que lui délivre The Cooperative News. Elle l'informe qu'une demande d'échange avec Le Devoir a été adressée au Labour News. Sur le Cooperative World. Sur la traduction par Neale des statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Elle promet l'envoi prochain de deux exemplaires de Mutualité sociale dont le tirage s'achève.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse deux exemplaires de Mutualité sociale à Neale qui doit traduire en anglais les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il demande à Neale son avis sur la transformation du journal Le Devoir en journal des réformes sociales en France, en Angleterre, en Allemagne et en Amérique, sous la forme d'une revue mensuelle de 64 pages intitulée Revue des réformes sociales. Il prend l'exemple du journal hebdomadaire , à la fois journal d'information et revue d'études sociales. Il demande à Neale s'il est en relation avec Schulze-Delitzsch en Allemagne, avec lequel il aimerait correspondre, et s'il connaît des journaux allemands avec lesquels il pourrait échanger le journal Le Devoir. Sur les relations que pourraient entretenir les écoles socialistes. Sur la coopération en Angleterre et le congrès coopératif de Newcastle. Godin remercie Neale pour lui avoir communiqué l'adresse du Cooperative World.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Neale pour sa lettre du 20 (?) juin sur l'état de la coopération en Angleterre. Il lui signale que le journal Le Devoir des 15 et 22 août 1880 contiendra un article adressé aux coopérateurs anglais. Il le remercie également de sa proposition de le mettre en relation avec Hermann Schulze-Delitzsch et avec Francesco Viganò pour qu'il leur envoie son livre Mutualité sociale. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : à la suite des observations que Neale a faite à l'occasion de sa dernière visite au Familistère sur les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail, Godin l'informe qu'en plus des statuts, il a rédigé un acte testamentaire pour éviter à l'association tout procès avec ses héritiers. Godin demande à Neale s'il peut bénéficier de son avis à ce propos.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Neale son avis sur une affaire mal engagée à Londres relative à un contrat de 1879 pour la fourniture de 400 tonnes de fonte, que Muller avait refusé de livrer. Godin veut évaluer ses chances de succès dans un procès.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin annonce à Neale qu'il veut par son testament empêcher que ses héritiers dissolvent l'association du Familistère et se partagent sa fortune ; il lui explique qu'après avoir laissé 3 millions à ses héritiers, la loi française l'oblige à leur céder la moitié de sa fortune au moment de son décès ; il lui soumet la rédaction de son testament. Neale a exprimé son souhait de devenir associé de l'Association coopérative du capital et du travail : Godin lui indique que les statuts ne le permettent pas, mais qu'il peut lui céder un titre d'apport de manière à ce qu'il soit enregistré comme membre de l'Association. Il l'informe qu'il a envoyé 75 livres à son chargé d'affaires à Londres pour qu'il suive l'affaire Muller et évoque la possibilité que l'Association s'adresse à lui pour défendre ses droits. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin informe Neale qu'à la suite de ses observations, il a remanié la rédaction de son testament ; il lui en envoie une copie. Il lui demande s'il compte se rendre au congrès coopératif de Milan. Il lui demande également s'il éprouve des difficultés à publier la traduction anglaise de Mutualité sociale. Il lui adresse les remerciements de Marie Moret pour le volume de morale qu'il lui a envoyé et qui est en cours de traduction pour en faire usage dans les écoles. Il l'informe que Marie termine la traduction des Équitables pionniers de Rochdale et la coopération en Angleterre de Holyoake.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Neale que l'hospitalité lui sera toujours offerte au Familistère. Il lui confirme que la fête du Travail du Familistère aura lieu le dimanche 1er mai et il précise qu'il sera disponible le vendredi et le samedi qui précédent, puisque les conseils et les comités de l'Association se chargent d'organiser la fête. Il lui signale que Franceso Viganò est actuellement au Familistère et qu'il repart le soir à Paris. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin (et Marie Moret avec lui) accuse réception de la lettre de Neale annonçant son retour à Manchester. Sur la perte d'un jeton de cuivre par Neale au Familistère. Godin indique à Neale qu'il a lu avec plaisir son compte-rendu de la fête du Travail dans le Cooperative News. À propos de l'édition de la traduction anglaise de Mutualité sociale : Godin propose à Neale d'en supporter les frais. Il lui signale que la traduction du livre vient d'être faite en Amérique par Louis Bristol, et qu'elle est éditée par The New York Woman's Social Science Society au Cooper Institute sous le titre The Association of Capital with Labor, mais sans les « Notions préliminaires ». Godin précise qu'il a reçu un exemplaire de cette édition, illustrée et faite avec soin, qu'il lui enverra s'il le souhaite.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Neale que l'on veut éditer Solutions sociales et rééditer Mutualité sociale en anglais aux États-Unis. Il le prévient qu'Amelia Hope Whipple, la présidente de la New York Women's Social Science Society, va lui écrire pour lui demander l'autorisation de publier la traduction qu'il a faite d'une partie du livre [les « Notions préliminaires ». Il lui demande d'envoyer la traduction à Amelia Hope Whipple au 24 Cooper Institute à New York. Il lui explique que Whipple a réuni les fonds pour envoyer madame Bristol au Familistère, et que ce voyage a été la cause de la traduction de Mutualité sociale à New York. Godin demande à Neale des renseignements sur le régime de la propriété foncière et immobilière à Londres, en Irlande, en Écosse et en Angleterre. « Ici, tout va bien, les lueurs de l'association percent petit à petit les ténèbres de mon personnel et cela suffit pour qu'il règne ici un bon état d'esprit général de satisfaction. » Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin donne à Neale des renseignements sur les dispositions des appartements de l'aile droite du Palais social demandés dans sa lettre du 25 mars 1882. Il accuse réception des lettres de Neale du 5 mars sur la propriété foncière à Londres et du 14 mars relative à la traduction de Mutualité social. Il se réjouit qu'Amelia Hope Whipple ait pris contact avec lui. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.
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