FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 64 résultats dans 19531 notices du site.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-124_0091_H.jpg
Marie Moret répond à la lettre de Juliette Cros du 18 janvier 1901. Elle évoque le déménagement de la famille Cros et la famille Ronzier, dont sa correspondante lui a donné des nouvelles, ainsi que la lettre de Juliette Cros à Émilie Dallet du 8 mars 1901 qui annonce sa venue à Nîmes ; Auguste Fabre demande à être prévenu de son arrivée pour pouvoir tenir prête la chambre. Marie Moret indique à Juliette Cros qu'elle n'a pas dormi la nuit précédente, qu'elle rédige le courrier urgent, et qu'elle transmettra son bon souvenir à Flore Moret. Elle transmet à Juliette et à Antoine Médéric Cros les pensées et compliments d'Auguste Fabre, de Jules Prudhommeaux, d'Émilie et de Marie-Jeanne Dallet.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-124_0258_H.jpg
Marie Moret annonce à Eugénie Louis que la famille Moret-Dallet quittera Nîmes le jeudi 30 mai 1901 pour arriver à Guise le vendredi 31 mai à 4 h 15 de l'après-midi. Elle lui indique qu'elle écrira à monsieur Marchand et qu'elle écrit à Henri Buridant pour qu'il lui remette les fonds dont elle aura besoin. Elle l'informe qu'elle a demandé à Flore Moret de dîner chez elle le soir de son arrivée. Elle évoque les caisses et colis expédiés à l'adresse de Buridant , et transmet ses pensées à madame Roger.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-124_0329_H.jpg
Marie Moret remercie Antoine Médéric et Juliette Cros pour leur lettre du 20 juin 1901. Elle explique que le retard de sa réponse est dû aux envois qu'elle a faits aux bibliothèques étrangères, à la reprise de son « vrai travail » et aux corrections des épreuves du Devoir. Elle les remercie pour la description de la scène de la réception [par le public de la conférence donnée par Cros] de la photographie de Marie-Jeanne Dallet. Leur mot sur Saint-Gaudens l'a poussé à ouvrir le livret d'ouvrier de son père. Elle nomme les étapes du parcours de son père : Paris, Meaux, Libourne, Bordeaux (où il est rejoint par Godin), Toulouse chez Daussonne jeune pendant deux mois à partir du 23 avril 1836, Montrejeau (toujours avec Godin) chez le serrurier Pierre Pic pendant trois mois à partir du 24 juillet 1836, Montpellier, Nîmes, Marseille (où Moret et Godin se séparent), Lyon, etc. Elle demande qu'Antoine Médéric Cros conserve les articles de journaux qui évoqueraient sa conférence [sur le Familistère] pour les communiquer à Auguste Fabre et à elle-même. Elle lui annonce que Marie-Jeanne Dallet lui écrira à propos des vues photographiques pour les conférences ; elle lui indique que Mutualité sociale se trouve chez Guillaumin et Cie et qu'elle peut lui fournir des exemplaires du Familistère illustré. Elle informe Juliette Cros que leur voyage [de retour à Guise] a été pénible à cause de la chaleur. Elle lui indique qu'Auguste Fabre devait s'occuper des travaux de maçonnerie ; le 16 juin dernier, il a écrit qu'il ne disposait pas encore du maçon. Elle lui fait part de sa satisfaction d'avoir retrouvé son grand cabinet de travail en comparaison de celui de Nîmes, tellement chauffé par la toiture qu'on ne peut plus s'y tenir à partir de 11 h 00. Elle transmet à Juliette et Antoine Médéric Cros les pensées d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet et le souvenir de Flore Moret.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-124_0399v_H.jpg
Marie Moret remercie Antoine Médéric et Juliette Cros pour l'envoi d'une boîte de pêches. Elle demande des nouvelles de la famille Cros-Fabre et signale qu'Émilie et Marie-Jeanne Dallet sont depuis quinze jours au bord de la mer à Granville, d'où Flore Moret vient de rentrer, et qu'elles comptent y rester encore une douzaine de jours. Elle écrit que son travail à partir de Kant, Berthelot et Claude Bernard mûrit peu à peu.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-124_0408_H.jpg
Marie Moret remercie Adèle Herbron pour sa lettre du 4 août et suppose qu'elle a reçu la lettre de Flore Moret lui annonçant son retour à Guise. Elle évoque le séjour à Granville d'Émilie et Marie Jeanne Dallet avec lesquelles elle échange des nouvelles chaque jour, et lui indique qu'elle travaille et ne s'ennuie pas. Elle l'assure qu'elle transmettra à Flore Moret le souvenir d'Adèle Herbron et de ses enfants. Elle remercie Adèle Herbron de lui avoir communiqué l'adresse de Muller et Cie et l'informe qu'elle leur écrit pour obtenir un document sur le coton minéral qu'elle pourra communiquer à Auguste Fabre. Elle transmet ses pensées à monsieur Bourbon.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0034v_H.jpg
Marie Moret remercie Juliette Cros pour sa lettre datée du 14 septembre 1899 et l'envoi de pêches. Elle l'informe de l'envoi prochain d'un gros pli pour Castelsarrasin à l'adresse d'Auguste Fabre et remercie sa correspondante pour le numéro de La Revue parisienne envoyé par de Rochas dans lequel se trouve un article écrit par ce dernier. Émilie et Marie-Jeanne Dallet s'apprêtent à partir pour Corbeil[-Essonnes]. Marie Moret joindra à l'envoi pour Castelsarrasin un rasoir oublié par Fabre et souhaite bon retour à la famille Cros-Fabre.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0060_H.jpg
Marie Moret remercie Juliette Cros pour sa lettre du 18 septembre 1899 et lui envoie La sagesse angélique sur le divin amour d'Emanuel Swedenborg. Marie Moret annonce l'envoi pour signature du double de l'ancien titre d'épargne d'Auguste Fabre destiné aux archives sociales, son ancien titre annulé servant de démonstration pour les conférences. Elle donne des nouvelles : Émilie et Marie-Jeanne Dallet sont en région parisienne dans la famille et un télégramme annonce leur retour le soir-même ; Marie Moret s'occupe de tâches laissées de côté lors de la rédaction d'une étude appelée « Matière, mode de mouvement » et passe du temps avec Flore Moret à qui elle a fait lire la lettre de Juliette Cros et dont elle transmet les vifs sentiments de sympathie. Sur le portrait au pastel d'Henri Médéric Cros et le voyage de retour [du Familistère] de la famille Cros.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0099v_H.jpg
À propos de la lettre de Juliette Cros parvenue à temps à Marie Moret pour qu'elle puisse prévenir Jules Prudhommeaux qu'Auguste Fabre ne serait pas à Nîmes à son arrivée. Juliette Cros malade à son retour du Familistère, Marie Moret espère que la température l'aidera à s'en remettre. Sur le mauvais temps à Guise qui ne change pas la date de départ de la famille Moret-Dallet pour Nîmes, prévu début novembre 1899. À propos de la découverte d'Emanuel Swedenborg par Juliette Cros : Marie Moret est persuadée que Juliette Cros sera de plus en plus sensible aux écrits de cet homme « insondable ».

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0155_H.jpg
À propos de l'étude de Marie Moret sur « Matière, mode de mouvement ». Marie Moret remercie Antoine Cros pour sa lettre du 21 octobre 1899. Elle aimerait se remettre à son « vrai travail » en étudiant la communication de son correspondant mais des soins urgents et des difficultés intestines à la Société du Familistère l'en ont empêchée, et elle souffre désormais d'insomnies liées aux préparatifs du départ [pour Nîmes]. Au sujet de l'échange qu'Antoine Cros et Marie Moret ont eu à Guise autour de considérations sur les molécules et les atomes : c'est à Esprit Jouffret et non à Jules Jamin que Marie Moret a fait référence. Elle ajoute avoir également évoqué les thèses de Marcellin Berthelot, Charles Wurtz et William Crookes pour la démonstration expérimentale de la constitution moléculaire des corps et aimerait voir Lucien Poincaré raisonner sur les expériences de Crookes touchant la décomposition de la molécule de mercure. Marie Moret aimerait reprendre cette discussion avec son correspondant une fois arrivée à Nîmes.

Mots-clés : , , ,

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0180_H.jpg
Marie Moret envoie au Bureau de bienfaisance de Guise la somme de 100 F en son nom et aux noms de Flore Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0433_H.jpg
Marie Moret prévient Eugénie Louis de son retour et celui d'Émilie Dallet au Familistère samedi 26 mai 1900, par le train de 4 h 15 de l'après-midi. Elle l'informe qu'elle va écrire à Henri Buridant pour lui demander de lui avancer si besoin les frais nécessaires à la préparation de leur appartement, qu'elle confie à ses bons soins. Flore Moret est invitée à partager leur repas à leur arrivée mais elles ne seront que trois car Marie-Jeanne restera à Paris dans leur famille pour visiter l'Exposition universelle. Elle prévient sa correspondante de l'arrivée de colis et de malles au nom de Buridant. Marie Moret et Émilie Dallet se réjouissent de revoir bientôt Eugénie Louis et Marie-Jeanne Dallet lui transmet son cordial souvenir. Toute la famille et Auguste Fabre lui envoient, ainsi qu'à mesdames Roger et Allart, leurs meilleures pensées.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0444_H.jpg
La lettre de Marie-Jeanne Dallet du 26 mai 1900 est bien parvenue à Émilie Dallet, Marie et Flore Moret qui l'ont lue avec excitation. Marie Moret donne des nouvelles d'Émilie Dallet qui lui a écrit pour la première fois la veille, 27 mai : son sommeil est bon, « son estomac est d'une gouverne facile ». Sur le séjour de Marie-Jeanne Dallet à Corbeil : Marie Moret imagine qu'elle se sent comme chez elle chez « cousine Adèle » ; elle se voit à Paris faire les courses aux Grands magasins du Louvre, tout en gérant ses papiers et gérer les urgences au Familistère. Elle demande à sa correspondante l'heure d'arrivée à Corbeil du télégramme envoyé par Flore Moret samedi 26 mai, parti du bureau du Familistère à 5 h. Elle l'informe avoir écrit à Jules Pascaly et au « Principal » pour les prévenir de l'arrivée des membres de la famille Moret-Dallet au Familistère ou à Corbeil. Marie Moret écrit qu'elle doit retourner à ses papiers et souhaite à Marie-Jeanne Dallet de s'amuser à l'Exposition. Avant de terminer cette lettre, Marie Moret relit la lettre de sa correspondante, lui souhaite également « bon tout » et lui fait remarquer la bienveillance d'Émilie Dallet qui n'a pas fait déclouer les caisses de Marie-Jeanne Dallet pour ne pas être tentée de les ranger en son absence. Dans le post-scriptum, elle signale l'arrivée de la deuxième lettre de Marie-Jeanne Dallet et l'informe qu'Émilie Dallet a vu Héloïse et lui a transmis son amitié. La deuxième partie de la lettre fait suite à la lecture de la deuxième lettre de Marie-Jeanne Dallet : Marie Moret et Émilie Dallet s'étonnent vivement que leur télégramme du samedi 26 mai, informant Marie-Jeanne de leur bonne arrivée à Guise, ne lui soit pas parvenu. Elles se désolent de l'inquiétude que cela a pu lui causer et Marie Moret lui annonce envoyer au plus vite un télégramme (pour lequel elle va demander un accusé de délivrance) confirmant leur arrivée et l'envoi prochain de cette lettre. Dans le post-scriptum de cette deuxième partie de la lettre, elle accuse réception du télégramme de Marie-Jeanne Dallet daté du 28 mai leur demandant des nouvelles.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0458v_H.jpg
Marie Moret confirme sa lettre de la veille 6 juin 1900 et accuse réception des deux télégrammes l'informant de la bonne arrivée d'Émilie Dallet à Corbeil. Marie Moret invite sa sœur et sa nièce à ne pas s'attarder sur leur correspondance avec elle : il lui suffit de savoir qu'elles vont bien. Elle donne de ses nouvelles : tout va bien à Guise, même brouillard que la veille ; elle échange avec Gaston Piou de Saint-Gilles au sujet de découvertes scientifiques pour « Matière, mode de mouvement ». Le courrier apporte la lettre de « Ti » datée de la veille, une lettre du Bon Marché que Marie Moret joint à celle-ci et un paquet d'imprimés adressés à Marie-Jeanne Dallet. La deuxième partie de la lettre est la réponse à la lettre de Marie-Jeanne Dallet du 6 juin 1900. Marie Moret a transmis la lettre de remerciements de Marie-Jeanne Dallet à Louis-Victor Colin tout en le priant de presser l'envoi d'un cliché à Genève où sa brochure est en cours d'impression. Marie Moret fait la même recommandation que précédemment, d'abréger ses lettres puisque « les particules s'en dégagent... indéfiniment. » Elle accuse réception des impressions envoyées par Marie-Jeanne, déplore le temps « d'un gris de Novembre » mais se réjouit que le « Docteur » soit auprès d'elles à Corbeil. Sur Léon Quent et sur le départ de plusieurs personnes du Familistère pour Paris à la Saint-Médard. Marie Moret espère voir Flore Moret et Héloïse à cette occasion.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0467v_H.jpg
Marie Moret confirme sa lettre de la veille. En rentrant d'une promenade avec Héloïse et Flore Moret, Marie Moret a trouvé un télégramme de sa sœur et de sa nièce la prévenant de leur nouvelle adresse : hôtel de Thionville et de Chartres, au 60, rue de Bourgogne à Paris. Une lettre de Jules Pascaly signale que l'hôtel est au numéro 58 de la rue, ce que confirme une vérification dans l'« Évangile Bottin », et qu'il existe également un autre Hôtel Thionville à Paris. Marie Moret espère que cette lettre parviendra bien à sa destinataire. Donne des nouvelles : elle est occupée par son travail et ne fait rien d'autre ; a bien reçu la carte de Marie-Jeanne Dallet, qui parle de promenade au bord de la Seine et de la chaleur, et la lettre d'Émilie Dallet ; ne peut déterminer l'heure de rédaction de la lettre d'Émilie Dallet ; a conversé avec Héloïse de sa famille, de philosophie et de sciences. Elle transmet son souvenir à [Lorraina] et remercie Émilie des nouvelles de leur entourage parisien. Elle la prévient du départ de Jules Demolon et de sa famille à la campagne. Elle espère que Marie-Jeanne Dallet voit ce qu'elle désire et elle demande des précisions sur l'hôtel où elles résident.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2