FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 327 résultats dans 19525 notices du site.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0418.T.413r.jpg
Godin avertit Joseph Manier qu'il ne peut lui donner de bons conseils à propos du journal L'Hôtel de ville. Il lui explique qu'il lui aurait bien conseillé de faire main basse sur les octrois de la ville de Paris pour en faire cadeau à la classe ouvrière et remplacer les revenus de l'octroi par le droit d'hérédité de la Ville de Paris de la moitié des grandes fortunes inutiles, mesure qui lui aurait valu d'être lapidé par la classe ouvrière elle-même. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0429.T.424r.jpg
Godin confirme à Claris que la rédaction du journal Le Devoir sera au complet la semaine prochaine et lui demande de ne plus s'occuper de la revue des faits politiques après celle de la semaine en cours. Il lui remet un mandat postal de 75 F et le remercie pour sa collaboration. Dans le post-scriptum, il lui transmet les compliments de Victoire Tinayre, de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0474.T.469r.jpg
Godin félicite Manier pour le succès du journal L'Hôtel de ville. Il l'informe que le journal Le Devoir doit reprendre dans ses prochains numéros la question du droit d'hérédité de l'État et des communes que le rapport de Grimaud met à nouveau en relief. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0489.T.484r.jpg
Godin accuse réception des lettres de Destrem des 4, 18 et 31 décembre 1883 et de l'article qu'il n'a pu faire fait insérer dans les grands journaux. Il l'informe qu'il était complètement d'accord avec ses réflexions sur Voltaire mais qu'il n'a pas pu en faire l'insertion dans le journal Le Devoir. Il lui signale que son article a sa place dans les journaux de Paris mais n'apprendrait rien aux lecteurs du Devoir. Sur la conspiration du silence de la presse française à l'égard du Familistère. Dans le post-scriptum, Godin transmet à Destrem les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet et le remercie pour son mot bienveillant pour « la petite Dallet ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0492.T.487r.jpg
Sur la souscription de Godin et de Marie Moret à la Compagnie du canal interocéanique de Panama.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0496.T.491r.jpg
Sur les obligations de la Compagnie universelle du canal interocéanique de Panama de Marie Moret.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0005.T.1v.jpg
Godin demande au Comptoir d'escompte de lui communiquer la liste des titres qu'il a en dépôt à la banque. Il lui demande de souscrire le 12 février à l'emprunt de 3,5 % : 900 F au nom d'Émilie Dallet et 1 200 F au nom de Marie Moret.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0009.T.5r.jpg
Godin prie Pagliardini de ne pas se tourmenter à propos de la question dont Manier l'a entretenu, en raison de son impossibilité constitutionnelle et parce qu'il n'a aucune ambition de gouvernement : « Je cherche à accomplir tout le bien qui m'est possible dans la limite de mon obscurité, sans courir après des fumées de gloriole que je dédaigne. » Il lui exprime sa reconnaissance et celle de Marie pour son appréciation affectueuse à l'égard de celle-ci. Il lui signale que monsieur et madame Cooper [...]ley sont retournés en Angleterre sans être venus au Familistère. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret aux sœurs de Pagliardini.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0039.T.35r.jpg
Godin répond à la lettre de Manier du 15 mars 1884 avant de partir à Bruxelles : il lui annonce qu'il ne lui est pas possible de se passer de Deynaud pendant un mois, d'autant que celui doit partir un temps à Paris pour un projet personnel. Manier a rapporté à Victoire Tinayre une fausse nouvelle relative à Godin : Godin lui demande quelle est sa source d'information. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0045.T.41v.jpg
Godin demande à Tisserant des explications au sujet d’une note de frais que lui a présentée le notaire Bernier, successeur de Gauchet. Il lui transmet les amitiés de Marie Moret.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0108.T.104r.jpg
Sur une modification à faire aux statuts de l'association du Familistère : comprendre dans le partage des bénéfices les 25 % affectés au fonds de réserve ; augmenter à 6 millions le capital de la Société ; réduire à 4 % (au lieu de 12 %) sa part dans les bénéfices de la Société ; augmentation du nombre de conseillers de gérance. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0133.T.129v.jpg
Godin répond à la lettre de Simonin du 11 juin 1884, dans laquelle ce dernier lui rappelle qu'il a visité le Familistère et juge que Le Devoir est sévère à l'égard de l'article de Fougerousse dans Le Génie civil. Godin explique à Simonin que Fougerousse est venu visiter le Familistère avec un homme qui voulait tenter une expérience semblable, qu'il se trompait sur beaucoup de points sur son œuvre et que son article contient des insinuations contraires à la vérité sur les rapports entre les personnes et des inexactitudes sur les dispositions matérielles du Familistère. Godin reproche à Fougerousse d'avoir cherché à dissuader son compagnon d'imiter le Familistère, qu'il désigne du terme souligné d'habitation-caserne. Il lui signale que Le Devoir lui sera adressé au 34, rue de Turin. Il lui transmet le souvenir de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0167.T.163r.jpg
Godin annonce à Neale que sa lettre à Marie Moret n'est pas parvenue à destination et il lui recommande de lui adresser les lettres à caractère personnel. Sur un projet de visite de Neale avec un groupe de personnes du 20 au 22 août 1884.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0233.T.229r.jpg
Sur une cheminée offerte à Neale expédiée de Laeken. Godin envoie à Neale les numéros du Devoir qu'il demande. Sur le compte rendu de visite au Familistère de Greening publié dans le Cooperative News. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0244.T.240r.jpg
Godin répond à la lettre de Mangeot du 11 novembre 1884. Il approuve une décision prise le dimanche précédent : Godin, qui ne cherche ni la popularité ni le tapage, ne souhaite pas donner une conférence devant des personnes qui ne le désireraient pas. Il l'informe qu'il vient d'envoyer à nouveau à Hardy les numéros du Devoir envoyés à ses collègues. Il lui demande combien il souhaite d'exemplaires de sa déposition devant la commission sur les associations ouvrières. Il lui indique que le nom de sa collaboratrice est Marie Moret et que celui de l'institutrice qu'il a entendue donnant une conférence est madame Tinayre, alors que Pénit assure la direction supérieure des écoles du Familistère. Il lui confirme qu'il enverra les brochures de sa déposition à madame Chataignier et qu'il en enverra un exemplaire à chacun de ses collègues.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0277.T.273r.jpg
Godin informe Neale qu'il lui a adressé le 19 novembre un foyer économique et qu'il a demandé à l'usine de Laeken de lui expédier la pièce cassée de la cheminée déjà reçue, que Neale destine à Greening. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0342.T.338r.jpg
Sur une lettre de mademoiselle Scheuer (?) que Pagliardini a oublié de transmettre à Godin. Godin et Moret espèrent la visite de Pagliardini dans quelques mois. Godin signale à Pagliardini l'importante publication faite par The Cooperative News, le journal du Central Cooperative Board dirigé par Edward Vansittart Neale, qui compte 25 000 lecteurs : le journal publie depuis le 13 septembre 1884 le compte rendu par Edward Owen Greening de la visite de huit coopérateurs anglais en août dernier, comme l'a indiqué le journal Le Devoir. Godin recommande particulièrement le numéro du 1er novembre du Cooperative News, dans lequel Greening « entre à fond dans son sujet ». Godin et Moret adressent leurs vœux de bonheur à Pagliardini et à ses sœurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0345.T.341r.jpg
Godin répond à la lettre de Neale du 9 décembre 1884 qui attirait l'attention de Godin sur l'emballage de ses produits approprié aux transports maritimes. Godin est satisfait que Neale ait pu faire réparer le foyer. Il lui retourne une lettre de Greening, dont il admire le récit de la visite au Familistère dans The Cooperative News.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0356.T.352r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Raoux du 1er janvier 1885. Il lui adresse ses vœux de bonne année et ceux de Marie Moret. Il lui indique qu'il ne peut rien faire d'autre pour la propagande que ce qu'il fait dans le journal Le Devoir : « Vous aurez pu remarquer que c'est la question de la paix européenne et de l'arbitrage international qui fait le fond de nos plus grandes préoccupations ; car je considère cette question comme la plus importante à résoudre pour la sécurité des peuples et des citoyens. » Il l'informe qu'il lui a fait envoyer les numéros du Devoir demandés et qu'on a tenu compte de sa nouvelle adresse.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0441.T.437r.jpg
Godin remercie Neale pour sa lettre du 9 mars et pour l'envoi du numéro du Cooperative News lui manquant. Il l'informe qu'il adresse régulièrement Le Devoir à Edward Owen Greening depuis le 22 février 1885, et qu'il va écrire à dernier au sujet d'une vue du Familistère du côté des jardins. Marie Moret le remercie pour ses compliments à l'égard de sa traduction du compte rendu de Greening [de sa visite au Familistère].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0455.T.451r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Morrill du 18 février et du journal The Rostrum de Vineland contenant son article, que mentionne par ailleurs Le Devoir du 22 mars 1885. Il transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet à Morrill et à son épouse. Godin est heureux que Morrill ait gardé un bon souvenir de son passage au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0461.T.457r.jpg
Sur le prochain séjour de Tisserant au Familistère et sur la modification des statuts de la Société du Familistère de Guise. Godin communique à Tisserant un exemplaire annoté des statuts. Sur le titre d'associé à accorder au personnel de Laeken ; sur les certificats d'apport de Godin ; sur les assurances mutuelles à propos desquelles il a écrit au ministre de l'Intérieur ; sur le testament de Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0468.T.464r.jpg
Godin remercie Rose pour sa lettre du 10 avril 1885 au sujet d'un article élogieux rédigé à la suite de sa visite au Familistère. Il lui signale que Marie Moret a fait un ajout à son article en ce qui concerne l'enseignement de l'arithmétique dans les écoles du Familistère. Il l'informe que le manuscrit complet et des spécimens des tableaux des leçons d'arithmétique lui seront adressés dans quelques jours. Il lui propose de lui offrir l'hospitalité à sa prochaine visite à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0484.T.480r.jpg
Sur un terrain acheté par Marie Moret dans le bas de la pente de Judith à Lesquielles-Saint-Germain : Godin veut s'entendre avec le maire pour éviter que des affouillements soient faits dans la partie supérieure de la pente susceptibles de créer des éboulements, Marie Moret voulant poser une clôture et faire des plantations.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0315.T.311r.jpg
Godin accuse réception des lettres de Champury des 30 décembre 1885 et du 25 janvier 1886. Il le remercie de ses vœux et lui adresse les siens. Il lui annonce que Guyard sera bienvenu au Familistère. Sur l'éloignement des républicains de toute fonction depuis 1870. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0302.T.298v.jpg
Godin répond à la lettre de Destrem du 15 janvier 1886. Il lui transmet ses vœux de succès et ceux de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0478.T.474r.jpg
Sur le testament de Godin. Godin envoie à Ganault une copie de son testament et lui demande de lui faire ses observations. Il le remercie pour sa lettre du 25 mars 1886. Il lui transmet les amitiés de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0050.T.46r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Greening du 27 mars 1885. Godin explique à Greening que « ses gens » ont voulu refaire la photographie du Familistère vu des jardins prise il y a 20 ans, qu'il désirait, mais que les arbres masquent les édifices, aussi ont-ils entrepris pour la « refaire en peinture » en y ajoutant le troisième pavillon d'habitation à partir de laquelle sera faite une nouvelle photographie. Il le félicite du discours qu'il a prononcé à Oldham sur l'avenir des classes ouvrières. Il l'informe que Le Devoir va publier un article sur le congrès d'Oldham les 28 juin, 12 et 19 juillet, dont la traduction est due à Marie Moret. Il le remercie pour l'envoi des journaux The agricultural economist et The Store. Il l'assure qu'il aura plaisir à accueillir d'autres coopérateurs (« Le Familistère est fait pour être vu et étudié ») mais avertit qu'il faut distinguer les personnalités studieuses des simples curieux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0340.T.336r.jpg
Godin envoie à Greening une vue du Familistère prise du côté des jardins. Il lui signale le compte-rendu des travaux de la Labour association et des opérations de la London productive society dans les numéros du journal Le Devoir des 10, 17 et 24 janvier 1886. Il l'informe qu'il a reçu une lettre de son fils en décembre 1885, à laquelle il a répondu en posant diverses questions sur le cacao auxquelles il n'a pas encore répondu. Il lui transmet le souvenir de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0494.T.490r.jpg
Godin répond aux lettres de Gronlund des 2 et 12 avril 1886, dans lesquelles celui-ci exprime son désir de venir en France pour l'amélioration de la santé de sa femme, pour rédiger une vie de Danton et pour étudier le Familistère. Godin lui indique qu'il pourrait venir au Familistère où il pourrait louer un appartement de trois pièces, à condition que sa famille subvienne par elle-même à ses besoins ou en s'entendant avec des personnes du Familistère ne sachant pas l'anglais. Il l'avertit que le nord de la France n'offre pas un climat favorable pour la santé de son épouse et lui indique qu'une personne de sa famille, malade également de la poitrine, va au mois de juin prendre les eaux au Mont-Dore en Auvergne. Il lui explique qu'il ne lit pas l'anglais, que Marie Moret lui a fait part du contenu de son ouvrage, qu'il le croit un démocrate et un socialiste qu'il aura plaisir à fréquenter. Il lui demande s'il doit lui retourner sa photographie. À la suite de la lettre, une note indique le prix de location d'un appartement de trois pièces au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0246.T.242r.jpg
Marie Howland a écrit le 8 décembre à Marie Moret pour demander à Godin de rédiger une lettre sur le projet de colonisation de Sinaloa destinée à être publiée dans son journal. Il la prévient que sa lettre n'est pas faite pour être publiée. Il lui rappelle que dans sa réponse du 18 mai 1885, Marie Moret lui avait déjà fait part de son avis sur son projet de colonie, qu'il juge voué « à un avortement pire que celui dont Considerant nous a donné le spectacle au Texas ». Godin lui présente les difficultés de cette entreprise, qu'il compare à celle de la colonisation du Texas, et il la dissuade de la mettre en œuvre. À propos de Solutions sociales : il lui confirme qu'il a offert 1 000 F à Lovell pour l'édition américaine, que Lovell a accepté, mais qu'il ne lui a pas envoyé les corrections à faire au texte, la voyant absorbé dans son projet de colonisation. Dans le post-scriptum, il lui signale qu'il a envoyé un numéro du Devoir à monsieur Alden de New York.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0411.T.407r.jpg
Godin répond à la lettre de Marie Howland du 4 janvier 1886. Il l'informe qu'il va écrire à Lovell Company pour leur dire qu'il ne peut pas leur envoyer les électrotypes mais qu'il leur enverra les clichés [des estampes de Solutions sociales], et qu'il renonce à faire les modifications du texte. Il lui propose de faire vérifier les épreuves de la traduction par Prétat de Waterbury, qu'il a connu grâce à elle. Il propose également de placer en appendice l'étude sociale n° 1 plutôt que de modifier la traduction. Il lui suggère d'écrire une préface aux lecteurs indiquant que le livre a été rédigé et publié en 1871 et que l'appendice expose la situation actuelle de l'association du Familistère. Il transmet à elle et à Edward Howland ses compliments et ceux de Marie Moret.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0231.T.227r.jpg
Godin avertit Lefèvre qu'il a commandé à Vervins 413,60 F de tabacs pour son compte. Il lui indique qu'il peut prendre livraison d'un poêle. Il lui adresse ainsi qu'à sa sœur ses compliments et ceux de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0397.T.393r.jpg
Godin remercie Lefèvre de lui avoir donné des nouvelles de l'état de sa sœur. Sur une proposition relative à Hippolyte Tordeux : Godin ne peut lui offrir un emploi d'ouvrier en raison du mauvais état des affaires. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0503.T.499r.jpg
Godin remercie son beau-frère de l'informer de l'état de santé de sa sœur. Il l'informe qu'il a passé commande de tabacs pour son compte à Vervins. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0066.T.62r.jpg
Godin assure Neale que lui et Marie Moret sont heureux de lui offrir l'hospitalité et de l'offrir à ses amis Holyoake et Johnston. Il lui suggère d'arriver le 23 juillet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0342.T.338r.jpg
Godin envoie à Neale le numéro du Times du 5 janvier qui contient deux articles sur le Familistère et deux articles du Courrier de Londres sur l'association du Familistère, le deuxième étant une réponse aux appréciations du Spectator de Londres. Il lui signale qu'il envoie une photographie du Familistère vu des jardins à Greening pour servir d'illustration à sa brochure réunissant ses lettres sur le Familistère. Il lui transmet les amitiés de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0427.T.423r.jpg
Godin annonce à Neale qu'il lui envoie les numéros du 21 et du 28 février du journal Le Devoir et qu'il veillera à ce que le journal lui soit servi à son domicile au 15, Portsmouth street. Il lui signale qu'il vient d'écrire à Edward Owen Greening. Il lui transmet l'amitié de Marie Moret et la sienne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0054.T.50r.jpg
Godin répond aux lettres de Pagliardini des 15 février et 22 mars 1885. Sur une visite de Pagliardini en juillet ou en août. Sur les nouvelles du Familistère transmises à Pagliardini par le moyen du journal Le Devoir. Sur la lettre de Pagliardini du 15 février racontant comme il a enrôlé Neale et Greening dans la défense du Familistère. Il répond à Pagliardini comme à Greening à propos des visites du Familistère que « le Familistère est fait pour être vu et étudié » mais qu'il faut distinguer les personnalités studieuses des simples curieux. Il transmet aux sœurs de Pagliardini les meilleurs sentiments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0199.T.195r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini relative à la maison Sampson Low, qui lui demande le dépôt de son ouvrage Le gouvernement et d'en faire une distribution aux journaux. Godin pense que la distribution à la presse est une perte sèche. Il demande à Pagliardini ce qu'il a fait des exemplaires du livre qu'il a emportés. Il lui signale qu'il a déjà l'article du Harper magazine et qu'il n'a pas encore répondu à sa lettre du 7 octobre 1885. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à Pagliardini, à ses sœurs et à Lucy Latter. Dans le post-scriptum, il indique que Marie Moret a écrit à Lucy Latter.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0403.T.399r.jpg
Godin demande à Pagliardini si les évènements de Londres ne l'ont pas troublé. Il lui demande s'il a bien reçu sa lettre du 7 février 1886. Il lui fait remarquer que The Arbitrator ne fait que mentionner sa lettre de félicitations aux amis de la paix ; il lui demande qui a réceptionné les brochures envoyées à Thomas Burt ; il le félicite d'avoir été réélu secrétaire correspondant pour l'Italie [de la Workmen's peace association]. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0172.T.168r.jpg
Godin envoie à Hodgson Pratt une « provisional list » relative à la propagande de l'arbitrage international et de la paix. Il lui signale que Le Devoir va publier le résultat de sa propagande pour l'arbitrage. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0413.T.409r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Hodgson Pratt avec un mandat de 13 F pour son réabonnement au journal Le Devoir. Il lui signale que Le Devoir du 28 février rend compte de ses travaux en Allemagne et publie la traduction des pièces sur la paix qu'il lui a envoyées. Il lui fait observer qu'il a dû abandonner la « petite édition » du « Bulletin de la paix » pour s'en tenir au numéro mensuel spécial. Il lui signale que son journal International arbitration and peace association ne lui parvient pas régulièrement et lui demande de vérifier si Le Devoir parvient bien au bureau de son journal. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0445.T.441r.jpg
Godin demande à Hodgson Pratt de lui envoyer les numéros de janvier et de février de son journal International arbitration and peace association qu'il n'a pas reçus. Il lui annonce qu'il va faire traduire les documents sur la constitution de la Fédération des sociétés de la paix. Sur un conflit de personnalités entre la Peace society anglaise et la Société française des amis de la paix. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0126.T.122r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Victor Rose du 11 septembre relative à l'exécution « en autographie » de la méthode d'arithmétique pour enfants de Marie Moret. Il lui explique que le prix de la reproduction en autographie est trop important pour un faible tirage. Il cite la lettre de Rose du 22 août 1885, qui évoquait différents modes de reproduction possibles, lui indique qu'il préférerait faire faire des clichés de la méthode, mais qu'il n'est pas encore disposé à faire la dépense. Il demande à Rose de lui retourner tout le matériel attaché à la méthode.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0099.T.95r.jpg
Godin rappelle à Tisserant que Marie Moret avait répondu de Bruxelles à sa lettre du 9 août 1885 pour l'informer qu'il lui écrirait aussitôt son retour à Guise, réponse qu'il a dû différer en raison notamment des nombreux visiteurs qui se sont succédés au Familistère et à cause de la fête de l'Enfance. Godin prend des nouvelles de sa santé. Sur l'augmentation du capital de la Société du Familistère par voie d'emprunt hypothécaire. Il lui demande quand il pourra venir pour examiner avec lui l'emprunt et il lui pose une série de questions sur le sujet. Sur les articles des statuts imprimés sur les certificats d'apport ou d'épargne. Il lui indique que la fête de l'Enfance s'est bien passée et que le journal Le Devoir en fait le récit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0115.T.111r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 15 septembre 1885. Il lui indique qu'il sera heureux de le recevoir avec sa fille, même si ce séjour sera consacré au travail. Sur l'augmentation du capital de la Société du Familistère de 3 millions de francs et le projet de contrat hypothécaire et sur la modification des statuts. Il espère que mademoiselle Tisserant, qui a son brevet supérieur d'institutrice trouvera d'intéressantes études à faire dans les écoles du Familistère. Il l'informe que l'assemblée générale de l'association du Familistère aura lieu le 4 octobre 1885. Il joint à sa lettre un mot de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0434.T.430r.jpg
Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin. Godin envoie à Tisserant la nouvelle version de son testament modifiant le testament du 11 août 1881 placé sous la garde du conseil de gérance de la Société du Familistère. Il lui demande s'il peut publier son testament dans le journal Le Devoir. Godin attire l'attention de Tisserant sur plusieurs articles du testament. Il l'informe que sa famille est en bonne santé mais que les affaires laissent comme partout beaucoup à désirer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0474.T.470r.jpg
Sur le testament de Godin. Godin envoie à Tisserant la copie des résolutions prises par le conseil de gérance de la Société du Familistère le 31 mars 1886 relatives à un bail à vie de l'appartement 287, qu'il occupe avec Marie Moret et qui a vestibule commun avec l'appartement 286 (qui comprend la salle du conseil de gérance et la salle des archives de l'association). Il lui demande conseil sur la manière d'enregistrer le bail.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0226.T.222r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Viganò du 30 novembre 1885. Il l'informe qu'il a reçu la brochure de Vincenzo De Castro, à propos de Rossi, que le journal Le Devoir a déjà évoqué le 9 novembre 1879 et dont il sera à nouveau question dans le compte rendu de la brochure. Il lui annonce qu'il serait heureux d'échanger Le Devoir avec le Liberio operaio, dirigé comme La coopération agricole de Padoue par Wollemborg. Il compte sur Viganò pour attirer l'attention de Wollemborg et de Vincenzo De Castro sur la question de l'hérédité de l'État, que Godin considère comme le moyen d'accomplir toutes les autres réformes. Godin se déclare satisfait que Viganò ait marié sa fille à sa convenance. Il lui confirme que son ange gardien Marie Moret est toujours près de lui et continue plus que jamais à collaborer à ses travaux.

Mots-clés : , ,

Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2