FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 80 résultats dans 19393 notices du site.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 30 novembre 1875
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin annonce à son fils Émile qu'il lui communique une lettre adressée à Alphonse Grebel au sujet de difficultés signalées par Édouard Larue. Il souhaite que son fils rassemble en toute discrétion des éléments lui permettant d'apprécier sa situation d'un point de vue nouveau. Il lui explique que le jugement de la cour d'Amiens a reconnu que Godin travaillait pour son propre compte depuis le 1er janvier 1864, que les bénéfices depuis ce jour lui appartenaient et qu'il devait payer à Esther Lemaire la moitié des loyers des choses de la communauté et 6 % des valeurs industrielles qui ne produisent pas de loyer. Il demande à Émile de lui communiquer les bénéfices de l'usine de Guise, du Familistère et de l'usine de Laeken de 1864 à 1875 pour qu'il puisse calculer ce qui lui revient et ce qui revient à Esther Lemaire. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : sur le calcul du prix de revient des marchandises produites dans un deuxième établissement en France selon la présence ou non de charbon dans le sous-sol ; dans le cas de la présence de charbon, il est persuadé qu'il aurait un avantage pour une grande partie du marché, en France, en Suisse et en Italie ; dans le cas où il ne trouverait pas de charbon, Godin explique à son fils qu'il devrait se contenter de faire de la seconde fusion et qu'il devrait s'installer plus près de Paris dans la région de Montereau ou de Montargis, où il ferait arriver avantageusement, grâce à la concurrence des canaux et des chemins de fer, la fonte et le charbon d'Angleterre et de Belgique. Le post-scriptum porte sur les intentions d'Esther Lemaire à l'égard du jugement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Seydoux, 12 mai 1876
Godin explique à Seydoux que le conseil général de l'Aisne a maintenu la concession de la ligne du Cateau à Hirson et a émis le vœu que le gouvernement et les députés de l'Aisne intègrent la ligne dans le prochain projet de loi sur l'intérêt général des chemins de fer. Sur la ligne du Cateau à Saint-Erme et le message de Plichon [président du conseil général du Nord] à Waddington, président du conseil général de l'Aisne. Godin signale à l'attention de Seydoux de Saint-Vallier, sénateur, Turquet, député, et Waddington, intéressés au sort de la ligne du Cateau à Saint-Erme, que soutient Godin et dont il défend le caractère d'intérêt général. Sur une ligne de chemin de fer d'Amiens à Dijon concédée à la Compagnie du chemin de fer du Nord et à la Compagnie du chemin de fer de l'Est, et sur la ligne de Lille à Dijon.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0052.T.47r.jpg
Godin annonce à Pagliardini qu'il se rendra le lendemain au conseil général de l'Aisne. Il l'informe que son mandat de conseiller général est la seule fonction politique qu'il a conservée : « J'ai réellement quitté la vie politique, dégoûté des compétitions du monde officiel et de la stérilité de son action. » Il lui explique qu'il a installé le moulage mécanique à Guise, une révolution dans l'art de la fonderie, qu'il faut encore perfectionner. Sur l'état de l'Europe et de la France : « il ne faut pas s'y tromper, les républicains d'aujourd'hui seront bientôt les conservateurs d'hier ; le monde de la richesse gouverne et ne gouverne que pour son intérêt. Voilà la plaie de notre temps ; il est difficile de prévoir comment la société s'en guérira. » Il félicite Pagliardini pour son engagement en faveur de l'amélioration du sort des classes laborieuses en Angleterre et de celui des femmes ouvrières en particulier. Il estime que l'œuvre du Familistère est trop avancée pour l'époque. Il indique que l'Angleterre ne semble plus avoir l'attrait d'autrefois pour son fils Émile et qu'il n'a pas reçu de lettre de Kate Stanton. Il accuse réception de l'article de Pagliardini paru dans Le Télégraphe sur la guerre : « J'ai donc vu avec plaisir votre conclusion et je dis avec vous "Guerre à la guerre ! Honneur à la paix !" Car sans la Paix, il n'est pas de salut pour l'humanité. » Godin transmet aux sœurs de Tito Pagliardini ses compliments et ceux de Marie Moret et d'Émile Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0102.T.97r.jpg
Muller a écrit au mois de mai dernier à Godin pour lui demander des renseignements sur le traité de commerce entre la France et l'Angleterre. Godin est en peine de lui donner l'état de l'opinion de l'industrie française sur le traité car les avis varient suivant la différence des intérêts, même si les résistances à la liberté des échanges s'effacent : le Midi est favorable à l'abaissement des droits pour ses vins et ses soieries ; la métallurgie n'y est pas favorable car elle prend ses matières premières à l'étranger et l'Angleterre a sur la France l'avantage d'un prix de revient moins élevé sur les produits manufacturés ; le commerce fait cause commune avec le consommateur en faveur du bon marché. Sur les acquits à caution. Godin questionne Muller sur le placement de capitaux dans les warrants en Angleterre : il informe Muller qu'il a proposé un million de francs à la Banque de Londres et Westminster pour servir à l'achat de warrants, mais que celle-ci en a refusé le dépôt à cause de l'abondance de l'argent ; il lui demande s'il connaît le moyen d'acheter de façon sûre les warrants au comptant car il ne possède pas de capitaux disponibles à Londres.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0165.T.158r.jpg
Godin annonce à Pagliardini qu'il va faire paraître un journal intitulé Le Devoir. Il lui demande s'il connaît des personnes en Angleterre à qui il pourrait envoyer le numéro programme. Il le remercie pour l'envoi de journaux illustrés et il lui signale que son discours à la réunion annuelle de la Société des femmes employées dans la reliure a attiré leur attention.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0367.T.355r.jpg
Godin informe Gilliot que son article pourrait être publié dans le journal Le Devoir. Il lui fait observer qu'il ne partage pas ses craintes d'un envahissement de l'Europe par les barbares à la faveur d'une guerre entre l'Angleterre et la Russie. Il lui demande d'envoyer son article.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0379.T.367v.jpg
Sur les conditions de production de la grille de Julius Boesser par les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire et le dépôt d'un brevet d'invention en France, en Belgique et en Angleterre. Il lui signale qu'il part pour Paris et sera au Grand hôtel du Louvre au 22 rue de Rivoli jusqu'au 22 octobre 1878.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0168.T.162r.jpg
Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin autorise Eugène André à acquérir 1 000 tonnes de fonte n° 1 et 1 000 tonnes de fonte n° 3. Il l'invite à ne pas subir les exigences de Muller au sujet de ses navires pour le transport de la fonte. Il regrette qu'André ne soit pas allé en Angleterre 3 mois plus tôt pour s'approvisionner à meilleur prix, et il lui demande d'y rester le temps qu'il faudra pour étudier la question. Il lui signale que le port de Calais est tellement encombré qu'il télégraphie à Dunkerque pour savoir si on peut y décharger la fonte de ses navires. Il lui demande enfin de profiter de son séjour pour examiner la question des exportations vers Londres et l'Angleterre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0278.T.273r.jpg
Godin accuse réception des notes envoyées par Neale en septembre 1879 sur les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il lui annonce l'envoi prochain d'un exemplaire imprimé des statuts. Il le remercie pour le don à la bibliothèque du Familistère de 39 volumes des classiques français réceptionnés la veille. Godin demande à Neale de lui envoyer les albums des grands fabricants d'appareils de chauffage au Royaume-Uni, afin d'y relever les termes techniques utiles pour une traduction en anglais des albums et tarifs de la manufacture du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0287.T.282r.jpg
Godin envoie une notice à Maistre. Il lui explique qu'il fait faire un catalogue illustré de ses produits destiné à l'Angleterre. Il veut recueillir son avis sur la rédaction du texte anglais réalisée par un de ses employés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0024.T.20r.jpg
Godin assure Fauvety que l'article de Pompéry sur le livre d'Eugène Nus n'empêche pas son propre article. Il lui signale qu'il a reçu la visite de Nus, qui lui promet son concours pour le journal qui succédera au Devoir. Il avoue n'avoir pas arrêté sa décision pour la transformation du journal en revue mensuelle et prend l'exemple de la revue hebdomadaire [The Cooperative News] qui soutient le mouvement coopératif en Angleterre. Il l'informe qu'il s'est entendu avec Nus, venu au Familistère et favorable à une revue mensuelle, d'appeler Revue des réformes sociales, l'organe successeur du Devoir, étant entendu que la réforme sociale inclut la réforme religieuse. Sur la publicité à donner à la nouvelle revue et à la liste de ses collaborateurs/trices.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0041.T.37r.jpg
Sur le recrutement d'un rédacteur du journal Le Devoir sachant parler allemand.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0051.T.47r.jpg
Godin adresse deux exemplaires de Mutualité sociale à Neale qui doit traduire en anglais les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il demande à Neale son avis sur la transformation du journal Le Devoir en journal des réformes sociales en France, en Angleterre, en Allemagne et en Amérique, sous la forme d'une revue mensuelle de 64 pages intitulée Revue des réformes sociales. Il prend l'exemple du journal hebdomadaire , à la fois journal d'information et revue d'études sociales. Il demande à Neale s'il est en relation avec Schulze-Delitzsch en Allemagne, avec lequel il aimerait correspondre, et s'il connaît des journaux allemands avec lesquels il pourrait échanger le journal Le Devoir. Sur les relations que pourraient entretenir les écoles socialistes. Sur la coopération en Angleterre et le congrès coopératif de Newcastle. Godin remercie Neale pour lui avoir communiqué l'adresse du Cooperative World.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Pascaly, Charles-Jules (1849-1914)
0130.T.125r.jpg
Godin adresse à Pagliardini son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il espère que son ouvrage sera bientôt traduit par Edward Vansittart Neale et pense qu'il sera utile pour la coopération en Angleterre. Godin informe Neale que le procès avec son fils Émile s'est achevé par un arbitrage attribuant un million de francs à ce dernier. « Quant à revenir à lui d'esprit et de cœur comme vous en émettez l'espoir, il reste et restera ce qu'il a toujours été, à mon grand regret. » Il transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de lui-même et de Marie Moret

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0173.T.168r.jpg
Godin informe Garcin qu'il paye Champury 250 F par mois. Il lui explique que le journal Le Devoir a les traducteurs et correspondants pour se tenir au courant des faits socialistes en Angleterre et en Amérique mais n'est pas en mesure de le faire pour l'Allemagne, c'est pourquoi il désire un rédacteur sachant l'allemand.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0418.T.412r.jpg
Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin informe Neale qu'à la suite de ses observations, il a remanié la rédaction de son testament ; il lui en envoie une copie. Il lui demande s'il compte se rendre au congrès coopératif de Milan. Il lui demande également s'il éprouve des difficultés à publier la traduction anglaise de Mutualité sociale. Il lui adresse les remerciements de Marie Moret pour le volume de morale qu'il lui a envoyé et qui est en cours de traduction pour en faire usage dans les écoles. Il l'informe que Marie termine la traduction des Équitables pionniers de Rochdale et la coopération en Angleterre de Holyoake.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0431.T.425r.jpg
Godin assure Neale que l'hospitalité lui sera toujours offerte au Familistère. Il lui confirme que la fête du Travail du Familistère aura lieu le dimanche 1er mai et il précise qu'il sera disponible le vendredi et le samedi qui précédent, puisque les conseils et les comités de l'Association se chargent d'organiser la fête. Il lui signale que Franceso Viganò est actuellement au Familistère et qu'il repart le soir à Paris. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0103.T.99r.jpg
Godin annonce à Pagliardini qu'il n'a pas reçu son portrait photographique ni les articles sur la question de l'Orient et sur la réforme orthographique. Il lui signale également qu'il n'a pas reçu la visite du révérend ministre qu'il annonçait. Godin ne pense pas que les grands personnages d'Angleterre soient disposés à mettre leur fortune au service du travail et des classes ouvrières ; il constate, d'après ce qui se passe en Irlande, que l'égoïsme est aussi grand en Angleterre qu'en France ou dans les autres pays d'Europe. Il lui transmet ainsi qu'à ses sœurs le souvenir de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0171.T.167r.jpg
Godin explique à Craig qu'il a suivi son Histoire de Ralahine dans The Cooperative News et il estime que si l'Angleterre et les landlords irlandais pouvaient s'en inspirer, la question irlandaise serait résolue. Il demande à Craig s'il peut faire avec l'Histoire de Ralahine ce qui a été fait avec l'Histoire des équitable pionniers de Rochdale de Holyoake : en tirer un récit instructif pour les lecteurs français publié dans le journal . Il lui envoie un exemplaire de la brochure extraite de l'ouvrage de Holyoake et un numéro du Devoir, et lui signale que son adresse lui a été donnée par Neale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0216.T.212r.jpg
Godin informe Neale que l'on veut éditer Solutions sociales et rééditer Mutualité sociale en anglais aux États-Unis. Il le prévient qu'Amelia Hope Whipple, la présidente de la New York Women's Social Science Society, va lui écrire pour lui demander l'autorisation de publier la traduction qu'il a faite d'une partie du livre [les « Notions préliminaires ». Il lui demande d'envoyer la traduction à Amelia Hope Whipple au 24 Cooper Institute à New York. Il lui explique que Whipple a réuni les fonds pour envoyer madame Bristol au Familistère, et que ce voyage a été la cause de la traduction de Mutualité sociale à New York. Godin demande à Neale des renseignements sur le régime de la propriété foncière et immobilière à Londres, en Irlande, en Écosse et en Angleterre. « Ici, tout va bien, les lueurs de l'association percent petit à petit les ténèbres de mon personnel et cela suffit pour qu'il règne ici un bon état d'esprit général de satisfaction. » Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0108.T.104r.jpg
Godin annonce à Neale que Bernardot va se rendre dans le Cumberland en passant par Manchester le 17 ou 18 mars 1883 : il a demandé à Bernardot d'aller le voir pour lui porter des nouvelles du Familistère et recueillir des renseignements utiles à son voyage. Il lui transmet ses amitiés et celles de Marie Moret.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0229.T.224r.jpg
Godin renvoie à Maistre des articles faisant suite à la « Culture de l'humanité » qu'il ne peut publier dans le journal Le Devoir car celui-ci, qui est alors lu par les Chambres françaises et le conseil municipal de Paris doit se consacrer aux questions sociales du jour. Godin rappelle à Maistre qu'il préférerait obtenir de lui des articles d'actualité sur l'Angleterre et l'Irlande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0303.T.298r.jpg
Sur le logement populaire. Godin informe Manier que les cités Peabody présentent peu d'intérêt selon ses amis d'Angleterre. Il lui adresse une lettre pour Pagliardini à Londres qui pourra l'aider dans ses recherches. Il lui indique qu'il ne connaît rien d'intéressant à Lille ou à Bruxelles et lui signale aux Pays-Bas la Fabrique néerlandaise de levure et d'alcool de J. C. Van Marken. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0030.T.26r.jpg
Godin envoie à Paul L. Maistre un mandat de 3 livres et 10 (?) shillings en règlement des articles parus dans les numéros 270 à 287 du journal Le Devoir. Il lui recommande de n'aborder dans ses articles la question politique que dans la mesure où elle vise l'amélioration du sort des classes ouvrières. Il lui reproche que sa correspondance anglaise ne s'attache pas assez aux questions sociales, d'avoir omis des sujets importants comme la nationalisation du sol et la part prise dans cette question par Henri George. Il l'avertit que ses articles pourront ne pas être publiés dans Le Devoir s'ils ne respectent pas le programme du journal.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0443.T.439r.jpg
Bernardot, de retour d'Angleterre, a fait part à Godin du désir de Greening d'avoir une vue du Familistère du côté des jardins, désir confirmé par une lettre de Neale. Il lui explique qu'il n'a plus d'exemplaires de la photographie qu'il a vue chez lui, qui mesure 42 sur 17 cm, et il lui propose d'en faire faire un nouveau tirage de 24 x 17 cm. Il lui envoie le catalogue anglais des produits de l'usine du Familistère qu'il a demandé à Bernardot. Il lui confirme qu'il lui adresse régulièrement Le Devoir depuis le 22 février 1885, et lui signale que le journal a mentionné le compte rendu de sa visite du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0429.T.425r.jpg
Godin répond à la lettre de Conland du 1er mars 1886 qui propose à Godin de le représenter à la commission royale enquêtant à Londres sur la crise industrielle mondiale. Il lui indique qu'il lui a adressé à la réception de sa lettre plusieurs ouvrages sur le Familistère. Il lui signale aussi qu'il s'efforce de promouvoir par le journal Le Devoir, en France et à l'étranger, la création d'institutions de prévoyance et de protection mutuelles par le moyen de l'hérédité de l'État. Il évoque plusieurs ouvrages sur le sujet qu'il vient ou qu'il va lui envoyer. Il fait une revue de la presse anglaise sur le Familistère depuis 20 ans.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0086.T.82r.jpg
Godin informe Lovell que les illustrations des articles de Greening dans The Cooperative News ont été faite en Angleterre et ne lui appartiennent pas. Il lui annonce qu'il pourrait lui fournir les clichés ayant servi à l'impression de Solutions sociales pour une édition de l'ouvrage à condition qu'il puisse en faire la mise à jour. Il lui propose de lui envoyer les modifications qu'il souhaite, à faire traduire par Marie Howland, et de contribuer à hauteur de 400 $ ou 2 000 F à l'édition anglaise de Solutions sociales.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0199.T.195r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini relative à la maison Sampson Low, qui lui demande le dépôt de son ouvrage Le gouvernement et d'en faire une distribution aux journaux. Godin pense que la distribution à la presse est une perte sèche. Il demande à Pagliardini ce qu'il a fait des exemplaires du livre qu'il a emportés. Il lui signale qu'il a déjà l'article du Harper magazine et qu'il n'a pas encore répondu à sa lettre du 7 octobre 1885. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à Pagliardini, à ses sœurs et à Lucy Latter. Dans le post-scriptum, il indique que Marie Moret a écrit à Lucy Latter.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0170.T.166v.jpg
Godin répond à la lettre de Gronlund du 23 septembre 1886. Sur la traduction par Gronlund des écrits de Godin : Godin accepte de faire un essai d'un ou deux mois avec Gronlund et le prévient que ses traductions devront recevoir l'approbation de ses amis d'Angleterre.

Mots-clés :

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-123_0283_H.jpg
Marie Moret envoie à Claude Ferdinand les photographies annoncées par sa lettre du 21 septembre dernier, plus 20 photographies légendées au revers, dont la photographie de la société musicale du Familistère. Elle lui précise que les auteurs de la brochure Le Familistère illustré lui font savoir qu'ils sont prêts à envoyer des photographies à quiconque aux États-Unis ou en Angleterre voudrait imprimer une traduction de la brochure. Elle remercie Claude Ferdinand pour l'information relative à la National Cash Register Company à Dayton (Ohio) : quelqu'un a obtenu pour elle à l'Exposition universelle un livre de [William] Howe Tolman sur le sujet. Elle lui signale qu'elle a reçu une lettre de Marie Howland et qu'elle va lui répondre.

Mots-clés :

Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2