FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 2 juillet 1856
Godin félicite Émile pour ses résultats scolaires. Il l'encourage à ne pas relâcher ses efforts en fin d'année comme le font les autres élèves, et lui laisse entendre qu'il pourrait rester à Guise après les vacances s'il continue à bien travailler.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 4 août 1856
Godin donne à Émile l'indication de l'horaire du train pour rentrer à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 avril 1862
Godin signale à Émile qu'il lui manque des informations pour comprendre où en est l'installation des produits des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à l'Exposition universelle : Émile avait écrit pour avertir que le plancher était égaré et sa dernière lettre semble indiquer qu'il a commencé l'installation, mais sans dire si les produits sont en bon état. Émile se plaint du mercantilisme anglais, « mais tu ferais mieux d'en étudier les causes et les raisons en faisant du mieux possible en te concertant avec l'administration française ». Sur l'inauguration de l'exposition. Godin demande à Émile de lui écrire « comme l'on s'écrit en affaire », en lui donnant des détails sur l'installation, les concurrents ou les inscriptions à placer. Il lui demande s'il s'est entretenu avec monsieur Lacarole de son intention de céder ses brevets en Angleterre, et s'il sait si celui-ci parle anglais ; monsieur Lacarole s'est proposé de représenter Godin et pourrait se charger de veiller au stockage des caisses. Godin souhaite qu'Émile n'attrape pas le « splinn » et l'encourage à bien faire et à profiter du voyage pour étudier les hommes et les choses. Il lui fait des recommandations pour obtenir ce qu'il faut de l'administration de l'exposition. Il lui demande de prendre des informations sur les travaux du jury, en particulier sur l'opportunité de déposer un nouveau mémoire «sur nos cuisinières et nos marbres factices sur fonte ». Il transmet à Émile les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 8 mai 1862
Godin demande à Émile de rentrer à Guise et de faire le nécessaire pour que monsieur Lacarole s'occupe de ses intérêts en son absence, sans oublier de faire mettre son adresse sur l'affiche de l'exposition des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il l'informe qu'il a adressé hier un mémoire à Frédéric Le Play. Godin demande également à Émile d'aller voir Richard Archibald Brooman, rédacteur du Mechanics Magazine au 116 Fleet Street, pour savoir s'il peut s'occuper de la cession de sa patente en Angleterre, lui que monsieur Armengaud avait chargé de remplir les « formalités ». Il lui annonce qu'il va lui envoyer le tarif des marchandises. Dans le post-scriptum, Godin avertit Émile qu'il a oublié d'indiquer son numéro d'exposant sur le mémoire adressé à Le Play.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 9 mai 1862
Godin adresse à Émile le prix de vente des marchandises exposées à Londres, à afficher sur les appareils en francs et en monnaie anglaise. Il lui demande de fixer un album sur une planche pour que le public puisse le consulter sans l'emporter, et de laisser à monsieur Lacarole la liste des prix des marchandises. Il lui signale qu'il a écrit à nouveau à Frédéric Le Play pour lui communiquer son numéro d'exposant. Godin demande à Émile de s'assurer des conditions qu'exigerait pour la cession de sa patente Brooman, rédacteur du Mechanics Magazine au 166 Fleet Street, le correspondant d'Armengaud. Godin croit que l'argent manquera bientôt à Émile et qu'il aura bientôt le plaisir de le voir à Guise. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 17 novembre 1862
Godin accuse réception de la lettre d'Émile qui annonce son arrivée à Londres en bonne santé. Godin souhaite qu'Émile s'occupe du retour des marchandises exposées et qu'il rentre à Guise. Il lui transmet l'avertissement de monsieur Vigerie de prendre garde aux étrangleurs de Londres.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 22 décembre 1870
Godin envoie à Émile des effets sur le Cateau et Solesmes d'une valeur de 392,20 F et des effets sur Lille d'une valeur de 663,85 F. Il demande à Émile de lui fournir un récépissé des fusils qu'il a déjà reçus et de ceux qui vont lui être envoyés. Il l'informe que les Prussiens ont tiré des coups de canon sur Marle, mais qu'ils ont rebroussé chemin après que des francs-tireurs aient tiré sur leur avant-garde : « Il n'a donc fallu que 40 Français pour arrêter 800 Prussiens. » Godin explique à Émile qu'il constate par ailleurs que 4 000 Français se tiennent à distance des Prussiens et qu'il ne sait lesquels ont le plus peur des autres ; il constate que les Prussiens ne sont pas venus à Guise, pense qu'ils n'ont pas dépassé Marle et qu'ils ne s'aventureront pas jusqu'à Guise dans les jours prochains en raison des forces qui se trouvent dans la région.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 décembre 1870
Godin donne à Émile des nouvelles de l'avancée des Prussiens. Les Prussiens ont quitté la veille Le Hérie à 7 km de Guise ; ils ont pris la route d'Origny après avoir envoyé trois cavaliers en reconnaissance pour savoir s'il y avait des francs-tireurs à Guise. Godin vient de faire l'interrogatoire d'un prisonnier polonais : la colonne ennemie se compose de deux régiments d'infanterie de 6 000 hommes, de deux régiments de dragons de 2 000 hommes et de 1 000 hommes d'artillerie équipés de 12 pièces de canon, soit 9 000 hommes ; ils devaient entrer à Guise la veille, mais un ordre les a obligés à se diriger vers Saint-Quentin, probablement à cause des combats des environs d'Amiens. « Il est certain que ces pauvres Allemands sont traités comme des chiens et que beaucoup d'entre eux ne sont guère plus désireux de la guerre que nos mobiles. Si le courage pouvait s'éveiller réellement dans le cœur des troupes françaises, les Prussiens seraient obligés bientôt de quitter le sol de la France car il n'y a plus de leur côté que la puissance de leur discipline. » Godin informe Émile qu'en raison de l'imminence de l'entrée de l'ennemi à Guise, on a fait partir dans la nuit 11 chariots de munitions avec les fusils de la Garde nationale, et qu'il reste ainsi peu de fusils dans la ville.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 4 janvier 1871
Godin informe Émile que Guise vit dans l'inquiétude de l'arrivée de l'ennemi, que 750 Prussiens se trouvaient à Origny la veille pour venir à Guise, mais qu'ils ont été détournés par un contre-ordre sur la route de Bohain. Godin reconnaît avec Émile que les Allemands sont hardis : il donne l'exemple d'éclaireurs venus jusqu'au faubourg de Guise défier les francs-tireurs. Godin exprime à Émile son inquiétude : il est sans nouvelles de lui malgré la réorganisation du service à Landrecies, et il ignore la situation de son bataillon, qu'on dit être à Maubeuge. Le post-scriptum, difficilement déchiffrable, est relatif à la fabrication d'épinglettes.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 15 janvier 1871
Godin donne des nouvelles des événements à Guise. Les Prussiens viennent tous les jours en éclaireurs. Ils ont obligé Godin à aller à Saint-Quentin pour le contraindre à la réquisition de 10 000 F que la ville a dû payer en espèces. Il lui signale qu'il a des difficultés à l'émaillage car Émile n'a pas laissé la composition de l'émail blanc de poterie ni la recette de la mouture. Il écrit à Émile qu'il est d'accord avec lui sur ce qu'il faut faire avec les troupes, « mais que l'armée ne se formera que par l'expérience » et que le raisonnement n'est pas le fait des masses. Il lui conseille de ne pas compter sur le préfet Achard, qui se trouve à Maubeuge, car il n'a pas le caractère très militaire. Il préconise de lui écrire directement pour lui faire ses propositions sur le service sans lui parler de ce que les autres ne font pas. Il laisse Émile juge de ce qu'il doit faire pour le grade d'adjudant-major : si le bataillon est mis à la disposition du ministère de la Guerre, c'est l'administration militaire et non plus le préfet qui est censé le diriger ; toutefois, Émile pourrait écrire au préfet pour être fixé. Dans le post-scriptum, il est question du corps d'armée d'Antoine Alfred Chanzy dont Godin espère qu'il n'est pas perdu.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 janvier 1871
Godin informe Émile des événements de la guerre survenus à Guise. Les Prussiens ont réclamé le lundi 23 septembre une contribution de 500 000 F de la part du canton de Guise. Ils ont enlevé trois otages – Delorme, Devillers et Azambre – et réquisitionné 8 chevaux, dont les deux de Godin. Ils ont laissé en échange à Godin deux chevaux tués de fatigue, dont l'un, s'il se remet, pourra peut-être servir à Émile. Mercredi, une colonne ennemie venue de Landrecies a logé à Guise. Jeudi, Godin est allé à Saint-Quentin voir ses collègues otages ; il n'a pu les faire libérer et ils ont été dirigés à Ham. Godin est obligé d'organiser l'accueil de 500 blessés transportés de Saint-Quentin, qu'il faut ensuite acheminer à Landrecies.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Joseph Adan, 13 juin 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin explique à Adan qu'il a confié la direction de son usine de Forest à Alexandre Brullé à l'occasion de son dernier séjour à Bruxelles et qu'il l'accrédite auprès de lui sur le plan financier. Brullé est ainsi habilité à percevoir des sommes de la part d'Adan en échange de valeurs à recouvrer en Belgique ou en Hollande ou contre des mandats sur Godin-Lemaire ou sur Allez à Paris.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 13 juin 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin annonce à Brullé qu'il envoie à Valenciennes une caisse de 52 kg de verre pour qu'elle soit livrée à Bruxelles. Il l'informe qu'il vient d'écrire à Adan et cite sa lettre à ce dernier du 13 juin 1855 qui autorise Brullé à recevoir des sommes en échange de valeurs à recouvrer en Belgique ou en Hollande ou contre des mandats sur Godin-Lemaire ou sur Allez à Paris. Godin souhaite envoyer à Bruxelles un modèle de cheminée avec sa série de châssis [pour la faire fabriquer à Forest], mais demande à Brullé de se concerter avec Van Elewyck pour connaître les droits d'entrée de ces objets en Belgique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 4 septembre 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin communique à Brullé un modèle d'écritures comptables. Il lui annonce qu'il a réussi à persuader des ouvriers de ses ateliers Guise à aller travailler à Forest en voyageant à leurs frais, ce que l'arrivée du chemin de fer à Guise facilitera, en espérant qu'ainsi Brullé devra engager moins d'apprentis de Bruxelles à des conditions onéreuses. Sur les intérêts dus par Cador pour une somme de 4 000 F qu'il a empruntée. Godin signale à Brullé qu'il quitte Guise pendant quelques jours, transmet ses civilités à madame Brullé et demande l'état des cuisinières et cheminées qui se trouvent en magasin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 6 septembre 1855
Godin annonce que Gordien, mouleur à l'usine de Guise, partira le dimanche suivant pour Forest. Il lui demande de lui confier la réalisation l'un des deux modèles [de calorifères] et les châssis d'une cheminée. Il précise que Gordien sera payé au prix de Guise et qu'il voyage à ses frais. Il prévient que si même Margry ne réussit pas parfaitement le moulage, il faudra confier les deux modèles à Gordien. Godin prévoit d'envoyer d'autres mouleurs pour mouler tous les jours pour doubler la production. Il remet à Brullé les extraits de lettres évoquées dans un mémoire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bivort, novembre [185]5
Godin informe Bivort qu'il a chargé Leborne de Charleroi d'envoyer un bateau à son rivage pour le charger de coke destiné à l'usine de Guise, à livrer à Vadencourt.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 28 mars 1856
Godin annonce à Brullé qu'il lui expédie par le chemin de fer une caisse contenant des poêles et 8 kg de vernis. Il explique que sa mauvaise santé l'a empêché de faire plus tôt cet envoi. Il l'avertit qu'il va lui expédier dans quelques jours le modèle de la cuisinière dont la mise au point s'achève et également des tables de cheminées et des tables de cuisinières « à en-tête de Guise ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 30 juin 1856
Godin annonce à Brullé qu'il n'est plus malade, qu'il reprend des forces, mais que les affaires à l'usine de Guise l'obligent à différer son voyage à Bruxelles. Sur la direction de l'usine de Forest. Godin reproche à Brullé de ne pas lui communiquer les informations sur les mesures de précaution qu'il doit prendre sur le placement des produits ou sur les voyages commerciaux à accomplir ; Brullé n'a pas répondu à la proposition de Godin d'embaucher un voyageur de commerce pour la Belgique et Godin pense que madame Brullé aurait pu écrire pour lui ; Brullé ne renseigne pas Godin sur la marche de la fabrication à Forest. Il envoie à Brullé la facture des poêles expédiés à Bruxelles, lui donne des indications sur leur vente, et sur les modèles de cuisinières. Le post-scriptum porte sur l'inventaire de l'usine de Forest et sur une lettre envoyée par Brullé à Hambourg.

Auteur·e : Fonderies et manufactures Godin-Lemaire
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à Alexandre Brullé, 11 juillet 1856
Les Fonderies et manufactures annoncent à Brullé que les foyers au bois des poêles n° 8 n'ont pas été expédiés en raison de frais de transport élevés. Elles lui envoient le dessin du foyer pour qu'il le fasse réaliser à Forest. Elles lui signalent que la facture de transport des 6 poêles n° 8 compte un transport de Guise à Landrecies, soit 3,15 F, alors qu'ils ont été transportés jusqu'à Valenciennes, aussi lui demandent-elles d'ajouter 3,10 F à la facture. Elles signalent à Brullé que Godin est absent pendant quelques jours et qu'il répondra à son retour à sa dernière lettre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 7 août 1855
Godin informe Brullé qu'il a renoncé pour des motifs de moralité à envoyer un voyageur de commerce dans la partie française de la Belgique, mais qu'il a accepté l'offre de service de monsieur Bocquet de Guise qui se rendra à Forest le samedi suivant. Il précise que Bocquet sera payé pour ses voyages 6 F par jour et 0,10 F par kilomètre parcouru, et qu'il recevra 3 % du montant de ses placements jusque 500 F et 1 % au-dessus de 500 F. Il lui communique une note concernant l'émaillage et l'avertit que Bocquet lui amènera les petits modèles qu'il demande.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 15 septembre 1856
Godin envoie à Brullé la facture des marchandises qu'il a demandées. Il recommande de veiller à la solvabilité des nouveaux clients visités par monsieur Bocquet. Godin lui indique qu'il ne voit pas d'inconvénient à ce que Brullé passe quelques jours à Guise pendant les fêtes de Bruxelles et qu'il le recevra avec plaisir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 19 septembre 1856
Godin explique à Brullé qu'il était absent quand on a répondu pour lui à sa lettre du 12 septembre et qu'on lui a indiqué qu'il le recevrait avec plaisir à Guise. Il lui communique les renseignements pour voyager jusqu'à Guise : départ à 12 h 13 de Charleroi, arrivée à Landrecies pour la correspondance avec la voiture allant à Guise. Il transmet ses sentiments cordiaux à monsieur et madame Brullé.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 25 octobre 1856
Godin juge que les terrains que Brullé lui conseille d'acheter à Bruxelles sont très chers par comparaison avec les trois hectares qu'il vient d'acheter 18 000 F aux Hospices de Guise autour de son usine. Il signale à Brullé qu'il est déjà passé près du pont de Laeken et qu'on lui a alors signalé que la chaussée était inondée lors de fortes inondations. Toutefois Godin reconnaît que la largeur du terrain permettrait des constructions suffisantes. Godin ne veut pas transférer les ateliers dans la précipitation, car il faudrait encore construire un magasin à Bruxelles ou en faire un en planches à Forest pour entreposer les marchandises : « Il faut cette fois pour fonder un établissement de toutes pièces se donner le temps de la réflexion pour bien faire les choses et être nanti de tous les renseignements possibles. » Godin souhaite pouvoir choisir entre plusieurs sites et comparer les prétentions des vendeurs. Il confirme à Brullé que les terrains entre la chaussée et la fabrique Konig ne sont pas à vendre. Godin signale à Brullé que la Société de Hourpes lui fait toujours espérer de la fonte. Godin attire l'attention de Brullé sur la nécessité de créer le nouvel établissement à proximité des populations ouvrières. Il signale enfin à Brullé qu'il accorde 80 F à Van Elewick pour participation à ses frais de déménagement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 28 octobre 1856
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire communiquent à Brullé la copie d'une lettre à Godin du 24 octobre 1856 du directeur spécial des Hauts-fourneaux de Hourpes, à qui Godin a commandé 25 tonnes de fonte au prix de 16,55 F les 100 kg, livrées à l'usine de Forest : la fabrication de fonte a repris à Hourpes ; ils ont obtenu de la fonte n° 2, mais n'auront pas de fonte n° 1 pour le moment ; un premier chargement de fonte est expédié à Forest.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 13 juillet 1857
Godin annonce à Brullé que l'examen de l'inventaire de l'usine de Forest est achevé et qu'il va se rendre à Forest avec monsieur Dolot pour mettre l'inventaire de Forest en conformité avec celui de Guise. Sur la fondation d'un nouvel établissement à Bruxelles. Brullé a écrit le 17 juin 1857 à Godin qu'il avait le choix entre les terrains d'Allard, de Hullens ou de Story. La propriété de Story coûte 150 000 F, s'étend sur quatre hectares et comprend 10 bâtiments. Godin demande à Brullé de s'assurer qu'il pourrait installer une fonderie sur cette propriété. Il autorise Brullé à proposer 100 000 F pour son acquisition, sous prétexte que les bâtiments ne sont pas adaptés à une fonderie et sont à démolir. Godin juge qu'il serait facile de s'installer sur ce terrain et que la communication avec Bruxelles est bonne. Godin indique à Brullé qu'il négocierait lui-même avec Allard si l'offre faite à Story était rejetée. Il demande à Brullé de se renseigner sur les intentions de monsieur Valentyns avant son arrivée. Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande à Brullé s'il est satisfait de la fonte des Hauts-fourneaux de Hourpes que lui livre monsieur Boulanger et lui communique une lettre de monsieur de Dorlodot à laquelle il a négligé de répondre.

Auteur·e : Dolot
Monsieur Dolot à Alexandre Brullé, 12 août 1857
Dolot informe Brullé qu'il est rentré le 8 août au soir de Forest, que Godin n'était pas disposé à partir à Forest à cause de constructions qui l'occupent à Guise et qu'il était content du calque de plan qui va l'aider à prendre une décision [sur l'acquisition d'un terrain à Bruxelles]. Dolot indique à Brullé qu'il est passé à Charleroi sans avoir pu voir monsieur Leborne et lui signale que le coke de Monceau-sur-Sambre, dont l'usine de Forest allait être privée à cause du chômage de la navigation, est livré actuellement par un wagon de 10 tonnes livré en gare de Marchienne au prix de 23 F, auquel il faut ajouter le coût du transport de Marchienne à Bruxelles. Il lui annonce qu'il va lui envoyer des échantillons de boules en cuivre de 40 mm pesant 60 gr, ainsi que de l'émail blanc. Il lui adresse une valeur de 2 000 F dont Brullé doit créditer le compte de Godin-Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 5 janvier 1858
Godin annonce à Brullé qu'il n'a pu confier à quelqu'un des matières à émailler pour les emporter à Forest car la voiture de Landrecies n'a pas voulu les charger. Il lui indique que rien se s'oppose à son voyage à Bruxelles sinon le froid, et il lui demande de lui arranger une réunion avec quelqu'un pour l'achat du terrain du nouvel établissement industriel. Godin donne à Brullé les détails de la composition d'un émail et de la façon de le préparer. Sur le nouvel établissement à fonder en Belgique : « Le chiffre de la vente que vous avez fait cette année n'a-t-il pas un peu mis en vous d'hésitation dans ce que doit être l'acquisition à faire pour l'établissement définitif à fonder en Belgique ? Quant à moi, mes réflexions me conduisent à penser que la vente de mes produits qui doit chaque année gagner en Belgique n'en a pas moins à passer par des développements si lents et voici pourquoi. La Belgique est un pays de fabrication de fourneaux, depuis longtemps en est pourvu, et ce n'est que remplacer [...] au nous avons à [...] en concurrence des fabricants en tôle qui feront encore leurs efforts pour nous [...] Cela fait que je me demande si, eu égard au développement probable de notre affaire, l'usine Story ne vous paraît pas une bonne affaire. » Godin adresse ses vœux de bonne année au couple Brullé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 27 mars 1858
Godin adresse à Brullé le relevé du compte des intérêts de ce dernier qui est créditeur de 12 266,45 F à la date du 31 janvier 1858. Sur l'inventaire de l'usine de Forest et l'emploi d'une machine à vapeur ; Godin annonce qu'il viendra à Bruxelles en compagnie du constructeur qui est en train d'installer une nouvelle machine à Guise. Godin accuse réception d'une facture de l'usine de Forest d'un montant de 50,60 F pour fourniture de bière et de plantes. Il avertit Brullé qu'il recevra la semaine prochaine le modèle d'une cuisinière, du verre et d'autres choses, avec la facture de boules de cuivre. Il lui indique qu'il pense faire bientôt livrer à Anvers des fontes anglaises au prix de 12 F les 100 kg, hors frais d'entrée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 14 juillet [1858]
Godin s'excuse de ne pas avoir répondu plus tôt à la lettre de madame Brullé du 5 juillet 1858 relative à des cerises et à l'ouverture d'un compte « jardin » ou, mieux selon Godin, « récoltes et loyers ». Sur l'installation de l'usine de Laeken : Godin demande à Brullé s'il a commencé l'installation des machines et s'il a besoin de conseils pour les dispositions des ateliers ; il souhaite avoir un nouveau calque du plan des constructions car il a égaré celui que Brullé lui avait confié. Dans le post-scriptum, Godin indique à Brullé qu'il avait pensé à envoyer son fils Émile à Bruxelles, « mais il s'ennuie maintenant aussitôt qu'il n'est pas à Guise ».

Auteur·e : Dolot ; Godin, Émile (1840-1888)
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 20 septembre 1858
Dolot communique à Godin l'offre de prix de la fonte Cleveland faite par Trystram et Crujeot : 13,90 F les 100 kg de fonte n° 1 supérieure et 13,25 F les 100 kg de fonte n° 1. Il précise que ces prix de la fonte Cleveland par l'intermédiaire de Trystram et Crujeot sont équivalents à ceux donnés directement par Bolkow et Vaughan. Dolot propose à Godin de régler une facture de Pinart avec un effet sur Allez frères. Il lui communique la copie d'un courrier de Pigé au sujet de l'essai d'un générateur. Il lui fait part de la bonne marche de la fabrication à l'usine de Guise et lui signale qu'il n'a pas de nouvelle de la lettre égarée. Émile Godin ajoute un mot à la lettre de Dolot à son père : il lui recommande d'écrire à Pigé s'il ne rentre pas prochainement à Guise ; il lui annonce que les gardes nationaux se relaient pour monter la garde à Guise, faute de soldats, et il conseille à son père de rester à Laeken s'il ne veut pas passer la nuit au fort [de Guise].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 28 octobre 1858
Godin explique à Brullé que le brouillard était aussi épais à son arrivée à Guise qu'il l'était à Laeken. Godin communique à Brullé les dimensions du châssis pour mouler un bac à eau de soude et celles du moule à briquettes. Il fournit des détails sur la construction du châssis du moule du bac à eau de soude qu'il accompagne d'un croquis de la pièce en perspective. Godin transmet ses amitiés à madame Brullé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 5 février 1859
Sur un accident grave dont un Baptiste, venu de Belgique à Guise a été la victime : Baptiste a reçu un coup de fouet sur les deux yeux par le fait d'une maladresse du conducteur de la diligence de Landrecies ; il a été soigné par Godin et par un médecin ; il voit de ses deux yeux et se rétablit, mais ne veut pas que sa famille soit informée de l'accident ; Baptiste rentrera bientôt en Belgique. Godin avertit Brullé qu'il va lui expédier 4 ou 5 caisses de modèles, des meules et du sable moulu : « Nous ferons le reste à Laeken. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 30 août 1859
Godin regrette qu'Alexandre Brullé ne lui communique pas d'observations sur le placement des produits de l'usine de Laeken. Il lui annonce qu'il a demandé à monsieur Georges de se rendre en Belgique, dès qu'il arrivera à Valenciennes, dans 6 à 8 jours. Godin demande à Brullé d'adresser à Georges un itinéraire et propose de lui envoyer également monsieur Telliez, qui pourrait se charger de la vallée de la Sambre et passer à Charleroi, Namur et Liège. Godin demande à Brullé d'envoyer rapidement à Guise, où Telliez se trouvera dans quelques jours, des instructions sur la clientèle à visiter. Dans le post-scriptum, Godin explique à Brullé qu'il a demandé à monsieur Georges de poursuivre ses voyages mais qu'il ne compte pas l'employer l'année prochaine, avec l'espoir de trouver un voyageur plus habile.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 22 juin 1860
Godin transmet à Brullé les prix de revient de l'usine de Guise qui doivent être appliqués à Laeken, qui jouit par ailleurs de l'avantage d'acheter moins cher les matières premières, fonte, fer, tôles, charbons. Il précise à Brullé le prix des modèles en fonte, en fer ou en cuivre. Il lui communique le coût de 10 tonnes de fonte livrées à Laeken par De Dorlodot frères ; il lui demande si l'usine de Guise doit payer la facture et, dans ce cas, de lui indiquer le coût de la cuisinière livrée à De Dorlodot frères, pour le soustraire au paiement. Il lui signale qu'il va commencer à fabriquer le modèle pour Besson de Saint-Pétersbourg. Godin demande à Brullé de conserver pour Moerenhout l'argent destiné initialement à sa femme et d'envoyer un mandat postal de 70 F à madame Moulard à Céroux-Mousty.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 13 juillet 1860
À la demande de Brullé, Godin lui envoie un pouvoir utile dans l'affaire Story. Le pouvoir qui autorise Brullé à représenter Godin dans les affaires civiles et commerciales en Belgique, daté du 13 juillet 1860, est copié sous la signature de Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 15 août 1860
Godin remet 2 979,46 F à Brullé, à créditer sur son compte particulier. Il l'avertit qu'il se rend à Paris et ne sera pas de retour à Guise le 22 août et qu'il est inutile qu'il y vienne avant cette date. Il informe Brullé que monsieur Camatte est en voyage, qu'il passera par Maubeuge et se rendra ensuite directement à Bruxelles. Godin fait observer à Brullé, qui remarque que certains modèles se vendent peu, qu'il faut mieux réguler le tarif de l'usine belge.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 11 mars 1861
Sur le procès Story. Godin explique à Brullé que les experts ont accepté le principe d'un dédommagement pour compenser la perte d'une prise d'eau sur le canal, mais leur évaluation du coût de la création d'un puits artésien ne correspond pas au volume d'eau que la prise d'eau était capable de donner. Godin conteste plusieurs points de l'expertise : que l'alimentation en eau est interrompue quand le canal est mis à sec ; qu'un volume de 58 m3 par jour suffit à alimenter une machine à condensation de 16 chevaux, alors que Godin calcule qu'une telle machine consomme 126 m3 pour 12 heures de travail et que la prise d'eau sur le canal est capable de fournir 324 m3 en 12 heures. Godin demande à Brullé d'obtenir un devis pour un puits artésien fournissant 27 m3 d'eau à l'heure et lui recommande de ne pas demander moins de 15 000 F d'indemnité. Godin établit six sujets de contestation du rapport d'expertise que Demeur devra faire valoir dans sa plaidoirie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Vigerie, 29 août 1862
Sur la nouvelle organisation de l'usine de Laeken. Godin demande à Vigerie de faire les modifications nécessaires sur le plan comptable pour pouvoir contrôler les opérations depuis Guise. Vigerie l'a informé que l'usine de Laeken dispose d'un stock de charbon pour deux ans : c'est un exemple de mauvaise gestion qui aurait pu être évité si Godin avait été consulté pour l'approvisionnement. Godin recommande de restreindre la fabrication aux produits les plus vendus en Belgique ; il signale que le prix de la fonte diminue en France et en Belgique. Godin explique à Vigerie qu'André peut transformer ce qu'il juge utile, mais qu'il doit préalablement l'informer. « Il faut enfin quand j'irai à Laeken que je ne vois rien de mes yeux dont je n'ai été instruit à l'avance. » Sur l'augmentation du prix du moulage : Godin recommande une augmentation modérée du salaire des mouleurs car celui-ci n'est pas aussi élevé dans les Flandres qu'en France et qu'il n'est pas besoin actuellement d'attirer des ouvriers. Godin indique que les chaudières devront être émaillées chez Delloye-Masson. Il souhaite qu'André lui adresse un rapport sur l'état de l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin au directeur des charbonnages de la Louvière et la Paix, 10 septembre 1862
Approvisionnement en coke de l'usine de Laeken : Godin commande 10 tonnes de coke à livrer à l'usine de Laeken par wagons de 1 000 kg à 8 jours d'intervalle ; il précise que les factures seront désormais payées par l'usine de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 12 septembre 1862
Sur des écritures comptables. « Lorsque Mr André viendra à Guise, nous causerons d'un moyen qui vous permettrait de vendre tous les produits que je fais ici. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin au directeur des charbonnages de la Louvière et la Paix, 16 septembre 1862
Godin confirme au directeur du charbonnage de La Louvière et de la Paix que les factures de fourniture de combustible à l'usine de Laeken doivent être adressées à Guise et non à Laeken. Il joint à sa lettre un règlement de 259,07 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 8 octobre 1862
Différents sujets relatifs à l'usine de Laeken, dont les observations de Godin sur le rapport d'expertise dans l'affaire Story, les salaires et la production de l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Louis Ackermans, 29 octobre 1862
Godin remet à Louis Ackermans des valeurs sur Liège, Maastricht et Termonde d'une valeur totale de 198,62 F en paiement de fournitures [de tôles de fer].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 7 décembre 1862
Sur les prix de revient de fabrication de l'usine de Laeken, à établir sur ceux des différents ateliers de l'usine de Guise, et sur la comptabilité de l'usine de Laeken. La lettre est suivie d'une série de tableaux établissant le prix de revient des marchandises de l'usine de Laeken.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 10 janvier 1863
Sur la comptabilité et les prix de revient de produits de l'usine de Laeken.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Louis Ackermans, 13 janvier 1863
Godin commande 30 feuilles de tôle de fer à livrer à l'usine de Laeken et demande que la facture soit adressée à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin au directeur des charbonnages de la Louvière et la Paix, 13 janvier 1863
Godin commande 10 tonnes de coke à livrer à l'usine de Laeken et demande que la facture soit adressée à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Joseph Adan, 17 janvier 1863
Godin remet des effets d'une valeur totale de 4 036,87 F et demande d'ouvrir un compte au nom de la manufacture de Guise, sur lequel l'usine de Laeken pourra retirer des fonds.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à C. J. Van Gennip, 13 mars 1863
Godin avertit Van Gennip qu'il doit changer les conditions des affaires que son usine de Laeken fait avec lui. Il l'informe qu'il traitera uniquement les affaires que Van Gennip prendra à son compte au prix du nouveau tarif, et qu'il cesse de lui verser 100 florins pour sa représentation aux Pays-Bas des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à J. Delloye, Tiberghien et Cie, 13 mars 1863
Godin verse des effets d'une valeur totale de 1 876,14 F à la banque et précise le cadre de ses relations avec les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.
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