FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie 0,50 F en timbres postaux pour le changement d'adresse d'expédition des numéros de la Revue générale des sciences, désormais au Familistère de Guise.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie un chèque de 250 F en paiement d'un paletot qui sera expédié vers le 2 juin 1901 au Familistère de Guise. Elle informe son correspondant qu'elle quittera Nîmes le jeudi suivant, que la correspondance doit lui être adressée au Familistère et qu'elle commandera un nouveau vêtement à son retour à Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à la banque qu'elle envoie un chèque de 250 F à Bessand père et fils, Stasse et Cie (La Belle jardinière). Elle l'informe qu'elle quitte Nîmes au cours de la semaine pour se rendre au Familistère de Guise où doit lui être adressée la correspondance.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Buridant que des caisses et colis de livres, manuscrits et vêtements, ainsi qu'une caisse « appareil peinture et gymnastique », sont expédiés le matin même à son adresse, et qu'elles pourraient être livrées avant l'arrivée à la gare de Guise de la famille Moret-Dallet le vendredi à 4 h 15 de l'après-midi.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à la librairie de lui envoyer non à Nîmes mais au Familistère le numéro du 29 juillet 1901 de L'Indicateur des chemins de fer, qui présente le service d'été des réseaux de la Compagnie de chemins de fer du Nord et de la Compagnie Paris, Lyon et Méditerranée.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret commande du papier parcheminé et du papier écru à livrer au Familistère de Guise.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret explique à Charles Richet qu'elle publie depuis 1891 des « Documents pour une biographie complète de J.-B. André Godin » dans sa revue Le Devoir, une revue non commerciale tirée à 330 exemplaires distribués surtout en services gratuits dans les bibliothèques publiques de France et de l'étranger, et qu'elle en vient à écrire comment les conclusions de la science actuelle confortent l'idéal philosophique et social de Godin. Elle demande à Richet l'autorisation de reproduire 57 lignes du discours de William Crookes au Congrès de l'Association britannique pour l'avancement des sciences en septembre 1878, que la Revue scientifique a publié dans son numéro d'octobre 1898, et l'assure qu'elle mentionnera la source de la citation.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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À propos de l'étude de Marie Moret sur « Matière, mode de mouvement ». Marie Moret revient sur la lettre d'Antoine Cros du 21 octobre 1899. Elle évoque Robert Mayer et Rudolf Clausius dont l'étude sur la thermodynamique, Théorie mécanique de la chaleur, est citée par Esprit Jouffret et précède de vingt ans les études de Lucien Poincaré. Marie Moret s'appuie sur l'ouvrage de Gustave-Adolphe Hirn, Théorie mécanique de la chaleur, pour répondre aux points soulevés par son correspondant concernant l'équivalence des forces ; elle cite dans cette lettre plusieurs passages dans lesquels Hirn reprend les travaux et théories de James Joule, Julius Mayer et Ludwig Colding. Elle constate la démarche mathématique de ces physiciens qui font reposer les démonstrations des phénomènes physiques sur les deux principes fondamentaux de la thermodynamique, l'« équivalent mécanique de la chaleur ou équivalent calorifique du travail » et la « tendance de la chaleur à se dissiper ; nécessité pour la reconcentrer d'une dépense soit de travail soit de chute de température. » Selon Marie Moret, la tendance à expliquer tout phénomène physique par ces deux principes thermodynamiques correspond à la théorie des « modes de mouvement » de Marcellin Berthelot. Pour Berthelot, la constante de ces principes est « la matière fondamentale - fonction », que Marie Moret rapproche de l'idée d'« usage » développée par Emanuel Swedenborg. Sur la constitution moléculaire des corps, Marie Moret trouve logique les diverses et indéfinies expressions de « la matière fondamentale - fonction » en certains états, visibles aux « degrés cellulaires, sociaux, célestes », et leur retour à leur source selon un « mode spécial » mis en lumière par les expériences de William Crookes. Elle s'interroge ensuite sur la nature et l'origine de la force : Colding et Albert de Rochas désignent l'« Intelligence » et Swedenborg la « Sagesse ». Marie Moret espère que la science arrivera un jour à comprendre le principe, l'essence de cette sagesse, et à démontrer la proposition de Swedenborg : « L'amour est la substance même. » S'excusant pour la longueur de sa lettre, elle sollicite l'avis et l'appréciation de son correspondant sur le sujet. Elle envoie à Antoine Cros ses notes sur les études de Jules Jamin qu'il avait lues à Guise en le priant de bien vouloir les lui retourner. Elle demande à son correspondant la définition du terme « entropie » qu'il emploie dans son explication du deuxième principe de la thermodynamique. L'arrivée d'une lettre de Juliette Cros sur le rétablissement de sa santé a réjoui Auguste Fabre, revenu « lassé des courses et des soins inextricables que lui causent mille complications [...] dans la maison rue du Grand Couvent. » Elle transmet au couple Cros les remerciements et la tendresse d'Auguste Fabre et lui fait part de la vive amitié de la famille Moret-Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret déplore les irrégularités postales entre la Turquie et la France : Antoniadès n'a pas reçu sa lettre du 28 février 1899 répondant à l'annonce du décès de son père. Elle fera donc partir celle-ci en recommandé. Elle lui demande de la prévenir s'il souhaite venir en France pour l'Exposition universelle, afin qu'ils puissent s'y rencontrer. À Nîmes jusqu'en mai 1900, Marie Moret rappelle à son correspondant les adresses de la famille Moret-Dallet à Nîmes et à Guise pour garantir la régularité de leur correspondance. Elle est heureuse de la réaction d'Alexandre Antoniadès face au décès de son père et le félicite de ses sentiments touchant l'utilité de ses travaux. Donne des nouvelles de la famille Moret-Dallet : Marie Moret, Marie-Jeanne et Émilie Dallet passent depuis sept ans l'hiver à Nîmes, l'été au Familistère ; Marie-Jeanne et Émilie Dallet s'occupent davantage des écoles et d'autres « choses » au Familistère ; Marie-Jeanne a appris la photographie à Nîmes « et de retour au Familistère, elle a réalisé un superbe album, donnant toutes les vues les plus instructives » ; Marie Moret continue la publication du Devoir et des « Documents pour une biographie complète de J. Bte André Godin » et espère entretenir son correspondant de vive voix au sujet de ces travaux l'année suivante.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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À propos de l'étude de Marie Moret sur « Matière, mode de mouvement ». Marie Moret remercie Antoine Cros pour sa lettre du 25 novembre 1899 et s'excuse par avance de la longueur de celle qu'elle s'apprête à écrire. L'aide et le contrôle de son correspondant, qui possède des connaissances qui lui font défaut, lui est précieuse pour poursuivre son étude. Elle revient sur la correction d'Antoine Cros apportée à sa lettre précédente au sujet de la différence entre « force » et « mouvement » et reproduit ici la conclusion du chapitre « Matière, mode de mouvement » qu'elle a fait lire à son correspondant lors de sa venue à Guise. Les réflexions développées par Antoine Cros dans sa lettre rapprochent Marie Moret du cœur de son étude : les liens entre la matérialité et la spiritualité et son souhait d'« exprimer clairement une pensée où je vois s'unir et Swedenborg et Godin et de grands savants d'aujourd'hui. » Après la citation d'un passage de La théorie atomique de Wurtz, elle rapporte la démonstration des degrés de Swedenborg sur la particule, identifiée par de nombreux scientifiques comme le centre de la force. Elle rapproche ensuite la différence d'échelles entre les particules et le corps, développée par Esprit Jouffret, du « degré distinct » de Swedenborg. Les citations de théories scientifiques sur l'atome et l'énergie de William Crookes et Adolphe Wurtz viennent appuyer, selon Marie Moret, la démonstration des degrés de Swedenborg : « principe cause effet (en séries indéfinies) comment le transitoire vient de l'Éternel sans être l'Éternel, conséquemment sans participer à son Infinité. » Reprenant sa lettre le lendemain, Marie Moret revient aux autres points de la lettre d'Antoine Cros. Elle joint à sa lettre un mot de Marie-Jeanne Dallet au sujet du prêt d'un ouvrage et indique qu'Émilie Dallet a bien reçu la lettre de Juliette Cros, qu'elle y répondra prochainement et qu'elle envoie son affectueux souvenir au couple Cros. Au sujet de la recherche de Juliette Cros de portraits de ses fils : Auguste Fabre n'a trouvé qu'un portrait d'Henri Cros assis sur une chaise ; Marie Moret pense avoir le portrait demandé par Juliette Cros à Guise, qu'elle promet d'envoyer à son retour au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de la lettre de la banque datée du 18 novembre 1899 et demande à ce que la banque la tienne informée de la conversion en titres définitifs de son placement de 245 000 F dans l'emprunt 3,5 % de la Confédération suisse devant servir au rachat des chemins de fer. Devront ensuite être réglées les questions de leur timbre français et de leur dépôt contre échange de certificats nominatifs.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret passe commande de plusieurs ouvrages et périodiques : une édition si possible illustrée et reliée de La justice des choses à adresser à Marie Buridant chez Henri Buridant au Familistère de Guise ; pour elle-même au 14, rue Bourdaloue, Nîmes, Les vierges fortes par Marcel Prévost et le numéro de septembre-octobre 1898 des Annales des sciences psychiques contenant le discours de William Crookes au congrès de l'Association britannique pour l'avancement des sciences.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret rappelle à Guillaumin et Cie qu'ils doivent envoyer à Nîmes l'ouvrage Les vierges fortes dès qu'il sera paru. À la place de La justice des choses, épuisé, elle passe commande du livre Histoire d'un âne et de deux jeunes filles de P. J. Stahl, à adresser à Marie Buridant au Familistère de Guise.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret confirme sa lettre du 24 octobre 1899, remercie sa correspondante de ses vœux de bonheur à l'occasion de la nouvelle année et lui envoie les meilleurs souhaits de la famille Moret-Dallet.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret transmet à la famille Ducruet les remerciements de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre pour leurs vœux de bonheur à l'occasion de la nouvelle année et leur adresse les leurs en retour. Santé et travail vont bien à Nîmes et au Familistère bien que Louis-Victor Colin vienne de perdre son père. Elle complimente Henri Buridant dont sa correspondante a peut-être des nouvelles et qui occupe en son absence l'ancienne chambre du couple Ducruet au Familistère près de la sienne. Marie Moret compatit aux deuils de la famille Ducruet et présente son souvenir à ses membres.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie un corset modifié à Adolphe Rainal et énumère ces modifications : suppression des buses, baleines et ressors du dos ; ajout d'agrafes à gauche et de porte-agrafes à droite ; ajout de boutons aux hanches et à l'arrière ; ajout d'une bandelette munie d'une large porte-agrafe en travers du lacet de derrière ; ajout de deux porte-agrafes aux bords inférieurs du corset. Elle passe commande d'un corset similaire à celui-ci en coutil satiné noir, portant toutes les modifications énoncées, et respectant les mensurations notées dans la lettre. Elle en demande le prix et le délai d'expédition.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à la banque l'ouverture d'un compte bancaire au nom de Marie-Jeanne Dallet, domiciliée au Familistère de Guise, et d'y virer 1 000 F depuis son propre compte courant.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à son correspondant une planche de photogravure représentant un portrait de Godin, réalisée à l'hiver 1882-1883 chez Goupil et Cie, ancien nom de la maison Jean Boussod, Manzi, Joyant et Cie, et souhaiterait savoir s'il est toujours possible d'en tirer des épreuves pour illustrer une brochure de la Société coopérative du Familistère. Si la planche est en bon état, elle accepte de la mettre à disposition de cette dernière et la laissera s'entendre avec Boussod, Manzi, Joyant et Cie pour le tirage. Dans le cas contraire, Marie Moret leur demande de lui indiquer les frais de retour pour Nîmes ou le Familistère.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie un mandat postal de 10 F pour son réabonnement au journal Lotus bleu pour l'année 1900, à continuer d'adresser au Familistère de Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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À la suite de la réception d'un deuxième avis de monsieur Dubois en date du 22 mars 1900, Marie Moret informe Henri Buridant qu'elle a déjà envoyé le 23 mars 1900 un mandat postal de 90,25 F pour régler ses impôts. Plusieurs points concernant le service du Devoir : envoi du numéro de novembre 1899 à Simpkin, Marshall et Cie au 32, Pater Noster Row à Londres, à la demande de monsieur Terquem ; envoi d'un deuxième exemplaire du numéro de février 1900 à monsieur Vast à Amiens ; envois des numéros demandés par Léon Quent, dont elle demande l'adresse à Paris, et madame Franqueville qui s'est gracieusement prêtée à des photographies de son domicile [au Familistère]. Elle annonce écrire à Eugénie Louis pour la préparation de ses appartements au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret répond à la lettre de Marie Robert Halt en date du 27 avril 1900 lui demandant la date de la visite de Faustin Moigneu au Familistère : son nom ne figure pas sur le Livre des visiteurs (dans lequel toutefois toutes les visites n'ont pas été enregistrées), Marie Moret n'a aucun souvenir de cette visite et un ami commun assure qu'il n'est jamais venu le visiter. Elle félicite sa correspondante pour le travail biographique qu'elle mène sur Faustin Moigneu.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret répond à la lettre d'Addison Van Name du 10 avril 1900 et le remercie pour les informations qu'elle contenait. Elle l'informe qu'elle lui enverra prochainement la brochure Le Familistère illustré et confirme l'envoi régulier du Devoir. Si les manuscrits de A. J. Macdonald conservés à la bibliothèque de l'Université de Yale venaient à être publiés, Marie Moret demande à son correspondant de la prévenir.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie un chèque de 58 F à l'administrateur du journal Le Temps pour le renouvellement annuel de l'abonnement au journal Le Temps qui pratique l'échange avec le journal Le Devoir en contrepartie d'une réduction de 10 F sur le prix de l'abonnement. Elle lui fait également parvenir son adresse à Nîmes, précise que celle-ci n'aura plus cours à la fin du mois et qu'elle le recontactera pour le prévenir de son retour au Familistère de Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 3 mai 1900 et précise qu'elle n'a pas encore reçu la table des matières annoncée, peut-être arrivée au Familistère. Elle lui envoie un chèque de 20,25 F pour solder l'envoi de la table des matières et l'envoi des numéros de l'année 1899 de la Revue générale des sciences pures et appliquées ou bien, s'ils ne peuvent être vendus séparément, pour solder son abonnement à la revue pour l'année 1900 à partir du 1er janvier 1900.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie 0,50 F en timbres postaux pour le changement d'adresse d'expédition de La Mode illustrée pour le Familistère de Guise.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie un chèque de 32 F pour solder son abonnement annuel à la Revue générale des sciences pures et appliquées et l'achat des numéros de cette revue parus en 1899. Elle prévient Armand Colin et Cie que les envois devront être expédiés au Familistère de Guise où elle se rend dans huit jours.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réceptions des diverses lettres de la banque de janvier et mars 1900 et demande que le Cours de bourse lui soit désormais expédié au Familistère de Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à la banque l'envoi d'un chèque de 32 F à Armand Colin et Cie à Paris. Elle accuse réception des 2 000 F demandés et prévient la banque de son retour au Familistère d'ici une huitaine de jours [le 26 mai 1900].

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prévient Flore Moret de son retour et celui d'Émilie Dallet au Familistère samedi 26 mai 1900, par le train de 4 h 15 de l'après-midi. Une personne attendra Marie-Jeanne Dallet pour la conduire à Corbeil chez des parents où elle prévoit de rester quelques jours pour visiter l'Exposition universelle et faire des promenades. Émilie Dallet l'y rejoindra plus tard, une fois réglées ses affaires au Familistère. Marie Moret, quant à elle, préfère rester « tout à son travail ». Elles ne seront donc que deux à arriver à Guise et Marie Moret prie Flore Moret de se joindre à elles pour le dîner. Elle l'informe qu'elle prévient Eugénie Louis et transmet les salutations d'Auguste Fabre, d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prévient Buridant de son retour et celui d'Émilie Dallet au Familistère samedi 26 mai 1900, par le train de 4 h 15 de l'après-midi : il ne faut plus leur envoyer de courrier à Nîmes à partir du 23 mai 1900. Les malles et colis seront expédiés à l'adresse d'Henri Buridant, Marie Moret lui en communiquera la liste exacte. Elle l'informe qu'elle va écrire à Eugénie Louis pour la préparation de leur appartement et prie Henri Buridant d'avancer les frais éventuels.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prévient Eugénie Louis de son retour et celui d'Émilie Dallet au Familistère samedi 26 mai 1900, par le train de 4 h 15 de l'après-midi. Elle l'informe qu'elle va écrire à Henri Buridant pour lui demander de lui avancer si besoin les frais nécessaires à la préparation de leur appartement, qu'elle confie à ses bons soins. Flore Moret est invitée à partager leur repas à leur arrivée mais elles ne seront que trois car Marie-Jeanne restera à Paris dans leur famille pour visiter l'Exposition universelle. Elle prévient sa correspondante de l'arrivée de colis et de malles au nom de Buridant. Marie Moret et Émilie Dallet se réjouissent de revoir bientôt Eugénie Louis et Marie-Jeanne Dallet lui transmet son cordial souvenir. Toute la famille et Auguste Fabre lui envoient, ainsi qu'à mesdames Roger et Allart, leurs meilleures pensées.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à son correspondant la liste des malles et colis expédiés au Familistère au nom d'Henri Buridant, en port dû, en valeurs déclarées (clichés photographiques, appareil photographique et accessoires, papiers d'affaires et photographies, livres et manuscrits) et en colis simples (musique, Boîte peinture et papiers d'affaires). Marie Moret pense arriver au Familistère avant la réception de tous les colis et rappelle son arrivée à 4 h 15 le samedi 26 mai 1900.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à monsieur Marchand de tenir à disposition un omnibus en gare de Guise le 26 mai 1900 à 4 h 15 pour transporter la famille Moret-Dallet au Familistère, ainsi qu'un camion et deux hommes pour le transport des malles.
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