FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 407 résultats dans 15567 notices du site.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à mesdames Piat, 10 novembre 1889
Commande d'un costume précisément décrit ; sur la venue des sœurs Piat au Familistère.

Mots-clés : ,

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 25 juillet 1891
Sur une maladie d'Antoniadès. Sur le second volume d'un livre de Deluc. Invitation à séjourner à Lesquielles avec détails sur le voyage en chemin de fer depuis Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au Journal de l'Aisne, 23 janvier 1869
Sur les projets du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin. Godin demande au Journal de l'Aisne de publier sa lettre en réponse à la lettre du Journal de Saint-Quentin sur les tracés du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gilbert Stenger, 9 janvier 1869
Sur les projets du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin. Godin demande à Gilbert Stenger de publier dans son journal l'article qu'il lui a envoyé sur les chemins de fer dans l'Aisne avant la réunion du conseil général de l'Aisne. Godin informe Stenger qu'un rédacteur du Courrier de l'Aisne fait des démarches auprès de la municipalité de Guise au sujet du chemin de fer entre Guise et Saint-Quentin et que cela a peut-être à voir avec les élections.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor François Groualle, 30 novembre 1869
Sur la liquidation de la communauté des biens Godin-Lemaire : Godin confirme à Groualle qu'il a été informé du rejet du pourvoi en cassation d'Esther Lemaire, et lui adresse un billet de 1 000 F en paiement de ses honoraires. Godin demande à Groualle de lui renvoyer par chemin de fer les documents qu'il lui a confiés, en particulier ses brevets.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Étienne Pichon, sous-préfet de Vervins, 19 septembre 1871
Godin répond à une demande du sous-préfet sur l'état de l'industrie de la fonte dans l'arrondissement de Vervins. Godin mentionne les Fonderies de Sougland et la manufacture du Familistère, toutes deux fabricantes d'appareils domestiques de chauffage et de cuisson qu'elles vendent en France et à l'étranger. Sougland a eu à souffrir de changements de propriétaires qui ont amoindri ses affaires ; la manufacture du Familistère n'a eu à souffrir que de la guerre. Godin met en avant que la principale difficulté pour le développement de cette industrie à Guise est l'insuffisance des moyens de transport, les chemins de fer en particulier. Godin répond favorablement à la demande de visite du sous-préfet, à l'occasion de laquelle il pourra convier ses collègues de l'administration municipale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Félix Achard, préfet de l'Aisne, 24 novembre 1871
À propos du chemin de fer à Guise : Godin demande au préfet de l'Aisne d'autoriser la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes et la Compagnie de chemin de fer de Saint-Quentin à Guise de faire conjointement l'étude du raccordement des lignes provenant du Nord et de l'Est à une gare commune à Guise.

Mots-clés :

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur le chef de la gare de Nîmes, 3 mai 1893
Sur le voyage de Marie Moret, de sa sœur et de sa nièce de Nîmes à Paris le 10 mai 1893 : Marie Moret souhaite voyager dans le wagon des femmes seules dans le train partant de Nîmes à 11 h 43, arrivant à Tarascon à 12 h 15, puis réserver un coupé-lit entier dans l'express n° 4 qui part de Tarascon à 12 h 57 pour une arrivée à Paris à 4 h 54 du matin. Demande de renseignements pour les voyages de dames seules et s'il se trouvent des water-closets, couloir intérieur et libertés de communications dans le train express n° 4.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 4 mai 1893
Nouvelles de Juliette Cros par Auguste Fabre : le fils de Juliette Cros commence à marcher. Marie Moret annonce son retour à Guise, motivé par la nécessité de déménager sa maison de campagne de Lesquielles-Saint-Germain à la suite de la démission des gardiens de la maison. Souhaite transporter le mobilier à Nîmes afin d'y avoir une installation complète. La famille Moret-Dallet espère revenir à Nîmes à l'automne prochain pour rencontrer Juliette Cros.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à la Librairie Chaix, 4 juin 1893
Envoi d'un mandat poste de 0,75 F pour la commande d'un indicateur de chemins de fer du 4 au 10 juin 1893.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Goubet, 8 mai 1849
Godin répond à la lettre du 5 mai 1849 de Gauchet qui l'engage à s'adresser à l'administration des chemins de fer pour obtenir le paiement d'une marchandise : Godin ne veut pas se substituer à Gauchet et préfère attendre que celui-ci résolve par lui-même la question.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au chef de gare de la station du chemin de fer de Blois, 24 mai 1849
Godin sollicite le paiement d'une somme de 95 F pour l'indemniser d'un poêle de cuisine avarié pendant le transport ou bien la livraison de l'appareil à monsieur Gauchet en lui tenant compte de l'avarie. Godin évoque des poursuites que Gauchet pourrait exercer contre la compagnie des chemins de fer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dumont, 21 août 1849
Godin accepte les conditions que lui a proposé Dumont le 3 septembre 1849 pour le fournir en marchandises ; il lui demande quel combustible est en usage dans la région de Caudebec et s'il est possible de lui expédier les marchandises par le chemin de fer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dumont, 30 août 1849
Godin annonce à Dumont qu'il vient d'expédier les échantillons de ses produits et qu'il n'a pas suivi les indications de sa lettre du 21 août quant au nombre des objets et au mode de transport. Craignant la lenteur du transport par bateau à partir de Paris, Godin a expédié la marchandise directement à Rouen par le chemin de fer au prix de 6,50 F les 100 kg à destination du bateau Lécuyer ou Roger. Il demande à Dumont le prix et la durée du transport par les bateaux de Paris, et lui indique que le coût du transport jusque Paris serait de 4 F les 100 kg. Godin lui indique également qu'il n'est pas opposé à ce que Dumont annonce qu'il est l'entrepositaire des produits des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, bien qu'ils devraient dans ce cas établir une convention.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Conin fils, 31 août [1849]
Godin demande à Conin fils quel est le combustible en usage dans la région de Cholet et par quel mode de transport il convient de lui expédier des marchandises. Il indique qu'il peut facilement expédier jusqu'à Tours par chemin de fer. Godin promet de lui envoyer les échantillons demandés le 15 août 1849 dès réception de sa réponse.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Chatey, 22 octobre [1849]
Godin remet à Chatey un mandat de 372,95 F pour solde de la facture de 378,60 F compte tenu d'un escompte à 1,5 %. Il lui signale que le voiturier lui a remis la marchandise sans lettre de voiture et lui a réclamé 5 F pour 100 kg, lui demande si ce prix était entendu à l'avance, et observe que le transport serait moins onéreux si la marchandise était expédiée par chemin de fer à l'adresse de Demoury, compagnie de roulage à Chauny. Godin commande 15 bottes de fil de fer n° 24 de bonne qualité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guitard, 25 [octobre 1849]
Godin informe Guitard qu'il a fait expédier par chemin de fer les foyers demandés. À propos d'une erreur de facturation ou de livraison de marchandises : Godin demande à Guitard de vérifier quels sont les modèles des cuisinières qu'il a reçues et si les appareils portent tous son adresse.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Pottier-André, 5 novembre [1849]
Godin informe Pottier-André qu'il ne peut actuellement fabriquer les poêles de cabinet qu'il demande car tous les mouleurs sont occupés à faire des appareils dont ses magasins sont dépourvus. Il lui annonce l'envoi d'une cuisinière de 69 cm sans chaudière, qu'il lui cède exceptionnellement au prix de 52 F, en remplacement des petites cuisinières qu'il ne peut fournir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la maison Allez, 19 [décembre 1849]
Godin informe Allez fils que la compagnie de chemin de fer augmente son tarif de 0,50 F pour 100 kg, et qu'il va lui expédier quelques cuisinières de 60 et 54 cm.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Blasseau-Demarez, 25 [décembre 1849]
Godin annonce à Blasseau-Demarez qu'il lui a expédié un fond de cuisinière pour remplacer celui qui s'est brisé dans le transport en chemin de fer. Godin lui conseille de refuser le paiement du transport pour se dédommager des 5 F que coûte la pièce et lui donne les instructions pour la remplacer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Barthélémy Godin, 9 mai 1846
Godin propose à son frère cadet de travailler avec lui. Il évoque avec lui la possibilité de créer un autre établissement industriel, par exemple sur les bords de la Loire, facilement accessibles par le chemin de fer, dont ils partageraient les bénéfices ; Godin imagine qu'ils pourraient diriger en alternance ce deuxième établissement et « l'établissement définitif » qu'il s'apprête à construire à Guise sur la propriété qu'il a achetée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 9 avril 1854
La lettre d'Émile du 31 mars 1854 donne satisfaction à Godin car elle montre sa détermination à étudier : « Quelle glorieuse satisfaction en effet pour moi si un jour je te vois capable de me seconder dans les diverses entreprises que j'aurai faites, et si je te vois doué de connaissances supérieures à celles que je possède, et par cela imprimer à toutes choses une direction sage, intelligente et supérieure. » Il se félicite que la résolution d'Émile resserre les liens avec ses parents. Il l'informe qu'il ne peut aller à Paris et lui demande de venir à Guise ; il lui indique qu'il écrit à Allyre Bureau pour que ce dernier l'accompagne au chemin de fer jeudi matin ; il lui recommande de mettre son uniforme et de prendre une veste, et lui donne des conseils pour le voyage : manger quelque chose avant de partir et au buffet de la gare de Creil ; prendre une voiture de seconde classe ; prendre une voiture pour Guise à partir de Saint-Quentin ; réserver à la gare de Paris une place dans la diligence allant à Guise, si c'est possible ; retirer 20 F à l'économat du collège Chaptal.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 9 avril 1854
Godin informe Allyre Bureau qu'il ne peut se rendre à Paris pour les vacances de Pâques ; il lui demande d'accompagner Émile jeudi matin à la gare de chemin de fer du Nord, et précise qu'Émile retirera 20 F à l'économat du collège pour payer son billet. Godin explique à Allyre Bureau qu'il est satisfait des progrès scolaires d'Émile : il a obtenu 53 points (classé 30e de la classe), puis 60 points (classé 17e) et enfin 97 points (classé 1er). Godin confie à Bureau que devant ces résultats, il va différer ce qu'il comptait faire. Il souhaite que Bureau lui envoie la brochure de Victor Considerant et il adresse ses compliments à madame Bureau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Prosper Goubaux, 24 avril 1854
Godin, inquiet, demande à Goubaux des nouvelles de son fils parti jeudi par le chemin de fer qui n'a pas écrit depuis. Il prie Goubaux de lui envoyer l'état de son compte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 19 mai 1854
Godin félicite Émile pour ses progrès scolaires continus et se réjouit de devoir bientôt verser de l'argent dans la tirelire d'Émile. Il le remercie pour l'envoi de sa narration sur l'été et souhaite lire celle sur le printemps. À la demande d'Émile, Godin propose un sujet de narration : « Fais-moi le plaisir de prendre le chemin de fer et la locomotive, examiné [sic] comme produit de la science de l'homme et comparé [sic] aux transports ordinaires. » Sur le projet de Considerant de fonder une colonie en Amérique : Godin évoque la région décrite par Considerant dans son ouvrage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 6 juin 1854
Godin félicite Émile qui s'est classé quatrième de sa classe et l'encourage à supporter l'injustice dont il pense être la victime car son mérite finira par être reconnu. Il demande à son fils de lui donner les motifs de ses actes, par exemple son refus du bain froid.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 13 mars 1856
Esther Lemaire adresse à Émile une lettre à remettre à Goubaux pour qu'il lui donne les 30 F. Elle donne à Émile les instructions et les horaires de train pour son voyage de Paris à Guise. Elle lui interdit de prendre le train de nuit et lui demande de prendre un billet de 1re classe. Elle souhaite qu'en arrivant à la gare du Nord, il réserve une place de Saint-Quentin à Guise auprès du bureau des messageries impériales. Elle lui signale qu'il fait un peu froid.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 4 août 1856
Godin donne à Émile l'indication de l'horaire du train pour rentrer à Guise.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 24 novembre 1870
Godin regrette de ne pas avoir attendu Émile à Busigny où il était allé voir le préfet, car il pensait que la compagnie d'Émile se trouvait à Esquéhéries et qu'Émile ne prendrait le train que jeudi ; aussi est-il reparti quand le préfet lui-même est parti à Lille. Sur la faiblesse de l'effectif des compagnies que les appelés n'ont pas tous rejoint : Émile peut écrire à Busigny au préfet, qui veut faire partir à l'armée les récalcitrants. Godin signale à Émile qu'il pourra voir le préfet à Cambrai et lui demande de le tenir au courant des événements ; il lui fait part de sa satisfaction de le savoir en bonne santé. Sur une expérience de fusion de verre initiée par Émile. Il lui adresse les encouragements de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 novembre 1870
Sur l'échange de lettres entre Godin et son fils. Godin demande à Émile comment va son mal de jambe et la fatigue de ses pieds et lui conseille de soigner sa blessure. Godin décrit à Émile les essais d'un four à verre. Sur le bombardement de La Fère et sa reddition : la reddition de la place va, selon Godin, rendre impossible le transport de la fonte par bateau à partir de Calais ; le transport sera également difficile par chemin de fer jusqu'à Bohain. Il l'informe que le père Parmentier lui demande de vendre les plus mauvais chevaux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 4 septembre 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin communique à Brullé un modèle d'écritures comptables. Il lui annonce qu'il a réussi à persuader des ouvriers de ses ateliers Guise à aller travailler à Forest en voyageant à leurs frais, ce que l'arrivée du chemin de fer à Guise facilitera, en espérant qu'ainsi Brullé devra engager moins d'apprentis de Bruxelles à des conditions onéreuses. Sur les intérêts dus par Cador pour une somme de 4 000 F qu'il a empruntée. Godin signale à Brullé qu'il quitte Guise pendant quelques jours, transmet ses civilités à madame Brullé et demande l'état des cuisinières et cheminées qui se trouvent en magasin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le directeur spécial des hauts-fourneaux de Hourpes-sur-Sambre, 11 septembre 1855
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin accuse réception de la facture du wagon de fonte expédié à Forest. Il juge que la fonte est d'une qualité supérieure et il a dû renoncer à s'arrêter à Hourpes en partant de Forest. Il commande un autre wagon de fonte et demande quel serait le prix de 50 tonnes de fonte de même qualité, en précisant que les prix pratiqués par les hauts-fourneaux de Hourpes l'ont empêché jusqu'ici de leur acheter de la fonte en grande quantité. Il annonce qu'il se rendra prochainement à Hourpes en espérant conclure un marché d'une certaine importance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur spécial des hauts-fourneaux de Hourpes-sur-Sambre, 9 octobre 1855
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin répond aux lettres des 14 et 24 septembre 1855 des Hauts-fourneaux de Hourpes en leur confirmant qu'ils peuvent faire l'expédition à Forest de 30 tonnes de fonte de moulage n° 1. Il demande que les expéditions soient faites par wagons successifs avec deux jours d'intervalle entre chaque envoi et de veiller à la qualité de la fonte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Amand, 3 novembre 1855
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande à Amand de livrer 25 tonnes de fonte à Forest par wagons successifs à quatre jours d'intervalle l'un de l'autre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 28 mars 1856
Godin annonce à Brullé qu'il lui expédie par le chemin de fer une caisse contenant des poêles et 8 kg de vernis. Il explique que sa mauvaise santé l'a empêché de faire plus tôt cet envoi. Il l'avertit qu'il va lui expédier dans quelques jours le modèle de la cuisinière dont la mise au point s'achève et également des tables de cheminées et des tables de cuisinières « à en-tête de Guise ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 12 avril 1856
Godin avertit Brullé que la Compagnie de Hourpes-sur-Sambre va expédier prochainement à Forest un wagon de fonte. Il ajoute qu'il attend le messager pour lui confier les lithographies des modèles attendues par Brullé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur spécial de la Compagnie de Hourpes-sur-Sambre, 12 avril 1856
Godin demande aux Hauts-fourneaux de Hourpes d'expédier un wagon de fonte à l'usine de Forest.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 30 juillet 1856
Godin informe Brullé qu'il a oublié dans la diligence partant de Forest des tableaux [comptables], que le chef de la gare de Braine-le-Comte a donné l'ordre de les remettre au chef de station de Forest, où Brullé peut les réclamer. Il lui indique que des petits modèles pour Forest sont en cours de fabrication. Il demande à Brullé de prêter à Van Elewyck le cheval de l'usine de Forest pour qu'il puisse faire son déménagement. Il lui signale que la petite chèvre a failli périr d'une indigestion. Godin confirme à Brullé que la Société de Hourpes a été payée deux fois de 1 057,50 F par l'usine de Guis et par l'usine de Forest pour une même livraison de fonte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 19 septembre 1856
Godin explique à Brullé qu'il était absent quand on a répondu pour lui à sa lettre du 12 septembre et qu'on lui a indiqué qu'il le recevrait avec plaisir à Guise. Il lui communique les renseignements pour voyager jusqu'à Guise : départ à 12 h 13 de Charleroi, arrivée à Landrecies pour la correspondance avec la voiture allant à Guise. Il transmet ses sentiments cordiaux à monsieur et madame Brullé.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, le 9 octobre 1856
Godin informe Brullé que Bocquet vient de lui remettre sa lettre du 8 octobre avec le plan des terrains dont il a déjà été question entre eux. Godin juge le terrain resserré ; il explique à Brullé qu'il ne veut pas, après des débuts laborieux en Belgique, s'installer sur une propriété qui limiterait son industrie au bout de 3 ou 4 ans ; il juge qu'il faudrait un terrain d'une superficie d'un hectare. Il demande à Brullé si les terrains qu'il envisage ne sont pas inondables. Sur la réparation d'un bâtiment du site de Forest : Godin veut éviter des réparations coûteuses et demande à Brullé d'obtenir un arrangement avec le propriétaire du site. Godin prie Brullé de lui communiquer des renseignements sur les différences de prix entre le transport de matières premières par eau et par chemin de fer de différents endroits de Belgique jusqu'à Bruxelles. Godin annonce à Brullé qu'il doit encore retarder son voyage à Bruxelles et qu'il va se renseigner sur la possibilité de faire expédier de la fonte à Anvers.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 29 octobre 1856
Les Fonderies Godin-Lemaire avertissent Brullé qu'elles expédient une caisse contenant de l'émail blanc et du vernis par le messager à Valenciennes, et de là par le chemin de fer jusqu'à l'entrepôt de Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 7 février 1857
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Brullé qu'il avait reçu le 22 janvier 1857 une lettre de Wilmot, Mineur et Gonthier lui annonçant qu'ils pouvaient lui livrer en wagon de la fonte n° 1 de bonne qualité et qu'il leur avait demandé de livrer un échantillon de 1 000 kg à Forest. Il informe Brullé que Wilmot, Mineur et Gonthier ne peuvent expédier une si petite quantité, car le tarif des chemins de fer compterait pour cette quantité autant que pour 6 000 kg. Godin demande à Brullé si cette information sur les tarifs est correcte et s'il ne croit pas que le prix de 16,75 F les 100 kg de fonte fixé par les Hauts-fourneaux de Hourpes n'est pas disproportionné compte tenu de la baisse possible du prix de la fonte belge et de la qualité de cette fonte. Sur l'affranchissement de lettres. Godin annonce finalement à Brullé qu'il lui fait préparer de l'émail.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 25 février 1857
Godin annonce à Brullé qu'il lui expédie une caisse par le chemin de fer à partir de Valenciennes. Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Brullé qu'il ne peut croire que les fontes anglaises n° 1 valent les fontes belges n° 1 et surtout celles de Hourpes. Sur le prix de la fonte de Hourpes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 5 mai 1857
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin communique à Brullé la copie d'une lettre de monsieur de Dorlodot qui lui propose de la fonte au prix de 15,50 F [les 100 kg], prix que Godin juge élevé par comparaison avec le prix de la fonte de Hourpes même si cette dernière a perdu en qualité. Godin indique à Brullé qu'il attendra une lettre de lui avant de faire réponse à de Dorlodot. Il informe Brullé qu'il est toujours sans réponse des Hauts-fourneaux de Hourpes auxquels il a commandé 20 tonnes de fonte. Sur la fondation d'un nouvel établissement à Bruxelles. Godin souhaite que Brullé réponde à sa demande relative aux prix de transport de la fonte par voie d'eau ou chemin de fer en Belgique, pour hâter sa décision d'acquisition des terrains des anciens ateliers de Vanderwick (?), d'autant que l'achat de deux hectares pourrait se faire à un prix inférieur à 1 F le pied. Godin en veut pour preuve que monsieur Allart [Allard], qui a acheté à 1,50 F le pied établit un état de propriété à 0,35 F le pied.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 12 mai 1857
Sur la création d'un nouvel établissement à Bruxelles. Godin a reçu la lettre de Brullé du 10 mai 1857 dans laquelle ce dernier doute de l'étendue suffisante du terrain de monsieur Allard. Godin lui répond qu'il est peu probable qu'ils fabriquent plus de 15 000 fourneaux en Belgique et qu'il se contenterait du terrain d'Allard, surtout si celui-ci diminue son prix. Brullé a parlé à Godin d'un autre terrain dont un général est propriétaire : Godin lui demande si ce terrain près de la Petite Senne est facilement accessible. Godin demande de nouveaux renseignements à Brullé sur les propriétés de monsieur Bourguignon et des Anglais. Sur la comptabilité de l'usine de Forest. Godin demande à Brullé d'expédier à la gare de Charleroi une cuisinière n° 11 à monsieur Leborne, agent de charbonnage, et lui annonce qu'il va envoyer à Forest un modèle de cuisinière et de l'émail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 15 octobre 1857
Godin répond à une lettre de Brullé qui lui annonce qu'il a acheté 57 000 pannes [tuiles] au format de Hollande. Godin avertit Brullé qu'il doit y avoir une erreur. Si les pannes achetées ont bien pour dimensions 33,5 cm de hauteur sous le crochet et 22,4 cm de large, 45 000 tuiles suffiraient. Godin demande à Brullé de vérifier la dimension des tuiles achetées et de solliciter du fournisseur l'envoi d'un échantillon de 30 pannes par chemin de fer à Landrecies via Erquelinnes par exemple.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 29 décembre 1857
Godin informe Brullé que Baudin est arrivé hier soir, qu'il est entré le lendemain matin en fonction et qu'il lui a remis 899,45 F de la part de Brullé pour l'usine de Forest. Godin apporte des réponses aux lettres de Brullé des 16, 22, 24 et 26 décembre sur les bonifications auxquelles celui-ci a droit. Sur des opérations comptables. Godin indique qu'il est toujours sans nouvelles du coke de Fabry et Cie, et que Baudin va lui amener un peu de matières à émailler. Dans le post-scriptum, Dolot indique que Godin écrira prochainement à Brullé et il transmet ses civilités à madame Brullé.

Auteurs : Dolot ; Godin, Émile (1840-1888)
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 18 septembre 1858
Dolot avertit Godin que les deux caisses contenant outils et poulies destinées à monsieur Farineau ont été remises au chemin de fer le 15 septembre 1858. Sur la recherche auprès de l'administration postale d'une lettre adressée à Boinet et Guébin. Dolot signale à Godin que son fils Émile lui a adressé hier la copie d'une lettre de Pigé demandant une réponse à propos de générateurs. Dolot signale à Godin que la gare de Bohain a du mal à s'organiser pour le transport d'une quantité importante de marchandises ; il lui conseille d'y aller à son retour de Bruxelles. Il indique que les transports de coke sont suspendus et qu'il écrit à Frameries pour en connaître la cause. Il transmet ses salutations à madame Godin et à monsieur et madame Brullé. Dans le post-scriptum, Dolot donne des informations sur l'approvisionnement en fonte de l'usine de Guise : les bateaux Pinart se succèdent, il ne reste presque plus de fonte Cleveland et il a demandé un échantillon à Bolkow et Vaughan. Dans la marge de la feuille, Émile Godin indique à son père qu'il n'a rien à ajouter à la lettre de Dolot et il transmet ses compliments à monsieur et madame Brullé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 6 décembre 1858
Godin demande à Brullé de commander des modèles de plaques à réaliser en planches de bois blanc. Il avertit Brullé qu'il arrivera à la gare du Midi à Bruxelles le jeudi 9 décembre à 5 heures de l'après-midi, après avoir changé de train à Charleroi. Plusieurs dessins sont copiés sur le bas du folio : trois plans de plaques de fonte avec leurs dimensions ; la coupe d'une mouffle avec texte explicatif.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 9 janvier 1859
Godin avertit Brullé qu'il arrivera à la gare du Midi avec son fils Émile jeudi prochain à 5 heures de l'après-midi. À propos d'une louche de fonderie. Godin informe Brullé qu'il a commandé à Paris les produits chimiques [pour fabriquer de l'émail]. Il transmet ses compliments à madame Brullé.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2