Archives Marguerite Audoux

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Collection : 1926
Auteur : Belot, Gabriel
Archives Marguerite Audoux

Peintre et graveur, Gabriel Belot (1882-1962) a illustré la très belle édition de Marie‑Claire dans les éclectiques du livre (janvier 1932). De bonne heure orphelin comme Marguerite Audoux, il vit une enfance triste. S'il est obligé d'être relieur pour gagner sa vie, c'est aussi en autodidacte qu'il peint (dès l'âge de six ans) puis grave (à partir de 1913). Entre 1910 et 1914 il se fait petit à petit reconnaître, notamment des Indépendants. Les lettres et les enveloppes qu'il envoie à la romancière sont magnifiquement illustrées (notamment par une aquarelle) et constituent un bon exemple de ce qu'est l'art postal.

Collection : 1926
Auteur : Belot, Gabriel
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Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 307

Collection : 1931
Auteur : Belot, Gabriel
Lettre de Gabriel Belot à Marguerite Audoux
Difficultés dans son travail de graveur - Préparation de l'édition de Marie-Claire qu'il illustre

Collection : 1934
Auteur : Lepuschütz, Frida
Archives Marguerite Audoux
Demande de permission et de renseignements pour la rédaction d'une thèse

Collection : 1934
Auteur : Lepuschütz, Frida
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Questionnaire en vue de la rédaction d'une thèse

Collection : 1934
Auteur : Lepuschütz, Frida
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Proposition d'un questionnaire réduit

Collection : 1926
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 245

Collection : 1931
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Mariage de Lulu - Frantz-Philippe et son fils

Collection : 1931
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Mort de Régis Gignoux - Vie de famille des Jourdain - Enucléation oculaire de Chanvin

Collection : 1935
Auteur : Jourdain, Francis
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Frantz Jourdain (1847-1935), le père de Francis, était architecte et président du Salon d'Automne. Il était très lié avec Octave Mirbeau, à qui Francis est allé porté - on sait avec quel succès - le manuscrit de Marie-Claire.

Collection : 1936
Auteur : Jourdain, Francis
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À propos de Suzanne Bauman‑Franchimont, évoquée dans la présente lettre, David Roe porte à notre connaissance un billet de la main de Francis Jourdain, écrit sur une feuille de papier quadrillé :
« Manuscrits de Charles‑Louis Philippe
prêtés pour étude (thèse) à
Madame S. Bauman‑Franchimont
Rijinstraat 100
Amsterdam (2)
13 .
10 33 »
(Collection David Roe, don de Mme Gubisch).
Le même jour que celui de la création de la présente lettre (ce 8 février 1936), Francis jourdain envoie cette carte‑lettre à Madame Pajault :
« Chère madame,
J'ai reçu ce matin votre lettre et hier soir celle de Madame Suz[anne] Bauman‑Franchimont (Rijinstraat 100 à Amsterdam 2) qui, en réponse à ma demande, m'avise que les manuscrits sont, bien entendu, à votre disposition.
J'ai cru bien servir la mémoire de mon cher vieil ami en facilitant le travail que Mme Bauman‑Franchimont entreprenait sur l'œuvre de celui‑ci et je veux espérer que ce travail est assez avancé pour n'être pas compromis par votre si juste et si naturelle réclamation devant laquelle mme B[auman‑] F[ranchimont] ne peut que s'incliner.
Attachant le plus grand prix aux documents qui lui ont été confiés, elle n'ose les expédier par poste et viendra me les apporter elle‑même à Paris. Étant professeur de lycée, il lui faut pour cela demander un congé qu'elle n'obtiendra sans doute que la semaine prochaine, et s'excuse auprès de vous de ce léger retard. M. Pajault aura‑t‑il, par son travail, l'occasion de passer à Paris la semaine suivante, c'est‑à‑dire dans la 2e quinzaine de février ? Ou préférez‑vous que je confie au chemin de fer le précieux paquet (ce qui comporte peut‑être quelque risque) ? J'attends à cet égard votre décision et vous prie en attendant de croire à la sincérité de ma très dévouée sympathie.
Francis Jourdain
Peut‑être serait‑il utile de transmettre à Buriot‑Darsiles[1] l'adresse de Mme B[auman‑] F[ranchimont] qui accepterait sans doute d'adhérer à la Sté des Amis de Charles‑Louis Philippe.
8.
2. 36. »
(Médiathèque Valery-Larbaud de Vichy [Ph.Jou 20])
[1] H. Buriot‑Darsiles est alors le Secrétaire Général et le rédacteur du Bulletin des Amis de Charles‑Louis Philippe. Le premier numéro va paraître le 21 décembre 1936, date anniversaire de la mort du romancier.

Collection : 1917
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Santés précaires de l'épistolier et de son épouse - Lulu (leur fille Lucie)

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
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Demande de révision par un lecteur de ses deux manuscrits

Collection : 1929
Auteur : Joffre, Félix
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Sculpteur et médailleur né à Marcille (en Seine‑et‑Oise) le 26 mars 1903, élève de Jean Boucher, Félix Joffre obtient le Prix de Rome en 1929 avec L'été.

Collection : 1930
Auteur : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 334

Collection : 1931
Auteur : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 334

Collection : 1932
Auteur : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 334

Collection : 1929
Auteur : Tcheng, Cheng
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CHENG TCHENG (SHENG, CHENG) (1899‑1996), traducteur, professeur et écrivain, est un militant chinois qui, à douze ans, participe à la Révolution de 1911 et en 1919 prend part aux manifestations patriotiques du 4 mai contre le Japon. Il part en exil en France, y poursuit ses études (licence de biologie à Montpellier), enseigne à la Sorbonne, et devient l'ami de Valéry, Gide et Picasso. Son œuvre principale est Ma Mère (1928), premier tome, assorti d'une Préface de Paul Valéry, d'un dyptique intitulé Vers l'Unité. Le second volume, Ma Mère et moi, à travers la Révolution chinoise, paraît l'année suivante. Cheng Tcheng signe également des articles dans la revue COmmerce. De retour à Pékin, il enseigne la poésie française. Invité par de Gaulle, il revient en France en 1965, où il demeure avant de retourner en Chine après la chute de la Bande des Quatre. Il enseigne alors à l'Institut des Langues de Taiwan, et retourne en France dans les années 90.

N. B. : En juillet 1931, le médecin et critique d'art Elie Faure s'embarque au Havre pour un tour du monde qui durera neuf mois. Au cours de son périple, il rencontre, en Chine, Cheng Tcheng, déjà croisé à Paris dans les années vingt. [Voir Courtois, Martine et Morel, Jean‑Paul, Elie Faure, Séguier, 1989, p. 226 et 291] Est‑ce donc Elie Faure, que Marguerite Audoux connaît (c'est lui qui a tenté désespérément de sauver Charles‑Louis Philippe en décembre 1909), qui la met en relation avec le philosophe chinois ?

Collection : 1924
Auteur : Chanvin, Charles
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De la même génération que son ami Yell, avec qui il poursuit ses études au lycée de Troyes, le juriste Charles Chanvin (1877-1953) est vite attiré par les milieux littéraires, tout en étant le secrétaire de Me Fernand Labori, le défenseur de Dreyfus et de Zola. Chanvin publie au Mercure de France des poèmes remarqués. Il s'interposera d'ailleurs, avant que Mirbeau n'entre en scène, pour que cette maison d'édition ne prenne pas Marie‑Claire, dont elle ne voulait publier que des extraits.
N. B.. : Chanvin figure dans le tableau de Jacques‑Emile Blanche, André Gide et ses amis au Café maure de l'exposition universelle de 1900 (1901).

Collection : 1910
Auteur : Schönfeldt, Carl
Archives Marguerite Audoux
Proposition de traduire Marie-Claire en allemand

Collection : 1926
Auteur : Febvre-Longeray, Blanche
Archives Marguerite Audoux
Courrier des lecteurs

Collection : 1926
Auteur : Balasoupramanien
Archives Marguerite Audoux
Lettre d'un lecteur hindou

Collection : 1926
Auteur : Balasoupramanien
Archives Marguerite Audoux
Remerciements pour De la ville au moulin - Mort de son père - "Lointains souvenirs" - Propos sur l'argent - Projet de traduction en tamoul

Collection : 1937
Auteur : Poulaille, Henry
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Avec René Bonnet (le préfacier du Marguerite Audoux de Louis Lanoizelée) et Ferdinand Teulé, Henry Poulaille (1896 – 1980) est l’un des fondateurs et animateurs du « Musée du soir », bibliothèque installée dans un local du XIVe arrondissement de Paris, où des intellectuels et des ouvriers viennent lire et discuter. Il sera aussi directeur des services de presse chez Bernard Grasset. Sa correspondance avec Jehan Rictus (1924‑1931) a été éditée par l’association des amis d’Henry Poulaille et les éditions Plein Chant (16120 Bassac).

Eu égard à sa conception de la littérature populiste (écrite par, sur et pour le peuple), dont il est l’un des spécialistes, Poulaille s’est intéressé à Marguerite Audoux. Il lui rend visite en 1936, lui ayant déjà consacré un chapitre (p. 255‑258) dans la seconde partie de son Nouvel Âge littéraire (Valois, 1930), partie concernant « La littérature prolétarienne française. Œuvres et hommes ». Citons, parmi les autres écrivains qu’il évoque : Charles‑Louis Philippe, Jules Renard, Neel Doff, émile Guillaumin, Louis Pergaud, Henri Bachelin, et Lucien Jean (sur qui il comptait, avec Louis Lanoizelée, écrire une plaquette, projet que la Seconde guerre fit avorter).

La Guilde du Livre (1936–1978) est créée par Albert Mermoud, licencié en droit et en sciences économiques de l’Université de Lausanne, qui rentre en Suisse après avoir travaillé comme directeur commercial dans un emploi qui lui a permis d’acquérir une formation dans l’impression, le papier et le brochage. En octobre 1935, il avait contacté Charles-Ferdinand Ramuz, dont le roman Derborance deviendra le premier ouvrage publié par la Guilde. En mars 1936, Mermoud envoie le premier Bulletin de la Guilde du Livre à dix mille personnes susceptibles d’être intéressées par son club. Le bulletin contient un manifeste, dans lequel Mermoud dit son amour du livre, présente sa vision du métier d’éditeur et pose les jalons du fonctionnement de la future Guilde : promotion et démocratisation du livre, apolitique et aconfessionnel. La Guilde est présentée comme « une communauté du livre, une grande famille groupant lecteurs et auteurs dans un même effort d’expansion culturelle et dans un même amour de la belle édition ». Le système se fonde sur un abonnement qui implique une cotisation mensuelle donnant droit à un volume relié tous les trois mois et au bulletin mensuel. Les livres sont vendus au coût de revient, tout bénéfice étant reversé aux membres. Les premières publications annoncées concernent des auteurs contemporains ainsi que des rééditions de classiques de la littérature. En une semaine, Mermoud reçoit entre mille et mille cinq cents inscriptions. À la fin de 1937, la Guilde réunit trois mille huit cent quatre-vingt-cinq membres ; en 1944, elle en compte vingt-cinq mille, puis dix mille en 1957. Le bulletin, d'une vingtaine de pages, présente le catalogue, des extraits des livres à paraître et des informations littéraires et culturelles. Il sera distribué en Suisse, mais aussi à l'étranger (France, Portugal, Belgique et Canada).

Louis Lanoizelée (1896‑1990) est un modeste autodidacte nivernais. Il est d’abord valet de ferme, puis, à dix‑huit ans, travaille comme mineur de fond à La Machine. Il monte ensuite à Paris, où il est maître d’hôtel – dans la même maison que son épouse, employée comme femme de chambre ‑. C’est en 1936 qu’il réalise son rêve ‑ obtient, comme il le dit, son « bâton de maréchal » ‑ en ouvrant une boîte de bouquiniste quai des Grands‑Augustins. Ses grands‑parents ne savaient ni lire ni écrire, ses parents étaient quasi illettrés. Comme Marguerite Audoux, il dévore dès sa prime jeunesse tout ce qu’il trouve à sa portée, en particulier un livre auquel il manque le début et la fin et qu’il découvre ensuite être Pêcheurs d’Islande. Il finira d’assouvir sa passion en écrivant des monographies à compte d’auteur sur les petites gens comme lui qui sont entrés en littérature : Marguerite Audoux, Charles‑Louis Philippe, Lucien Jean, émile Guillaumin... Louis Lanoizelée est donc le deuxième biographe de la romancière (son Marguerite Audoux paraît en 1954). Un cinquième et dernier ouvrage, Souvenirs d’un bouquiniste (le seul qui ne soit pas à compte d’auteur), sera édité en 1978 à l’âge d’Homme.

Quand il commence à faire ses visites bimensuelles à la romancière, en 1932, Louis Lanoizelée est donc encore maître d’hôtel rue de Varenne. Il ne peut s’échapper que deux heures dans l’après‑midi et, très vite, remplace les fleurs par une grande tarte, car il sait que les petits‑neveux de Marguerite Audoux sont chez elle le dimanche.

À quatre‑vingt‑neuf ans, Louis Lanoizelée est invité pour une émission à France‑Culture. Il s’éteindra cinq ans plus tard.

Lettres de Marguerite Audoux à Louis Lanoizelée : 360, 365, 367, 372, 384 et 396.

Collection : 1936
Auteur : Fasquelle, Eugène
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1911
Auteur : Mirbeau, Octave
Archives Marguerite Audoux
Sur ses transactions avec Gérault-Richard pour le prix à la ligne de "Valserine", sa santé et Cheverchemont

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sur la dépression d'Alice Mirbeau et la publication de Valserine

Collection : 1911
Auteur : Bachelin, Henri
Archives Marguerite Audoux
L'affaire Bachelin

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Relation d'une séance de spiritisme - Classement des lettres de Charles-Louis Philippe - Projet de livre

Collection : 1920
Auteur : Fabre, Émile
Archives Marguerite Audoux

Né à Metz le 24 mars 1869 et mort le 25 septembre 1955, Émile fabre, fils d'un régisseur de théâtre, monte à Paris pour devenir, en tant qu'auteur (révélé par Antoine), l'un des principaux représentants du courant réaliste. Il administre la Comédie française de 1913 à 1936 et, en 1916, fonde le fameux Théâtre aux armées, dont la première représentation, le 9 février 1916, a lieu dans une grange de la région de Beauvais avec Béatrix Dussane, Henry Mayer et Julia bartet (dont on avait parlé en février 1911, puisqu'elle jouait à la Comédie française dans Après moi d'Henri Bernstein, la pièce qui suscita des manifestations de l'Action française et vingt‑sept arrestations avant d'être retirée de l'affiche). On notera deux galas de soutien pour ce Théâtre aux armées : le premier le 27 décembre 1916 à l'Opéra comique (Saint‑Saëns y dirige sa Marche héroïque et Gabriel Signoret et Antoine se produisent dans un acte écrit par Tristan Bernard) ; le second en janvier 1917 – on y joue Pour le front, et Réjane interprète La Victoire en chantant. Voir Mémoires du XXe siècle, Bordas, tome deuxième (1910‑1919), 1991, p. 219 (sur cette même page, une gravure montre des actrices en costume donnant des fleurs aux soldats).

Collection : 1910
Auteur : Davilly, Élisabeth
Archives Marguerite Audoux
Critique acerbe de Marie-Claire

Collection : 1911
Auteur : Faure, Élie
Archives Marguerite Audoux
Regrets de ne pas êre avec les Jourdain et Marguerite à Saint-Jean-sur-Mer - Propos médicaux sur une femme, non identifiée, et sur sa propre santé

Collection : 1926
Auteur : Rocher, Edmond
Archives Marguerite Audoux
Edmond André Rocher (né en 1873) est illustrateur, lithographe, graveur et écrivain. Il expose au Salon des Artistes français. Léautaud précise, dans son Journal, que Pergaud lui a donné un manuscrit de La Guerre des boutons (celui de la « remise au net »). [Léautaud, Paul, Journal, Mercure de France, 1986, tome deuxième, p. 975 (Vendredi 20 mai 1932)].


Collection : 1910
Auteur : Gide, André
Archives Marguerite Audoux
Réédition de La Mère et l'Enfant



Collection : 1910
Auteur : Gide, André
Lettre d'André Gide à Marguerite Audoux
Traduction de Marie-Claire en allemand - Calomnie de Madame Tournayre - Réaction de Paul Claudel à la lecture de Marie-Claire

Collection : 1911
Auteur : Gide, André
Archives Marguerite Audoux
L'affaire Bachelin

Collection : 1911
Auteur : Gide, André
Archives Marguerite Audoux
L'affaire Bachelin (suite et fin)

Collection : 1930
Auteur : Gossez, Alphonse-Marius
Archives Marguerite Audoux
Demande de renseignements pour des Morceaux choisis

Collection : 1923
Auteur : Mirbeau, Alice
Archives Marguerite Audoux
« André Baillon (Anvers, 1875 ‑ Saint-Germain-en-Laye, 1932), écrivain belge de langue française, a signé quelques-uns des plus beaux livres de l'entre-deux-guerres: En sabots, Histoire d'une Marie, Un homme si simple, Délires, Le perce-oreille du Luxembourg... Chefs-d'œuvre de style, d'ironie et de sensibilité, ils composent la poignante confession d'un solitaire écorché, cerné par le désespoir et la folie, mais sauvé par l'obsédante passion d'écrire et par un humour libérateur. Si certains de ses livres ont fait l'objet de rééditions récentes, ainsi que de traductions néerlandaises, d'autres sont encore difficilement accessibles, et l'importance de son œuvre reste méconnue. »
(Renseignements obtenus auprès de l'Association Présence d'André Baillon).
On notera qu'André Baillon n'est pas sans avoir des points communs avec Mirbeau : enfance difficile, études chez les jésuites, liaisons malheureuses, dépressions… En 1923, année de cette lettre, après s'être lancé dans une relation compliquée et ambiguë avec sa belle‑fille de seize ans, Baillon sombre une fois de plus et est interné à la Salpêtrière. L'invitation faite à André Baillon est consécutive à la lettre (non retrouvée) que Charles Vildrac a envoyée à Marguerite Audoux, qui l'a elle‑même fait suivre à Mme Mirbeau. D'où cette lettre (même cote) d'Alice Mirbeau à Charles Vildrac, écrite le même jour que celle adressée à la romancière :
« Cher Monsieur,
Marguerite Audoux m'a envoyé votre lettre et l'appel pour M. Baillon est si pressant que depuis deux jours je cherche comment faire pour qu'il vienne tout de suite ici.
J'ai trouvé. À cinquante pas de mon pavillon habitent, dans une gentille maison à eux, un ancien jardinier et sa femme très bonne cuisinière, propre et agréable. Ils ont une jolie chambre où ils reçoivent l'été un pensionnaire. M. Baillon sera très bien soigné et entre les repas il vivra à la Fondation [un groupe de mots illisible] et le moment arrivera vite où il ne sera plus seul.
Je ferai de mon mieux pour qu'il ne s'ennuie pas.
Dites‑moi quel jour il arrivera.
Il pourrait prendre un train à 1h 50 gare St Lazare pour Triel, je le ferai chercher et voilà.
Croyez, Cher Monsieur, à mes meilleurs sentiments.
A. Octave Mirbeau »

(Lettre due à l'aimable vigilance de Pierre Michel)

Collection : 1935
Auteur : Fournier, Albert
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 370

Collection : 1935
Auteur : Fournier, Albert
Archives Marguerite Audoux
Marrainage d'élèves de Cahors

Collection : 1920
Auteur : Fournier, Albanie
Archives Marguerite Audoux
Remerciements pour L'Atelier de Marie-Claire - Alain-Fournier - Critique mitigée du livre reçu

Collection : 1910
Auteur : Alain-Fournier
Archives Marguerite Audoux
Envoi de l'article de Rachilde sur Marie-Claire - Passages recopiés de lettres de paysans qui admirent Marie-Claire

Collection : 1911
Auteur : Alain-Fournier
Archives Marguerite Audoux
Pèlerinage à bicyclette d'Alain-Fournier à la ferme de Berrué, cadre principal de Marie-Claire

Collection : 1913
Auteur : Alain-Fournier
Archives Marguerite Audoux
Demande de collaboration avec Le Cardonnel

Collection : 1909
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Rangement des affaires de Charles-Louis Philippe, congé à donner pour l'appartement

Collection : 1909
Auteur : Gide, André
Archives Marguerite Audoux
Préparation du numéro spécial de la NRF du 15 février 1910 consacré à Charles-Louis Philippe

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voiture automobile - Pèlerinage - Hôpital général de Bourges - Sologne - Émotion

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1913
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Brochet reçu - La Maison blanche - Article d'Agathon sur Werth - Leur opposition - Hémiplégie de Mirbeau - Le Grand Meaulnes - Alain-Fournier - " Valserine " - Projet d'édition de nouvelles - Conseils de remèdes - Jean et Louise

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