FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (5) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henri Perre, 11 octobre 1861
Godin demande à Perre s'il a les compétences pour exercer la direction du travail de la fonderie, quelle est son expérience et quel est le montant des appointements qu'il prétend obtenir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 7 mars 1858
Sur les conditions de rémunération de Jacques-Nicolas Moret. Godin expose à son cousin les nouvelles conditions de rémunération de l'emploi qu'il occupe à Guise. Godin et Moret avaient convenu d'appointements fixes de 3 600 F par an. Godin propose à Moret de lui verser 2 000 F d'appointements fixes, avec en plus 0,25 % du produit général des ventes de la manufacture et la somme des économies et des améliorations qui auraient été réalisées dans les ateliers pendant un an. Pour illustrer cette dernière part de rémunération, Godin prend l'exemple de la nouvelle manière de faire les boulons introduite par Moret, qui a porté sa rémunération à 4 253 F en 1857. Il précise finalement que la rémunération de Moret ne pourra être inférieure à 3 600 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 12 avril 1856
Sur le déménagement de Jacques-Nicolas Moret à Guise. Godin informe Jacques-Nicolas Moret qu'à la suite de sa dernière lettre, il a réservé la maison qu'il occupera à Guise. Il lui demande de lui communiquer la quantité et le poids des meubles qu'il va expédier à Saint-Quentin pour les faire prendre à Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 16 avril 1856
Sur le déménagement de Jacques-Nicolas Moret à Guise. Godin décrit à Jacques-Nicolas Moret la possibilité de faire transporter ses meubles par un voiturier de Brie-Comte-Robert jusqu'à Guise, en particulier un voiturier nommé Delavierre qui se trouvera le samedi suivant à l'hôtel Saint-Magloire au 166, rue Saint-Denis à Paris.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 19 mars 1856
À propos d'une maison d'habitation à Guise pour Jacques-Nicolas Moret. Godin annonce à son cousin qu'il vient de visiter une maison convenable près de son établissement de Guise, dont le loyer est de 300 F, qui comprend 5 pièces habitables, un grenier, une cave, une pompe, un beau petit jardin donnant sur la rivière. Il lui demande de lui faire savoir quand sa liquidation se réalisera pour pouvoir réserver la maison si c'est encore possible. Il informe Jacques-Nicolas Moret qu'en raison de son mauvais état de santé, il n'a pas répondu à Jules et Charles qui lui demandaient un emploi, qu'il ne peut leur offrir, et il le prie de l'excuser auprès d'eux. Il ajoute qu'il est encore d'une santé fragile et attend le retour du printemps pour se rétablir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 28 avril 1856
Sur le déménagement de Jacques-Nicolas Moret à Guise. Godin avertit Jacques-Nicolas Moret qu'il serait onéreux de transporter 1 000 à 1 200 kg de meubles à partir de Brie et qu'il vaut mieux qu'il les expédie à Paris. Il précise que son voiturier Delavierre sera à Paris le 5 ou le 6 mai et que lui-même s'y trouvera le 30 avril et qu'il descendra à l'hôtel Voltaire, sur le quai Voltaire, où Moret pourra le retrouver.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 28 mars 1856
Godin répond à une lettre de Jacques-Nicolas Moret qui semble exprimer des regrets de s'être engagé à venir travailler avec lui à Guise. Godin examine les raisons de ces regrets : la cession de son fonds de commerce et de son atelier, et la vente de sa maison. Il conclue ainsi : « Cela revient à dire : examinez quelle indemnité il vous faudrait pour quitter votre établissement et attendre l'occasion de vous en défaire. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques Collery, 11 novembre 1859
Godin autorise Jacques Collery à entrer en possession de la maison et du terrain enclos vendus par sa belle-mère au prix de 12 000 F et à jouir des terrains loués pour 1 650 F. Il promet de venir prochainement au Fayt pour réaliser la vente devant notaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Charles Édouard Chenest, 5 février 1863
Sur l'éclairage au gaz de la ville de Guise. Godin écrit à Chenest après avoir eu une entrevue avec lui. Godin établit le prix de revient du gaz par une compagnie pour éclairer la ville et servir les particuliers et les industries.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Charles Édouard Chenest, 11 juin 1863
Sur l'éclairage au gaz de la ville de Guise. Godin explique à Chenest qu'il considérait l'affaire du gaz comme une affaire enterrée, mais qu'il revient vers lui en raison de leurs bonnes relations et bien que la rumeur dit qu'il n'aurait pas tout dit sur la question quand il lui fit l'offre de lui abandonner l'éclairage de la ville. Il lui rapporte que la rumeur prétend que l'éclairage de la ville était pour lui une occasion de supprimer son gazomètre du faubourg et que la commission formée à l'hôtel de ville aurait été orientée en défaveur de la proposition des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : « J'ai donc dû me retirer en présence des secrètes difficultés qui ont surgi cette fois comme elles surgissent toutes les fois qu'il s'agit de quelque chose dans lequel (sic) j'ai une participation à prendre dans notre petite ville. » Godin assure Chenest qu'il peut avoir confiance en lui et que leurs intérêts ne sont pas opposés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste François Ragot, 26 novembre 1856
Godin demande à Ragot des renseignements sur madame veuve [nom indéchiffrable] qui demeurait autrefois chez son gendre monsieur Gant à Reims. Godin souhaite savoir si la dame est vivante, si elle se porte bien et si elle a quitté Reims. Godin précise que ces renseignements lui sont demandés par un de leurs amis en Amérique.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jérôme Patret, 5 mai 1856
Godin demande des renseignements sur Alfred Boureau, ancien employé des usines de Patret et candidat à un poste de direction dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Delbruck, 5 juillet 1862
Godin demande à Delbruck de le représenter à l'assemblée générale des actionnaires de la Société de colonisation européo-américaine du Texas du 12 juillet 1862 pour le montant de ses actions et de celles de son fils et de sa femme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Delbruck, 11 juillet 1863
Godin donne pouvoir à Delbruck de le représenter à l'assemblée générale de la Société européo-américaine du Texas pour les actions qu'il détient et celles de sa femme et de son fils.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Delbruck, 25 novembre 1862
Godin répond à une lettre de Delbruck du 15 novembre 1862, qui lui propose de s'associer à un projet. Godin explique qu'il n'a pas suffisamment d'éléments pour pouvoir l'apprécier et juge : « Pionniers d'une même idée, il nous appartient à tous dans notre sphère d'en attaquer les difficultés : vous les abordez par le côté de la richesse, et moi par celui de la misère et de la pauvreté ; il y a là une distance trop grande pour que nous fassions cause commune tout d'abord. » Il indique qu'il réclame le silence sur ce qu'il entreprend à Guise, aussi ne veut-il pas livrer son nom à la publicité. Il annonce qu'il prépare un livre qui fera connaître ses travaux, « mais à tort ou à raison, je désire bien vivement que jusque-là les journalistes ne s'occupent pas de moi ». Il lui indique enfin qu'il est tellement occupé qu'il ne se rend plus à Paris. Dans le post-scriptum, il ajoute qu'il aurait plaisir à le voir à Guise à la condition de respecter le silence sur ce qu'il y fait.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Lombard, 4 octobre 1861
Godin questionne Jules Lombard sur ses aptitudes à la direction de la fonderie de son usine de Guise et sur son caractère, et il lui demande à quels appointements il prétend pour cet emploi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Sauvage, 11 octobre 1861
Godin demande à Sauvage ses références professionnelles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Laffite, Bullier et Cie, 1er novembre 1862
Godin demande à Laffitte, Bullier et Cie de publier dans les journaux Le Siècle, L'Opinion nationale, La Presse, Le Constitutionnel, La Patrie et Le Temps une offre d'emploi pour un artiste sculpteur connaissant les formes applicables à l'ameublement et le modèle pour la fonte de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Laffite, Bullier et Cie, 13 mai 1862
Godin demande à Laffitte, Bullier et Cie de faire paraître dans différents journaux une offre d'emploi pour un jeune homme capable de diriger industriellement et commercialement une usine de fonderie en Belgique et pour un jeune homme capable de diriger la construction et la réparation de l'outillage mécanique d'une usine en France comprenant plusieurs machines à vapeur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Laffite, Bullier et Cie, 17 mai 1862
Godin adresse à Laffitte, Bullier et Cie un paiement de 100 F sur le Comptoir d'escompte de Paris pour la publication d'une offre d'emploi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Laffite, Bullier et Cie, 20 janvier 1863
Godin demande à Laffitte, Bullier et Cie de publier dans les journaux Le Siècle, L'Opinion nationale, La Presse, Le Constitutionnel, La Patrie et Le Temps une offre d'emploi pour la direction et la surveillance du travail d'une exploitation rurale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Léonce Wateau, 14 mai 1856
Sur l'acquisition du Clos Dauphin à Guise. Godin discute de la proposition que Guérin a faite à Borgnon pour l'acquisition du Clos Dauphin, d'une superficie proche de 5 hectares : le prix de 42 000 F lui semble élevé compte tenu des travaux d'un montant de 300 000 à 400 000 F qu'il faudrait faire pour protéger le terrain des crues de la rivière, et en comparaison avec le prix des terrains contigus sur la route de Bohain qui se vendent moins de 5 000 F l'hectare. Godin indique à Wateau qu'il ne fera pas d'offre supérieure à 42 000 F, qu'il souhaite faire rapidement l'acquisition, qu'il paiera la somme entière après régularisation du contrat, qu'il veut jouir immédiatement de la propriété sans réserve, et qu'il tient à rester inconnu dans cette affaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Léon Jeannin, 25 novembre 1861
Godin répond à Léon Jeannin, candidat à l'emploi d'économe du Familistère. Godin lui explique qu'il conduit son expérience de cité ouvrière avec économie, mais qu'il se refuse à fixer les appointements de ses employés et qu'il revient aux candidats d'exprimer leurs besoins. Il indique qu'il a payé jusqu'ici son économe 2 000 F par an, mais qu'un employé à 1 500 F aurait pu remplir l'office, et il constate que la somme est éloignée de ce qu'il gagnait dans les Pyrénées-Orientales.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis-Joseph Wallerand, 26 décembre 1861
Godin demande à Wallerand des renseignements sur Boullet, commis dans sa ville, autrefois comptable à la verrerie de Masnières près de Cambrai, et candidat à l'emploi d'économe de la cité ouvrière fondée à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Carlier, 22 décembre 1860
Godin observe que Louis Carlier lui écrit avoir des capacités en mécanique plutôt qu'en fonderie. Il lui demande s'il se sent apte à pratiquer l'art du fondeur mouleur, et il souhaite obtenir des informations sur sa situation personnelle et savoir à quels émoluments il prétend.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Jacques, 22 décembre 1860
Godin répond à une lettre de Louis Jacques du 18 décembre 1860. Il lui demande des renseignements sur sa situation personnelle et ses capacités en comptabilité appliquée à une production industrielle. Godin souhaite connaître à quels émoluments prétend Louis Jacques.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Jacques, 22 janvier 1861
Godin écrit à Louis Jacques après qu'il a reçu la visite de monsieur Forget et l'invite à venir à Guise s'entretenir avec lui de l'emploi qu'il désire occuper dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui précise qu'il pourra lui fournir un logement et un jardin contre un loyer comme aux autres employés, mais qu'il pourra lui accorder une compensation financière.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Michel de Figanières, 5 août 1858
Godin répond à une lettre de Louis Michel de Figanières. Il lui explique que la foi aveugle ne lui suffit pas et qu'il a le besoin de comprendre la théorie de la Clef de la vie et d'obtenir des preuves de la vérité de son système cosmogonique. Godin fait référence à Swedenborg, qu'il cite. Il informe qu'il a entrepris une nouvelle lecture de la Clef de la vie avec son fils en raison de la valeur humanitaire du livre. Godin évoque sa contribution à l'accomplissement de la théorie de la Clef de la vie encouragée par Louis Michel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Michel de Figanières, 25 juillet 1858
Sur le livre Clef de la vie et la spiritualité de Godin. Godin indique à Louis Michel qu'il est depuis 5 ans sous l'impression de manifestations occultes de formes diverses. « Porté à admettre que les choses de ce monde ne sont pas seulement conduites par les hommes et le hasard, je crus dès l'origine de ces manifestations à l'intervention divine au milieu des choses humaines, et pendant quelque temps j'ai avidement espéré que le remède aux maux de notre triste humanité allaient recevoir par cette voie leur remède. Des communications aussi peu intelligentes qu'obscures dans leur but m'obligèrent à me retrancher dans le peu de bon sens que je possède et d'attendre de nouvelles lumières. » Godin explique à Louis Michel qu'il a trouvé dans la Clef de la vie une doctrine suivant son cœur et qu'il a été témoin rue du Hasard à Paris de communications spirituelles avec les hommes. Il lui confie qu'une communication spirituelle, qu'il transcrit dans la lettre, l'a enjoint à « entrer en rapport avec celui qui est à la fois la voix et le pouvoir du grand-père de tous », qui lui semble désigner Louis Michel lui-même. Godin exprime son souhait de correspondre avec Louis Michel.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Michel de Figanières, 25 novembre 1858
Godin répond à la lettre de Louis Michel du 19 novembre 1858. Godin communique à Louis Michel ses observations sur la théorie de la Clef de la vie après avoir rencontré ce dernier. Il explique qu'il cherche à comprendre par l'intelligence le principe de la vie exposé dans le livre, qui repose sur l'existence d'hominicules infiniment petits. Godin explique qu'il a vainement cherché l'explication de ces hominicules et qu'il se méfie des déceptions causées par les manifestations occultes des dernières années. Il indique qu'il a pu lire des chapitres inédits des nouvelles inspirations de Louis Michel que ce dernier lui avait communiqués pour écarter ses doutes, mais qu'il n'a pu trouver de certitude dans cette lecture de chapitres qui contredisent les lois mathématiques. Godin pense que l'arithmétique, la géométrie, la mécanique, les mathématiques sont d'ordre divin et valent dans tous les mondes, et il est convaincu que l'organisation véridique des sociétés humaines repose sur la connaissance des lois naturelles. Il demande à Louis Michel si ce qu'il dit de la planète inconnue peut suffire à fonder l'organisation sociale fraternelle et l'organisation du travail dans toutes les branches industrielles. Il laisse entendre que la Clef de la vie n'est pas suffisamment intelligible. Godin subordonne l'obtention de son concours à la recherche des moyens d'être plus directement utile à l'humanité. Dans la marge gauche du folio 108r, Godin indique qu'il joint 13,50 F à sa lettre pour l'envoi d'un exemplaire de la Clé de la vie à Pommerose Moret à Crécy en Seine-et-Marne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Miroux, 21 juillet 1863
Godin recommande à Miroux qui est parti sur les traces d'autres voyageurs de se garder de ne faire aucune appréciation sur ceux-ci. Il lui demande des renseignements sur les produits offerts par monsieur Poirier autres que ceux des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Dans le post-scriptum, Godin demande à Miroux d'aller visiter Craon, à côté de Château-Gontier, où se trouvent trois marchands de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Miroux, 22 décembre 1860
Godin répond à une lettre de candidature de Louis Miroux du 15 décembre 1860 en lui demandant des renseignements sur sa situation personnelle et sur ses capacités en comptabilité ; il lui demande également les émoluments auxquels il prétend et l'époque à laquelle il sera disponible.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 4 février 1863
Godin relate à Oudin-Leclère que son fils vient d'être condamné à Guise à un an de prison et A. Vigerie à 3 jours de prison après s'être rendus au bal du lundi gras. Il voit dans l'événement un effet de la jalousie à son égard. Il explique que son fils s'est battu avec un jeune homme et le propriétaire de la salle du bal et que Vigerie s'en est mêlé. Godin demande à Oudin-Leclère s'il faut faire appel du jugement : « Sans doute s'incliner et s'exécuter, car les passions qui tirent les ficelles et restent derrière le rideau à Guise n'auraient-elles pas la puissance d'agir jusqu'au tribunal de Vervins. » Il précise que Vigerie se trouve actuellement à Bruxelles et il voudrait que son fils puisse l'y rejoindre. Il informe Oudin-Leclère qu'un ordre daté du 3 février les enjoint à se rendre en prison sous huit jours.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 8 août 1862
Godin remet à Oudin-Leclère une assignation au tribunal par un employé des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique qu'il s'était mis d'accord avec lui pour qu'il trouve un emploi ailleurs, mais qu'il va soutenir qu'il a été renvoyé sans motif et que par ce chantage il va tenter d'obtenir une somme. Il demande à Oudin-Leclère si l'affaire va se plaider le 12 août et s'il est nécessaire qu'il se rende à Vervins.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 13 décembre 1863
Godin communique à Oudin-Leclère copie d'un extrait d'une lettre que Versigny lui a écrite sur la conduite à tenir lors de la première audience de l'affaire de séparation avec Esther Lemaire. Godin demande à Oudin-Leclère de fournir à Versigny les renseignements qu'il demande sur la procédure. Il lui annonce qu'il lui enverra prochainement l'examen sommaire fait par Versigny des faits présentés par Esther Lemaire. Godin rappelle à Oudin-Leclère ses bons services pour le sauver d'un mauvais procès à Vervins et croit qu'il agira avec le même soin dans cette affaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 17 mars 1863
Godin transmet à Oudin-Leclère un pouvoir de Guérin au sujet de la créance Lasserre qui s'élève à 4 000 F plus les intérêts à 5 % depuis le 1er juillet 1861. Il lui demande s'il vaut mieux confier ses intérêts à Vilcocq ou à Duchesne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 22 novembre 1863
Godin demande conseil à Oudin-Leclère sur ce qu'il doit faire à l'égard de la chanson diffamatoire qui semble liée au scandale fait par sa femme pour introduire une demande en séparation : « On a chanté cette chanson dans des cafés et on l'a fait copier publiquement sous la dictée des chanteurs. » Dans un long post-scriptum, il informe Oudin-Leclère : que sa femme avait fait appeler le brigadier de gendarmerie par son frère Lemaire dans la soirée du mercredi, jour de son scandale, pour dresser procès-verbal d'une tentative d'étranglement ; que le brigadier a mené au Familistère une enquête de sa propre initiative semble-t-il ; que le procureur impérial lui a dit qu'il ne pouvait être saisi de ces faits qu'à l'audience.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 26 mars 1863
Sur l'affaire Émile Godin et Vigerie. Godin envoie à Oudin-Leclère les pièces de l'affaire. Il l'informe que monsieur Hennequierre recommande de ne pas faire appel, car il pense que la peine de prison pourra être portée à son maximum. Il lui annonce que Vigerie se propose d'aller le voir dimanche ou un autre jour avec lui-même qui doit rendre visite à monsieur Vilcocq pour lui présenter l'affaire sous son véritable jour.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 28 novembre 1863
Godin remet à Oudin-Leclère les deux assignations que sa femme lui a fait délivrer et lui demande conseil. Il informe Oudin-Leclère que sa femme a déposé plainte pour adultère, mais qu'il n'en connaît pas les motifs. Il lui demande des renseignements sur ce point et de lui faire savoir quand l'affaire sera appelée au tribunal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame la comtesse de Lapanouse, [1860]
Godin cherche à convaincre la comtesse de Lapanouse de lui vendre des terrains près de son usine de Guise pour y établir des jardins potagers cultivés par le personnel de l'usine en remplacement des jardins supprimés par l'agrandissement des ateliers. Godin présente cette vente comme un acte de bienfaisance.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame Perre, 4 octobre 1861
Godin informe madame Perre que les appointements attachés à l'emploi qu'il offre en ce moment dans son usine n'ont rien à voir avec ceux de la personne candidate. Il indique que celui-ci pourrait prétendre à un emploi supérieur dans son usine s'il réunissait une capacité de direction manufacturière à celle de bon administrateur et s'il était doté d'un caractère facile.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame Piétremont, 1er juillet 1862
Godin demande à des nouvelles à madame Piétremont, qui devait arriver à Guise à la fin du mois de juin selon Vigerie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame Piétremont, 8 juin 1862
Godin exprime son regret que madame Piétremont ne puisse venir plus tôt à Guise. Il l'avertit que Vigerie la verra le mardi ou le mercredi suivant pour faire le choix du mobilier de l'asile.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à mademoiselle Joséphine, 23 avril 1861
Godin répond à une lettre de Joséphine. Il lui accorde son pardon pour le mal qui lui a été fait sans pour autant rendre son estime aux personnes coupables d'actes qu'il condamne et méprise. Après que Joséphine a utilisé une lettre anonyme pour insulter d'honnêtes gens, il ne peut reprendre Joséphine au service de sa maison.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie Lemaire, 26 octobre 1859
Godin explique à sa belle-mère que Jacques Collery, venu à Guise, a accepté les conditions qu'il lui avait faites au Petit-Fayt pour la vente de sa maison : prix de vente de 12 000 F et location de terrains pour 1 650 F par an. Godin précise les conditions d'amendement des sols : demi-fumure tous les 3 ans, l'année des céréales.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie Lemaire, 27 novembre 1863
Godin informe sa belle-mère que sa lettre à Esther n'a servi à rien selon Charles, aussi il ne lui a pas demandé de venir à Guise pour la raisonner : « Esther n'écoute plus que la voix de la haine et elle est sourde à tout sentiment venant de la cour ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie Pape-Carpantier, 1er juillet 1862
Godin explique à Marie Pape-Carpantier qu'il est sans nouvelles de la directrice d'asile qu'elle avait choisie. Il lui demande si elle connaît la cause de son retard ou si elle peut lui indiquer une autre personne. Il lui fait part de sa crainte que le retard de madame Piétremont a un motif non avoué.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie Pape-Carpantier, 5 juillet 1862
Godin explique à Marie Pape-Carpantier qu'il lui est difficile de faire un choix parmi les personnes qu'elle a désignées. La veuve, qui a un enfant, lui semble préférable, car elle a un diplôme que la demoiselle Tella, qui sait chanter, ne possède pas. Godin s'en remet à Marie Pape-Carpantier pour le choix.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie Pape-Carpantier, 19 mai 1862
Godin informe Marie Pape-Carpantier qu'il est prêt à accueillir la personne qu'elle a choisie pour la direction de l'asile du Familistère. Il indique qu'une chambre a été préparée et que la salle d'asile est en cours d'installation. Il précise qu'il pourra prendre en charge ses frais de déplacement, mais que ses frais de déménagement de meubles seront à la charge de la personne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie Pape-Carpantier, avril 1862
Godin répond à la lettre de Marie Pape-Carpantier du 1er avril 1862. Il lui explique que l'asile dispose d'un local, mais qu'il est dépourvu des dispositions matérielles, bancs, gradins et autres meubles. Godin demande à Marie Pape-Carpantier si l'installation matérielle doit être complète avant d'accueillir la personne responsable qu'elle propose. Il accorde des appointements de 1 000 F à la responsable de l'asile ; il juge la somme un peu lourde, mais ne veut pas compromettre l'œuvre par une fausse économie. Godin s'en remet à Marie Pape-Carpantier pour le choix de la personne. Il précise qu'on peut louer au Familistère une chambre de 3,75 m par 4,50 m au prix de 4 F à 4,50 F par mois. Il lui signale qu'il a reçu le livre de Marie Pape-Carpantier sur les asiles, dont l'esprit le touche.
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