FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Moret_Registre de copies de lettres envoyées_FAM 2005-00-122 (Correspondance active de Marie Moret)

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet des travaux à faire dans le jardin de la propriété de Marie Moret à Lesquielles. Marie Moret espère qu'Émile Venet a pu poser le treillis à la haie du petit jardin et fait le point sur le reste des travaux à mener par lui et Émile Tettier : réparation du mur de cailloux ; soin des allées ; coupe des clématites ; déplacement des rejetons d'acacias épineux dans la haie.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Émile Venet de sa lettre du 18 février 1900 l'informant qu'il s'est occupé de clouer la porte du cabinet d'aisances du jardin [de sa propriété de Lesquielles]. Elle le prie de mettre le treillage à la haie du jardin et lui demande l'envoi du mémoire une fois les travaux effectués, pour règlement.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe son correspondant qu'elle écrit à Émile Tettier au sujet des travaux [de jardinage dans sa propriété de Lesquielles] à effectuer avant les gelées. Si celui-ci est toujours malade, elle prie Émile Venet de l'en informer. Elle lui demande aussi si le système pour la prise d'eau dans la citerne a bien été posé conformément au souhait du maire de Lesquielles-Saint-Germain.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prie Émile Venet-Baudeville de lire la lettre jointe avant de la remettre à monsieur Guiard, maire de Lesquielles-Saint-Germain, puis de s'entendre avec lui pour les travaux [concernant l'accès à la citerne d'eau de la propriété de Marie Moret pour le chantier des écoles].

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à Émile Venet-Baudeville de lui confirmer la remise de sa lettre du 21 octobre 1899 à monsieur Guiard, maire de Lesquielles-Saint-Germain, et si les travaux se déroulent comme convenu dans cette lettre.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret confirme à son correspondant l'utilité de protéger l'ouverture de la citerne [de sa maison de Lesquielles-Saint-Germain] par un couvercle percé pour le tuyau de la pompe. Elle demande à Venet de faire au maire de Lesquielles la proposition du couvercle percé. Si le maire accepte l'idée, elle demande que soit mis en réserve le couvercle d'origine en fonte de la citerne. Elle informe Émile Venet-Baudeville de son accord avec Émile Tettier au sujet de l'orme à couper.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret fait part à Émile Venet de son souhait de se rendre à Lesquielles-Saint-Germain mais le mauvais temps l'en empêche. Elle prie son correspondant de lui dresser son mémoire des travaux et celui d'Émile Tettier s'il a terminé les travaux du jardin, afin qu'elle puisse les régler.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet de l'édition de la brochure Le Familistère illustré à Genève : Marie Moret confirme sa lettre de la veille, 7 juin 1900 ; elle a reçu une carte de Louis-Victor Colin adressée à Marie-Jeanne Dallet, la prévenant qu'il a demandé à monsieur Waton de Saint-Étienne d'envoyer au plus vite à la Société des arts graphiques de Genève la planche sélectionnée par Marie-Jeanne ; Marie-Jeanne peut donc contacter la Société des arts graphiques de Genève pour donner l'autorisation de reproduction de la planche dans la brochure, de la part de la Société du Familistère et de « Made Vve Godin ». Marie Moret espère que sa nièce et sa sœur s'amusent et se reposent, le temps est moins gris mais toujours froid, les fleurs embaument les jardins et les pompiers et les musiciens sont revenus au Familistère. Elle continue sa lettre à 10 h du matin. Elle accuse réception de la lettre d'Émilie Dallet, ne peut accorder plus de temps à sa correspondante et la prie de ne pas s'y consacrer longtemps non plus. Elle déplore que le temps se gâte. Accaparée par son travail, Marie Moret ne peut dire à sa sœur si elle a senti que celle-ci était en train de lui écrire la veille ; « Ces choses sont si délicates qu'il faudrait n'avoir qu'elles en tête pour les suivre comme il faudrait. » Enfin, elle demande des nouvelles d'Eugénie Louis, d'Adèle Herbron et de Marie-Jeanne Dallet à qui elle transmet sa tendresse.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret confirme sa lettre de la veille. En rentrant d'une promenade avec Héloïse et Flore Moret, Marie Moret a trouvé un télégramme de sa sœur et de sa nièce la prévenant de leur nouvelle adresse : hôtel de Thionville et de Chartres, au 60, rue de Bourgogne à Paris. Une lettre de Jules Pascaly signale que l'hôtel est au numéro 58 de la rue, ce que confirme une vérification dans l'« Évangile Bottin », et qu'il existe également un autre Hôtel Thionville à Paris. Marie Moret espère que cette lettre parviendra bien à sa destinataire. Donne des nouvelles : elle est occupée par son travail et ne fait rien d'autre ; a bien reçu la carte de Marie-Jeanne Dallet, qui parle de promenade au bord de la Seine et de la chaleur, et la lettre d'Émilie Dallet ; ne peut déterminer l'heure de rédaction de la lettre d'Émilie Dallet ; a conversé avec Héloïse de sa famille, de philosophie et de sciences. Elle transmet son souvenir à [Lorraina] et remercie Émilie des nouvelles de leur entourage parisien. Elle la prévient du départ de Jules Demolon et de sa famille à la campagne. Elle espère que Marie-Jeanne Dallet voit ce qu'elle désire et elle demande des précisions sur l'hôtel où elles résident.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret confirme sa lettre de la veille 6 juin 1900 et accuse réception des deux télégrammes l'informant de la bonne arrivée d'Émilie Dallet à Corbeil. Marie Moret invite sa sœur et sa nièce à ne pas s'attarder sur leur correspondance avec elle : il lui suffit de savoir qu'elles vont bien. Elle donne de ses nouvelles : tout va bien à Guise, même brouillard que la veille ; elle échange avec Gaston Piou de Saint-Gilles au sujet de découvertes scientifiques pour « Matière, mode de mouvement ». Le courrier apporte la lettre de « Ti » datée de la veille, une lettre du Bon Marché que Marie Moret joint à celle-ci et un paquet d'imprimés adressés à Marie-Jeanne Dallet. La deuxième partie de la lettre est la réponse à la lettre de Marie-Jeanne Dallet du 6 juin 1900. Marie Moret a transmis la lettre de remerciements de Marie-Jeanne Dallet à Louis-Victor Colin tout en le priant de presser l'envoi d'un cliché à Genève où sa brochure est en cours d'impression. Marie Moret fait la même recommandation que précédemment, d'abréger ses lettres puisque « les particules s'en dégagent... indéfiniment. » Elle accuse réception des impressions envoyées par Marie-Jeanne, déplore le temps « d'un gris de Novembre » mais se réjouit que le « Docteur » soit auprès d'elles à Corbeil. Sur Léon Quent et sur le départ de plusieurs personnes du Familistère pour Paris à la Saint-Médard. Marie Moret espère voir Flore Moret et Héloïse à cette occasion.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Eugénie Louis pour sa lettre datée du 9 février 1900 et la prévient du prochain retour de la famille Moret-Dallet au Familistère : elle confie aux bons soins de sa correspondante la préparation de leurs appartements et la prie de lui signaler toute observation qu'elle aurait à faire à ce propos. Elle signale qu'elle va répondre à une lettre de Buridant.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret confirme la réception de la lettre d'Eugénie Louis adressée à Marie-Jeanne Dallet, datée du 28 décembre 1899, et souhaite revenir dans cette lettre sur des choses discutées avec elle en pensée. La famille Moret-Dallet s'est rendue à la maison où Jacques-Nicolas Moret et Jean-Baptiste André Godin ont travaillé ensemble lorsqu'ils étaient serruriers à Nîmes, pendant leur tour de France en 1836. La maison est située au 1, rue des Trois Maures et 1bis de la rue Jean Reboul, du nom du poète qui a établi sa boulangerie à la place de l'atelier de serrurerie du rez-de-chaussée, désormais vide. Le balcon du premier étage porte toujours les insignes des ouvriers compagnons. Marie Moret raconte qu'elle aime contempler les arènes et s'imaginer son père et Godin dans ces lieux, regardant les mêmes choses. Marie Moret est peinée du décès de la voisine d'Eugénie Louis, madame Legrand-Duchemin, et demande des nouvelles de sa correspondante et du Familistère. Elle la prie de faire lire cette lettre à madame Roger et de lui transmettre ses meilleures amitiés, ainsi qu'à sa famille et aux personnes habituelles.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prévient Eugénie Louis de son retour et celui d'Émilie Dallet au Familistère samedi 26 mai 1900, par le train de 4 h 15 de l'après-midi. Elle l'informe qu'elle va écrire à Henri Buridant pour lui demander de lui avancer si besoin les frais nécessaires à la préparation de leur appartement, qu'elle confie à ses bons soins. Flore Moret est invitée à partager leur repas à leur arrivée mais elles ne seront que trois car Marie-Jeanne restera à Paris dans leur famille pour visiter l'Exposition universelle. Elle prévient sa correspondante de l'arrivée de colis et de malles au nom de Buridant. Marie Moret et Émilie Dallet se réjouissent de revoir bientôt Eugénie Louis et Marie-Jeanne Dallet lui transmet son cordial souvenir. Toute la famille et Auguste Fabre lui envoient, ainsi qu'à mesdames Roger et Allart, leurs meilleures pensées.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie sa correspondante pour ses vœux de bonheur à l'occasion de la nouvelle année et lui adresse, ainsi qu'à madame Roger, ceux de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre. Donne des nouvelles : il fait aussi froid à Nîmes, la santé est bonne et elle est « toute à mon "vrai travail" ». Les jours qui se rallongent rappellent à Marie Moret les matins ensoleillés au Familistère et les venues d'Eugénie Louis « vive et gracieuse » dans sa chambre. Elle embrasse la fille de madame Louis et transmet ses compliments à sa mère et à son mari.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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N'ayant pas reçu le numéro de juillet-août 1899 des Annales des sciences psychiques dans le cadre de l'échange de service avec le journal Le Devoir, Marie Moret demande à Félix Alcan si le numéro est bien paru et s'il peut le lui envoyer.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prévient Flore Moret de son retour et celui d'Émilie Dallet au Familistère samedi 26 mai 1900, par le train de 4 h 15 de l'après-midi. Une personne attendra Marie-Jeanne Dallet pour la conduire à Corbeil chez des parents où elle prévoit de rester quelques jours pour visiter l'Exposition universelle et faire des promenades. Émilie Dallet l'y rejoindra plus tard, une fois réglées ses affaires au Familistère. Marie Moret, quant à elle, préfère rester « tout à son travail ». Elles ne seront donc que deux à arriver à Guise et Marie Moret prie Flore Moret de se joindre à elles pour le dîner. Elle l'informe qu'elle prévient Eugénie Louis et transmet les salutations d'Auguste Fabre, d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie le docteur Foveau de Courmelles pour l'envoi de sa brochure Les rayons X en pathologie infantile.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Réponse à la lettre du docteur Foveau de Courmelles datée du 13 septembre 1899. Marie Moret lui envoie un exemplaire du numéro d'août 1899 du Devoir et lui présente le journal : presque pas d'abonnés et peu de lecteurs ; placé dans les bibliothèques publiques en vue de l'avenir. Dans le numéro d'août 1899, Marie Moret attire l'attention de son correspondant sur les « Documents biographiques » et l'article sur le livre de P. Boilley qui traitent tous deux de la question de participation du capital et du travail. Cette question ne sera plus abordée car le numéro d'octobre 1899 entre déjà en composition et le numéro de novembre 1899 sera consacré au compte-rendu annuel de l'assemblée générale de la Société du Familistère. Elle s'engage à informer le rédacteur du journal [Jules Pascaly] du congrès au cours duquel le docteur Foveau de Courmelles a présenté ses travaux. Marie Moret aurait souhaité échanger à ce sujet mais elle est trop occupée à la rédaction des « Documents biographiques ».

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe monsieur Lachet du départ anticipé de la famille Moret-Dallet pour Nîmes vendredi matin [10 novembre 1899] par le train de 8 h 50 et lui demande de mettre un camion et deux hommes à disposition en gare pour le transport de leurs malles.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à François Lachet de venir le surlendemain 25 mai 1900 à son domicile chercher les malles de la famille Moret-Dallet à 3 h 45 pour les transporter à la gare des voyageurs de Nîmes. Elle le prie de lui remettre le reçu des trois colis déjà expédiés la veille, utile en cas de réclamations.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Fredrik Bajer pour sa lettre du 26 octobre 1899 et lui envoie plusieurs numéros du journal Le Devoir pour compléter la collection de la Bibliothèque de la paix, à l'exception des numéros de septembre 1891 et d'octobre 1893, épuisés. Elle explique sa volonté de placer des collections du Devoir en France et à l'étranger, « les enseignements sociaux pratiques contenus dans les "Documents pour une biographie complète de J. B. A. Godin" étant de nature à être mieux appréciés plus tard qu'aujourd'hui. » Elle le remercie de l'envoi de son article « The future development of neutrality » qu'elle transmet au rédacteur du Devoir.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie un chèque de 16,75 F à Fumouze frères à ajouter à son crédit de 6 F chez eux pour solder la commande de plusieurs produits de soin et d'hygiène à livrer au 14, rue Bourdaloue à Nîmes : poudre de savon Raspail, brillantine Delabarre, mixture dessicative, glycérolé d'amidon.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie un chèque de 23,25 F pour solder la commande de plusieurs produits de soins et d'hygiène à envoyer au Familistère de Guise : glycérolé d'amidon, ciment Delabarre, savons antiseptiques, poudre de savon Raspail, mixture dessicative, camphre en grumeaux.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Fumouze frères un chèque de 28,40 F pour la commande de plusieurs produits de soin et d'hygiène à adresser au 14, rue Bourdaloue à Nîmes à partir du samedi suivant [11 novembre 1899] : vaseline blanche, savons antiseptiques, pommade camphrée au rhum, poudre de savon Raspail, mixture dessicative Delabarre, camphre.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à Fumouze frères le prix au kilogramme et par 500 grammes du glycérolé d'amidon, en remplacement de la vaseline blanche.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret attend toujours à Nîmes les objets commandés le 5 novembre 1899 chez Fumouze frères et leur demande s'ils n'auraient pas été envoyés par erreur à Guise.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie un chèque de 36,50 F pour solder la commande de plusieurs produits de soin et d'hygiène : savons antiseptiques, glycérolé d'amidon, camphre en grumeaux, brosse à dents, poudre de savon Raspail, brillantine Delabarre et mixture dessicative.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret signale deux erreurs commises dans la livraison des produits commandés par sa lettre du 15 février 1900 : elle a reçu six savons antiseptiques au lieu des douze commandés et six boites de camphre en grumeaux au lieu des trois commandées. À son crédit de 2,75 F, Marie Moret ajoute un chèque de 27,60 F pour solder une nouvelle commande de produits de soin et d'hygiène : glycérolé d'amidon, savons antiseptiques, poudre de savon antiseptique, camphre, brosses à dents.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Envoi d'un chèque de 31,85 F pour la commande de plusieurs produits de soin et d'hygiène : brillantine, savons antiseptiques, mixture dessicative, poudre de savon Raspail, préparation pour eau quadruple Raspail, dragées d'assa-foetida de Raspail, camphre.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret répond à la carte postale de Georges Roustan du 26 avril 1900 : pour répondre à sa demande, elle lui envoie gratuitement la brochure Les prophéties de Fourier de Charles Gide, tiré à part d'un numéro du Devoir aujourd'hui épuisé.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret souhaiterait savoir si les comptes rendus des congrès des associations française et britannique pour l'avancement des sciences, qui ont respectivement eu lieu à Boulogne-sur-Mer et à Douvres en septembre 1899, ont été publiés en français ou, a minima, si les discours de William Crookes ont été publiés dans une revue française comme la Revue générale des sciences pures et appliquées.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception des deux ouvrages commandés et demande l'envoi de deux nouveaux livres : L'Esprit scientifique contemporain par le docteur Foveau de Courmelles et Petite Princesse par Henry Gréville.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de l'ouvrage commandé en février 1900 et passe commande du livre Le mariage : nullité, divorce, grossesse, accouchement de Paul Brouardel. Elle demande aussi l'envoi du relevé de son compte chez Guillaumin et Cie.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret passe commande de l'ouvrage Science et philosophie de Marcellin Berthelot publié chez Calmann-Lévy.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret passe commande de plusieurs ouvrages : Une visite au phalanstère de Mathieu Briancourt, chez madame Garnier où se trouvent les restes de l'ancienne librairie phalanstérienne ; La sagesse angélique sur le divin amour d'Emanuel Swedenborg ; La philosophie chimique par Marcellin Berthelot ; la 5e édition de L'extériorisation de la sensibilité d'Albert de Rochas avec planches en chromolithographie. Elle demande des renseignements sur le meilleur dictionnaire actuel d'embryologie, le meilleur traité de cristallographie et si l'ouvrage d'Edmond Perrier L'embryogénie générale est à la hauteur de la science moderne.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret passe commande de plusieurs ouvrages et périodiques : une édition si possible illustrée et reliée de La justice des choses à adresser à Marie Buridant chez Henri Buridant au Familistère de Guise ; pour elle-même au 14, rue Bourdaloue, Nîmes, Les vierges fortes par Marcel Prévost et le numéro de septembre-octobre 1898 des Annales des sciences psychiques contenant le discours de William Crookes au congrès de l'Association britannique pour l'avancement des sciences.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception des livres commandés mais signale une erreur sur le livre de Mathieu Briancourt : elle demande le volume très ancien Visite au phalanstère et non Visite au Familistère qui n'existe pas et rappelle qu'un exemplaire se trouve peut-être dans les restes de l'ancienne librairie de l'École sociétaire, chez madame Garnier. Elle passe commande de deux autres livres : Précis d'embryologie de Frédéric Tourneux et Synthèse chimique de Marcellin Berthelot.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception du livre commandé le 7 mars 1900, passe commande du livre The Oneida Community par Allan Estlake et prie Guillaumin et Cie de demander l'adresse de l'auteur à l'éditeur G. Redway à Londres.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret commande deux ouvrages à expédier à Nîmes : Science et morale par Marcellin Berthelot chez Calmann-Lévy et Fourmis, abeilles et guêpes par Sir John Lubbock chez Félix Alcan.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret passe commande du livre Sur les phénomènes de la vie écrit par Claude Bernard et demande s'il existe une traduction française de la troisième édition du livre The evolution of sex de Patrick Geddes et Arthur Thomson, cette nouvelle édition ayant été revue. En post-scriptum, elle commande également le premier numéro de la Revue de morale sociale paru en mars 1899 qui contient un article intitulé « L'évolution du sexe ».

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet de l'édition de la brochure Le Familistère illustré : Marie Moret explique que la brochure est actuellement imprimée en Suisse et elle demande à Guillaumin et Cie s'ils souhaitent que la mention de leur maison d'édition figure en première page de la brochure. Elle demande également quelles sont les conditions de diffusion en France d'ouvrages imprimés à l'étranger et les conditions de dépôt légal à remplir par les auteurs français. En post-scriptum, elle presse la réponse de son correspondant.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret rappelle à Guillaumin et Cie qu'ils doivent envoyer à Nîmes l'ouvrage Les vierges fortes dès qu'il sera paru. À la place de La justice des choses, épuisé, elle passe commande du livre Histoire d'un âne et de deux jeunes filles de P. J. Stahl, à adresser à Marie Buridant au Familistère de Guise.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accepte l'ouvrage relié Fourmis, abeilles et guêpes de John Lubbock proposé à 14 F par Guillaumin et Cie et passe commande de L'évolution des théories physiques, du XVIIIe siècle à nos jours de Pierre Duhem.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception des lettres de Guillaumin et Cie datées du 27 mars 1900 et des ouvrages commandés. Au sujet de l'édition de la brochure Le Familistère illustré : elle remercie son correspondant pour les renseignements concernant la non-obligation de dépôt légal en France des livres imprimés à l'étranger, pour la mention de la maison d'édition à faire figurer en première page et pour l'adresse [d'Allan Estlake] à Londres. Elle annonce leur envoyer cent exemplaires de la brochure dès sa parution et passe commande du livre Les sentiments, la musique et le geste d'Albert de Rochas.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande la date de la nouvelle édition du Dictionnaire universel des sciences, des lettres et des arts par Marie-Nicolas Bouillet et annoncée dans le catalogue d'octobre 1899 d'Hachette et Cie.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande l'envoi du Catalogue des dictionnaires de sciences édité par Hachette et Cie.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Henri Buridant de ses divers envois et des informations contenues dans sa lettre du 30 avril 1900. Elle demande la date de l'inauguration de la voie de raccordement de l'usine à la gare de Guise. Elle l'informe qu'elle envoie à la librairie Roustan la brochure Les prophéties de Fourier en remplacement du numéro du Devoir de 1895 demandé. Elle le félicite d'avoir envoyé à Simpkin et Cie le numéro du Devoir signalé par Terquem. La famille Moret-Dallet est peinée de savoir madame Roger souffrante et lui transmet, ainsi qu'à Eugénie Louis, ses cordiales pensées.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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À la suite de la réception d'un deuxième avis de monsieur Dubois en date du 22 mars 1900, Marie Moret informe Henri Buridant qu'elle a déjà envoyé le 23 mars 1900 un mandat postal de 90,25 F pour régler ses impôts. Plusieurs points concernant le service du Devoir : envoi du numéro de novembre 1899 à Simpkin, Marshall et Cie au 32, Pater Noster Row à Londres, à la demande de monsieur Terquem ; envoi d'un deuxième exemplaire du numéro de février 1900 à monsieur Vast à Amiens ; envois des numéros demandés par Léon Quent, dont elle demande l'adresse à Paris, et madame Franqueville qui s'est gracieusement prêtée à des photographies de son domicile [au Familistère]. Elle annonce écrire à Eugénie Louis pour la préparation de ses appartements au Familistère.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret explique à Henri Buridant que Jules Pascaly a été retardé dans l'envoi de ses matières pour le prochain numéro du Devoir et qu'elle-même, prise par son travail, en a oublié de demander le « Mouvement des assurances » et l'« État-Civil ». Le froid est soudain et vif à Nîmes. Marie Moret demande des nouvelles de la famille Buridant et du Familistère.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Henri Buridant de ses divers envois et revient sur les numéros de novembre 1899 du Devoir mis de côté : c'est à Raoul Maurin qu'il faut cesser l'envoi, et non à monsieur Martin de Saint-Didier (Vaucluse). Marie Moret a appris par Émile Venet qu'Émile Tettier avait commencé les travaux de jardinage dans sa propriété de Lesquielles avant d'être employé chez une autre personne temporairement, qu'il a préféré utiliser des plants [d'ifs] déjà présents dans un bosquet du jardin plutôt que d'en acheter de nouveaux et que le puisement de l'eau de la citerne par la mairie pour les travaux de l'école de Lesquielles se déroulent comme prévu. Marie Moret demande à son correspondant si sa fille Marie possède dans sa bibliothèque l'ouvrage La justice des choses et se propose de lui offrir. Dans le post-scriptum, Marie Moret signale à Henri Buridant que le journal Les États unis d’Europe indique que la correspondance doit être adressée à Émile Arnaud à Luzarches, mais elle souhaite continuer de servir à Berne Le Devoir.
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