FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin expose au ministre la possibilité que les assurances mutuelles de la Société du Familistère de Guise puisse être déclarées d'utilité publique et bénéficier de la protection de l'État en étant patronnées par la Commission supérieure d'encouragement et de surveillance des sociétés de secours mutuels prévue par l'article 19 du décret du 26 mars 1852. Godin relève les difficultés pour les assurances mutuelles du Familistère de répondre aux critères de la loi du 15 juillet 1850 et du décret-loi du 26 mars 1852 sur les sociétés de secours mutuels. Godin demande au ministre si une juste interprétation de la loi ne permettrait pas aux assurances mutuelles du Familistère de bénéficier de la protection de l'État : il faudrait permettre à la Société du Familistère de ne pas distraire de son fonds de roulement le capital des assurances mutuelles (qui devrait être versé à la Caisse des dépôts et consignations), tandis que serait offerte la nouvelle garantie, en cas de dissolution de la société, que le captal des assurances mutuelles serait versé à la Caisse des retraites de l'État ou à la Caisse des dépôts et consignations . Il lui adresse une brochure sur le Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À la suite de la publication dans le journal de Laisant d'un article interrogeant l'exclusion des auxiliaires de la participation aux bénéfices de la Société du Familistère, Godin lui envoie des renseignements à ce sujet et le prie d'insérer sa réponse dans le journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le prochain séjour de Tisserant au Familistère et sur la modification des statuts de la Société du Familistère de Guise. Godin communique à Tisserant un exemplaire annoté des statuts. Sur le titre d'associé à accorder au personnel de Laeken ; sur les certificats d'apport de Godin ; sur les assurances mutuelles à propos desquelles il a écrit au ministre de l'Intérieur ; sur le testament de Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Demolon du 24 avril 1885. Godin assure Demolon qu'il saura se faire une position au Familistère et que la rémunération de 200 F par mois vaut pour ses débuts dans la direction des écoles du Familistère. Il lui envoie les statuts de la Société du Familistère pour qu'il les étudie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la modification des statuts de la Société du Familistère. Godin envoie à Tisserant le procès-verbal de la séance du conseil de gérance et celui de l'assemblée générale de la Société du Familistère. Il lui indique qu'il est pressé de procéder à la modification des statuts de la Société. Il lui signale des modifications nouvelles aux statuts. Il l'interroge sur plusieurs points de droit concernant la présentation des modifications au conseil de gérance et à l'assemblée générale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie de Boyve pour son invitation au Congrès coopératif de Paris. Il l'avertit qu'il ne s'y rendra pas, « à moins que M. Neale, qui sera chez moi le 24 c[ouran]t avec messieurs Holyoake et Johnston, ne me décide à les accompagner ». Il l'avertit que Deynaud, rédacteur du Devoir représentera la Société du Familistère. Il lui fait observer que le programme des travaux du congrès est trop restreint pour lui permettre de déposer un rapport : il regrette que ce premier congrès soit ouvert aux seules sociétés coopératives de consommation et d'alimentation. Il lui demande si le congrès est susceptible d'être réceptif à l'exposé des faits acquis au Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe de Boyve qu'il approuve la proposition qu'il veut présenter à la Chambre coopérative centrale. Sur le rôle de la Chambre coopérative centrale pour favoriser les relations entre les sociétés coopératives. Godin propose à de Boyve de mettre Le Devoir à sa disposition pour toute communication qu'il aurait à faire aux sociétés coopératives. Il l'assure de son concours et de celui de la Société du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond aux lettres de Duval des 18 et 27 septembre 1885 après la réunion du conseil de gérance de la Société du Familistère : il l'informe que le conseil a décidé, conformément aux statuts de l'association, de retirer le titre de feu Charles Briquet et de rembourser à ses ayants-droits 50 % du capital nominal et les intérêts dus.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure au maire de Guise que la Société du Familistère subvient aux besoins des 1 750 personnes qui habitent dans « ses palais » et qu'aucune d'elle ne peut ni ne doit rien demander au bureau de bienfaisance de la ville de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Illingworth du 28 octobre 1885 : il lui adresse Mutualité sociale, l'étude sociale Le Familistère et le numéro du Devoir contenant le bilan de la Société coopérative du capital et du travail. Il lui précise que l'association du Familistère a été constituée en France et en Belgique le 13 août 1880, et lui signale les articles de Neale et de Greening dans The Cooperative News. Il le remercie pour l'envoi de son ouvrage Distribution reform.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Lasne qu'il a reçu une invitation de Fougerousse à la réunion des chambres consultative et économique des sociétés coopératives qui doit avoir lieu le 19 octobre à la mairie du 4e arrondissement. Il regrette que la date soit mal choisie à cause des élections, mais demande à Lasne de représenter la Société du Familistère et le charge de transmettre ses observations sur l'organisation de telles réunions.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur des actions du canal de Panama. Sur la correspondance adressée à lui-même, à Émile Godin et à la Société du Familistère Godin et Cie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur des actions du canal de Panama appartenant à Godin.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres de Tisserant des 20, 21 et 22 mai 1885. Sur la modification des statuts de la Société du Familistère : sur la prolongation de l'échéance de la créance de Godin. Il lui signale qu'il a écrit à Léon Say au sujet des assurances mutuelles du Familistère pour lui proposer d'élargir le cadre de la loi projetée pour y intégrer les sociétés de secours mutuels de l'industrie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tisserant que la Société du Familistère est décidée pour une émission d'obligations d'une somme totale de 1 400 000 F. Il lui demande conseil à ce sujet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'émission d'obligations par la Société du Familistère de Guise. Godin explique à Tisserant qu'il a conçu ce projet comme un moyen de propagande pour la Société du Familistère, mais que de grands financiers lui ont indiqué qu'une telle émission ne réussirait pas auprès des rentiers. Il l'informe qu'à l'exception de cette émission, toutes les modifications aux statuts ont été acceptées par le conseil de gérance. Sur les articles imprimés sur les certificats d'apport et d'épargne et la validité des statuts. Il lui signale que le numéro du journal Le Devoir de la semaine fait le récit du triomphe des musiciens du Familistère à Vanves et comprend une étude sur le projet de loi relatif aux sociétés de secours mutuels.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Tisserant que Marie Moret avait répondu de Bruxelles à sa lettre du 9 août 1885 pour l'informer qu'il lui écrirait aussitôt son retour à Guise, réponse qu'il a dû différer en raison notamment des nombreux visiteurs qui se sont succédés au Familistère et à cause de la fête de l'Enfance. Godin prend des nouvelles de sa santé. Sur l'augmentation du capital de la Société du Familistère par voie d'emprunt hypothécaire. Il lui demande quand il pourra venir pour examiner avec lui l'emprunt et il lui pose une série de questions sur le sujet. Sur les articles des statuts imprimés sur les certificats d'apport ou d'épargne. Il lui indique que la fête de l'Enfance s'est bien passée et que le journal Le Devoir en fait le récit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 15 septembre 1885. Il lui indique qu'il sera heureux de le recevoir avec sa fille, même si ce séjour sera consacré au travail. Sur l'augmentation du capital de la Société du Familistère de 3 millions de francs et le projet de contrat hypothécaire et sur la modification des statuts. Il espère que mademoiselle Tisserant, qui a son brevet supérieur d'institutrice trouvera d'intéressantes études à faire dans les écoles du Familistère. Il l'informe que l'assemblée générale de l'association du Familistère aura lieu le 4 octobre 1885. Il joint à sa lettre un mot de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Tisserant son télégramme du matin. Sur l'emprunt hypothécaire : Godin demande à Tisserant s'il offre des garanties suffisantes contre la possibilité d'une dissolution de la Société du Familistère de la part de ses héritiers ; il lui confirme que le montant de l'emprunt est de 3 000 000 F, qui correspond au montant de son compte courant dans la Société.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les prétentions des héritiers de Godin à l'égard de la Société du Familistère. Godin communique à Tisserant l'état actuel de sa fortune qui s'élève à 6 400 000 F, dont la moitié pourrait revenir à ses héritiers. Godin demande à Tisserant si son fils ne pourrait pas en outre intenter un procès en dissolution de la société. Godin fait valoir qu'avec l'emprunt hypothécaire, la Société lui rembourserait ses apports et ses épargnes et ne laisserait plus de parts sociales entre les mains de ses héritiers ; la Société du Familistère serait ainsi préservée de leurs revendications. Il demande à Tisserant à quelle heure lui et sa fille arriveront à Guise le 25 octobre 1885.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que l'assemblée générale de la Société du Familistère convoquée le 1er novembre 1885 a été reportée au 15 novembre. Il espère son arrivée et celle de sa fille à Guise quelques jours avant l'assemblée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin. Godin envoie à Tisserant la nouvelle version de son testament modifiant le testament du 11 août 1881 placé sous la garde du conseil de gérance de la Société du Familistère. Il lui demande s'il peut publier son testament dans le journal Le Devoir. Godin attire l'attention de Tisserant sur plusieurs articles du testament. Il l'informe que sa famille est en bonne santé mais que les affaires laissent comme partout beaucoup à désirer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Moret, Marie (1840-1908)
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Sur l'avenir de l'association du Familistère : Godin et Moret informent Tisserant que des essais d'administration par le conseil de gérance et par une commission exécutive ont lieu. Sur le mariage de Godin et de Moret : Godin et Moret souhaitent que le mariage soit fait sous le régime de la séparation de biens ; il s'agit d'affirmer « que Marie, par les services qu'elle me rend et m'a rendu, s'est identifiée à moi ». Godin et Moret souhaitent que le mariage se célèbre avec le moins de formalités possible, demandent à Tisserant quelle doit être la nature du contrat, et espèrent qu'il sera présent pour le mariage qu'ils veulent faire sans cérémonie. Godin et Moret, Émilie et Marie-Jeanne Dallet présentent leurs compliments à Tisserant, à madame Tisserant et à sa fille Marguerite.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bajer du 21 juin 1886. Il lui envoie la brochure Associated homes, qui contient une esquisse de sa biographie et qui emprunte à Solutions sociales. Il lui envoie également ce dernier ouvrage ainsi que le numéro du Panthéon de l'industrie, qui contient aussi une notice biographique. Il lui indique qu'il ne faut pas l'identifier à un Jules Godin habitant Versailles et qu'Harald Westergaard est venu visiter le Familistère en mai 1879, avant la constitution légale de l'association du Familistère le 13 août 1880. Il lui demande l'adresse de Westergaard pour lui adresser l'étude sociale Le Familistère, qui présente l'état actuel de l'association. Sur le restaurant du Familistère : il a été fermé car il n'était pas fréquenté par la population, ce qui prouve « que la vie dans un palais unitaire ne modifie pas les mœurs et les habitudes de la famille autant que des critiques opposées le prétendent ». Sur le théâtre du Familistère : il sert chaque hiver ; il accueille les troupes qui exploitent la région. Il l'invite à venir au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Offroy et Cie que la Société du Familistère vient de verser 300 000 F sur son compte personnel chez eux. Il leur demande d'acheter des actions du canal de Panama pour ce montant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Johnston a demandé à Godin une description des ateliers du Familistère. Godin lui explique que les usines du Familistère n'ont rien de singulier, sinon leur comptabilité qui organise la participation des ouvriers aux bénéfices, et que la machine à mouler n'est remarquable que par sa construction, qui n'est pas patentée en Angleterre. Il estime que le plus important pour la propagande de l'association du Familistère consiste dans les avantages que la population ouvrière retire des bienfaits de l'association.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Santerre du 17 janvier 1887 lui demandant si son fils, né à Réunion en 1857, pourrait être réclamé par l'administration militaire française s'il venait en France. Il lui explique que si son fils peut prouver sa nationalité américaine, il ne pourra pas être appelé à servir en France. Godin et Moret verront avec plaisir Santerre l'automne prochain s'il vient au Familistère. Il lui indique que la Société du Familistère ne peut se charger d'un dépôt de fonds comme il le propose.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Pouillet ce qu'il convient de faire après que Faure ait demandé à un libraire le tome 10 de 1886 du journal Le Devoir et qu'il se soit procuré des volumes antérieurs du journal. Godin avait supposé que Faure voulait connaître les charges de la Société du Familistère de Guise à l'égard de son personnel pour la concurrencer plus facilement. Il lui semble que le procès entre eux doit être la cause de l'achat du dernier volume du Devoir. Godin demande conseil à Pouillet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Rasetti les numéros du journal Le Devoir des 10 octobre 1886, contenant le bilan de l'association du Familistère, et du 6 décembre 1885, contenant les modifications des statuts de l'association, Mutualité sociale et l'étude sociale Le Familistère. Il attire son attention sur la modification de l'article 128 des statuts de la Société du Familistère qui alloue 4 % des bénéfices à l'administrateur-gérant au lieu de 12 % précédemment. Il l'informe que le bilan de 1885-1886 de la Société du Familistère, le plus mauvais depuis 1880 en raison de la crise industrielle, fait apparaître 114 908 F de bénéfices, que le capital a touché 8 280 F de dividendes et que le travail et la capacité ont eu le reste. Sur un article du Courrier de Londres.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Lettre de licenciement adressé par Godin à Antoine Barbary, conformément à l'article 52 des statuts de la Société du Familistère de Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Tisserant la lettre que lui a écrite Marie Moret une quinzaine de jours auparavant. Il lui fait part de son inquiétude en raison de son silence. Il lui demande comment il pourrait, en raison de la crise industrielle, faire remise de tout ou partie des intérêts que celle-ci lui doit, sans que ceci puisse lui être reproché par ses héritiers. Il lui transmet les sentiments affectueux de Marie Moret, d'Émilie Dallet et de Marie-Jeanne Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Humbert a écrit à Godin le 13 septembre 1887 pour lui demander comment répartir des bénéfices entre les patrons et les journaliers des divers métiers du bâtiment dans l'association qu'il veut fonder. Godin le renvoie à son livre Le gouvernement, dont il lui signale deux chapitres, et lui adresse l'étude sociale Le Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce au préfet qu'il ne peut se rendre, pour raison de santé, à la réunion du bureau du comité départemental de l'Exposition universelle de 1889. Il assure le préfet que la Société du Familistère sera représentée honorablement dans l'exposition.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Offroy et Cie une lettre de la Société du Familistère ordonnant le virement de 300 000 F sur son compte personnel. Il demande à Offroy et Cie d'acheter des actions et des obligations de la Compagnie du canal de Panama pour deux fois 100 000 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une pétition adressée à Godin par Lemonnier. Godin transmet à Lemonnier les compliments de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les demandes d'admission à l'Exposition universelle de 1889 recueillies par le sous-comité de l'arrondissement de Vervins : Godin explique à Gérard que seul Duflot de Fontaine-lès-Vervins a envoyé une demande. Sur la difficulté pour les industriels à évaluer l'emplacement nécessaire à leur exposition. Sur l'exposition d'économie sociale. Il lui envoie les demandes d'admission de Duflot et de la Société du Familistère, et les renoncements de Chenest fils et Grandgeorge.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Levasseur d'insérer dans son journal un extrait de l'acte de société passé le 13 août 1880 entre Godin et Dequenne et autres.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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En réponse à une lettre du 20 juillet, Marie Moret donne des indications à Babbitt sur le Familistère et lui envoie des numéros du Devoir et Études sociales n° 1 : Le Familistère afin qu'il se tienne informé. Confirmation de la réception de Human Culture and Cure.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret commente l'avant-propos que Bernardot lui a envoyé qui concerne un questionnaire de la Société du Familistère pour le Congrès d'Économie sociale. Une liste des articles du Devoir du 26 août est jointe à la lettre.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Gestion des comptes : débit de 7 000 francs et 1 000 francs.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Informe Dequenne de la transaction financière de 7 000 francs.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Accuse réception du pli recommandé de 1 000 francs et atteste de la bonne transaction des 7 000 francs.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Cherche le portrait de Godin. Revient au Familistère pour régulariser la situation avec le nouveau gérant du Devoir, Doyen. Elle rend à l'usine Buridant II [Jules Buridant], âgé de 17 ans, qui est rentré pour ses services comme son frère. Doyen remplacera Buridant II. Pense donner à Doyen une seconde augmentation s'il arrive à traduire l'anglais pour le journal ou s'il la seconde efficacement. Cet arrangement lui permettra de se concentrer sur le travail de son mari. Détails sur l'organisation de la préparation du Devoir.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Ne retrouve pas le portrait de son mari et ne peut le fournir à la Société des jeunes amis de la paix. À la place, elle envoie un journal anglais qui contient une réduction de ce même portrait et envisage de faire des copies si son exemplaire est perdu. Donne des informations sur Épaulard, suite à la lettre reçue, et indique qu'il s'intéresse au socialisme et à l'Association coopérative du capital et du travail. Remercie Fabre pour son aide pour Le Devoir.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Accuse réception de deux volumes envoyés dont un sera remis à la Société du Familistère. Explique qu'elle se consacre à la publication des œuvres posthumes de son mari comme il l'a mentionné dans son testament. Enverra à Greening le prochain volume lorsqu'il sera publié.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet des 4% des bénéfices attribués par les statuts durant les cinq mois où Marie Moret a exercé la fonction d'administratrice gérante.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Détaille le changement de saison et le paysage à Lesquielles. Sur un problème d'envoi des épreuves du Devoir qui impacte le processus de correction et d'impression. Organisation et composition des prochains numéros.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Demande ce qu'il faut inscrire sur les faces du mausolée. Explique qu'une place lui est réservée dans le caveau près de son mari, que son nom doit être inscrit sur le monument et la possibilité d'y placer son buste. Envoie deux feuilles contenant ce qui pourrait être inscrit sur la statue et le mausolée. Évocation d'une potentielle visite de Noël au Familistère.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Rentrée de Paris mais Marie-Jeanne Dallet est malade. La statue de Godin doit être élevée sur la place du Familistère et le mausolée sera sur la tombe avec son buste, dans le jardin.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Accuse réception de la lettre, de la clef des appartements du haut et d'un livre. Passe son temps à travailler sur les manuscrits de son mari et à diriger le journal Le Devoir.
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