FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Fredrik Bajer, 20 mai 1891
Envoi à Frederiksen de l'avis aux personnes désireuses de visiter le Familistère. À propos des différences entre l'édition anglaise du livre de Marie Howland, Papa's Own Girl, et sa traduction en français par Marie Moret : Marie Howland « est une amie de M. Godin et de moi, mais une amie faite par correspondance. Nous ne l'avons jamais vue personnellement, et elle n'est jamais venue au Familistère », aussi a-t-elle imaginé un Familistère différent du Familistère réel ; la traduction française rétablit l'exactitude des faits. Virginie Griess-Traut connaît le roman car elle a pu le lire dans Le Devoir auquel elle est abonnée depuis le début du journal. Sur madame Bajer, mère de six enfants ; sur Émilie Dallet, mère et autrice d'une méthode de lecture que Bajer complimente ; sur l'orthographe du patronyme de la famille Piou de Saint-Gilles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Rouvier, 8 septembre 1891
Échange du journal L'Essor social avec le journal Le Devoir. Sur la publication par L'Essor social du roman de Marie Howland, La Fille de son père : Marie Howland n'est pas une demoiselle mais une femme mariée ; la traduction française, propriété de Godin, est devenue par legs la propriété de Marie Moret, « mais il ne faut pas me porter comme traductrice de l'œuvre. Ce ne serait pas exact, bien que j'y ai concouru ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Augusta Cooper Bristol, 5 novembre 1880
Marie Moret affirme avoir reçu la carte postale envoyée par madame Bristol. Elle y informait Marie Moret qu'elle était bien arrivée chez elle, à Vineland. Marie Moret accuse réception du numéro de The Evening Post et informe que le prochain numéro du Devoir devrait arriver prochainement à Augusta Cooper Bristol. Marie Moret envoie sous le pli de sa lettre un courrier adressé à Marie Howland ainsi qu'un autre de monsieur Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Augusta Cooper Bristol, 7 juillet 1881
Moret annonce qu'elle fera communication d'une traduction aux personnes indiquées dans le courrier initial de madame Bristol, à l'exception de monsieur Champury, qui est parti en Loire-Atlantique pour diriger un journal. Moret a bien reçu deux exemplaires de l'écrit The Association of Capital with Labor. Elle évoque Neale et son apport dans la propagande du Familistère et des idées socialistes. Il est question de la traduction par Neale de Mutualité sociale, en particulier la traduction des « Notions préliminaires » (il s'agit de la première partie de l'ouvrage), qui n'ont pas été éditées dans la traduction de la New York Woman's Social Science Society. Messieurs Fabre et Pascaly remercient madame Bristol de sa proposition de les accueillir aux États-Unis. Fabre souhaite obtenir des renseignements sur la communauté d'Oneida. Bailly est toujours instituteur au Familistère. Échange du Cooperator avec Le Devoir. En post scriptum, Moret annonce qu'elle et Godin ont déménagé dans de « grands, grands, grands appartements » de l'aile droite du Palais social.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 14 décembre 1893
Réponse à une lettre de Doyen en date du 12 décembre 1893. Comptes du Devoir. Mise à jour des abonnements et du service d'échange ou d'envoi gratuit : Raymond de Lockport en retard de paiement ; suppression du Glaneur de Saint-Quentin ; changement d'adresse de Marie Howland, qui a quitté Topolobampo ; The New City, le journal de Topolobampo ; sur la demande d'échange avec Le Devoir, par Le Petit Jardin illustré.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Augusta Cooper-Bristol, 27 mars 1894
Réponse à la lettre d'Augusta Cooper Bristol en date du 22 février 1894. Marie Moret, sa sœur et sa nièce à Nîmes auprès d'Auguste Fabre. Souvenir de la visite d'Augusta Cooper Bristol au Familistère. Marie Howland vit auprès d'Augusta Cooper Bristol. Marie-Jeanne Dallet prend des leçons de peinture ; Émilie Dallet s'occupe de la direction de l'enfance au Familistère et Marie Moret du Devoir. Nouvelles de messieurs Barbary, Bailli et Pascaly : Barbary et Bailli partis du Familistère il y a longtemps ; Pascaly à Paris, journaliste à la Chambre des députés et rédacteur en chef du Devoir. Description du jardin d'agrément : les arbres ont grandi, des statues y ont été placées et le mausolée de Godin y est érigé.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 29 janvier 1895
Envoie à Doyen une lettre et un mandat poste de 22,15 F de la part de Gouté pour son réabonnement au journal Le Devoir : demande à Doyen s'il connait les raisons de cette somme supérieure au prix de l'abonnement et de mettre les choses au clair avec Gouté. Envoie aussi un billet de Marie Howland mentionnant sa nouvelle adresse à Holly Beach (États-Unis).

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Claude Ferdinand, 4 février 1895
Accuse réception de la demande d'abonnement de Ferdinand au service du Devoir et indique avoir écrit au Familistère pour que lui soient envoyés Le Devoir dès janvier 1895, ainsi que les ouvrages Mutualité sociale et Solutions sociales.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 5 mai 1895
Recommande à Doyen de ne pas donner suite à la proposition d'un monsieur de Buenos Aires qui s'est adressé à Dequenne pour solliciter des œuvres de Godin, même si la Société de paix du Familistère lui en faisait la demande. Le remercie des documents envoyés sur la fête du Travail et la Société de paix du Familistère. Demande à ce que Le Devoir ne soit provisoirement plus envoyé à Marie Howland en attendant de savoir pourquoi le numpéro précédent a été retourné.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Massoulard, 11 septembre 1879
Marie Moret remercie Massoulard pour l'article envoyé et s'excuse du délai de sa réponse, dû à la fête de l'Enfance et aux nombreux visiteurs ayant séjourné au Familistère. Réflexion sur la beauté de l'âme des personnes ayant consacré leur vie à l'espèce humaine. Neale a proposé d'intéressantes modifications aux statuts. Marie Moret décrit les améliorations apportées aux bâtiments du Familistère. Elle évoque : des exclusions du Familistère pour « ne garder que les éléments propres à entrer dans l'association » ; l'échec de Léon Godin dans ses études ; Jules Pascaly et le rôle qu'il pourrait jouer au Familistère ; une lettre de Marie Howland qui leur pardonne ce qu'ils ont fait à son texte ; l'abandon du mariage complexe par la communauté Oneida. Elle demande à Massoulard de traduire le très long discours inaugural de James Stuart au Congrès coopératif de Gloucester de 1879, et elle le remercie pour l'article de l'American Socialist qui paraîtra dans Le Devoir de la semaine prochaine.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Augusta Cooper Bristol, 22 décembre 1885
Marie Moret répond à une lettre d'Augusta Cooper Bristol. Elle lui fait part de son inquiétude pour Marie Howland et son expérience de colonisation au Mexique. Elle lui demande l'adresse d'Edward Clark pour lui envoyer l'article qu'elle est en train d'écrire sur lui et la brochure de Godin sur l'hérédité nationale qu'elle lui adresse aussi. Elle la remercie pour son invitation qu'elle décline.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Augusta Cooper Bristol, 11 décembre 1886
Augusta Cooper Bristol ayant interrogé Marie Moret sur la pensée de Godin concernant les rapports entre l'intempérance et les intérêts du capital et du travail, elle la renvoie vers les pages 319 à 321 de Solutions Sociales. Marie Moret l'informe que c'est Alexandre Tisserant qui les a aidés à rédiger les statuts de la Société du Familistère. Elle donne des nouvelles de plusieurs de leurs amis communs : Fabre qui est à Nîmes, Pascaly, qui est à Paris avec femme et enfant, Barbary toujours vif et alerte, Marie Howland qui se prépare à quitter la Casa Tonti pour Sinaloa.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Tito Pagliardini, 27 juillet 1887
Marie Moret remercie Pagliardini pour sa lettre du 21 juillet 1887. Elle souhaite que sa réponse lui parvienne avant son départ pour la campagne. Elle lui signale que la famille Godin-Dallet se trouve en villégiature à Lesquielles dans la petite villa que Pagliardini et Lucy Latter ont vue en construction et qui est désormais achevée et meublée. Elle remercie Pagliardini pour la lettre du 11 avril 1887 écrite par lui et Lucy Latter, qui contenait un portrait de Verdi ressemblant à Godin. À la suite de sa lettre du 11 mars 1887 à Pagliardini, elle l'informe de l'édition et de la diffusion des œuvres de Godin en Angleterre : John Lovell et Cie a édité à New York la traduction en anglais par Marie Howland de Solutions sociales et en a envoyé des exemplaires chez Trübner et Cie, 57 Ludgate Hill à Londres ; la maison Sonnenschein ne veut pas éditer la traduction anglaise du volume Le gouvernement... mais une simple étude sur le Familistère à sa place ; Godin a refusé l'offre de Sonnenschein, pensant que Trübner et Cie pourrait peut-être éditer Le gouvernement... en anglais. Sur la lettre de Pagliardini du 21 juillet 1887 : elle le remercie pour les détails qu'il donne sur le mouvement des idées ; elle lui signale que Le Devoir a annoncé le livre de Remo. Elle transmet ses compliments à Lucy Latter et aux sœurs de Pagliardini et souhaite un prompt rétablissement à mademoiselle Charlotte de la part de la famille Godin-Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Edward Howland, 12 janvier 1873
Godin accuse réception des lettres d'Edward Howland des 20 septembre, 4 novembre et 23 décembre 1872. Sur monsieur Wood de Philadelphie. Sur l'idée d'Edward Howland de faire connaître le Familistère par des vues photographiques « amplifiées par le stéréoscope ou la lanterne magique » : Godin évoque les difficultés à faire des prises de vue d'ensemble, en raison de la distance donnée entre l'objectif de l'appareil et le sujet ; il dit avoir assisté à des séances de projection de photographies. Sur l'échec de l'édition américaine de Solutions sociales. Godin transmet son souvenir à Marie Howland.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Claude Ferdinand, 5 avril 1897
Réabonnement de Claude Ferdinand au journal Le Devoir. Envoi de 3 brochures offertes à Claude Ferdinand : Robert Owen, Prophétie de Fourier, Sky scratchers. En attente de recevoir le journal et la circulaire annoncés par Claude Ferdinand. Marie Moret indique qu'elle n'a plus de nouvelles de Marie Howland depuis plusieurs années.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Claude Ferdinand, 11 octobre 1895
Accuse réception de la lettre de Claude Ferdinand datée du 25 septembre 1895 et accompagnée d'un mandat de 15,20 F pour un réabonnement annuel au Devoir et pour le livre de François Bernardot sur le Familistère. Expédie le livre de Bernardot et confirme à Claude Ferdinand que son abonnement au Devoir arrivera à échéance le 31 décembre 1896. Remercie Ferdinand pour ses mots à l'égard de Godin. Post-scriptum sur Marie Howland : les numéros du Devoir qui lui ont été adressés à Holly Beach sont revenus ; Claude Ferdinand indique qu'elle est en bonne santé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à George B. Drury, 22 avril 1874
Godin accuse réception de la lettre de Drury du 10 mars 1874 et de celle qu'il a écrite à son fils le 28 mars 1874. Il informe Drury que Kate Stanton devrait visiter le Familistère cet été. Godin avoue à Drury qu'il a confondu Kate Stanton et une dame anglaise qui, selon ce dernier, doit également visiter le Familistère et ne connaît pas le français : il a écrit il y a deux jours à Marie Howland que Kate Stanton ne connaissait pas le français. Il l'assure que la dame anglaise sera la bienvenue même si elle ne connaît pas la langue. Il l'informe qu'en qualité de député et d'industriel, il n'a pas le temps de s'occuper de « l'Exposition universelle d'Amérique de 1877 (sic) ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande des nouvelles du volume La Fille de son père. Il indique à Hourdequin qu'il voudrait envoyer des exemplaires à l'auteur dès les premiers jours de janvier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Amelia Hope Whipple pour sa lettre « réconfortante » du 13 novembre 1881. Il la complimente pour être une des rares à comprendre la doctrine de la vie et le sens de l'association du Familistère. Sur l'absence regrettable des « Notions préliminaires » dans la traduction américaine de Mutualité sociale par madame Bristol. Sur le projet d'Amélia Hope Whipple de rééditer Papa's Own Girl sous un titre différent et Mutualité sociale en anglais et la proposition de Godin de lui communiquer la traduction du livre par Edward Vansittart Neale, son premier biographe. Sur le couple Howland : Godin apprécie Marie et Edward Howland, mais aurait eu du mal à communiquer avec elle en anglais si elle était venue visiter le Familistère avec madame Bristol. Il lui demande si elle sait lire le français et si elle a lu Solutions sociales. Sur la communication spirituelle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à une lettre de son « aimée disciple », qu'il remercie pour la compréhension de sa doctrine. Il fait l'historique de ses relations avec Marie Howland, traductrice de Solutions sociales, qui était en 1872 « imbue des idées de Fourier ». Sur la doctrine de la vie, la religion de la vie et le culte du travail. Sur le bonheur individuel et sur la vie spirituelle. Sur l'édition anglaise de Solutions sociales et de Mutualité sociale. Sur le rôle des femmes dans la propagation des idées de Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'édition américaine de Solutions sociales. Godin explique à John W. Lovell et Cie qu'il n'a pas encore satisfait à sa demande d'électrotypes car personne n'est capable d'en réaliser en France et parce que le projet de colonisation de Sinaloa semblait empêcher Marie Howland de s'occuper de l'édition de sa traduction de Solutions sociales. À la suite de la lettre de John W. Lovell Company, il s'est occupé de leur envoyer les clichés des gravures à New York ; il leur décrit les difficultés de l'expédition ; il précise qu'il a 42 clichés mais que celui de la vue générale du Familistère lui fait défaut car il s'agit d'une lithographie. Il leur explique qu'il doit renoncer à modifier le texte de l'ouvrage, mais qu'on pourrait ajouter en appendice l'étude sociale n° 1 sur le Familistère, qui a été traduite par Prétat de Waterbury, ami de Marie Howland.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Lovell que les illustrations des articles de Greening dans The Cooperative News ont été faite en Angleterre et ne lui appartiennent pas. Il lui annonce qu'il pourrait lui fournir les clichés ayant servi à l'impression de Solutions sociales pour une édition de l'ouvrage à condition qu'il puisse en faire la mise à jour. Il lui propose de lui envoyer les modifications qu'il souhaite, à faire traduire par Marie Howland, et de contribuer à hauteur de 400 $ ou 2 000 F à l'édition anglaise de Solutions sociales.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de James Madison Allen du 2 février 1886. Il regrette de ne pouvoir lui donner des renseignements sur le système de ventilation des appartements au moyen de conduites souterraines : « Cette installation n'a été faite que dans la première aile du Familistère et n'a pas été répétée dans les autres. » Il lui explique qu'il n'estime pas que cette installation soit véritablement utile sinon pour des personnes disposant de richesses considérables, et qu'elle était nuisible pour les classes ouvrières. Il ne peut rien ajouter aux descriptions de Marie et Edward Howland.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Prétat du 7 février 1886. Sur l'édition américaine de Solutions sociales. Godin explique à Prétat que John W. Lovell Company souhaite éditer la traduction de Solutions sociales par Marie Howland et qu'il lui a offert une indemnité de 2 000 F, mais que l'entreprise de Sinaloa risque d'absorber Marie Howland. Il l'informe qu'il se prépare à envoyer à J. W. Lovell les clichés des estampes du livre. Il demande à Prétat, qui est bilingue, s'il veut comparer le texte original avec la traduction de Marie Howland. Il lui annonce qu'il a écrit à John W. Lovell Company pour lui dire qu'il voudrait ajouter en appendice au livre l'étude sociale n° 1, que Prétat a traduite. Il lui indique que le bureau du Devoir lui a envoyé L'unitéisme de Paul Géraud. Il l'assure qu'il le recevrait au Familistère avec grand plaisir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Bergeron a demandé à Godin l'autorisation de faire traduire Solutions sociales par madame Bergeron. Il lui explique que l'impression de son livre avec ses gravures est une affaire importante et qu'une autre demande lui est parvenue du New Jersey, soutenue par le Harper's magazine, pour une traduction par Marie Howland. Il suppose que la traduction de madame Bergeron serait destinée à l'Angleterre. Godin propose à Bergeron de demander à son ami Pagliardini s'il ne serait pas question d'une traduction de son livre en Angleterre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Suite à la demande d'une photographie du Familistère indique que les lieux ont beaucoup changé et se sont développés. Détaille toutes les modifications. Une nouvelle photo sera faite qui correspondra à sa demande. Remercie pour les documents envoyés et l'information sur les capitaux de la Compagnie de Sinaloa.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de la lettre de Claude Ferdinand du 10 septembre 1900 et de son mandat de 5 F pour l'achat de deux exemplaires de la brochure Le Familistère illustré ; elle lui en envoie trois exemplaires, dont l'un est destiné à Marie Howland. Elle répond à Claude Ferdinand, qui lui demande s'il est possible d'imprimer en France un ouvrage en anglais [une traduction du Familistère illustré], que cela n'est pas souhaitable en raison des multiples corrections qu'il faudrait effectuer. Elle lui propose de lui envoyer la collection des photographies reproduites dans la brochure, pour réaliser d'après elles des diapositives pour conférences illustrées ou pour servir à l'impression ; elle lui signale que la vue de la société de musique qu'il souhaite obtenir fera partie de cette collection de photographie. Elle écrit à Claude Ferdinand qu'elle ne peut faire davantage pour lui, en raison de son travail sur les « Documents biographiques ». Elle lui indique qu'elle demandera à quelqu'un de voir s'il est possible de trouver à l'Exposition universelle les brochures « de Dayton Ohio » [sur la cité ouvrière de la National Cash Register Company à Dayton, Ohio, dont lui parle Claude Ferdinand dans sa lettre du 10 septembre 1900].

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Claude Ferdinand les photographies annoncées par sa lettre du 21 septembre dernier, plus 20 photographies légendées au revers, dont la photographie de la société musicale du Familistère. Elle lui précise que les auteurs de la brochure Le Familistère illustré lui font savoir qu'ils sont prêts à envoyer des photographies à quiconque aux États-Unis ou en Angleterre voudrait imprimer une traduction de la brochure. Elle remercie Claude Ferdinand pour l'information relative à la National Cash Register Company à Dayton (Ohio) : quelqu'un a obtenu pour elle à l'Exposition universelle un livre de [William] Howe Tolman sur le sujet. Elle lui signale qu'elle a reçu une lettre de Marie Howland et qu'elle va lui répondre.

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