FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 10 février 1890
Séjour à Nantes de François Bernardot, malade de l'influenza : vœux de rétablissement. Appréciation par Édouard Champury du livre de François Bernardot sur le Familistère. Lettre de Charles Lemonnier à Bernardot, président de la Société de paix du Familistère. Nouvelles de Doyen et de Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 10 mars 1893
Sur des abonnements au journal Le Devoir : proposition d'échange à titre gratuit du Devoir avec L'Église de l'avenir en remplacement de l'abonnement arrivant à échéance de Charles Humann ; changement d'adresse de Charles Doerflinger de Suisse aux États-Unis ; interruption de l'échange avec Le Réveil du peuple de Dijon qui ne paraît plus ; en attente de plus amples informations sur La Vraie République ; le non-renouvellement de l'abonnement de Morisseau. Sur une conférence de François Bernardot à Gand. Marie Moret accepte de prêter le bureau du journal à Doyen, comme avec Champury, mais refuse de le vendre. Joint à sa lettre celle d'Émilie demandant l'envoi des catalogues des nouveautés d'été reçus à Guise en leur deux noms.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Eugénie Potonié-Pierre, 6 janvier 1879
Envoi des vœux pour la nouvelle année. Marie Moret indique à Eugénie Potonié-Pierre que son dernier article du Devoir a été remarqué et a suscité des réactions. Elle lui rapporte dans une longue citation la lettre d'une abonnée.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Augusta Cooper Bristol, 7 juillet 1881
Moret annonce qu'elle fera communication d'une traduction aux personnes indiquées dans le courrier initial de madame Bristol, à l'exception de monsieur Champury, qui est parti en Loire-Atlantique pour diriger un journal. Moret a bien reçu deux exemplaires de l'écrit The Association of Capital with Labor. Elle évoque Neale et son apport dans la propagande du Familistère et des idées socialistes. Il est question de la traduction par Neale de Mutualité sociale, en particulier la traduction des « Notions préliminaires » (il s'agit de la première partie de l'ouvrage), qui n'ont pas été éditées dans la traduction de la New York Woman's Social Science Society. Messieurs Fabre et Pascaly remercient madame Bristol de sa proposition de les accueillir aux États-Unis. Fabre souhaite obtenir des renseignements sur la communauté d'Oneida. Bailly est toujours instituteur au Familistère. Échange du Cooperator avec Le Devoir. En post scriptum, Moret annonce qu'elle et Godin ont déménagé dans de « grands, grands, grands appartements » de l'aile droite du Palais social.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 24 novembre 1893
Sur le déménagement du mobilier des deux pièces occupées par le bureau du journal du Devoir au Familistère, que l'administration de l'Association souhaite utiliser ; un poêle et un lavabo cédés à Élise Pré et le bureau de Champury cédé à Doyen.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation du journal Le Devoir. Godin remercie de Pompéry pour l'avoir mis en relation avec Champury. Il lui fait observer que Champury réclame 250 F par mois au lieu de 200 F et qu'il souhaite qu'on lui fournisse un logement. Godin explique qu'il est de principe au Familistère que chacun choisisse un logement à sa convenance, que le Familistère est plein comme un œuf et que le rédacteur pourrait se loger en ville. Il indique toutefois que l'année prochaine la nouvelle aile sera achevée. Godin exprime son inquiétude que Champury pourrait ne pas se consacrer entièrement à la réussite du journal. Il informe de Pompéry qu'il prépare depuis des mois la réalisation de l'association du capital et du travail et qu'il donne dans ce but des conférences depuis 9 mois.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation du journal Le Devoir. Godin explique comment il entend commencer la publication du journal du Familistère : une feuille hebdomadaire « pour tâter le terrain », entre la revue et le journal ; trouver des lecteurs en donnant de la variété et en se mettant à la portée de leur intelligence ; se placer sur le terrain de l'expérience des choses de la vie sociale. Il envisage que le journal comprenne : un bulletin politique ; un exposé des réformes à introduire dans la législation ; une rubrique des faits relatifs à la liberté de conscience et au mouvement des opinions religieuses ; une rubrique consacrée à l'association du capital et du travail, à l'organisation du Familistère et à l'organisation du travail en Europe et en Amérique ; une chronique locale et départementale des faits d'intérêt public ; les nouvelles scientifiques et industrielles ; un bulletin des affaires de l'Association du Familistère ; les annonces [publicitaires}. Godin imagine que Champury soit le rédacteur en chef et le gérant du journal, mais avec un comité de direction pour éviter que le journal représente une personnalité plutôt que des idées et des principes. « Chaque numéro doit, en toute circonstance, comprendre le bulletin politique, la chronique et les nouvelles intéressantes dans le mouvement des idées » et Champury devrait en assumer la rédaction. Les articles de fond, ajoute Godin, seraient rédigés par Champury ou un collaborateur du journal. Champury n'a jamais été journaliste, aussi Godin lui demande s'il peut s'astreindre à un travail régulier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation du journal Le Devoir. Déclaration de fondation du journal hebdomadaire Le Devoir paraissant le dimanche à Guise, dont Godin est le propriétaire, dont le gérant est Édouard Champury résidant au 38 quai de Béthune à Paris, et qui sera imprimé chez Baré à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation du journal Le Devoir. Godin communique au préfet de l'Aisne sa déclaration de création d'un journal et précise qu'il enverra prochainement l'acte de naissance et le certificat de jouissance de droits civils et politiques de Massoulard. La déclaration est copiée sur le folio 117v : journal hebdomadaire Le Devoir paraissant le dimanche à Guise, dont Godin est le seul propriétaire, dont le gérant est Martial Émile Antoine Massoulard résidant à Guise, et qui sera imprimé chez Baré à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Fauvety qu'il va créer un journal dont le rédacteur sera Édouard Champury. Il lui demande s'il peut lui adresser une copie de la liste des abonnés à la Religion laïque.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Vauchez un chèque de 210 F en paiement de son inscription sur la liste des membres de la Ligue de l'enseignement et de sa cotisation annuelle. Il lui demande ce qu'il lui doit pour les bandes d'adresses que Champury lui a demandé d'envoyer pour le journal qu'il fonde à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a reçu une lettre de Ballue, transmise par Edmond Champury. Sur le coût de la collaboration de Ballue, que Godin juge élevé en comparaison des prix payés pour un correspondant parisien par les journaux du département (1 200 F pour 3 fois par semaine ou 2 000 F pour 6 fois par semaine). Godin indique qu'on lui propose une correspondance bi-hebdomadaire avec le compte-rendu des chambres pour 300 F par an.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Fauvety qu'il lui enverra les adresses communiquées par Vauchez quand il aura fini d'en faire usage. Sur le spiritisme : Godin indique à Fauvety qu'il n'est pas en mesure de donner une opinion sur la Société des études psychologiques mais qu'il a vu avec plaisir que le nom de Fauvety figurait parmi ceux des fondateurs ; il ne partage pas le doute philosophique de Fauvety sur le spiritisme ; Il pense qu'il était mieux que Slade n'ait pas pu venir à Paris pour ne pas soulever des oppositions à la Société des études psychologiques ; il exprime sa certitude de l'existence d'esprits indépendants de la matière avec lesquels il est possible d'avoir des rapports. Godin informe Fauvety que l'article de Champury a été retardé par la faute de l'imprimeur, mais qu'il paraîtra dans le prochain numéro du journal Le Devoir>/em>. Il lui annonce qu'il prépare deux articles relatifs à l'étude des caisses de retraite que Court a publiée dans La Religion laïque, à paraître dans Le Devoir. Il lui envoie un chèque pour l'abonnement [à La Religion laïque] d'Amédée Moret au 173, rue du Faubourg-Saint-Martin à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Hourdequin que Champury lui a envoyé le manuscrit complet du prochain numéro du journal Le Devoir. Il réclame la composition pour envisager de substituer à l'un des articles un article dont il est l'auteur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Considerant qu'il n'a pas été indifférent à l'attention qu'il lui a témoignée et que son silence est dû à ses nombreuses occupations. Il lui demande s'il a apprécié la lecture du journal Le Devoir et s'il a conservé le même sentiment à l'égard de son œuvre.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Marie Drouin que Champury n'a pas inséré dans le journal Le Devoir l'article qu'elle avait envoyé pendant la session du Conseil général de l'Aisne en raison de l'espace qu'il occupait. Il l'assure que le journal publiera ses articles toutes les fois qu'ils rentreront dans l'économie du journal ; il lui indique qu'elle aurait pu plus utilement leur envoyer des comptes rendus du congrès des femmes ; Il la prie de ne pas se sentir blessée si l'un de ses articles n'est pas publié parce que le sujet traité manque d'importance ou, comme dernièrement, qu'il ne mérite pas trois colonnes du journal.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Champury a communiqué à Godin, de retour de l'Exposition universelle, une lettre que Garcin lui a écrite au sujet des coupes que ses articles du Franklin sur le Familistère ont dû subir. Godin félicite Garcin pour ses articles. Apprenant par Champury que Garcin va avoir la charge d'un autre périodique, Godin regrette de ne pouvoir bénéficier de sa collaboration au journal Le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de René Girard du 9 septembre relative à la publication d'articles sur la question religieuse dans le journal Le Devoir. Godin prévient Girard qu'il n'y consentirait que « sous toute réserve de coupures, de modifications et même de rejet » car il veut que la rédaction du journal reste étrangère aux polémiques violentes ou acerbes : « S'attachant aux principes du juste et du vrai, elle doit surtout combattre le mal en montrant ce qui est bien et en exposant ce qui est à faire plutôt qu'en critiquant ce qui a été fait. » Pour cette raison, explique Godin, les vers de Girard envoyés à Champury n'ont pas été publiés. Il précise qu'au Familistère n'ont, jusqu'à présent, logé que les sociétaires ouvriers et employés de l'établissement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale à Berteaux qu'il n'a pas reçu la communication qu'il a dit à Champury lui avoir adressée pour le journal Le Devoir. Il précise qu'il n'a rien reçu de lui depuis sa lettre du 20 novembre 1878. Il lui demande d'envoyer une copie de son travail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Hourdequin une épreuve corrigée de la manchette du journal Le Devoir à intégrer dans le prochain numéro. Il lui demande de changer les caractères du sous-titre qui est composé de lettres de hauteurs différentes. Il l'avertit que Champury lui envoie un spécimen de sommaire-réclame et le prie d'en envoyer vingt exemplaires à Edmond Thiaudière au 32 rue Serpente à Paris avec vingt exemplaires de la notice-réclame avant le tirage du prochain numéro. Il lui demande de lui envoyer en même temps des épreuves de la notice et du programme-réclame. Il lui signale que l'avis en tête du journal [sur le paiement des abonnements] est à supprimer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Fauvety que Champury lui a communiqué sa lettre annonçant son intention de venir à Guise le 20 juillet 1879. Godin est satisfait de sa visite mais lui fait observer que 24 heures constituent un temps trop court pour cela ; il invite madame Fauvety à se joindre à lui et met à leur disposition un appartement où ils seront tranquilles, « trop tranquilles peut-être, car vous n'y aurez pas tout votre monde d'Asnières ». Dans le post-scriptum, Il transmet à Fauvety et à sa femme les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Thiaudière un exemplaire du volume La Fille de son père afin qu'il trouve un éditeur. Godin lui indique qu'il se réserve le droit de donner l'ouvrage en prime aux abonnés du journal Le Devoir. Il l'assure qu'il ne refusera pas un article sur la pièce de monsieur Vacquerie, évoqué dans sa lettre du 1er septembre, s'il n'est pas trop long. Il estime que la publication des sommaires du Devoir n'est pas utile et qu'il en fera l'économie ; il évoque une expropriation du bureau du journal. Il lui remet un chèque de 312,76 F sur la Caisse commerciale en paiement de son travail au bureau du Devoir et de ses articles sur le salon de 1879 (215,20 F à raison de 0,10 F la ligne). Il l'informe que Champury a reçu et qu'il en rendra compte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Pellarin a envoyé à Édouard Champury un article. Godin demande à Pellarin s'il veut collaborer au journal Le Devoir et s'il souhaite visiter le Familistère. Il lui adresse les numéros du journal depuis le 1er avril et lui annonce qu'il bénéficiera désormais du service gratuit.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Nus pour sa réponse. Il l'invite à venir au Familistère le plus tôt possible pour parler du journal Le Devoir ou de la revue qui lui succédera, voire pour y séjourner et partager avec lui « l'idée que l'œuvre de l'association du Familistère doit être un point de départ pour bien des réformes à accomplir dans nos sociétés modernes, et particulièrement pour l'inauguration de l'association du capital et du travail, non avec l'idéal de bonheur qu'y attachaient autrefois les phalanstériens, mais au moins avec la certitude d'introduire la justice dans la répartition des fruits du travail et de traduire en pratique l'idée religieuse qui nous est commune ». Godin demande à Nus s'il connaît un rédacteur imbu de l'idée de l'association et des réformes sociales nécessaires, qui pourrait remplacer Champury. Il lui communique les horaires des trains de Paris à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la composition du prochain numéro du journal Le Devoir, qu'il lui demande de tirer à 480 exemplaires comme d'habitude.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Garcin son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il le prie d'attirer l'attention de ses lecteurs sur cet ouvrage. Il lui demande s'il peut lui indiquer un rédacteur du journal Le Devoir qui connaisse mieux les questions sociales que Champury, qui doit prochainement partir. Il lui signale qu'il veut faire du Devoir une revue des réformes sociales en Europe et en Amérique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Garcin qu'il paye Champury 250 F par mois. Il lui explique que le journal Le Devoir a les traducteurs et correspondants pour se tenir au courant des faits socialistes en Angleterre et en Amérique mais n'est pas en mesure de le faire pour l'Allemagne, c'est pourquoi il désire un rédacteur sachant l'allemand.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Pagliardini qu'il lui envoie les exemplaires demandés du journal du Devoir. Il accuse réception de la brochure Solution de la question d'Orient. Vision de l'avenir, qu'a parcourue Marie Moret : il indique à Pagliardini qu'il lui faudrait pouvoir lire la traduction et quelles seraient les conditions de l'auteur pour la publier dans Le Devoir. Sur la réforme orthographique : Godin explique à Pagliardini que son silence à ce sujet a pour cause le manque de collaboration dont il souffre ; il lui annonce que Champury est sur le départ et il espère que le prochain rédacteur pourra rédiger un article sur cette question. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.
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