FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Francisco Albarracin, 19 février 1892
M. Albarracín demandait des informations sur les débouchés commerciaux, les catalogues et les gravures de la Société du Familistère mais Marie Moret ne peut lui répondre et lui indique que ces questions sont du ressort de l'administrateur-gérant de la Société du Familistère. Remerciements pour l'envoi d'une photographie « en souvenir de Godin ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit qu'Herbaux va se rendre à Paris pour examiner les affaires à faire avec les bazars et les grands magasins en vue du Jour de l'an. Il lui demande de ne pas le considérer comme un concurrent, et suggère qu'il rende visite à la maison Allez et à la maison À la ménagère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Tisserant qu'il a fait le nécessaire auprès de l'usine pour que lui soit faite l'expédition qu'il demandait. Il l'informe qu'il a écrit à Moret, avocat à la Cour de cassation. Il transmet à Tisserant les meilleurs souvenirs de Marie Moret et d'Émile Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Jamet, candidat à l’emploi de voyageur de commerce pour l’Ouest, des Côtes-du-Nord à Bayonne, qu’il pas obtenu de réponse aux demandes de renseignements qu’il a faites à son propos. Il lui fait part des conditions accordées aux voyageurs de commerce à la commission par les Fonderies et manufactures du Familistère. Il demande à Jamet si ces conditions lui conviennent et s’il accepterait, avant de voyager, de venir à l’usine de Guise pendant quelques jours pour étudier les produits. Il lui demande également quelles sont les maisons qu’il représente. Il le prie de lui préciser l’adresse de Petitjean à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Just Muiron a demandé à Godin de lui fournir un fourneau de cuisine : Godin lui demande quel combustible il utilise et quelle somme d'argent il veut consacrer à l'achat.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Daël du 21 novembre 1879. Godin informe Daël que les Fonderies et manufactures du Familistère sont représentées dans le Nord et que ses produits se vendent dans toutes les maisons de commerce. Il ne peut en conséquence donner suite à sa proposition.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie une notice à Maistre. Il lui explique qu'il fait faire un catalogue illustré de ses produits destiné à l'Angleterre. Il veut recueillir son avis sur la rédaction du texte anglais réalisée par un de ses employés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Épaulard de faire imprimer 1 000 exemplaires de la circulaire Lajourdie. Godin demande à Épaulard d'aider Jules Pascaly dans son travail sur la comptabilité sociale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres d'Emmanuel Épaulard et lui retourne un mandat. Il lui fait part de son mécontentement du fait que les maisons Girot et Lajourdie n'ont pas encore reçu les circulaires demandées et lui demande de leur en envoyer. Il lui transmet ses compliments et ceux de Marie Moret ainsi qu'à Pascaly.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Lasserie ce qu'Amédée Moret lui a dit sur l'indisponibilité de Taconet, malade. Godin consent à étudier sa proposition de le prendre comme voyageur de commerce, mais il veut auparavant savoir si Lasserie a des engagements auprès d'autres maisons ; il fait valoir que la quantité de produits de quincaillerie fabriqués a tellement augmenté depuis le départ de Lasserie que la représentation des Fonderies et manufactures du Familistère peut être une occupation à temps plein pour un voyageur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Courcelles a écrit le 19 février 1879 à Godin pour lui proposer de représenter les Fonderies et manufactures du Familistère en qualité de voyageur de commerce : Godin lui indique qu'il pourrait lui confier l'ouest de la France, mais qu'il doit auparavant le rencontrer et qu'il sera nécessaire qu'il fasse un stage dans l'usine de Guise avant son entrée en fonction. Il lui propose de venir à partir de samedi prochain, après la session du conseil général de l'Aisne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Loustalot que le fourneau qui lui est destiné sera expédié le lendemain par chemin de fer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le choix d'un appareil de cuisson. Loustalot a demandé à Godin l'envoi de l'album de la manufacture : Godin propose de choisir pour lui un fourneau en fonction de ses indications. Il lui annonce que dans le cas d'un achat, il adressera à Loustalot le journal Le Devoir à titre de remise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Seydoux pour sa lettre du 28 novembre 1876 sur les chemins de fer. Il l'informe qu'en réponse à sa demande, il lui a envoyé des estampes d'appareils de cuisine pour qu'il puisse faire son choix, et lui signale qu'il peut aussi obtenir des renseignements auprès des marchands de sa ville qui pourraient lui vendre les fourneaux. Godin préfèrerait que Seydoux s'entende avec l'un des marchands dans l'intérêt de ses relations avec eux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut se rendre compte si les objets nickelés sont un produit d'avenir. Il annonce à Amédée Moret qu'il va envoyer à Paris Taconet, voyageur de la maison, pour aller montrer à la clientèle des marchandises nickelées. Il demande à Amédée d'aider Taconet dans cette mission, y compris en lui indiquant des quincailleries de luxe qui ne sont pas intéressées par les articles de chauffage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Les informations contenues dans la lettre de Boureau du 26 septembre rendent difficile son recrutement par Godin. Celui-ci lui demande toutefois s'il connaît l'anglais, dans l'idée qu'il puisse s'occuper de l'approvisionnement en fonte en Angleterre, ou bien s'il a des capacités de comptable ou encore des aptitudes commerciales.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au ministre des Travaux publics, 1er avril 1876
Sur un tarif de la Compagnie du chemin de fer d'intérêt local de Belleville à Beaujeu. La compagnie du chemin de fer de Belleville à Beaujeu aurait proposé au gouvernement l'homologation d'un tarif dans lequel elle se réserve le droit de refuser de faire le transport de tout objet de poêlerie en font de fer qui ne serait pas mis en caisse. Godin explique le procédé d'emballage de ses produits depuis 30 ans : les pièces détachées sont emballées à l'intérieur de l'appareils avec de la paille et les surfaces extérieures de l'appareil sont visibles. Il explique le préjudice qu'il pourrait subir si le tarif était homologué et si les autres compagnies adoptaient la même disposition. Il estime que l'emballage en caisse lui reviendrait à 300 000 F et que cela causerait la ruine de son industrie. Il demande au ministre de refuser l'homologation du tarif de la Compagnie du chemin de fer de Belleville à Beaujeu.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Darras, 24 février 1876
Godin remercie Darras pour les renseignements de sa lettre du 15 février 1876 sur des cuisinières fournies à monsieur Wable présentant des défauts. Godin informe Darras qu'il va prendre des mesures pour donner une certaine satisfaction à Wable. Il lui indique que la concurrence l'oblige désormais « à viser le bon marché et à adopter des formes contraires à la solidité des produits, toutes choses que je n'étais pas obligé de subir dans les débuts de mon établissement ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Le Moine, 16 décembre 1875
Godin rappelle à Le Moine que celui-ci lui avait proposé le 30 mars de faire le placement de ses produits, mais n'avait ensuite pas communiqué les références qui lui étaient demandées, qu'il lui avait adressé un conseil pour la fondation d'une usine à Guise et qu'il avait accompagné chez lui Kaltenheuser. Le Moine a ensuite réclamé une indemnité à Godin pour ce conseil. Godin estime que Le Moine « tient cabinet ouvert pour faire payer même les personnes auxquelles vous demandez un emploi ». Godin reconnaît que Le Moine a proposé à Amédée Moret de faire venir un sculpteur dans son cabinet et qu'il est allé chez lui le rencontrer : il veut bien lui tenir compte de ce service pour terminer l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Kaltenheuser, 12 décembre 1875
Godin demande à Kaltenheuser à quel titre monsieur Le Moine l'a accompagné lorsqu'il est venu lui soumettre des dessins de modèle. Il lui explique que Le Moine lui avait proposé de placer les produits des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, mais qu'il n'avait pas fourni ses références. Il demande à Kaltenheuser de fabriquer des spécimens d'après les dessins, qu'il ira voir à Paris s'ils sont achevés avant la séparation de l'Assemblée nationale ou qu'il lui demande d'expédier à Guise dans le cas contraire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 décembre 1875
Godin informe son fils Émile qu'une institutrice viendra prochainement au Familistère pour tenir la classe des filles. Il lui demande de lui réserver les chambres occupées auparavant par Chatelais et de s'entendre avec le comité d'administration du Familistère pour y faire la propreté nécessaire et pourvoir à son ameublement. Sur un succès de la gauche et la division des partis de droite à l'Assemblée. Le premier point du post-scriptum porte sur le calcul par Émile du prix de revient des marchandises produites dans un nouvel établissement : un établissement aux portes de Paris serait celui qui produirait aux conditions les moins économiques, compte non tenu de l'économie de transport ; « Mais avec l'établissement de Guise dans le nord de la France, il est de plus en plus apparent pour moi que pour s'assurer le marché du Midi, il conviendrait de porter un établissement nouveau au moins sur les confins du départ de la Nièvre, ce qui peut permettre de desservir la ligne de Marseille et la Suisse avec économie. » Le deuxième point du post-scriptum porte sur la visite par Pernin d'un haut-fourneau de construction nouvelle. Le troisième point du post-scriptum est relatif à l'envoi par François de La richesse au service du peuple à monsieur Cacheux avec la mention « Envoi de M. Godin, député de l'Aisne ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Dequenne, 13 mars 1875
Godin demande à François Dequenne d'examiner la situation de la famille Duchemin et de prendre des mesures pour la soulager s'il y a lieu. Il annonce à Dequenne qu'il souhaiterait que les habitants du Familistère puissent travailler davantage pour améliorer leur position, quitte à renvoyer encore un certain nombre d'ouvriers ; il lui demande de s'entendre avec Émile Godin et avec Eugène André sur cette question.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 mars 1875
Sur le tarif des marchandises de la manufacture. Sur le transport de marchandises par chemin de fer : Godin rappelle qu'il faut s'efforcer de faire arriver et expédier par Marle et de s'entendre avec la Compagnie du chemin de fer du Nord à ce sujet, et éviter de se servir de la gare de Bohain à cause des taxes appliquées aux transports sur la route déclassée de Guise à Bohain. Sur la journée de travail à l'usine de Guise : Godin estime qu'il serait possible d'ajouter une heure à la journée si le volume des marchandises diminuait dans les magasins, mais il pense qu'il n'est pas possible de maintenir tous les emplois dans une période aussi difficile ; il lui demande d'aviser sur ce qu'il convient de faire avec Eugène André et François Dequenne. Godin retourne à son fils Émile une lettre qui lui a été renvoyée par Bazin ; il demande à ce que le télégraphe soit réservé aux cas d'urgence et recommande de prendre des habitudes d'économie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 6 mars 1875
Godin informe André qu'il a recommandé aux voyageurs de ne plus vendre sinon avec une augmentation de 6 à 8 %. Sur une machine à vapeur à installer à Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 mars 1875
Godin recommande d'augmenter de 7,5 % les prix du tarif des marchandises de la manufacture et lui communique le modèle d'une lettre aux voyageurs de commerce (copiée sur le folio 58r) ; il demande à Émile d'avertir Delaruelle qu'il faut informer les marchands de cette augmentation avant de leur expédier la marchandise. Godin estime que le capital va produire au moins 6 % d'intérêts. Il indique qu'il n'y a pas de danger de perdre ce qui a été payé à Hourdequin pour les albums de la manufacture. Sur le restaurant du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 mars 1875
Godin demande à son fils Émile d'avertir les voyageurs de commerce de prendre le plus grand soin d'ajouter sur les commandes qu'ils envoient à l'usine la mention « aux conditions du tarif de mars 1875 ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 16 février 1875
Sur la faillite Turgot. Godin demande si cette faillite est le résultat d'affaires traitées par Darras. Il craint que les buanderies fassent du tort à la réputation de la maison Godin-Lemaire ; il affirme que c'est en faisant mieux que les autres et non en les plagiant qu'on obtient du succès, et regrette que « l'esprit de suite dans l'exécution » fasse défaut dans l'usine de Guise ; il demande que les buanderies soient suivies avec célérité. Sur la fabrication de boutons.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 4 février 1875
Sur la remise à faire aux commissionnaires. Godin accorde à André qu'il ne faut pas refuser de travailler pour les propositions sérieuses, mais l'invite à éviter de devoir faire les modèles de dessus de cheminée demandés. Il lui demande d'aller à Amiens voir Alphonse Delpech pour une affaire de déchargement de bateau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 31 janvier 1875
Godin confirme à André la réponse qui lui a été faite la veille. Sur l'affaire Seret : Godin explique à André qu'il n'a pas voulu créer un conflit entre Seret, Darras et lui, même si Darras avait contrevenu à ses instructions ; il accepte l'affaire, mais avec une réserve sur la commission de Darras. Sur un abonnement à faire avec la ville pour l'octroi. Sur une cheminée à souffleur. Il lui demande si les annuités des brevets ont été payées en France et en Belgique. Il l'avertit que Grebel va lui demander de solder des frais dus à l'affaire de Nancy. Sur la caisse de secours.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Eugène André, 31 janvier 1875
Sur l'affiche Bouchard. Marie Moret répond à Eugène André en l'absence de Godin qui se trouve à Paris pour affaires. Elle lui rappelle que Godin lui en avait demandé la suppression et son remplacement par un article du règlement, mais n'avait pas pensé que le règlement était encore affiché. Elle l'informe que Godin n'a pas donné suite à la cession à Amédée Moret de quelques villes de l'itinéraire de Darras. Elle présente ses meilleurs sentiments à madame André et à Aline André.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 28 janvier 1875
Sur l'affaire Seret : Godin rappelle à André le post-scriptum de sa lettre du 18 janvier 1875 et son opposition aux affaires conclues avec Seret qui risquent de mettre l'usine de Guise en péril au moment de l'hiver à cause de l'encombrement des expéditions. Godin exige que les affaires spéciales conclues par les voyageurs comprennent des commandes fermes expédiées avant le mois de septembre. Il rappelle que Darras a opéré autrement sans son consentement. Sur un placement de fonds sur la Banque d'Angleterre. Godin désire que les albums de la manufacture soient complétés par Hourdequin. Il autorise André à réembaucher le sculpteur Froment si ses prétentions salariales sont acceptables. Il demande à André de remplacer l'affiche Bouchard qui se trouve au magasin par l'article du règlement affiché l'an dernier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 janvier 1875
Godin informe André qu'il retourne à Laeken un chèque acquitté. Il l'avertit qu'il ne faut pas payer de frais à Darras pour sa venue à Guise et qu'il s'oppose à la « condition en dehors » de Lassérée. Sur le tarif des marchandises et les remises. Sur la cheminée à souffleur rotatif. Dans le post-scriptum, Godin aborde la question des affaires traitées par Darras avec la maison Seret : Seret s'engagerait à prendre chaque semaine une voiture de marchandises jusqu'à concurrence de la somme de 15 000 F, prendrait à sa convenance les marchandises pour 15 000 F supplémentaires avant le 31 décembre, et jouirait d'une remise de 6 % ; Godin n'était pas d'accord sur une livraison jusqu'à décembre des marchandises des derniers 15 000 F ; il explique à André qu'il a fait part de son mécontentement à Darras et qu'il priverait ce dernier de ses commissions pour les marchandises livrées à Seret après le mois de septembre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 18 janvier 1875
Godin demande à son fils de ne pas s'occuper de la maison Hubert, qui est hypothéquée par un acte du notaire Gauchet et non du notaire Borgnon. Il lui demande également de ne pas se préoccuper des avertissements de Maillet [maire de Guise] au sujet des représentations théâtrales, et l'informe qu'il va écrire à ce propos au préfet. Sur l'alimentation en gaz de Waret : Godin juge qu'il est inutile d'exciter l'administration municipale contre le Familistère à ce sujet. Il prie son fils d'informer Grebel que la maladie de Cresson est seule cause du retard pour le recours en cassation.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Darras, 17 janvier 1875
Godin désapprouve les modalités de placement des marchandises auprès de Seret adoptées par Darras. Godin souhaite que les marchandises soient livrées au plus tard en septembre 1875. Godin donne des directives pour les affaires traitées par Darras.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 16 janvier 1875
Sur les itinéraires des voyageurs de commerce des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Delaruelle qu'Eugène André lui a soumis les modifications faites aux itinéraires des voyageurs, qu'il a souhaité « arrondir » l'itinéraire d'Amédée Moret en fonction des compensations que l'on pourrait donner à Darras, mais qu'on n'a pas tenu compte de son avis. Godin demande des explications.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 13 janvier 1875
Sur les itinéraires des voyageurs. Godin propose qu'on donne à Amédée Moret la ville de La Ferté-sous-Jouarre et d'autres villes, et il demande à Grebel ce qui a été fait à cet égard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Darras, 13 janvier 1875
Sur monsieur Seret et sur la question des livraisons d'été. Sur les remises à accorder à la clientèle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 décembre 1874
Godin communique à son fils Émile une lettre de David Tisseron sur le tarif de la manufacture. Sur une remise fixe de 10 %. Sur un tarif spécial à faire sur les boutons et les articles de quincaillerie et d'émaillage pour faire une concurrence sérieuse à Boucher et Cie. Sur l'itinéraire de Tisseron et des voyageurs : Godin recommande à son fils et à Eugène André de se mettre en garde contre la rivalité des voyageurs entre eux et d'éviter de les laisser discuter des itinéraires ; Godin souhaite qu'Eugène André et Delaruelle arrêtent les itinéraires avant la venue des voyageurs à l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 25 juillet 1874
Godin demande à Delaruelle de vérifier l'exactitude d'informations sur Tisseron en allant visiter les maisons où il place des marchandises pour vérifier si ne s'y trouvent pas des poêles Lapasque.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 17 juillet 1874
Godin demande à Delaruelle de soumettre les questions qu'il lui pose à Eugène André. À propos des prix de revient : Godin demande à Delaruelle de s'exprimer plus clairement ; « Je comprends que l'on apporte dans l'accomplissement de sa tâche toute la déférence possible pour les autres, mais cela doit être subordonné à l'accomplissement du devoir que l'on a à remplir. » Il l'engage à être le premier auxiliaire d'Eugène André qui va prendre la direction générale de l'usine et il lui demande quels sont les principaux désagréments qu'il a encourus jusqu'ici. Il l'informe qu'il a reçu la visite de David Tisseron, qui n'a pu conforter sa confiance en lui : Tisseron affirme qu'il n'a vendu aucun appareil de chauffage pour la maison Lapasque qu'il représente seulement pour la poterie ; il demande à Delaruelle d'enquêter pour savoir si des poêles à bavette et des cuisinières comtoises de la maison Lapasque ne se trouvent pas chez les clients de Godin qu'il visite, comme l'a signalé Lassérée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 3 juillet 1874
Godin demande à Delaruelle de dater ses lettres en tête de la feuille de papier. Il souhaite qu'il insiste auprès de Guitard pour que celui-ci visite toutes les villes dans lesquelles se trouvent des clients de la manufacture et de lui faire observer que ses engagements avec la maison Jeunehomme n'est pas un motif pour l'empêcher d'étendre sa tournée. Godin autorise Delaruelle à faire ce qu'il juge bon pour l'Algérie en veillant à obtenir des garanties de paiement. Sur la baisse des prix du tarif des marchandises de la manufactures Godin-Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à David Tisseron, 3 juillet 1874
Godin a appris que Tisseron place des produits d'autres maisons similaires aux siens et lui fait observer qu'il y a là un conflit d'intérêt. Il lui demande des explications.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 27 juin 1874
Émile Godin a signalé à son père que le manque de fonte va bientôt causer du chômage dans l'usine : Godin se plaint du gouvernement et demande à son fils de faire les approvisionnements nécessaires. Sur une augmentation à accorder à un employé : Godin demande à son fils de donner l'instruction à Taupier. Sur la distribution des produits : Godin souhaite que Delaruelle ne s'oppose pas à la deuxième tournée des voyageurs ; il veut que Delaruelle voit avec Guitard si ce dernier peut se charger de voyager dans tout le Midi avant de prendre un parti à propos de Carme. Godin autorise enfin Alphonse Grebel à payer à Lahure une facture relative à Guillaume Ernest Cresson.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Taupier, 25 juin 1874
Godin informe Taupier que Rimbaut est venu le voir à Versailles pour lui parler d'une lettre que l'usine a dû recevoir de Buenos Aires relative à la caution que sa maison offre au Havre pour les expéditions à lui faire dans l'avenir ; il demande à Taupier si des renseignements ont été pris sur cette maison. Sur Chevrolat. Sur une augmentation à accorder à Moyat et à Brock. Il lui recommande, s'il a trop d'employés, de congédier ceux dont on ne peut tirer un bon parti.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 20 juin 1874
Godin demande à Delaruelle de soumettre à Eugène André la question de la vente à Obrador de produits fabriqués d'après un modèle fait à sa demande. Godin fait des recommandations sur le prix de vente des modèles faits à la demande de clients. Godin accepte d'accorder 4 % au lieu de 3 % de commission au voyageur Guitard s'il prospecte les localités secondaires qu'il néglige ; il observe qu'à cette condition, les placements de Guitard coûteront moins cher que ceux des voyageurs de Bordeaux. Godin prévient Delaruelle qu'il faut s'assurer de la réalité des faits reprochés à Tisseron et qu'il ne faut pas révoquer un voyageur sans avoir le moyen de le remplacer. Il lui demande pourquoi Barbet a abandonné les dessins qu'il est urgent de réaliser.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 14 juin 1874
Godin explique à Delaruelle qu'il ne peut, comme le souhaite Obrador, faire des modèles nouveaux sans que ceux qui les demandent en paient les frais, surtout s'il s'agit de modèles qui ne sont pas de vente courante ou qu'on ne peut écouler en France. Godin indique qu'on peut faire des affaires à Naples si la marchandise est payée avant son expédition et qu'il ne faut servir en Algérie que les clients dont on s'est assuré de la solvabilité. Le post-scriptum porte sur le prix et la distribution des buanderies.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 10 juin 1874
Sur un arrangement avec Lemaître pour la distribution des produits de la manufacture : Godin pense probable que Lemaître pourrait chercher à fabriquer par surmoulage ses produits à Bucarest, où il possède une fonderie ; Godin indique à Amédée Moret qu'il peut dire à Delaruelle son accord pour la suppression de son nom [du tarif de la manufacture].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Darras, 22 mai 1874
Godin demande à Darras de lui communiquer le nom de son protégé et le montant des appointements qu'il faudrait lui donner. Godin constate que Darras a fait un chiffre d'affaire intéressant malgré la crise : il demande à Darras ce qu'il pense des efforts faits par la concurrence.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 18 mars 1874
Godin autorise Delaruelle à faire imprimer les tarifs. Sur l'affaire Gustave Leroy [de Buenos Aires] : Godin indique à Delaruelle que Jouin et Cie n'a pas répondu à sa lettre, qu'il a toujours considéré l'affaire comme douteuse, et qu'il a été étonné d'apprendre que les produits avaient déjà été emballés sans que Jouin et Cie aient adressé la provision pour les frais d'emballage ; Godin demande à Delaruelle d'examiner s'il est possible de faire une sommation à Jouin et Cie de prendre livraison des marchandises et de les payer. Godin autorise cependant Delaruelle à faire des affaires avec Buenos Aires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Jouin et Cie, 12 mars 1874
Godin informe Jouin et Cie que, conformément aux instructions reçues de Buenos Aires, les marchandises commandées pour G. Leroy et Cie sont prêtes à être expédiées, mais que l'usine de Guise attend toujours les garanties financières requises. Godin demande à Jouin et Cie de régulariser la situation.
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