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Lettre de Marguerite Audoux à Marcel Raval
Carte de visite de Marguerite Audoux à Yvonne Arbogast
N. B. : Les propos exacts de l'article sont : « Quel être adorable ! Amer parce qu'il est si tendre. »
Lettre de Marcelle Vioux à Marguerite Audoux
« Marcelle Vioux
Deux ouvrages de Marcelle Viougeas, dite Marcelle Vioux (1895-après 1951), tous deux avec envois, prennent place dans la bibliothèque de la romancière, conservée au Musée Marguerite-Audoux de Sainte-Montaine : Fleur d'amour et Ma Route.
Lettre de Charles Chanvin à Marguerite Audoux
De la même génération que son ami Yell, avec qui il poursuit ses études au lycée de Troyes, le juriste Charles Chanvin (1877-1953) est vite attiré par les milieux littéraires, tout en étant le secrétaire de Me Fernand Labori, le défenseur de Dreyfus et de Zola. Chanvin publie au Mercure de France des poèmes remarqués. Il s'interposera d'ailleurs, avant que Mirbeau n'entre en scène, pour que cette maison d'édition ne prenne pas Marie‑Claire, dont elle ne voulait publier que des extraits.
N. B.. : Chanvin figure dans le tableau de Jacques‑Emile Blanche, André Gide et ses amis au Café maure de l'exposition universelle de 1900 (1901).
Lettre d'Edmond Rocher à Marguerite Audoux
Lettre de Blanche Febvre‑Longeray à Marguerite Audoux
Lettre de Gabriel Belot à Marguerite Audoux
Peintre et graveur, Gabriel Belot (1882-1962) a illustré la très belle édition de Marie‑Claire dans les éclectiques du livre (janvier 1932). De bonne heure orphelin comme Marguerite Audoux, il vit une enfance triste. S'il est obligé d'être relieur pour gagner sa vie, c'est aussi en autodidacte qu'il peint (dès l'âge de six ans) puis grave (à partir de 1913). Entre 1910 et 1914 il se fait petit à petit reconnaître, notamment des Indépendants. Les lettres et les enveloppes qu'il envoie à la romancière sont magnifiquement illustrées (notamment par une aquarelle) et constituent un bon exemple de ce qu'est l'art postal.
Lettre de Marguerite Audoux à Antoine Lelièvre
L'article joint est le suivant :
« QUINZE ANS après
Lettre de Lucien Descaves à Marguerite Audoux
Fils d'un graveur, Lucien Descaves (1961-949) passe une enfance modeste dans un quartier pauvre de Montrouge. En 1882, il publie son premier roman, Le Calvaire d'Héloïse Pajadou, dans lequel il s'affirme déjà comme un observateur amer de la société. Sa satire du milieu militaire, notamment avec Sous‑offs (1889), lui attire poursuites judiciaires (pour outrage aux bonnes mœurs et injures à l'armée) et acquittements. La position qu'il défend contre Zola dans le Manifeste des Cinq (Le Figaro du 18 août 1887) lui ferme les portes de la Société des Gens de Lettres. Le monde officiel des lettres, cependant, lui accorde un siège, en avril 1900, à la « Société littéraire des Goncourt », dont les statuts sont publiés au Journal officiel le 26 janvier 1902, le premier prix étant remis le 21 décembre 1903 au restaurant Champeaux. Là est bien la grande affaire, puisque, en novembre 1910, Marguerite Audoux est « goncourable », et Descaves toujours dans le jury… Si la romancière conçoit des craintes par rapport à ses concurrents, ses amis, eux, se méfient au plus haut point de Descaves (qui deviendra président de l'Académie Goncourt en 1944). Le 11 novembre 1910, Fargue écrit à Larbaud :
« Ah ! le bon accueil fait par Descaves à Marguerite ne m'inspire qu'une médiocre confiance. Je me rappelle les bonnes paroles et les promesses prodiguées à Philippe. Et j'ai bien peur que ce vaguemestre de L'A[cadémie] G[oncourt] ne lui ouvre les bras que pour l'étouffer. Timeo Danaos. »
[Léon‑Paul Fargue – Valery Larbaud, Correspondance (1910‑1946), texte établi, présenté et annoté par Th. Alajouanine, Gallimard, 1971, p. 35].
« Ce mauvais article eut pour conséquence une missive acerbe de Descaves, suivie de deux ou trois autres, dont je veux espérer que leur hargneux auteur eut bien vite honte de les avoir écrites. Je ne sais quelle obscure rancune lui faisant perdre toute mesure et tout sentiment des réalités, Descaves n'allait‑il pas jusqu'à accuser Philippe – à la fois bien trop timide et bien trop orgueilleux pour avoir jamais rien sollicité – d'avoir, vil arriviste, usé le paillasson et tiré la sonnette des Chers Maîtres ! Indigné d'une aussi scandaleuse injustice, Gide conserva ces lettres que Descaves, assurait‑il, n'emporterait pas en paradis – (Une perquisition en Enfer permettrait peut‑être la saisie de ce document). »
Carte postale d'Albanie Fournier (Mme Fournier mère) à Marguerite Audoux
Lettre d'Alice Mirbeau à Marguerite Audoux
(Lettre due à l'aimable vigilance de Pierre Michel)
Lettre de Marie Le Franc à Marguerite Audoux
Lettre de Marguerite Audoux à Émile Guillaumin
Écrivain de la glèbe, comme Antonin Dusserre, Émile Guillaumin (1873-1951) évoque la vie rurale de façon réaliste, notamment avec La Vie d'un simple. Il dépasse cependant le régionalisme pour accéder à un véritable humanisme – ce en quoi il rejoint Marguerite Audoux. Les premiers contacts entre les deux écrivains sont épistolaires. Si l'on s'en tient à l'article de Guillaumin du 11 décembre 1937 écrit pour Les Nouvelles Littéraires (« Première et dernière visite à Marguerite Audoux »), il entendit d'abord parler d'elle en 1908 par Charles‑Louis Philippe ; puis il lui rendit visite en 1928, et enfin en mai 1936. Il admire la romancière, qu'il considère, bien au‑dessus de lui, comme un pur artiste. Nous reproduisons ici l'article laudatif qu'il écrit sur Le Chaland de la Reine :
« A propos du Chaland de la Reine
Émile GUILLAUMIN »
Billet de Bernard Naudin à Marguerite Audoux
Né le 11 novembre 1876 à Châteauroux, Bernard Naudin entre à dix-sept ans aux Beaux‑Arts de Paris dans l'atelier de Bonnat, puis est exposé aux Indépendants (l'un des tableaux, La Charge de Valmy, se trouve à la mairie de Châteauroux ; d'autres œuvres se trouvent au Musée Bertrand, dans la même ville). En 1904, Naudin abandonne la peinture pour se consacrer au dessin à la plume et à la gravure à l'eau‑forte. Il se plaît ainsi à illustrer livres et revues (Le Cri de Paris, L'Assiette au beurre), et, en particulier, le numéro spécial des Primaires d'août 1922, consacré à Marguerite Audoux, qui motive la présente lettre. Naudin, musicien lui‑même, a aussi essayé de rendre plastiquement des impressions musicales (par exemple, dans sa Sonata Appassionata). Il meurt le 7 mars 1946 à Noisy‑le‑Grand.
Lettre de Marguerite Audoux à Émile Guillaumin
« Les archives Émile Guillaumin conservent cinq lettres de la romancière, ou plus exactement, trois lettres de deux ou trois pages[1], deux cartes postales[2] et une carte de visite non datée. Les lettres de Guillaumin semblent perdues.