FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 121 résultats dans 19519 notices du site.
Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 16 (4) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0217.T.213v.jpg
Godin répond à une invitation à déjeuner de Bonnemère du 26 décembre 1871. Il l'avertit qu'il se rendra chez lui le dimanche suivant.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0135.T.131r.jpg
Godin rappelle à Félix Mathias qu'il lui a écrit il y a un mois à propos du refus de la Compagnie du chemin de fer du Nord de transporter les marchandises des Fonderies et manufactures du Familistère. Les gares de Saint-Quentin, de Marle et de Bohain font de nouvelles difficultés liées à une circulaire exigeant un wagon complet pour l'expédition : Godin explique que cela est possible pour les matières premières mais pas pour les marchandises, et que cette obligation risque de mettre au chômage 1 000 ouvriers, s'il ne peut expédier alors que les magasins sont pleins ; Godin espère une solution de la part de Félix Mathias et il se dit prêt à saisir le gouvernement de la question dans le cas contraire. Dans le post-scriptum, il demande à Mathias de lui faire réponse à l'établissement hydrothérapique de Bellevue où il retourne chaque jour.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0167.T.163r.jpg
Godin répond à la lettre de Jonette du 18 septembre 1871 qui lui apprenait que Steinmetz accepte les fonctions d'instituteur au Familistère. Godin demande à Jonette la procédure à suivre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0222.T.218v.jpg
Bribosia a sollicité Godin pour obtenir du ministre l'autorisation d'exercer « l'oculistique » sur tout le territoire français. Godin lui conseille de limiter sa demande aux départements dans lesquels il pense exercer. Il lui demande s'il peut soulager sa vue fatiguée.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0230.T.226r.jpg
Sur la liquidation de la Société de colonisation européo-américaine du Texas. Godin informe Cantagrel qu'il a reçu Noirot qui l'invite à participer à une réunion avec Devay et Dubos au sujet de la proposition qu'a faite en son nom Édouard de Pompéry à la dernière assemblée de la Société de colonisation européo-américaine du Texas. Godin pense qu'il manque d'informations sur la société et les ventes de terres réalisées pour que la réunion soit utile. Godin demande à Cantagrel de lui renvoyer les documents imprimés qui traiteraient du sujet, « car après l'époque tourmentée que nous venons de traverser, bien des choses ont été perdues de vue », et s'il peut y ajouter ses éclaircissements.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0172.T.168r.jpg
Godin accepte que François Dequenne revienne, malgré les réticences de ce dernier, travailler dans les Fonderies et manufactures du Familistère, aux mêmes conditions qu'autrefois.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0234.T.229r.jpg
Sur la liquidation de la Société de colonisation européo-américaine du Texas. Sur la vente des terres de la Société de colonisation du Texas, proposée par de Pompéry au nom de Godin lors de l'assemblée générale de la semaine précédente. Il précise qu'il n'a pas de proposition de vente à faire pour le moment.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0204.T.200v.jpg
Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin déclare qu'il est favorable à une licitation immédiate. Il présente une évaluation des biens de l'usine et du Familistère depuis 1863 et discute des conditions de la licitation. Il soumet ses interrogations à Coulon et à Cresson.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0028.T.24r.jpg
Godin avertit Coulon qu'il est de retour à Versailles et qu'il se rendra le lendemain à Paris pour le voir. Sur le règlement d'une acquisition auprès de Fauconnier. Il lui demande des nouvelles de Cresson à propos de poursuites en contrefaçon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0238.T.233r.jpg
Sur le rachat par l'État du canal de jonction de la Sambre à l'Oise. Godin rappelle à Coulon qu'il lui avait, avant la guerre, demandé d'étudier le sujet. Il cite l'étude de Coulon à propos des intérêts de la maison Rothschild qui seraient un obstacle inavoué au rachat. Godin s'interroge sur la manière de prouver que les intérêts de la Compagnie du canal de la Sambre à l'Oise sont les mêmes que ceux de la Compagnie du chemin de fer du Nord. Godin demande à Coulon s'il peut compléter son étude avec les documents pouvant servir de preuves.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0036.T.32r.jpg
Godin se défend contre les critiques de Coulon à l'égard de son livre [Solutions sociales].

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0249.T.244r.jpg
Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin communique à Coulon la copie d'une réponse d'Esther Lemaire. Il rappelle que le tribunal n'a pas tenu compte de sa proposition d'experts et qu'il a nommé un architecte de Saint-Quentin, Pinguet ; il l'informe que dans une affaire d'accident survenu à l'usine, le tribunal a encore choisi un expert en dehors de ceux qu'il a proposés : « Cela vous indique qu'il n'est plus dans d'aussi bonnes dispositions pour moi que quand l'Empire espérait faire ma conquête. »

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0081.T.77r.jpg
Godin informe Coulon qu'il doit lui écrire à l'établissement hydrothérapique de Bellevue, où il a dû se rendre pour soigner ses rhumatismes. Il lui demande des nouvelles du marché de terres de monsieur de La Panouse. Sur la publicité donnée à Solutions sociales, travail que sa maladie l'a contraint à interrompre.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0099.T.95r.jpg
Godin demande à Coulon de lui rendre le service, en raison de son état de santé, de faire insérer dans les grands journaux une offre d'emploi pour un ingénieur connaissant l'outillage d'une fonderie aux appointements de 400 F par mois. Il lui demande également de lui envoyer à Bellevue les réponses à l'annonce. L'annonce est copiée sur le folio 97v.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0110.T.106r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Coulon relative à la publicité à donner à son livre. Sur des annonces à publier dans les journaux. Sur son nom d'auteur : Godin demande à Coulon d'utiliser Godin et non Godin-Lemaire dans les articles qu'il pourrait publier dans la presse : « C'est bien assez pour moi d'en avoir fait le malheur de ma vie industrielle, sans que comme auteur et homme politique, je traîne ce boulet à ma suite. » Il joint à sa lettre (folio 108v) un projet d'annonce à publier dans les journaux.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0174.T.170r.jpg
Godin répond avec retard à une lettre de Stenger. Il lui apprend qu'il n'est pas l'expéditeur de l'exemplaire de Solutions sociales qu'il détient. Godin affirme qu'il est heureux que le journal de Stenger obtienne du succès, et il voudrait qu'il prenne la place du Journal de l'Aisne, qui est opposé à Godin mais n'a pu l'empêcher d'arriver au conseil général et à l'Assemblée nationale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0013.T.9r.jpg
Godin annonce à Guillaumin l'envoi des premiers exemplaires de son livre la semaine suivante. Godin rappelle au librairie les conditions dont ils ont convenu pour la commercialisation de son ouvrage (prix, commission, publicité) et lui demande confirmation.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0132.T.128r.jpg
Delorme a chargé Denisart de rappeler à Godin la question des cachets métalliques en remplacement de ceux en carton pour la distribution des secours aux femmes des militaires. Godin demande à Delorme de faire prendre à ce sujet une délibération par le conseil municipal. Sur le paiement des réquisitions faites par les Prussiens à la municipalité de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0168.T.164r.jpg
Godin remercie Blin des lignes sympathiques qu'il lui a adressées [à propos de Solutions sociales] : « Propagez la morale de la doctrine de la vie et ses applications, vous ferez une œuvre bonne et saine. »

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0160.T.156r.jpg
Godin remercie Leclaire pour son compte rendu et sa lettre sympathique. Sur les remèdes à appliquer au mal social. Godin explique à Leclaire qu'il va se rendre à Guise pour assister le dimanche à la distribution des récompenses aux enfants des écoles du Familistère malgré la présence des Prussiens dans la ville, et qu'à son retour il ira lui serrer la main.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0251.T.246r.jpg
Godin remercie Leclaire pour l'envoi d'une brochure. Sur les idées novatrices et les préjugés.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0150.T.146r.jpg
Godin demande à Hetzel l'adresse de Jean Macé pour lui envoyer un exemplaire de Solutions sociales.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0156.T.152r.jpg
Godin demande à Watrin des renseignements sur les qualités de Loisy, qu'il a employé à Montluçon comme directeur de fonderie, avant de le recruter pour un emploi aux appointements de 400 F par mois.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0153.T.149r.jpg
Godin répond à la lettre de Le Rousseau du 11 août 1871. Il lui confirme que Solutions sociales contient des considérations « psychologico-phrénologiques », mais qu'il s'agit avant tout d'un ouvrage à portée sociale. Il lui demande de privilégier cet aspect dans les articles qu'il pourrait faire au sujet de son livre. Il le prie de retirer un exemplaire du livre chez Armand Le Chevalier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0169.T.165r.jpg
Godin remercie l'inspecteur d'académie de lui avoir procuré un jeune instituteur qui est entré en fonctions et dans lequel Godin fonde des espoirs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0141.T.137r.jpg
Godin remercie Jonette de l'aider à trouver un instituteur. Il lui décrit ses missions, sous la direction de Poëtte, et les conditions de l'emploi rémunéré 1 000 à 1 200 F par an et davantage en fonction de l'expérience du candidat.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0094.T.90r.jpg
Godin rappelle à Ferdinand Jonette qu'il a fondé des écoles à Guise et il l'informe que son prédécesseur Calisti lui avait facilité le choix des maîtres. Il lui demande s'il peut lui indiquer un jeune homme en remplacement d'un maître, qui serait placé sous la direction de Poëtte, choisi lui aussi par Calisti. Il lui signale que l'enseignement dans les écoles du Familistère est étendu « et qu'il embrasse toutes les notions propres à diriger les élèves dans la connaissance pratique des choses usuelles de l'industrie auxquelles ils sont appelés à prendre part. »

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0182.T.178r.jpg
Vercken a déposé auprès du conseil général de l'Aisne une demande de concession de chemins de fer. Godin, rapporteur de la commission des chemins de fer, tient Vercken au courant des discussions au sein du conseil général de l'Aisne sur une ligne de chemin de fer [du Cateau à Guise] et son raccordement à celle de la Compagnie du chemin de fer de Guise. Godin demande à Vercken de lui écrire à Guise où il restera jusqu'à la rentrée de l'Assemblée nationale.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0236.T.231r.jpg
Sur la liquidation de la Société de colonisation européo-américaine du Texas. Godin explique à Riche-Gardon qu'il pense que le mieux pour les intérêts des actionnaires est la liquidation la plus rapide possible de la société et la vente de ses terres. Il demande à Riche-Gardon ce qu'il en pense.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0145.T.141r.jpg
Godin soumet un article à Guillaumin et Cie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0196.T.192r.jpg
Bergeron a demandé à Godin l'autorisation de faire traduire Solutions sociales par madame Bergeron. Il lui explique que l'impression de son livre avec ses gravures est une affaire importante et qu'une autre demande lui est parvenue du New Jersey, soutenue par le Harper's magazine, pour une traduction par Marie Howland. Il suppose que la traduction de madame Bergeron serait destinée à l'Angleterre. Godin propose à Bergeron de demander à son ami Pagliardini s'il ne serait pas question d'une traduction de son livre en Angleterre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0148.T.144r.jpg
Godin demande à Berns pourquoi il ne se trouve pas à Guise comme prévu.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0244.T.239r.jpg
Godin informe Besnard qu'il peut lui rendre visite à Versailles au 22, rue des Réservoirs. Il lui dit d'adresser ses réclamations financières à Guise car il ne peut pas vérifier les comptes. Godin a appris que Besnard menaçait de cesser de représenter la manufacture du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0151.T.147r.jpg
Pour faire suite à la lettre de Comte du 5 août 1871, Godin l'informe qu'il a demandé à Toinon et Cie de lui retourner tous les clichés de son livre pour les remettre en bon état. Il lui signale que les impressions des gravures phrénologiques de Tomaszkiewicz n'ont pas été bonnes et qu'il voudrait, dans le cas d'une deuxième édition, se servir plutôt des deux clichés que lui a montrés Comte.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0087.T.83r.jpg
Tomaszkiewicz a alerté Godin sur son besoin d'argent. Godin demande à Comte de lui transmettre son compte et celui de Tomaszkiewicz.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0053.T.49r.jpg
Godin informe Deplanque que Coulon lui a écrit au sujet des poursuites en contrefaçon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0192.T.188r.jpg
Godin n'a pas pu se rendre à Laon avant la rentrée de l'Assemblée nationale, aussi répond-il à la lettre de Goyenvalle du 27 novembre 1871. Sur le recrutement éventuel de Goyenvalle : Godin lui demande à quels appointements fixes il prétend pour un emploi d'instituteur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0199.T.195r.jpg
Godin écrit à Grosrenaud à la suite d'un entretien qu'il a eu avec monsieur Dorian. Il lui explique qu'il a fondé le Familistère, institution dont il est question dans son livre Solutions sociales. Il lui demande s'il consentirait à être nommé expert pour l'estimation de ses établissements.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0194.T.190r.jpg
Godin demande à Humez des renseignements sur lui et sur son expérience professionnelle d'enseignant. Il lui explique que 300 enfants sont scolarisés au Familistère et que chacune des premières classes comprend 50 élèves. Il lui demande ses prétentions salariales.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0139.T.135r.jpg
Godin répond à une lettre de Landré-Brissard du 10 juillet 1871 après avoir tardé à prendre des renseignements à cause du mauvais état de sa santé. Il lui explique qu'il est difficile d'intervenir en faveur des prisonniers en raison d'un défaut de juridiction. Il lui conseille toutefois de réunir les certificats et attestations concernant son parent, qu'il pourrait transmettre en qualité de député aux personnes chargées de l'instruction du jugement de ce dernier.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0157.T.153r.jpg
Godin répond à la lettre de Lefer du 17 août 1871. Il lui explique que ses prétentions salariales de 375 F par mois compromettent son entrée dans les Fonderies et manufactures du Familistère : « Dans un grand établissement tout doit être proportionné. Dans la hiérarchie des emplois, vous seriez incontestablement obligé pendant quelque temps de vous initier à la marche et aux besoins de l'établissement. » Il lui annonce qu'il ne peut lui accorder que 250 F par mois à ses débuts, plus une participation aux bénéfices.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0162.T.158v.jpg
Godin annonce à Lefer qu'il peut aller à Guise le 1er octobre 1871 et que lui-même s'y trouvera à l'occasion des vacances de l'Assemblée nationale.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0124.T.120r.jpg
Godin répond à la lettre de Loizy du 25 juillet 1871. Il lui explique les modalités de rémunération des employés de l'usine de Guise. Il lui indique qu'il vient de publier un volume sur la rémunération du travail, « et le conseil d'administration de mon établissement est appelé par moi à chercher les solutions pratiques de l'Association du Capital et du Travail et de la Capacité dans ma propre industrie » : en dehors de ses appointements fixes, sa rémunération devrait ainsi obéir à des règles générales. Dans le post-scriptum, Godin demande à Loisy s'il a la capacité de prendre la direction de la construction mécanique des machines et du matériel nécessaires à l'établissement, et lui demande d'adresser sa réponse à l'établissement hydrothérapique de Bellevue.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0159.T.155r.jpg
Godin accepte que Loisy occupe un emploi dans les Fonderies et manufactures du Familistère aux appointements de 400 F par mois plus une participation aux bénéfices.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0054.T.50r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Loisy du 14 juillet 1871. Il lui indique qu'il a besoin de renseignements sur lui et quel est le montant des appointements auquel il prétend. Il lui demande s'il a pratiqué la seconde fusion pour des appareils de chauffage à Hayange sinon à Châtillon et Commentry.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0155.T.151r.jpg
Loisy a annoncé son arrivée à Guise le dimanche suivant. Godin l'avertit qu'il l'attendra à Guise au lieu de se rendre à Versailles, où son état de santé lui permettait d'aller, et il attire l'attention de Loisy sur les changements de trains à effectuer à Châlons, à Reims et à Tergnier.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0086.T.82r.jpg
Godin souhaite que Loisy réponde à sa lettre du 18 juillet 1871 et lui demande s'il a toujours l'intention d'entrer dans son établissement.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0242.T.237r.jpg
Brelay, un ami de Godin a écrit à Bonard. Godin craint de ne pas avoir à proposer à Bonard un emploi correspondant à ses aptitudes, la mécanique semble-t-il. Il lui explique que l'usine de Guise emploie 1 000 ouvriers environ à la fabrication d'appareils de chauffage et de cuisson. La rémunération dépendra des services que Bonard pourrait rendre et qu'il doit lui préciser. Godin exige des références.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0102.T.98r.jpg
Godin annonce à Perrin qu'il peut se rendre aussitôt que possible à Guise, où il se présentera à Émile Godin. Godin souhaite que Perrin s'occupe exclusivement de l'achèvement de la buanderie et de la piscine à son arrivée. Il désire en particulier avoir les détails de la disposition intérieure de la piscine. Il lui confirme qu'il recevra 150 F d'appointements par mois.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0216.T.212v.jpg
Godin explique à Lacaze qu'il hésite, en raison de la distance qui les sépare, à le faire venir au Familistère pour faire un essai.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2