FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 20 juillet 1873
Sur la fabrication de modèles de pièces de cuisinières par l'usine de Guise pour l'usine de Laeken. Sur la caisse [de secours] de l'usine : Godin indique que c'est le conseil de la caisse qui doit régler la question. Le post-scriptum de la lettre est relatif à l'emploi de monsieur Desfontaines dans l'administration de l'usine ; Godin attire l'attention de Denisart sur les dysfonctionnements du dépouillement des courriers recommandés et du contrôle des expéditions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 16 décembre 1873
Sur les conditions de ventes aux concessionnaires. Sur la distribution des produits en Angleterre et en Belgique. À propos de circulaires préparées par Duplaquet et non soumises à Delaruelle. Sur des renseignements à prendre sur la distribution des produits en Allemagne. Godin autorise Delaruelle à demander à Carme de venir à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 1er février 1874
Godin est en accord avec Denisart pour une baisse maximum de 5 % du tarif de 1874 d'après les chiffres qu'il présente. Il demande à Denisart de communiquer à son fils Émile les comptes de fabrication pour les fontes, charbons et autres ressources naturelles pour confirmer si le prix moyen des matières premières de 1873 correspond à celui qu'il annonce pour 1874. Sur la réduction à appliquer aux boutons. Sur les soldes à faire sur les produits dépréciés. Sur des cheminées. Sur la remise de 15 % sur les produits cédés à André. Godin demande à Denisart de donner à Lesne des instructions sur l'inventaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 20 juin 1874
Godin demande à Delaruelle de soumettre à Eugène André la question de la vente à Obrador de produits fabriqués d'après un modèle fait à sa demande. Godin fait des recommandations sur le prix de vente des modèles faits à la demande de clients. Godin accepte d'accorder 4 % au lieu de 3 % de commission au voyageur Guitard s'il prospecte les localités secondaires qu'il néglige ; il observe qu'à cette condition, les placements de Guitard coûteront moins cher que ceux des voyageurs de Bordeaux. Godin prévient Delaruelle qu'il faut s'assurer de la réalité des faits reprochés à Tisseron et qu'il ne faut pas révoquer un voyageur sans avoir le moyen de le remplacer. Il lui demande pourquoi Barbet a abandonné les dessins qu'il est urgent de réaliser.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 juin 1874
Godin informe son fils Émile qu'il envoie à la gare de Bohain une caisse de livres et de papier à déposer dans la chambre du 3e au-dessus de son appartement, dont la cousine Moret détient la clé. Il l'autorise à congédier le père Masse et à couper la haie du clos Waret et il lui indique qu'il n'y a pas à s'occuper de la maison de la mère Honoré. Sur des dessins de buanderie et le brevet de nouvelles cuisinières. Sur le four d'émaillage : Godin demande à Émile de dire à Alphonse Grebel qu'Eugène André fait observer qu'un système analogue a été décrit dans différents ouvrages ; Godin mentionne deux numéros de périodiques, le Bulletin de la Société des anciens élèves des écoles d'arts et métiers de novembre 1873 et la Revue industrielle du 4 mars 1874.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 29 juin 1874
Godin demande à Delaruelle d'arranger l'affaire Obrador de la manière convenue avec Eugène André. Dans le post-scriptum, Godin demande à Delaruelle l'adresse de David Tisseron et il le prie de faire connaître à la maison Gustave Leroy et Cie son accord pour la caution de Quesnel du Havre pour garantir le paiement de leurs factures.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur des douanes, 29 juin 1874
Godin demande au directeur des douanes d'accorder à Eugène André une franchise de droits pour faire revenir en France par le bureau de douanes de Feignies le mobilier qu'il avait exporté en Belgique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Taupier, 10 juillet 1874
Godin répond à la lettre de Taupier du 8 juillet 1874. Sur Grangeon : Godin s'est souvenu de lui à la lecture de la lettre de Taupier. Sur un conflit d'attributions à l'usine : Godin va confier à André la direction générale de l'usine et espère prévenir les conflits d'attributions ; il rappelle à Taupier les limites de l'action d'un chef de comptabilité, qui n'a pas à intervenir par voie d'affichage dans les ateliers. Sur Denisart et sur Grebel « qui connaît mieux que personne les conventions qui ont rapport aux dixièmes » et à qui il est naturel de confier la préparation des règlements à faire aux ouvriers ; il met Taupier en garde contre l'esprit de cabale et de compétition. Godin avertit Taupier qu'il emploie chez lui comme laveuse une personne de mauvaise réputation alors qu'il avait fait poser au Familistère une affiche menaçant d'expulsion quiconque la recevrait ; il demande à Taupier que cette personne ne remette plus les pieds au Familistère. Sur les amendes pour absence dans les écoles : Godin demande à Taupier si ces amendes sont retenues régulièrement, et si les mois d'école des élèves extérieurs au Familistère ou les cours de dessin sont régulièrement payés ; il demande quel arrangement est fait avec les élèves dont les parents ne travaillent pas au Familistère ou à l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 17 juillet 1874
Godin demande à Delaruelle de soumettre les questions qu'il lui pose à Eugène André. À propos des prix de revient : Godin demande à Delaruelle de s'exprimer plus clairement ; « Je comprends que l'on apporte dans l'accomplissement de sa tâche toute la déférence possible pour les autres, mais cela doit être subordonné à l'accomplissement du devoir que l'on a à remplir. » Il l'engage à être le premier auxiliaire d'Eugène André qui va prendre la direction générale de l'usine et il lui demande quels sont les principaux désagréments qu'il a encourus jusqu'ici. Il l'informe qu'il a reçu la visite de David Tisseron, qui n'a pu conforter sa confiance en lui : Tisseron affirme qu'il n'a vendu aucun appareil de chauffage pour la maison Lapasque qu'il représente seulement pour la poterie ; il demande à Delaruelle d'enquêter pour savoir si des poêles à bavette et des cuisinières comtoises de la maison Lapasque ne se trouvent pas chez les clients de Godin qu'il visite, comme l'a signalé Lassérée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Taupier, 23 juillet 1874
Godin a appris que Taupier avait interdit à Delaruelle d'ouvrir le courrier avec lui chaque matin. Godin lui demande de quel droit Taupier a modifié des fonctions que Godin avait attribuées à Delaruelle ; il lui demande de le rétablir dans ses fonctions d'agent commercial et en particulier de l'autoriser à consulter les livres de comptabilité. Godin s'étonne que Taupier fasse des mutations parmi le personnel sans le consulter. Il indique à Taupier qu'il préfère lui parler de cela avant d'en informer Eugène André.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 juillet 1874
Godin avertit son fils Émile que des lettres adressées à Kate Stanton, qui est à Paris et sera à Guise dans quelques jours, peuvent arriver « chez M. Godin » [la lettre est de la main de Marie Moret]. Il reproche à Émile de ne pas lui donner des nouvelles de monsieur de Rivière. Il lui demande de conserver un article paru dans le journal Le Courrier de l'Aisne entre le 5 et le 10 juillet sur les écoles du Familistère. Il lui demande pourquoi le père Masse qui devait être congédié est toujours au Familistère. Il l'informe que sa deuxième brochure n'est pas encore publiée et qu'on peut attendre pour distribuer la France électorale. Il ne souhaite pas faire de changement à Laeken alors que l'employé capable en est parti. Sur un échantillon d'émail envoyé par Eugène André. Dans le post-scriptum, Godin signale à son fils qu'il ne s'oppose pas à la demande de congé de Quaintenne mais veut qu'il mette en ordre les dossiers des travaux qu'il a pu faire à Guise et les remettre à Alphonse Grebel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 2 décembre 1874
Godin répond au télégramme de son fils Émile. Sur l'affaire de Rivière. Godin indique à son fils qu'il convient de payer monsieur de Rivière 350 F pour le mois passé mais sans indemnité car le temps lui est laissé de se replacer. Godin pense que de Rivière sentira lui-même qu'il ne peut plus rester dans la maison eu égard à sa conduite, et qu'il est probablement soudoyé par une autre maison pour qu'il se conduise comme il le fait.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 4 décembre 1874
Sur l'organisation du travail dans l'usine : Eugène André propose de modifier les horaires de travail des ouvriers de l'usine ; Godin doute que les ouvriers veuillent faire des séances de 5 heures de travail sans repos et il souhaite que la proposition soit soumise au comité des ouvriers. Sur la caisse de secours : Godin souhaite que les mesures à prendre soient décidées en accord avec les ouvriers ; il estime qu'il va falloir restreindre la nature des secours dont il est fait abus et pense que la situation s'améliorera à partir du moment où des ouvriers seront renvoyés et que davantage de travail sera confié à ceux qui resteront. Sur l'affaire de Rivière : Godin avertit que de Rivière est malintentionné ; il préconise de consulter son avoué pour lui signifier qu'il ne peut prétendre à aucun frais de déplacement. Il lui retourne une lettre de Lemercier à qui il lui demande de payer un solde de 13,80 F. Sur une lettre d'Émile envoyée à Aubertin. Godin recommande qu'Eugène André essaie d'obtenir à l'amiable avec de Rivière les informations sur les préparations de couleurs des émaux. Godin autorise son fils à envoyer une somme à Hourdequin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 décembre 1874
Godin communique à son fils Émile une lettre de David Tisseron sur le tarif de la manufacture. Sur une remise fixe de 10 %. Sur un tarif spécial à faire sur les boutons et les articles de quincaillerie et d'émaillage pour faire une concurrence sérieuse à Boucher et Cie. Sur l'itinéraire de Tisseron et des voyageurs : Godin recommande à son fils et à Eugène André de se mettre en garde contre la rivalité des voyageurs entre eux et d'éviter de les laisser discuter des itinéraires ; Godin souhaite qu'Eugène André et Delaruelle arrêtent les itinéraires avant la venue des voyageurs à l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 18 décembre 1874
Sur une carte des fleuves et rivières à établir. Godin envoie une petite carte à son fils et lui donne de nouvelles recommandations pour établir la carte qu'il désire. Sur l'évaluation financière du Familistère et de l'usine. Dans le post-scriptum, Godin prie son fils de dire à Eugène André qu'il n'a pas trouvé mieux que Nugues pour l'emploi de chef de comptabilité, qu'il n'est pas satisfait par sa candidature, mais qu'il est prêt à l'accepter ; il l'invite à demander à Chatelais s'il a dans les papiers de l'Assemblée un gros rapport de Ducarre sur l'état de l'industrie houillère en France.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 16 janvier 1875
Sur les itinéraires des voyageurs de commerce des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Delaruelle qu'Eugène André lui a soumis les modifications faites aux itinéraires des voyageurs, qu'il a souhaité « arrondir » l'itinéraire d'Amédée Moret en fonction des compensations que l'on pourrait donner à Darras, mais qu'on n'a pas tenu compte de son avis. Godin demande des explications.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 janvier 1875
Sur l'octroi : Godin estime qu'il ne devrait pas avoir à s'occuper de ces bagatelles. Sur une carte géographique. Sur un appareil à air chaud. Godin demande à son fils de communiquer à Chatelais une liste d'adresses.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 16 février 1875
Sur le brevet de boutons et l'addition au brevet du moulage mécanique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 26 février 1875
Sur des expériences de fabrication de fonte grise conduites par Émile Godin. Sur les bénéfices de la manufacture et le tarif des marchandises.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 1er mars 1875
Sur la situation comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire et du Familistère. Godin juge que les résultats qu'on lui présente n'ont jamais été aussi peu clairs et il estime qu'il est urgent de trouver un chef de comptabilité habile. Il demande une série de renseignements sur les résultats d'inventaire. Dans le post-scriptum, Godin demande à son fils si Chevrolat a été remplacé au restaurant et lui demande d'en parler à François Dequenne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 2 mars 1875
Godin demande à son fils de s'entendre avec la commission pour l'installation de Tasserit à titre provisoire. Il lui recommande de laisser faire en toutes choses la commission et de lui faire part de ses observations sans intervenir dans les services. Sur la reprise des affaires : Godin pense qu'il faut encore attendre pour connaître l'évolution des affaires et qu'il ne faut pas augmenter la production de l'usine. Sur l'inventaire établi par Eugène André : Godin relève une erreur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 6 mars 1875
Godin informe son fils Émile de l'arrivée à Guise d'Émile Lefèvre, jeune homme de l'École supérieure de commerce, qu'il a engagé ; il lui explique que Lefèvre va dans un premier temps observer la fabrication et qu'il lui fixera un emploi après le retour à Guise d'Eugène André ; il le prie de demander à Delaruelle de donner à Lefèvre les albums et tarifs de la manufacture. Sur un ouvrage relatif aux mines. Sur les expériences d'Émile Godin pour la réduction du minerai de fer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 mars 1875
Sur le tarif des marchandises de la manufacture. Sur le transport de marchandises par chemin de fer : Godin rappelle qu'il faut s'efforcer de faire arriver et expédier par Marle et de s'entendre avec la Compagnie du chemin de fer du Nord à ce sujet, et éviter de se servir de la gare de Bohain à cause des taxes appliquées aux transports sur la route déclassée de Guise à Bohain. Sur la journée de travail à l'usine de Guise : Godin estime qu'il serait possible d'ajouter une heure à la journée si le volume des marchandises diminuait dans les magasins, mais il pense qu'il n'est pas possible de maintenir tous les emplois dans une période aussi difficile ; il lui demande d'aviser sur ce qu'il convient de faire avec Eugène André et François Dequenne. Godin retourne à son fils Émile une lettre qui lui a été renvoyée par Bazin ; il demande à ce que le télégraphe soit réservé aux cas d'urgence et recommande de prendre des habitudes d'économie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Dequenne, 13 mars 1875
Godin demande à François Dequenne d'examiner la situation de la famille Duchemin et de prendre des mesures pour la soulager s'il y a lieu. Il annonce à Dequenne qu'il souhaiterait que les habitants du Familistère puissent travailler davantage pour améliorer leur position, quitte à renvoyer encore un certain nombre d'ouvriers ; il lui demande de s'entendre avec Émile Godin et avec Eugène André sur cette question.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 mai 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin accuse réception de la lettre de son fils Émile du 1er mai, du plan de l'appareil de sondage et de la lettre d'Émile à Delaroche. Sur la reproduction d'éléments de l'outillage de sondage. Godin informe son fils qu'il forera à plus de 100 mètres et qu'il compte que Delaroche lui envoie davantage de tringles. Sur l'emploi de chef de la comptabilité des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin demande à son fils et à Eugène André de montrer tout le mécanisme de la comptabilité à Colombet. Il l'avise enfin qu'il lui envoie un télégramme pour lui demander de l'argent.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 22 mai 1875
Sur la fabrication de boutons. Sur l'affaire Quaintenne. Sur une affaire Maillet. Sur une affaire Fotard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 31 mai 1875
Sur le nouveau cubilot de l'usine de Guise : Godin fait des observations sur son fonctionnement ; il remet à son fils Émile une lettre destinée à Antoine Pernin. Sur la reprise des affaires : Godin demande à Émile s'il ne faut pas allonger la journée de travail des ouvriers pour ne pas manquer de marchandises l'hiver suivant. Sur l'embauche de l'ouvrier Paul Louis : Godin aimerait mieux améliorer la situation des ouvriers déjà au travail plutôt qu'en embaucher de nouveaux ; il pense que si Paul Louis devait être accepté un jour, ce serait à l'atelier de montage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 juin 1875
Godin informe son fils Émile que l'élection du conseiller général du canton de Wassigny aura lieu le dimanche suivant et que les députés de l'Aisne soutiennent Maréchal comme candidat républicain et veulent écarter le bonapartiste Godelle. Il demande si Émile peut trouver des employés ou des ouvriers de l'usine qui pourraient donner un concours à la candidature de Maréchal à Étreux, Hannapes, Vénérolles, Mennevret, Tupigny et Verly, et il l'avertit que ce concours est difficile car il consiste à influencer les électeurs sans l'aide de circulaires ou de bulletins. Il lui demande d'informer Eugène André qu'il a envoyé le pouvoir à Delloye à Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 30 juin 1875
Sur la fabrication à Guise d'un cylindre de pompe pour l'usine de Belgique : Godin reproche à son fils Émile de ne pas laisser à André le soin de diriger l'usine de Laeken ; il recommande de produire en Belgique. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : il signale que la poulie et la tringle du matériel de sondage ne sont pas arrivés à Sardy. Il souhaite savoir si Eugène André s'occupe de remettre les voyageurs en tournée. Il demande à Émile de faire constater un enlèvement de cailloux qui cause un préjudice au Familistère. Dans le post-scriptum, il demande à Émile de remettre 200 F à titre de prime à monsieur Paquerot et 100 F à madame Paquerot.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 14 juillet 1875
Godin fait répondre aux musiciens du Familistère qu'il est hors de question de reporter une fête du Familistère à cause d'une fête se déroulant à l'extérieur. Godin accorde l'augmentation de 10 F par mois demandée par Poëtte à condition qu'il paie le loyer de l'appartement qu'il demande. Il souhaite qu'Émile augmente de 5 F les appointements de madame Dirson au bambinat. Il lui demande de ne pas distribuer les brochures La France électorale et de se concerter avec Eugène André et Colombet pour savoir si le nombre d'employés dans les bureaux est suffisant. Il lui retourne un reçu de Wateau sur lequel manque un timbre. Sur un versement de Cantagrel à la Caisse commerciale. Il le prévient qu'il va recevoir des livres de la Librairie Armand Le Chevalier. Le post-scriptum est relatif à l'emploi par Eugène André du jeune Lefèvre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Colombet, 22 juillet 1875
Godin constate que Colombet n'apporte aucun élément à l'appui d'une prétendue démoralisation du personnel des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il juge que ses insinuations sont sans fondement, lui signifie qu'il ne peut plus avoir confiance en lui, qu'il doit en faire part à Eugène André et il lui demande la période de son départ.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 22 juillet 1875
Godin indique à son fils Émile qu'il n'y a rien à payer à la municipalité de Guise tant que Maillet sera maire ; il lui demande de rendre le reçu à Noiret en lui disant qu'il distribue lui-même ce qu'il a à donner aux pauvres. Sur un monsieur Rousselle. Il demande à Émile de remettre à André la lettre jointe.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Colombet, 29 juillet 1875
Godin informe Colombet qu'il doit se contenter désormais de surveiller la comptabilité générale de l'usine et du Familistère. Il lui annonce qu'Eugène André va lui donner les indications sur ce qu'il peut faire jusqu'à son départ.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Antoine Pernin, 10 novembre 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Sur la fabrication d'un trépan de sondage à Guise. Godin presse son envoi à Sardy. Il demande à Pernin de le tenir informé des nouvelles expériences qu'il conduit au moulage mécanique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 14 novembre 1875
Sur l'achat d'une propriété à Guise proposée par monsieur Lefèvre : « Quant à moi, je ne veux plus acheter pour un sou à Guise ». Godin se demande si ce n'est pas une manœuvre des agents d'Esther Lemaire pour savoir s'il est prêt à acheter l'usine aux conditions du récent jugement. Il ne s'oppose pas à ce que son fils Émile en fasse l'achat pour son compte à bon prix. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : « Je ne puis accepter ce jugement, mais ce que nous avons de mieux à faire c'est de ne pas parler. Mais à partir de ce jour, je vais recommencer les études de l'an dernier sur les avantages qu'il y aurait à fonder une établissement d'industrie du chauffage ailleurs en France [...] » Godin pense qu'il n'hésiterait pas à créer un nouvel établissement s'il pouvait utiliser directement les minerais de la Nièvre dans la production de la fonte moulée. Il pense que l'approvisionnement en charbon de Sarrebruck pourrait se faire à Clamecy comme à Guise. Sur la production de fonte douce. Il propose à son fils de l'aider à faire l'étude comparée de l'influence des transports sur le prix de revient des marchandises à Guise et à Clamecy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 20 novembre 1875
Godin demande à Grebel de payer à de Sobirats ce qu'il lui doit, ainsi qu'à Édouard Larue. Sur l'affaire Quaintenne : Godin demande à Grebel de se concerter avec Eugène André pour y mettre un terme. Sur la licitation des biens de la communauté Godin-Lemaire. Sur les prochaines élections [législatives] : il lui signale qu'Émile Godin demande s'il doit se rendre au Nouvion. Il lui demande d'établir la liste des personnes de la circonscription qui ont répondu aux envois de livres faits par Chatelais ; il lui indique qu'Émilie Dallet détient le dossier de la correspondance avec Chatelais.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 7 décembre 1875
Godin informe son fils Émile qu'il vient d'embaucher un comptable nommé Graillot aux appointements de 334 F par mois. Il demande à son fils et à Eugène André de le mettre au courant de la comptabilité de l'usine, dans la perspective d'en faire un sous-chef de comptabilité sous les ordres d'André s'il fait ses preuves. Sur une expropriation de terrains à Laeken pour la mise en valeur du quartier. Sur un retard de paiement de Dehan. Sur le retour de Wagnier : Godin transmet à Émile une lettre de Wagnier au retour duquel il ne s'oppose pas, avec ses anciens appointements à l'usine ou au Familistère, sans l'obligation de le loger au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Graillot, 7 décembre 1875
Godin confirme à Graillot son recrutement en qualité de comptable pour l'usine de Guise. Il l'informe qu'il a prévenu son fils Émile Godin et Eugène André, directeur, qu'il allait faire une visite préalable de l'usine. Il l'invite à venir le voir à nouveau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 15 décembre 1875
Émile Godin a écrit à son père qu'il avait des griefs à l'encontre de Grebel et à Eugène André. Godin explique à son fils qu'il avait autorisé Grebel à faire le modèle en bois d'un produit nouveau, qu'il en avait informé Pernin mais personne d'autre. « Il me semble que je suis un petit peu directeur et que si l'on avait tant d'amour pour la vraie direction, on tiendrait un peu plus compte de mes avis qu'on le fait, et l'on n'adresserait pas aux autres des reproches que devraient m'être faits à moi-même s'il y avait lieu. » Godin reproche à Émile de se laisser emporter par la passion et de ne pas rechercher la concorde et la paix qui ramènent les choses à leurs vraies proportions. Godin explique également à son fils qu'il avait autorisé Eugène André à changer Edmond Louis et que si Pernin s'en est trouvé indisposé, c'est seulement parce qu'André a manqué de tact. Sur un litige de 20 F avec l'octroi : Godin reproche également à Émile de ne pas régler à l'amiable des affaires de minime importance. « Je veux bien que des demandes ne soient pas toujours fondées en tout point, mais nous avons de notre côté la fortune qui nous permet bien de faire des concessions à d'autres et il n'y a pas à toujours à être à cheval sur le dernier sou qui vous appartient. Ce qui est à soigner, ce sont les grands intérêts, mais il faut éviter de s'arrêter à des bagatelles dans lesquelles on perd son temps pour ne gagner qu'une fâcheuse réputation de mesquinerie. » Dans le post-scriptum, Godin évoque une lettre de Marle et lui demande si Picot a installé dans son futur cabinet de travail au Familistère la bibliothèque qu'il lui avait commandée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Larue qu'il lui fait parvenir dix exemplaires de ses conclusions. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin informe Larue que la cour d'Amiens rendra son arrêt le 5 mars 1877 ; Godin demande à Larue s'il peut faire le nécessaire pour lui dans l'affaire Diet, Tisserant ne devant revenir à Guise que le 1er mars. Sur l'affaire avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin demande à Larue s'il faut signifier le jugement à la Compagnie. Sur l'affaire Graillot : Godin informe Larue qu'Eugène André se rendra le 27 février 1877 à Vervins.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin prévient Larue qu'il ne voit pas la nécessité de se rendre le lendemain à Vervins au sujet de l'opposition à la demande de maître Diet, Tisserant n'étant pas encore de retour à Guise. Godin estime que maître Diet a intégré dans ses frais de procédure les frais du travail de maître Barnier qui devraient être la charge exclusive d'Esther Lemaire. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin indique à Larue que Grebel ira le vendredi suivant à Vervins pour lui demander de remettre un document au président du tribunal. Sur l'affaire Graillot : Eugène André a appris que le tribunal de Vervins avait condamné Godin à payer trois mois d'appointements à Graillot ; il voudrait faire appel du jugement à Amiens et prie Larue de demander à Alphonse Delpech si la cour d'Amiens est susceptible de juger dans le même sens que le tribunal de Vervins.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Lecail a écrit à Godin le 21 mars 1877 pour se plaindre d'un refus d'augmentation d'appointements. Godin lui fait remarquer qu'Eugène André lui a indiqué que les écritures du magasin n'étaient pas régulières et qu'un employé doit être jugé d'après les faits, même s'il aurait eu plaisir à promouvoir un ancien élève des écoles du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Denisart a demandé à Godin à revenir dans son établissement. Godin estime que le retour de Denisart est difficile car il occuperait une position de moindre importance, l'économe du Familistère n'étant désormais que l'agent exécutif d'une commission administrative, aux appointements de 1 800 F par an. Godin rappelle à Denisart ses inimitiés personnelles au Familistère qui feraient opposition à son retour : l'appui d'Eugène André, directeur de l'usine, et de Dequenne, président de la commission administrative, serait nécessaire pour éviter de faire renaître l'esprit d'intrigue et de cabale. Dans le post-scriptum, Godin transmet à Denisart le souvenir de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin n'a pas répondu à la lettre de Gouchet du 18 mai 1877 car il souhaite l'inviter quelques jours à Guise et profiter de son séjour pour parler du sujet qu'il évoque. Il lui demande d'indiquer à Eugène André, qui va se rendre à Laeken, quand il pourrait venir à Guise pour suivre convenablement la fabrication à l'usine, ce qui pourrait lui être très utile pour la fonction qu'il a à remplir à Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la vente d'un terrain. Godin souhaite avoir une entrevue avec Lefèvre pour conclure la vente rapidement et lui permettre d'occuper des ouvriers aux travaux du chemin pendant la mauvaise saison.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond tardivement à la lettre du 5 octobre 1880 car il a passé quelques jours à Bruxelles. Sur le paiement de frais et d'honoraires à André et à Godet. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le paiement de frais de procès-verbal. Sur le procès entre Godin et son fils Émile : Godin ne trouve pas trace dans les copies de lettres d'une lettre de remerciement à Saudbreuil pour son intervention officieuse ; il demande à Tisserant s'il a souvenir qu'une telle lettre ait été envoyée. Il l'informe que l'Association coopérative du capital et du travail s'installe et que ses conseils fonctionnent.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin reproche à Amédée Moret le ton acrimonieux voire malveillant de sa correspondance avec les services de l'usine. Sur l'établissement du compte des voyageurs.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Tisserant une note que lui a remise Eugène André.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures du Familistère : Godin fait des recommandations à Bernardot. Il le remercie pour les renseignements sur les habitations ouvrières de Barrow mais souhaiterait avoir des informations sur les intérieurs des logements.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Informé par Eugène André de retour de Laeken, Godin donne à Gauchet une autorisation pour édifier un mur.

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