FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un article de Limousin paru dans le Journal des économistes. Sur un plan conçu par monsieur Boutin, que Godin ne croit pas aisément applicable. Godin remercie Leymarie d'avoir empêché l'envoi d'une parure de corail à Marie Moret « dont elle n'a que faire ». Il lui annonce qu'il part le lendemain voir le docteur Slade. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Tisserant qu'il est menacé de poursuite à cause du manifeste électoral bien qu'il n'ait pas été mis en circulation et que les exemplaires imprimés ont été détruits la veille du jour où le parquet en avait ordonné la saisie : « Un silence de mort va donc se faire sur les élections ». Il lui communique une lettre de Delpech qui lui est adressée. Sur des ballots de l'imprimerie Bardin « arrivés ici et déposés chez vous au moment où vous partiez ». « J'aurai des communications bien intéressantes à vous faire sur mon voyage de Bruxelles lorsque vous reviendrez. J'y ai été témoin de phénomènes spirites qui m'ont donné la preuve de faits que je désirais vérifier depuis longtemps » Il transmet à Tisserant les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant que Ganault pourra se charger de son affaire de compte avec Esther Lemaire, mais que ce dernier va devoir comme Goblet, s'occuper des élections législatives et de sa candidature au conseil général. Godin envoie à Ganault le tableau résumé des propositions qu'il a faites pour [le mobilier des] écoles, ainsi qu'un plan pour la bonne compréhension des mesures. Il lui indique qu'il ne s'est jamais préoccupé de concevoir un appareil de chauffage brûlant exclusivement de sapin commun et il lui demande pour quel usage il se sert d'un tel appareil. Dans le post-scriptum, Godin indique que Marie Moret et Émilie Dallet lui envoient leurs compliments.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a rédigé un article à la suite de l'appel lancé par Fauvety dans La Religion laïque pour une enquête sur la vie outre-tombe. Il lui demande de lui faire part des observations critiques qu'il pourrait susciter si Fauvety insérait son article dans sa revue. Il lui envoie une réponse à la question sur la providence divine en plus de celle signée M. Moret. Le post-scriptum porte sur la visite à Henry Slade : « Peut-être est-il bon de vous assurer que ce que je relate de mes visites chez M. Slade n'est qu'un récit très affaibli des phénomènes dont j'ai été le témoin. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Offroy et Cie une procuration notariée de Marie Moret pour effectuer le dépôt de ses titres de rente italienne en son nom à la Banque de France.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur des vide-poches offerts à Marina Leymarie. Sur un accident survenu à Pierre-Gaétan Leymarie. Godin accuse réception des ouvrages annoncés par Pierre-Gaétan Leymarie dans sa lettre du 12 octobre, mais il indique qu'il n'a pas encore reçu de numéro du Messager de Liège auquel il a souscrit un abonnement d'un an à compter du 1er septembre 1877. Il signale que la Religion laïque de la fin d'octobre a fait paraître un article sur sa visite chez Slade, article qui doit faire disparaître le reproche adressé à la revue de Fauvety par le dernier numéro de la Revue spirite. Il communique les remerciements de Marie Moret à Pierre-Gaétan Leymarie pour la Genèse qu'il lui a offert. Il transmet au couple Leymarie et à leur fille les compliments de toute la famille Godin-Moret-Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande le récépissé du dépôt à la Banque de France des titres de rente italienne de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des récépissés de la Banque de France des 33 500 F de rente déposés au nom de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Leymarie du 15 janvier 1878 lui rapportant des appréciations faites sur lui et sur le Familistère. Godin est satisfait de voir l'intérêt que porte le dernier numéro de la revue de Leymarie au Familistère et au livre Solutions sociales. Leymarie lui dit qu'il vend beaucoup d'exemplaires de cet ouvrage : Godin demande s'il les a pris chez Guillaumin et Cie ; il lui propose de lui en livrer s'il en fait une vente importante. Godin annonce à Leymarie qu'il va publier un journal intitulé Le Devoir : il lui demande de lui communiquer une copie de sa liste d'abonnés. Il l'assure qu'il a bien fait de les compter, lui et Marie Moret, parmi les membres de la future Société d'études psychologiques.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est heureux que Massoulard ait trouvé un accueil sympathique dans sa famille. Il souhaite qu'il s'occupe d'abord de sa famille avant de penser aux affaires du Familistère et lui indique que la seule conséquence sera de différer la parution du journal de quelques jours. Il présente à Massoulard les compliments d'Émilie Dallet et de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin propose à Marie Howland que son bel ouvrage Papa's Own Girl soit traduit en français par Marie Moret, qui connaît désormais suffisamment l'anglais, et publié en feuilleton dans le journal Le Devoir. Il l'avertit qu'il sera obligé de faire des modifications dans les chapitres décrivant le Familistère pour faire concorder parfaitement le texte avec la réalité. Il lui explique qu'il veut faire avec son livre ce qu'elle a fait en traduisant Solutions sociales, et il lui signale que la traduction de son roman a déjà commencé. Il lui envoie deux brochures, La richesse au service du peuple, qui comprend des extraits de Solutions sociales et La politique du travail et la politique des privilèges.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin tempère les éloges enthousiastes de Marie Howland à l'égard de sa personne. Sur les difficultés du perfectionnement de l'humanité. Sur le livre de Marie Howland et l'appréciation du Familistère par les fouriéristes : « Ne pouvant lire votre livre, peut-être ai-je été conduit par certains passages traduits isolément à subir l'effet de certaines impressions nées de la façon dont le Familistère est apprécié par les disciples de Fourier qui ont persisté à croire le maître infaillible et à considérer sa théorie comme étant la science sociale. Quoiqu'ils revendiquent le Familistère comme une suite des travaux du maître et de son école, ce que je ne veux en aucune façon contester, il n'est pas moins vrai qu'au demeurant, on me considère un peu comme un hérétique pour ne pas avoir admis la théorie des passions et n'avoir pas réalisé le travail attrayant par groupes et séries. » Godin explique que le dévouement et le sacrifice, et non l'attrait et le bonheur individuel, sont les principes de son action. Il fait la critique de la théorie fouriériste. Sur la vie d'outre-tombe : Godin affirme qu'il a dépassé Fourier dans la connaissance des rapports entre l'existence matérielle et la vie d'outre-tombe. Sur les résistances au Familistère et à l'Association : il annonce à Marie Howland que Marie Moret va lui envoyer la copie d'une transcription de sa dernière conférence, et qu'elle pourra ainsi comprendre qu'il peut être sujet à la mélancolie et au découragement. Sur la maladie d'Edward Howland : Godin recommande à Marie Howland d'imposer les mains sur son époux pour hâter sa guérison.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Compiègne de réaliser des épreuves, notamment sur émail, de trois photographies [de lui] et de deux photographie de Marie Moret, dont l'une sur laquelle il faut corriger un mauvais pli du cou.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Leymarie a écrit à Godin au sujet d'un comptable, Paul Gillard. Godin répond qu'il ne lui paraît pas possible de lui offrir un emploi en raison de l'importance considérable de ses appointements (18 000 F), bien davantage que son actuel chef de comptabilité (4 800 F). Il l'informe qu'il recevra avec plaisir la visite de Constantin Delhez. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une visite que Fauvety devait faire en novembre 1878 au Familistère. Godin annonce à Fauvety qu'il voudrait lui parler des statuts de l'association du Familistère quand il viendra au Familistère avec sa femme. Sur les séances de madame Hugo d'Alési : Godin indique à Fauvety que le Traité du ciel et de l'enfer de Swedenborg exposait les mêmes phénomènes. Il transmet à Fauvety et à sa femme les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Auguste Fabre du 31 mars 1879. Godin relève leur long silence réciproque. Il confie à Fabre son espoir d'avoir près de lui de chauds partisans de la coopération ou même de l'association comme l'est Auguste Fabre. Fabre a écrit à Massoulard qu'il tente de créer à Nîmes une société coopérative : Godin le félicite. Il comprend les difficultés de Fabre à contracter des abonnements au journal Le Devoir dont la première année l'a déçu. Il lui explique que les statuts de l'association du Familistère sont terminés et promet de lui en envoyer un exemplaire quand ils seront imprimés. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du rapport envoyé par Fabre le 2 juin sur la société coopérative qu'il a fondée à Nîmes. Il lui demande l'autorisation de le publier dans le journal Le Devoir. Il l'informe que les statuts de l'association du Familistère sont faits et qu'il veut les faire paraître en un volume expliquant les principes et les motifs de sa fondation. Godin fait des observations sur la société coopérative de Fabre : sur la boucherie, plus difficile que l'épicerie, sur le contrôle des opérations commerciales, sur la compétence de l'acheteur des produits et de la qualité de ceux-ci. Godin confirme à Fabre que le feuilleton La fille de son père sera prochainement édité en volume. Il lui annonce que Massoulard va quitter le Familistère à la fin du mois de juin pour des raisons de famille. Il lui adresse le souvenir de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Marie Howland qu'elle embellit en imagination le Familistère qu'elle n'a jamais vu : « Le Familistère avec ses onze cents fenêtres et bientôt ses douze cents habitants est certainement un édifice considérable mais ce n'est que le squelette du Familistère idéal créé par votre imagination. » Godin évoque le printemps à Guise mais avertit que rien ne s'obtient sur Terre que par un dur labeur et que le travail attrayant est d'un autre monde : c'est pourquoi, explique-t-il, la présentation du Familistère dans les derniers chapitres de son roman a été un peu modifiée. Godin explique à Marie Howland que les statuts de l'association sont rédigés mais doivent être mis en conformité avec la loi française avant d'être imprimés. Il lui annonce que Marie Moret va lui envoyer une collection de portraits photographiques datant de quatre ans. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à elle et à Edward Howland.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Fauvety que Champury lui a communiqué sa lettre annonçant son intention de venir à Guise le 20 juillet 1879. Godin est satisfait de sa visite mais lui fait observer que 24 heures constituent un temps trop court pour cela ; il invite madame Fauvety à se joindre à lui et met à leur disposition un appartement où ils seront tranquilles, « trop tranquilles peut-être, car vous n'y aurez pas tout votre monde d'Asnières ». Dans le post-scriptum, Il transmet à Fauvety et à sa femme les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le souhait de Massoulard de revenir au Familistère. Godin remercie Massoulard pour les témoignages de sympathie qu'il lui a donnés dans ses lettres à Marie Moret, mais il lui rappelle les incidents qui ont eu lieu entre eux. Il lui rappelle qu'alors qu'il était en Amérique, il déclarait vouloir être attaché à l'œuvre du Familistère, qu'il l'avait associé à la rédaction du journal Le Devoir et qu'il lui en avait confié la gérance, mais qu'il avait renoncé à participer à la rédaction du journal après que Godin ait demandé une modification à un de ses articles, puis qu'il s'était retiré de la gérance. Il lui rappelle encore qu'il lui avait confié l'économat sous le contrôle et la direction de monsieur Épaulard, mais qu'il s'est soustrait à la hiérarchie des fonctions. Il le prévient que les employés supérieurs du Familistère et de son usine ont gardé le souvenir de ces aspects de son caractère. Godin n'est pas d'accord avec la façon dont Massoulard justifie son comportement dans sa lettre du 19 septembre 1879 : sur la persuasion, l'opposition cordiale et le respect d'autrui. Godin pense que Massoulard pourrait rendre des services à l'association du Familistère ; il accepterait le retour de Massoulard à la condition d'être conciliant et d'accepter les remontrances sur son comportement. Il l'avertit qu'il ne peut faire son retour qu'à titre de disciple car l'œuvre de l'association est tellement avancée qu'il s'agit de suivre la voie qu'il a tracée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres d'Emmanuel Épaulard et lui retourne un mandat. Il lui fait part de son mécontentement du fait que les maisons Girot et Lajourdie n'ont pas encore reçu les circulaires demandées et lui demande de leur en envoyer. Il lui transmet ses compliments et ceux de Marie Moret ainsi qu'à Pascaly.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À la suite des articles de Soury contre le spiritisme parus dans le journal La République française, Fauvety a demandé à Godin des nouveaux développements sur les séances du médium Slade auxquelles il a pu assister ou sur d'autres phénomènes du même genre dont il a été témoin. Godin lui explique qu'il connaît depuis près de 40 ans les causes phénoménales des manifestations extra-physiques, mais que tous les faits dont il a été le témoin rentrent dans l'ordre des phénomènes psychologiques. Il lui indique qu'il ne peut rien ajouter à ce que la Religion laïque a publié dans son numéro de novembre 1877. Godin estime qu'il n'est pas utile de répondre aux articles de Soury, écrits surtout pour faire du bruit. Il lui annonce qu'il recevrait avec plaisir son article sur la loi concernant les associations. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à lui et à sa femme. Dans le post-scriptum, Godin demande à Fauvety de lui envoyer le n° 28 de janvier 1878 de la Religion laïque pour compléter sa collection.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur le moulage d'objets creux. Sur les statuts de l'association du Familistère : Godin précise à Tisserant que l'imprimeuse des statuts est madame veuve Éthiou-Pérou au 2 et 4 rue de Damiette à Paris ; il lui annonce qu'il va faire dresser la liste des anciens habitants du Familistère ; il propose d'offrir à Vavasseur la somme de 2 000 F et souhaite qu'il lui demande de faire ses dernières observations. Il transmet à Tisserant le meilleur souvenir de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Leymarie qu'il veut supprimer le bureau du journal Le Devoir de la rue Serpente à Paris pour réduire les frais du journal. Il lui demande s'il accepte que le journal donne son adresse pour la réception des abonnements à Paris, même si ces abonnements sont à peu près nuls. Il accuse réception du livre de Vallès dont Le Devoir rendra compte prochainement. Godin remercie Leymarie pour les renseignements sur les traductions des ouvrages de Swedenborg ; il désirerait avoir Le divin amour et la divine sagesse traduit par Moët plutôt que par Le Boys des Guays. Il lui transmet les meilleurs souvenirs de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des trois volumes envoyés par Fauvety qui vont être déposés à la bibliothèque du Familistère. Il lui signale qu'il lira avec intérêt sa réponse [aux articles de J. Soury sur le spiritisme]. Il demande à Fauvety s'il connaît un comptable émérite qui pourrait prendre la direction de la comptabilité de l'association du Familistère. Dans le post-scriptum, Godin transmet à Fauvety les amitiés de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des albums envoyés par Neale et l'en remercie. Il lui annonce l'envoi prochain des statuts de l'association du Familistère. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Leymarie a demandé le 17 novembre à Godin un article sur le Familistère et son journal. Godin lui adresse un canevas de l'article. Il lui signale qu'il a modifié la manchette du journal Le Devoir pour indiquer que les abonnements à Paris doivent lui être désormais adressés. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Fabre a écrit à Pascaly qu'il avait toujours l'espoir de venir prendre une part active dans l'association du Familistère. Godin demande à Fabre de lui dire ce qui l'empêche de le faire et s'il s'agit d'une question d'argent. Il l'informe qu'il achève les statuts de l'association du Familistère : « Sera-ce à Guise ou à Nîmes que vous les lirez pour la première fois ? Je pense que cette œuvre restera dans l'histoire du mouvement social. » Il lui signale que Pascaly met au net le manuscrit des statuts : « C'est le premier homme au cœur droit et vraiment sympathique aux idées d'association qui me soit encore venu. » Godin espère que Fabre sera le second. Godin indique à Fabre que Pascaly lui a remis à son arrivée les bouteilles de vin que les membres de la chambre [La Solidarité] lui ont offertes. Il lui demande de leur présenter ses remerciements et ses vœux de succès. Il lui transmet le souvenir de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Pagliardini du 5 octobre 1879. Il l'informe qu'il n'a pu lire encore ses observations sur le livre de M. Jazon (?) car il est absorbé par l'achèvement des statuts de l'association du Familistère, dont il lui promet l'envoi prochain d'un exemplaire. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à lui et à ses sœurs.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Fauvety pour ses vœux du 31 décembre 1879. Il lui adresse en retour ses vœux pour qu'il poursuive la propagande des idées nécessaires à la régénération des sociétés. Il le félicite pour son dernier livre, Le spiritisme devant la science dont le journal Le Devoir rend compte. Il l'informe que depuis qu'il l'a vu au Familistère, il est absorbé par la constitution définitive de l'association du Familistère ; il pense que la rédaction des statuts et règlements est trop approfondie pour être comprise des socialistes, mais qu'ils seront étudiés dans l'avenir. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et de la sœur de cette dernière.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Leymarie que lui-même et Marie Moret sont membres du cercle d'études psychologiques. Il commande l'ouvrage Mirette par Élie Sauvage.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Fabre du 23 avril 1880 et de celle de Roux. Sur l'arrivée de Fabre au Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Cadoret est venu au Familistère en l'absence de Godin. Godin exprime à Cadoret le plaisir que Marie Moret a eu de le recevoir. Il regrette le départ de Cadoret mais se réjouit de son avancement et lui souhaite du bonheur dans sa nouvelle résidence.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin félicite Louis Simonin d'être un homme de cœur et de parole. Il lui explique que la conciliation des intérêts entre le capital et le travail serait facilitée si tous les publicistes de la presse républicaine venaient en aide par la parole à ceux qui servent l'idée par l'action. Dans le post-scriptum, il l'informe qu'il a reçu sa lettre et que Marie Moret lui présente ses compliments.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Levasseur de prélever sur son compte au Courrier de l'Aisne les 240 F qu'il lui doit. Sur la transformation du journal Le Devoir en revue mensuelle : Godin hésite et demande son avis à Levasseur ; il le prévient qu'au lieu d'une « Semaine politique », il va avoir besoin d'une « Semaine sociale » ou d'un « Mois social » ; il dresse une liste des sujets que Levasseur pourrait traiter. Il lui présente les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la répartition des bénéfices au personnel de l'Association coopérative du capital et du travail selon les catégories sociales. Il transmet à Harry Meltzer les compliments de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'arrivée de Fabre au Familistère. Godin assure Fabre qu'il attend sa collaboration au Familistère en plus de celle de Marie Moret. Il fait l'historique de la relation d'Auguste Fabre au Familistère : sa visite en 1878, sa lettre à Massoulard sur son intention de revenir au Familistère, sa recommandation de Pascaly, la lettre de Godin du 13 septembre 1880 et sa réponse du 7 octobre 1880, son séjour de deux mois au Familistère et son silence ensuite. Il l'encourage à se mettre au service du Familistère au moment où s'organise l'association.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le recrutement d'un rédacteur du journal Le Devoir sachant parler allemand.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Pascaly, Charles-Jules (1849-1914)
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Godin adresse à Pagliardini son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il espère que son ouvrage sera bientôt traduit par Edward Vansittart Neale et pense qu'il sera utile pour la coopération en Angleterre. Godin informe Neale que le procès avec son fils Émile s'est achevé par un arbitrage attribuant un million de francs à ce dernier. « Quant à revenir à lui d'esprit et de cœur comme vous en émettez l'espoir, il reste et restera ce qu'il a toujours été, à mon grand regret. » Il transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de lui-même et de Marie Moret

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Neale pour sa lettre du 20 (?) juin sur l'état de la coopération en Angleterre. Il lui signale que le journal Le Devoir des 15 et 22 août 1880 contiendra un article adressé aux coopérateurs anglais. Il le remercie également de sa proposition de le mettre en relation avec Hermann Schulze-Delitzsch et avec Francesco Viganò pour qu'il leur envoie son livre Mutualité sociale. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Pagliardini a appris à Godin qu'il a eu un accident. Godin regrette qu'il n'ait pu séjourner cette année au Familistère comme il l'avait fait l'année précédente car il aurait pu assister à la constitution de l'Association coopérative du capital et du travail. Il lui signale qu'il n'a pas encore vu la demoiselle qu'il lui a recommandée. Il transmet les compliments de Marie Moret à lui et à ses sœurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin se réjouit que Tisserant a recouvré la santé. Il l'informe que l'association du Familistère fonctionne normalement. Il s'étonne que son fils Émile ne se soit pas manifesté pour réclamer ce qu'il lui doit. Il lui indique qu'il n'a pas de nouvelles de l'affaire en cassation [l'affaire Boucher et Cie]. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin annonce à Neale qu'il veut par son testament empêcher que ses héritiers dissolvent l'association du Familistère et se partagent sa fortune ; il lui explique qu'après avoir laissé 3 millions à ses héritiers, la loi française l'oblige à leur céder la moitié de sa fortune au moment de son décès ; il lui soumet la rédaction de son testament. Neale a exprimé son souhait de devenir associé de l'Association coopérative du capital et du travail : Godin lui indique que les statuts ne le permettent pas, mais qu'il peut lui céder un titre d'apport de manière à ce qu'il soit enregistré comme membre de l'Association. Il l'informe qu'il a envoyé 75 livres à son chargé d'affaires à Londres pour qu'il suive l'affaire Muller et évoque la possibilité que l'Association s'adresse à lui pour défendre ses droits. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Épaulard un croquis relatif à une invention. Il dresse l'état du compte d'épargne d'Épaulard dans l'Association coopérative du capital et du travail. Il lui demande s'il sait où se trouvent des clichés de cuivre représentant les accessoires des leçons d'arithmétique que Marie Moret lui avait communiqués.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Tisserant pour sa lettre du 18 février 1881 et se réjouit de l'accueillir au Familistère. Il se dit accablé par les occupations. Il lui donne des nouvelles de l'Association du Familistère : elle fonctionne mais Godin se plaint du manque d'hommes ayant les aptitudes nécessaires à son fonctionnement ; il regrette l'indifférence générale à l'égard du Familistère et de l'Association et que Tisserant n'ait pas pu devenir un collaborateur de l'Association. Il lui annonce qu'il profitera de sa visite pour parler de son testament. Il lui demande, à l'occasion de son passage à Paris, d'aller voir Moret, son avocat à la Cour de cassation dans l'affaire Boucher et Cie, au 13 rue de Tournon. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin informe Neale qu'à la suite de ses observations, il a remanié la rédaction de son testament ; il lui en envoie une copie. Il lui demande s'il compte se rendre au congrès coopératif de Milan. Il lui demande également s'il éprouve des difficultés à publier la traduction anglaise de Mutualité sociale. Il lui adresse les remerciements de Marie Moret pour le volume de morale qu'il lui a envoyé et qui est en cours de traduction pour en faire usage dans les écoles. Il l'informe que Marie termine la traduction des Équitables pionniers de Rochdale et la coopération en Angleterre de Holyoake.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Ragot-David du 8 octobre 1881 : à propos de petits livres de Morale universelle à l'usage des écoles du Familistère. Il demande à Ragot-David de lui envoyer 50 exemplaires du volume contenant la première et la deuxième partie. Il lui transmet le souvenir de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Neale que l'hospitalité lui sera toujours offerte au Familistère. Il lui confirme que la fête du Travail du Familistère aura lieu le dimanche 1er mai et il précise qu'il sera disponible le vendredi et le samedi qui précédent, puisque les conseils et les comités de l'Association se chargent d'organiser la fête. Il lui signale que Franceso Viganò est actuellement au Familistère et qu'il repart le soir à Paris. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À propos d'une conférence que Leymarie doit prononcer sur les moyens pour fonder un Familistère : « Il est tout naturel que la partie du Familistère que je vous ai expliquée soit applicable dans la société sur tous les points du monde. » Godin suggère à Leymarie d'engager ses auditeurs à lire Solutions sociales et Mutualité sociale. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Pagliardini qu'il lui envoie les exemplaires demandés du journal du Devoir. Il accuse réception de la brochure Solution de la question d'Orient. Vision de l'avenir, qu'a parcourue Marie Moret : il indique à Pagliardini qu'il lui faudrait pouvoir lire la traduction et quelles seraient les conditions de l'auteur pour la publier dans Le Devoir. Sur la réforme orthographique : Godin explique à Pagliardini que son silence à ce sujet a pour cause le manque de collaboration dont il souffre ; il lui annonce que Champury est sur le départ et il espère que le prochain rédacteur pourra rédiger un article sur cette question. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.
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