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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 3 avril 1873
Godin demande à Amédée Moret d'acquérir auprès d'Allez frères un fourneau émaillé fabriqué par Rogeat, de Lyon, pour l'expédier à Alexandre Tisserant à Nancy dans le but de montrer que le procédé d'émaillage est différent de celui appliqué en 1852 par la manufacture de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Richard et Cie, 1er mars 1847
Sur un mandat de représentation d'un « procédé fumivore applicable aux fourneaux de chaudière à vapeur » : Godin répond à la lettre du 11 février 1847 de Richard et Cie en les informant qu'il pourrait accepter d'être leur mandataire à la condition que cela ne nuise pas à l'activité de sa manufacture qui emploie 35 à 50 ouvriers ; il n'a pas de commentaire à faire sur la part de bénéfices perçue par les correspondants de Richard et Cie ; il demande si le correspondant de l'Aisne a la possibilité de placer le procédé dans un haut-fourneau d'un autre département ; Godin indique que Richard et Cie peut se renseigner sur lui auprès des banquiers, auprès de Véran Sabran, connaissance phalanstérienne et négociant au 3 rue Saint-Joseph à Paris, auprès du frère de ce dernier, auprès de la maison Allez au 2, quai de La Mégisserie à Paris ou auprès de la Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 2 juillet 1847
Godin demande à son cousin d'expédier les poêles en sa possession à Allez fils au 2, quai de la Mégisserie à Paris, et de l'informer des dépenses qu'il a engagées dans cette affaire. Il transmet ses salutations à sa cousine, l'épouse de Jacques-Nicolas Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fauger, 9 février 1848.
Godin informe Fauger que la maison Allez a, en ce moment, seule le droit de vendre à Chambly les marchandises des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire ; il l'invite à s'adresser à la maison Allez au 2, quai de La Mégisserie à Paris, et lui signale qu'il pourra lui passer des commandes l'été prochain car il sera alors dégagé de son engagement avec Allez.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Desfontaines, 13 septembre 1849
Godin remet à Desfontaines une facture de 68 F pour la cuisinière commandée. Il lui indique qu'il est étranger aux opérations de la maison Allez et que c'est avec elle qu'il faut débattre des remises. Il lui explique qu'il ne peut consentir une remise pour un seul modèle mais est prêt à lui en accorder une à l'occasion d'une commande de quelque importance, et fait valoir que le succès de la vente de ses cuisinières à Arras ne permet pas de douter qu'elles seront appréciées à Douai.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 24 [octobre 1849]
Godin informe Barbet qu'il lui expédie par la diligence une charpente imitant l'angle de la cuisinière pour laquelle il doit concevoir un ornement. Il prie Barbet de se rendre chez Allez pour examiner les cuisinières à trois fours Godin-Lemaire comparables à l'appareil en question. Il lui fait des recommandations pour l'exécution du modèle de l'angle et d'un modèle de pied.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 10 novembre [1849]
Godin retourne à Barbet un croquis accompagné d'un autre de sa main et fait des observations détaillées sur le modèle d'ornement proposé par Barbet ; il lui signale que la gueule de griffon lui paraît difficile à mouler.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Chatey, 10 novembre [1849]
Godin remet à A. Chatey un effet 45,86 F sur Allez à Paris en règlement de sa facture du 27 octobre 1849.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lefébure, 27 [novembre 1849]
Godin remet à Lefébure un effet sur Allez à Paris d'un montant de 379,75 F à échéance du 20 décembre 1849 pour solder sa facture du 21 octobre 1849. Il observe que les boules en cuivre sont encore trop légères et que leur base est trop large, et demande si Lefébure peut lui fournir des boules plus lourdes et à quel prix.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jahiet et Cie, 12 décembre [1849]
Godin commande 4 bottes de fer rond de 8 mm qu'il paiera au choix de Jahet et Cie en marchandises, sur leur mandat à vue ou par un mandat à vue sur Allez à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 22 [décembre 1849]
Godin accuse réception des modèles envoyés par Barbet. Godin déclare qu'il est satisfait et qu'il corrigera lui-même quelques fautes de détail. Il fait tout de même remarquer à Barbet qu'il aurait pu éviter les erreurs en se conformant à ses prescriptions. Il lui indique qu'il a différé l'envoi des charpentes afin de se rendre compte si les informations qu'il lui a données sont suffisantes et l'informe qu'il lui communiquera des renseignements plus complets. À propos de l'exécution d'un nouveau modèle de pied à figure pour cuisinière. Godin remet à Barbet un mandat de 80 F sur Allez pour solde de compte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Barbeau ainé, 25 [décembre 1849]
Godin adresse un tarif de ses marchandises à Barbeau aîné. Il lui explique que ses engagements avec la maison Allez l'empêchent de livrer à Paris sinon par son entremise et lui conseille de s'adresser à elle. Il ajoute qu'il pourra le satisfaire directement à l'avenir s'il ne contracte pas de nouveaux engagements d'exclusivité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marcaille et fils aîné, 7 [septembre 1846]
Sur une commande de boules : Godin s'adresse à Marcaille et fils aîné sur la recommandation de Pillez frères [quincailliers] à Valenciennes ; il commande un échantillon de 500 boules de 40 mm ; il indique qu'on peut se renseigner sur sa solvabilité auprès de la maison Allez, quincaillier au 2, quai de la Mégisserie à Paris ; il précise que la livraison se fera à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 9 mai 1854
Godin remercie Émile de lui avoir donné franchement dans sa lettre du 30 avril [l'explication de la dépense des 15 exemplaires de géographie au collège Chaptal]. Godin félicite Émile de se rapprocher du premier de la classe ; il lui rappelle qu'ils ont passé ensemble une convention : Godin mettra 10 F dans la tirelire d'Émile lorsqu'il sera premier de la classe pour la première fois, mais pas avant. Godin complimente Émile pour sa narration de la promenade au bois de Boulogne, « et quand tu auras l'habitude d'écrire et le sentiment de la poésie, tu feras une ode pour célébrer les Marchands de Gâteaux » ; il lui fait remarquer que ce n'est pas le Palais de justice qui se trouve en face de l'église de la Madeleine, mais le palais Bourbon qui est la Chambre des députés, le Palais de justice s'élevant près de la maison Allez au bout du Pont-au-Change.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Joseph Adan, 13 juin 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin explique à Adan qu'il a confié la direction de son usine de Forest à Alexandre Brullé à l'occasion de son dernier séjour à Bruxelles et qu'il l'accrédite auprès de lui sur le plan financier. Brullé est ainsi habilité à percevoir des sommes de la part d'Adan en échange de valeurs à recouvrer en Belgique ou en Hollande ou contre des mandats sur Godin-Lemaire ou sur Allez à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 13 juin 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin annonce à Brullé qu'il envoie à Valenciennes une caisse de 52 kg de verre pour qu'elle soit livrée à Bruxelles. Il l'informe qu'il vient d'écrire à Adan et cite sa lettre à ce dernier du 13 juin 1855 qui autorise Brullé à recevoir des sommes en échange de valeurs à recouvrer en Belgique ou en Hollande ou contre des mandats sur Godin-Lemaire ou sur Allez à Paris. Godin souhaite envoyer à Bruxelles un modèle de cheminée avec sa série de châssis [pour la faire fabriquer à Forest], mais demande à Brullé de se concerter avec Van Elewyck pour connaître les droits d'entrée de ces objets en Belgique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 8 janvier 1858
Godin envoie à Brullé une valeur de 2 000 F à encaisser auprès de la banque Guébin, Delattre et Cie au 24 rue Hauteville à Paris, ou à défaut chez Allez frères au 2 quai de Gèvres.

Auteurs : Dolot ; Godin, Émile (1840-1888)
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 20 septembre 1858
Dolot communique à Godin l'offre de prix de la fonte Cleveland faite par Trystram et Crujeot : 13,90 F les 100 kg de fonte n° 1 supérieure et 13,25 F les 100 kg de fonte n° 1. Il précise que ces prix de la fonte Cleveland par l'intermédiaire de Trystram et Crujeot sont équivalents à ceux donnés directement par Bolkow et Vaughan. Dolot propose à Godin de régler une facture de Pinart avec un effet sur Allez frères. Il lui communique la copie d'un courrier de Pigé au sujet de l'essai d'un générateur. Il lui fait part de la bonne marche de la fabrication à l'usine de Guise et lui signale qu'il n'a pas de nouvelle de la lettre égarée. Émile Godin ajoute un mot à la lettre de Dolot à son père : il lui recommande d'écrire à Pigé s'il ne rentre pas prochainement à Guise ; il lui annonce que les gardes nationaux se relaient pour monter la garde à Guise, faute de soldats, et il conseille à son père de rester à Laeken s'il ne veut pas passer la nuit au fort [de Guise].

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 21 mars 1859
Dolot annonce à Godin qu'il a terminé l'affaire Damonville et que le notaire de Melun lui adressera sous huit jours les pièces nécessaires. Il informe Godin qu'il n'a pas rencontré monsieur Bridon à Paris et précise que sa présence était facultative pour les acquisitions dont Godin avait chargé celui-ci. Dolot informe également que monsieur Allez n'avait pas d'information à fournir sur le crédit de Godin chez lui, que celui-ci lui a donné un échantillon d'un émail admirable et qu'il a proposé de faire venir à l'usine de Guise l'ouvrier qui le lui a fourni, un ouvrier qui travaillait chez Rogeat frères, habite Morez dans le Jura et s'est adressé à Allez pour trouver un emploi d'émailleur dans une manufacture.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 16 avril 1863
Informations relatives à l'usine de Laeken : comptabilité de l'usine ; modèles de corbeille ; Van Gennip ; pouvoir pour la poste et lettres pour les directions des compagnies de chemin de fer ; émaillage de chaudières ; modèles de calorifères ; sur des dettes de Louis Piette non régularisées par Alexandre Brullé avant son départ ; sur des ventes à la maison Allez ; droits de douane pour l'importation de fourneaux ; envoi de lithographies (« dessins »). La copie lettre est suivie de quatre modèles de lettres datées à Guise du 16 avril 1863 destinées aux compagnies de chemin de fer, donnant pouvoir à Eugène François André d'agir au nom de Godin en remplacement d'Alexandre Brullé à la direction de l'usine de Laeken : la Compagnie des chemins de fer du Midi, la Grande Compagnie du Luxembourg, la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest et la Compagnie du chemin de fer du Nord.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 5 septembre 1862
Godin informe Cantagrel qu'il a fait part à la maison Allez de la proposition de madame Mercier, mais lui explique qu'Allez veut supprimer son personnel féminin et que lui-même « n'est pas une mine où l'on puisse trouver toute sorte de ressources ». Godin indique qu'il est exigeant dans le recrutement de personnel, qu'il ne suffit pas qu'une personne se présente pour qu'il l'embauche, et qu'il préfère choisir ses fonctionnaires parmi les gens qui ont un lien avec l'usine, bien que Sophie V. fasse exception. Il poursuit en faisant observer que madame Mercier a des habitudes d'aisance peu en rapport avec celles d'une population ouvrière et que sa fonction de directrice d'asile ou d'institution n'est pas une vocation, mais un métier dont elle veut se décharger. Il l'invite à demander à Marie Pape-Carpantier, s'il la connaît, quelles sont les règles de travail d'une direction d'asile, car lui-même n'a pas le temps de se rendre à Paris. Sur ses lectures : Godin veut étudier l'anthropologie pour remonter au principe vital, jusqu'ici sans explication ; il lui demande de lui acheter les ouvrages mentionnés dans sa lettre du 30 juillet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 9 novembre 1862
Godin répond à la lettre de Barbet du 5 novembre 1862, qui présente sa candidature à l'emploi de sculpteur des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin lui rappelle qu'ils se connaissent du temps où il cherchait les moyens d'appliquer des émaux à la fonte de fer. Il lui explique qu'il a réussi depuis, que ses produits sont visibles chez Allez frères, et qu'il veut créer des modèles spéciaux. Il demande à Barbet quelles seraient les conditions de son entrée à l'usine. Il précise qu'il existe à l'usine de Guise un atelier de sculpteur. Dans le post-scriptum, Godin demande à Barbet s'il est marié et s'il a une famille .

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur J. Gardet, 1er décembre 1862
Godin répond à la lettre du 16 novembre 1862 de J. Gardet, candidat à l'emploi de sculpteur dans l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui demande des références et les appointements auxquels il prétend. Il lui explique qu'un atelier de sculpture existe depuis longtemps dans l'usine, mais qu'il lui faut un artiste pour satisfaire des besoins nouveaux, et que le travail dure 11 à 12 heures par jour comme dans les autres ateliers. Il ajoute qu'il a besoin d'un artiste pour tirer parti du nouveau procédé d'émaillage de la fonte à l'imitation du marbre ou de la porcelaine, comme il peut le voir sur les produits exposés chez Allez frères.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur G. Thiébault, 1er décembre 1862
Godin répond à la lettre du 12 novembre 1862 de G. Thiébault, candidat à l'emploi de sculpteur dans l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui explique que la fonction est l'exécution et la direction de la sculpture des modèles de moulage de la fonte de fer, qu'un atelier de sculpture existe depuis longtemps dans l'usine où le travail dure 11 à 12 heures par jour comme dans les autres ateliers. Il ajoute qu'il a besoin d'un artiste pour tirer parti du nouveau procédé d'émaillage de la fonte à l'imitation du marbre ou de la porcelaine, comme il peut le voir sur les produits exposés chez Allez frères.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jamais, 1er décembre 1862
Godin répond à la lettre du 16 novembre 1862 de Jamais, candidat à l'emploi de sculpteur dans l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui demande des références et les appointements auxquels il prétend et il lui explique qu'un atelier de sculpture existe depuis longtemps dans l'usine où le travail dure 11 à 12 heures par jour comme dans les autres ateliers. Il ajoute qu'il n'a pas pour habitude de contracter des engagements avec ses employés et qu'il peut se renseigner sur sa maison auprès d'Allez frères et voir dans leurs magasins un échantillon de sa production en fonte de fer émaillée pour laquelle beaucoup de modèles sont à créer dans l'avenir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Barye, 1er décembre 1862
Godin répond à la lettre d'Alfred Barye fils, candidat à l'emploi de sculpteur dans l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui explique que la fonction est l'exécution et la direction de la sculpture des modèles et que le travail dure 11 à 12 heures par jour dans l'atelier de sculpture comme dans les autres ateliers. Il ajoute qu'il a besoin d'un artiste pour tirer parti du nouveau procédé d'émaillage de la fonte à l'imitation du marbre ou de la porcelaine, comme il peut le voir sur les produits exposés chez Allez frères. Il demande à Alfred Barye les appointements auxquels il prétend et des références.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Deruelle, 21 février 1862
Godin demande à Deruelle des échantillons de creusets pour faire des essais de vitrification des émaux, ainsi qu'un petit fourneau adapté aux creusets d'essai avec une instruction sur l'utilisation des creusets et des fourneaux. Il précise que le paiement sera effectué par un bon sur Allez frères.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie, 31 juillet 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin informe Bailey Brothers et Cie que la fonte de leur dernier envoi ne paraît pas de bonne qualité et leur demande de suspendre tout nouvel envoi. Règlement d'une facture de 9 493 F de Bailey Brothers et Cie par l'intermédiaire d'Allez frères au 2, quai de Gèvres à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 5 août 1862
Godin envoie à Vigerie une lettre de Delcourt qui ne semble pas avoir renoncé à un emploi. Godin invite Vigerie à aller voir Allez frères pour leur demander le jour de leur visite [à Guise]. Il lui demande d'aller voir Morel qui « ne peut détacher de l'ouvrage complet de la marbrerie les planches qui se rattachent à l'ameublement intérieur des habitations » et propose de lui envoyer d'autres ouvrages pouvant servir de modèle. Dans le post-scriptum, Godin engage Vigerie à aller voir Rogier et Mothes au 20, cité Trévise à Paris pour leur proposer de faire exécuter leurs appareils dans l'usine de Guise, en particulier leur émaillage, et leur demander de lui expédier deux appareils

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Chevalier, 5 septembre 1862
Sur l'achat d'un matériel photographique propre à photographier les appareils de la manufacture Godin-Lemaire. Godin commande du matériel photographique : un objectif universel C pour plaque de 30 sur 24, d'un troisième verre, d'une chambre noire en noyer, d'un pied et de deux bassins en porcelaine. Godin précise qu'il veut employer l'appareil pour la reproduction d'objets d'industrie pour servir de modèle à la lithographie ou la gravure, et il demande à Chevalier si des perfectionnements récents ont eu lieu dans ce domaine. Il l'informe que le paiement aura lieu par l'intermédiaire de la maison Allez frères au 2 quai de Gèvres à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 16 février 1864
Sur la créance à recouvrer auprès de Séguin et Régnier. Godin prie Cantagrel d'aller demander à Séguin et Régnier d'écrire une lettre par laquelle ils s'engagent à livrer à Allez frères des poêles et des cuisinières, principalement de la maison Godin-Lemaire, pour une valeur de 20 085 F, puis de les inviter à en organiser le transport.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 1er avril 1864
Sur l'inventaire des marchandises des clients de Paris et le nouveau tarif. Godin demande à Cantagrel de commencer par Allez frères. Sur de nouveaux modèles de cuisinières destinés à être brevetés. Il signale une erreur dans le prix d'une cheminée. Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin et la question de nullité du brevet mis en avant par Corneau frères. À propos d'Armengaud : s'il n'a pas trouvé de brevets Corneau frères, Godin se demande s'il faut lui confier le dépôt de ses brevets.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 19 avril 1864
Godin demande à Cantagrel d'aller enquêter chez Allez frères qui dissuaderaient leurs clients d'acheter des appareils Godin-Lemaire et favoriseraient ceux des concurrents, sans qu'Allez frères n'en sachent rien. Il l'invite à demander à Allez frères de profiter des 20 % de la remise d'avril. Godin ne pense pas que l'affaire Séguin soit seule en cause. Il voudrait leur arracher une forte commande puis faire peser sur eux la menace de fonder une maison de vente à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 23 avril 1864
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Jean-Baptiste André Godin charge Cantagrel de demander à Joly et Cie si cette entreprise a réalisé avant 1860 des calorifères à buse mobile et prise d'air dans l'enveloppe ; Corneau frères et Cie prétendent qu'ils ont breveté le système car ils sont les premiers à avoir fabriqué ce type d'appareils. Dans le post-scriptum, il est question de brevets de calorifères de 1857.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bertrand, 23 décembre 1864
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Sur la nomination d'experts : Godin annonce à Bertrand qu'il n'a pas de motif à récuser Allez frères, le plus fort négociant en France pour les appareils de chauffage. Il regrette de ne pas voir figurer dans la liste des personnes réputées dans les sciences physiques et chimiques comme le chimiste Barreswill. Il fait observer qu'Alcan, du Conservatoire des arts et métiers, est spécialiste de filature et indique qu'il ne connaît pas Jousselin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 26 décembre 1864
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Jean-Baptiste André Godin fait parvenir à Cantagrel le jugement du tribunal [nommant les experts]. Il lui demande ce que valent les experts nommés. Il précise que c'est Allez l'aîné qui est nommé. Il lui demande s'il connaît un avoué qui pourrait s'occuper de l'expertise et à qui son avoué de Charleville transmettrait le dossier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 25 avril 1865
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin : Godin annonce à Cantagrel qu'on vient d'envoyer de Reims un calorifère de 1858 et un ancien foyer venant de Belgique ; il lui demande de prévenir Allez frères qu'il vont les recevoir. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire : Il indique à Cantagrel qu'il a renoncé à utiliser les services de Puteaux et qu'il lui préfère Lecoq de Boisbaudran ; il l'informe qu'un nouveau procès est en cours pour savoir si la liquidation prend effet le jour de la demande ou le jour de l'arrêt du tribunal. « Je suis accablé de tout cela et trouve la vie bien lourde ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 31 juillet 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin prie Cantagrel de demander à Allez frères qu'ils envoient quelqu'un chez Jacquet se faisant passer pour un exportateur pour vérifier si Jacquet vend ses produits fabriqués par d'autres et prouver ainsi qu'il est en contravention avec le traité fait avec lui.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame Oyon, 8 octobre 1867
Godin répond à une demande de conseil sur le choix d'un fourneau de la part de madame Oyon. Il fait valoir que le choix d'un fourneau est une affaire personnelle et qu'Allez frères lui ont conseillé un appareil au prix modique. Godin donne à madame Oyon les caractéristiques et le prix de plusieurs appareils entre lesquels elle peut faire un choix. Il transmet ses salutations à Auguste Oyon.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 4 mai 1868
Godin évoque l'envoi à Cantagrel d'un certificat d'addition. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Litige avec Coré. Godin envisage que Coré lui fasse un procès. Il recommande à Cantagrel de ne lui offrir que 200 F et l'invite à récupérer les calorifères déposés chez Coré pour envoyer le calorifère Joly à Metz et transporter le reste chez Allez frères. Godin annonce à Cantagrel qu'il va écrire à Emmanuel Arago pour lui expliquer qu'il n'a pu s'entendre avec Coré et que ce dernier est déchargé de son affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rochut, 3 juillet 1873
Godin demande à Rochut de lui donner des explications sur la lenteur des expéditions des pièces de réassortiment demandées en grande vitesse, par Allez frères en particulier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 12 janvier 1874
Godin prévient Amédée Moret de ne pas engager des affaires importantes avec Allez frères ou La Ménagère avant la publication du nouveau tarif.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Amédée Moret qu'il lui envoie un dossier concernant un procès de chemin de fer. Il demande à Amédée Moret d'aller chez Allez frères leur demander l'adresse d'un bon agréé auprès du tribunal de commerce de Paris à qui il pourrait confier le dossier et qui pourrait le représenter à l'audience du 14 décembre 1876.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit qu'Herbaux va se rendre à Paris pour examiner les affaires à faire avec les bazars et les grands magasins en vue du Jour de l'an. Il lui demande de ne pas le considérer comme un concurrent, et suggère qu'il rende visite à la maison Allez et à la maison À la ménagère.
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