FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Fortis qu'il l'attend avant la fin du mois [pour occuper l'emploi de rédacteur du journal Le Devoir]. Il lui donne des indications pour le voyage de la gare du Nord à Paris jusqu'à Guise en passant par Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte, malgré la distance entre Aix-en-Provence et Guise, que Deffoux entre dans la Société du Familistère en qualité d'ouvrier ou de dessinateur. Il lui demande de prendre avec lui ses références et de lui indiquer ce qu'il a étudié à l'école.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Flamand qu'il a le projet de fonder une école primaire supérieure et un pensionnat à Guise capable de faire disparaître le pensionnat des frères, et qu'il va édifier au printemps prochain de nouvelles salles et augmenter le nombre de professeurs. Il lui confie qu'il se demande s'il doit faire déclarer d'utilité publique les écoles du Familistère, s'il peut obtenir le patronage de l'État pour des écoles réunissant les deux sexes. Il sollicite le conseil de Flamand.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin précise sa pensée au sujet de son projet de fonder une école primaire supérieure à Guise. La déclaration d'utilité publique concernerait uniquement les écoles du Familistère, indépendamment de l'école primaire supérieure, séparée d'elles. L'école primaire supérieure ne serait pas mixte. Godin indique à Flamand qu'il a proposé à Delorme, le maire de Guise, d'élever à ses frais l'école primaire supérieure et de ne laisser à la charge de la ville que la rémunération des professeurs et l'entretien de l'établissement. Il lui explique que Delorme a pour priorité d'élever une nouvelle école de garçons et une nouvelle école de filles avant de s'occuper d'une école primaire supérieure, et qu'il va soumettre sa proposition au conseil municipal de Guise. Il demande l'avis de Flamand sur sa proposition.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin, de retour de la session du conseil général de l'Aisne, prévient Drivon, candidat à un emploi, qu'il est nécessaire qu'il vienne à Guise pour s'entendre avec lui ; il propose de lui rembourser ses frais de voyage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin soumet à Ermant son projet de construction d'une école primaire supérieure à Guise et lui demande d'en établir le devis.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Godin explique à Lecomte que le duc de Padoue lui a intenté un procès pour un mur qu'il a construit avec autorisation préfectorale au bord d'un bras de l'Oise, qu'il a gagné le procès le procès devant le juge de paix de Guise, mais que le duc fait appel du jugement devant le tribunal de Vervins. Il demande à Lecomte s'il veut bien plaider pour lui dans l'affaire et si son avoué Falaize peut lui envoyer les pièces.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Bordères une lettre autographe comme celui-ci l'a demandé. Il lui raconte qu'à l'âge de 19 ans, il a travaillé à Montréjeau chez monsieur Pic avec son cousin Moret en 1836, qu'ils étaient appelés « les anges » par les gens de Montréjeau et qu'ils ont quitté la ville à la fin de juillet pour faire une excursion dans les Pyrénées jusqu'au Pic du Midi. Il ajoute qu'en raison de la fonte tardive de neige, personne ne voulut les accompagner, qu'ils partirent le matin de l'hôtel de Gripp et qu'arrivés au sommet, ils contemplèrent pendant deux heures le panorama. Il conclut en indiquant que « Bien des fois, j'ai eu le désir de revoir les montagnes et je l'ai encore. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'adresse à des personnes ayant présenté à monsieur Mazoyer leur candidature à un emploi. Godin décrit aux candidats ce que comprend la Société du Familistère : deux usines à Guise et à Laeken employant 1 500 à 1 600 personnes, et un palais d'habitation où vivent 1 800 personnes. Il leur explique qu'il veut adjoindre au conseil de gérance de la Société « une capacité apte tout à la fois aux affaires industrielles et commerciales, à la production, à la vente et à la direction générale ». Il énonce les critères de choix de la personne devant remplir cette fonction et leur demande de répondre à sa lettre en lui donnant le moyen d'apprécier leurs qualités.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Anonyme
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Les rédacteurs de la lettre expliquent au ministre de l'Instruction publique que faute de terrains disponibles, le conseil municipal de Guise ne peut mettre à exécution son projet de construire des écoles maternelles dans les quartiers de la ville. Ils demandent que le Génie abandonne les terrains qu'il a réservé près du fort dans le quartier Chantraine et prient le ministre de l'Instruction publique d'appuyer leur demande auprès du ministre de la Guerre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Anonyme
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Les rédacteurs de la lettre demandent au ministre de la Guerre que le Génie abandonne des terrains réservés au pied du château de Guise pour que la municipalité puisse y construire une école maternelle.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Hodgson Pratt le jour et l'heure de son arrivée à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Hodgson Pratt qu'il peut se rendre de Guise à Calais. Il lui communique les horaires de train de Paris à Guise et de Guise à Calais. Il lui confirme qu'il le fera chercher à la gare de Guise le surlendemain et lui précise qu'il mettra à sa disposition un appartement au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Galli que le journal Il tempo ne lui parvient plus. Il lui communique son adresse.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin espère la visite de Foucart et de son fils pendant les fêtes de Pâques pour l'éclairer sur différentes questions. Il lui communique les horaires de train de Valenciennes à Guise en passant par Aulnoye et Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de madame Mignerot du 5 avril 1884 en lui indiquant que la production de poulets à la vapeur par l'incubation artificielle est une fantaisie d'amateur ; il précise que si le procédé est employé avec succès en Égypte, c'est grâce au concours de la chaleur du soleil, et que les expériences de ce genre ont échouées à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit le chef de gare qu'un colis de papier expédié par monsieur Darblay d'Essonnes et adressé à Ségard à Saint-Quentin va arriver à la gare de Saint-Quentin ; il lui demande d'arrêter le colis en gare et de lui expédier à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Lamy qu'il offre deux emplois de direction dans les usines de Guise et de Laeken. Il indique que les chefs de fonctions peuvent percevoir à Guise 12 000 à 15 000 F par an et que la fonction à Laeken est rémunérée 5 000 à 6 000 F par an.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Laigneau, candidat à un emploi de direction industrielle dans la Société du Familistère de Guise, vienne à Guise. Il l'avertit qu'il doit néanmoins prendre des renseignements sur lui et lui précise que les appointements pour les emplois offerts sont de 4 000 à 6 000

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bribosia du 8 mai 1884, après avoir examiné avec les médecins de Guise dans la population du Familistère les cas qui pourraient lui être soumis. Il lui annonce qu'il sera à sa disposition au Familistère après la première quinzaine de juillet pendant laquelle il sera absent.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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De retour d'un assez long voyage, Godin reprend l'examen de la candidature d'Ernest Goblet. Il lui propose de venir le voir à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Vercammen qu'il peut venir le rencontrer à Guise le 16 ou le 17 octobre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin invite Goujon, candidat à un emploi, à venir faire quelques jours d'essai à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la modification des statuts de la Société du Familistère, nécessaire pour protéger cette dernière de son fils, de la municipalité de Guise et des autres dangers après la mort de Godin. Godin décrit ces dangers et les difficultés pour trouver des remèdes par les statuts. Il expose à Tisserant plusieurs questions d'ordre juridique et il présente son projet de modification des statuts.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à une lettre de Simonin du 1er janvier 1885 : il lui indique que la ville de Guise n'offre aucune ressource pour faire des conférences.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Hauet de lui faire connaître la situation de sa sœur et de son beau-frère à la suite de la vente des immeubles, des étoffes du magasin et du mobilier. Il lui demande d'aider Maty à obtenir une note affirmative de ses achats de mobilier à l'inventaire de son beau-frère. Il pense qu'une entente est possible avec les créanciers chirographaires de son beau-frère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à son correspondant que sa famille est originaire des environs de Guise, qu'il y a un grand nombre de Godin en France, mais qu'il ne connaît pas le lien de parenté qui peut exister entre eux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe que Pitman peut visiter le Familistère, mais l'avertit que le dimanche n'est pas un jour favorable pour cela. Il lui envoie l'étude sociale et le dernier numéro du journal Le Devoir qui contient le bilan de l'année. Il lui signale que le meilleur hôtel à Guise est l'hôtel de La Couronne et que la seule voie ferrée desservant Guise est celle de Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est heureux de l'amélioration de la santé de Van Duyl et il espère le voir à Guise à la belle saison. Il l'encourage à lui poser des questions auxquelles il répondra dans le journal Le Devoir. Il lui explique qu'il souhaite que des questions sur l'hérédité nationale et la mutualité nationale lui viennent de tous les points du monde pour montrer que ces idées suscitent un intérêt international. Il lui signale que le prochain numéro du Devoir répondra à des objections de Valachie, de Besançon, de Clermont-Ferrand et à sa lettre du 19 février 1886. Il lui propose de répondre ensuite aux questions de sa lettre du 23 février 1886 en les signant d'un pseudonyme et en indiquant aux lecteurs du Devoir qu'elles proviennent d'un autre point du monde. Sur le bien et le vrai.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Baele du 10 mai 1886. Il le remercie de sa promesse de traduire [en néerlandais] les statuts du Vooruit. Il lui propose de prendre en charge les frais de voyage de la personne du Vooruit qui pourrait venir étudier le Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bajer du 21 juin 1886. Il lui envoie la brochure Associated homes, qui contient une esquisse de sa biographie et qui emprunte à Solutions sociales. Il lui envoie également ce dernier ouvrage ainsi que le numéro du Panthéon de l'industrie, qui contient aussi une notice biographique. Il lui indique qu'il ne faut pas l'identifier à un Jules Godin habitant Versailles et qu'Harald Westergaard est venu visiter le Familistère en mai 1879, avant la constitution légale de l'association du Familistère le 13 août 1880. Il lui demande l'adresse de Westergaard pour lui adresser l'étude sociale Le Familistère, qui présente l'état actuel de l'association. Sur le restaurant du Familistère : il a été fermé car il n'était pas fréquenté par la population, ce qui prouve « que la vie dans un palais unitaire ne modifie pas les mœurs et les habitudes de la famille autant que des critiques opposées le prétendent ». Sur le théâtre du Familistère : il sert chaque hiver ; il accueille les troupes qui exploitent la région. Il l'invite à venir au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à madame Delecroix-Welcomme des renseignements sur monsieur de Lancize père : il a habité à Guise en qualité d'employé des contributions, il est mort il y a sept ans et sa veuve est décédée ; le fils, qui a fait ses études à Saint-Quentin, a été apprécié à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la construction d'une école à Guise. Godin transmet à Ermant les observations de la sous-commission du conseil municipal de Guise sur le système de chauffage et de ventilation, en prenant pour référence les écoles du Familistère, et sur l'éclairage des salles.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret transmet à David les demandes d'admission arrivées avant la mort de Godin (Albert Duflot à Fontaine-lès-Vervins, Morey et Cie à Sains-Richaumont, Fernand Dezaux à Guise), une lettre de Santerre de Guise et d'autres lettres relatives à l'Exposition universelle de 1889.

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Auteur·e : André, Eugène (1836-)
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Sur le tarif de 1874 des Fonderies et manufactures du Familistère. Eugène André accuse réception des lettres de Godin des 18 et 19 juin 1874. Il lui explique qu'il n'est pas possible de réduire les prix du tarif de 1874. Il lui promet d'examiner le lendemain l'affaire d'Obrador. Il lui annonce qu'il diffère son retour à Guise car il n'y a pas de logement vacant à sa convenance au Familistère ou en ville et qu'il retourne à Laeken.

Auteur·e : Taupier, J.
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Taupier répond à une lettre de Godin transmise par son fils Émile. Sur la maison Leroy et Cie à Buenos Aires et sa caution en France, la maison Quesnel frères et Cie du Havre, que le Comptoir d'escompte juge solvable. Sur l'augmentation des employés Moyat et Goyenval. Taupier propose à Godin de licencier les employés Lefebvre et Quaintenne. Sur le chef de cuisine Chevrolat, chargé de la surveillance de tout le service d'alimentation. Sur la fabrication de boutons. Sur la déclaration au juge de paix de mesdames Paquerot et Dirson. Sur une commande de La Ménagère transmise par Amédée Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Grebel son télégramme de la veille lui annonçant le dépôt d'un brevet à la préfecture de Versailles. Il enjoint Grebel à porter toute son attention à l'installation du moulage mécanique. Il lui ordonne de faire revenir Chimot au bureau du dessin car sa présence dans les ateliers est inutile. Il adresse aux époux Grebel ses compliments et ceux de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à son fils Émile de payer l'annuité du brevet qu'il a déposé à Versailles et dont il a remis à Guise le récépissé à Grebel. Il lui explique qu'il était dans un état satisfaisant lors de sa venue à Versailles en raison du beau temps, mais que cet état s'est dégradé depuis à cause du temps pluvieux et froid.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin regrette le mariage de M. Demeur qui va retarder la propagande de son livre dans la presse belge. Il s'en remet à Eugène André pour régler les affaires de l'usine de Guise : il lui conseille de revendre un vieux cheval et lui fait confiance pour l'achat d'une voiture et d'un cheval. Godin se trouve à l'établissement hydrothérapique de Bellevue pour se soigner.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les conditions financières d'achats de fonte. Sur des acquisitions de terre : Godin préconise d'acheter des terres près de l'usine. Godin informe son fils Émile qu'il a fait envoyer à Guise une douzaine d'exemplaires de la petite édition de Solutions sociales dont il lui donnera la destination plus tard. Godin croyait Émile absent de Guise : il a indiqué au conseil la réponse à faire à Avot et à Poulain. Dans le post-scriptum, Godin informe son fils que le mauvais temps le fait toujours souffrir et il revient sur l'achat de terres.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Denisart que le mauvais état de sa santé l'a empêché de s'occuper des bons de pain nécessaires à la ville ; il lui demande la liste des maisons de Paris ou de Bruxelles avec lesquelles ils ont été en relation lorsque fut faite la monnaie du Familistère. Il le prie de dire à Delorme que le conseil municipal devrait voter un crédit pour généraliser ce moyen dans la distribution des secours de la ville de Guise. Il le remercie pour l'envoi du Progrès du Nord.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Félix Mathias qu'il lui a écrit il y a un mois à propos du refus de la Compagnie du chemin de fer du Nord de transporter les marchandises des Fonderies et manufactures du Familistère. Les gares de Saint-Quentin, de Marle et de Bohain font de nouvelles difficultés liées à une circulaire exigeant un wagon complet pour l'expédition : Godin explique que cela est possible pour les matières premières mais pas pour les marchandises, et que cette obligation risque de mettre au chômage 1 000 ouvriers, s'il ne peut expédier alors que les magasins sont pleins ; Godin espère une solution de la part de Félix Mathias et il se dit prêt à saisir le gouvernement de la question dans le cas contraire. Dans le post-scriptum, il demande à Mathias de lui faire réponse à l'établissement hydrothérapique de Bellevue où il retourne chaque jour.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Denisart qu'il a autorisé Berns à se rendre à Guise comme employé aux écritures aux appointements de 175 F par mois. Il l'informe qu'il a chargé Coulon d'examiner les frais dans l'affaire Corneau, et il demande que Deplanque réunisse le détail des sommes payées à Charleville et à Metz.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Toinon et Cie d'envoyer les clichés de son livre à Comte, ou les mettre à sa disposition chez eux rue du Dragon, pour que ce dernier puisse les retoucher et les nettoyer pour les garder en bon état de conservation. Il leur demande de lui communiquer l'état de son compte et le nombre de volumes qu'ils ont livrés aux adresses qu'il leur a indiquées. Il souhaite connaître l'état d'avancement du brochage des 24 exemplaires de la petite édition destinés à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Berns pourquoi il ne se trouve pas à Guise comme prévu.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Loisy a annoncé son arrivée à Guise le dimanche suivant. Godin l'avertit qu'il l'attendra à Guise au lieu de se rendre à Versailles, où son état de santé lui permettait d'aller, et il attire l'attention de Loisy sur les changements de trains à effectuer à Châlons, à Reims et à Tergnier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Leclaire pour son compte rendu et sa lettre sympathique. Sur les remèdes à appliquer au mal social. Godin explique à Leclaire qu'il va se rendre à Guise pour assister le dimanche à la distribution des récompenses aux enfants des écoles du Familistère malgré la présence des Prussiens dans la ville, et qu'à son retour il ira lui serrer la main.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Lefer qu'il peut aller à Guise le 1er octobre 1871 et que lui-même s'y trouvera à l'occasion des vacances de l'Assemblée nationale.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Pétilleau que les vacances [de l'Assemblée nationale] approchent et l'invite à se rendre à Guise où il se trouvera lui-même.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Buls qu'il doit assister au conseil général de l'Aisne et qu'il lui écrira quand il sera en mesure de le voir à Guise.

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