FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au chef de la gare du Nord, 29 octobre 1896
Demande de renseignements sur la mise en service du train rapide n° 19 partant de la Gare du Nord à 7 h 44 du soir à destination du réseau P-L-M et la possibilité d'enregistrer les bagages directement pour Nîmes depuis la Gare du Nord. Demande une réponse rapide pour qu'elle puisse réserver ses billets.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 29 octobre 1896
Lettre recommandée contenant 50 F en règlement du mois d'octobre de Sophie. Informera Sophie de leur date de départ pour Nîmes. La famille Moret-Dallet contente de retrouver Sophie. Sur le temps froid et pluvieux à Guise. Donne des nouvelles de Fabre et Pascaly, tous deux à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 1er novembre 1896
Prévient Sophie Quest que la famille Moret-Dallet partira de Guise le 4 novembre 1896 et arrivera à Nîmes le 5 novembre vers 9 h 00 ou 10 h 00 si elle manque la correspondance à Tarascon. Fabre part de Paris ce jour [1er novembre 1896] ; Marie Moret lui adressera à Nîmes une lettre le priant de donner à Sophie de quoi préparer leur arrivée. Demande à Sophie d'acheter du miel pour le café, du charbon et du petit bois si nécessaire. L'adresse d'expédition des journaux auxquels la famille Moret-Dallet est abonnée a été changée, certains arriveront à Nîmes d'ici leur arrivée. Prévient de l'arrivée possible de deux commandes, l'une du Printemps, l'autre des Grands magasins du Louvre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à James Johnston, 7 novembre 1896
Marie Moret en retard dans sa correspondance avec Johnston : les préparatifs de son déplacement dans le midi de la France pour passer l'hiver lui ont pris tout son temps. Sur le paquet remis par Johnston à Fabre lors du congrès des coopérateurs à Paris, à l'intention de Marie Moret et contenant une lettre, un foulard et 6 imprimés dont un avec le portrait de Johnston ayant causé « le plus vif plaisir à toute la famille. » Sur la question de Johnston concernant l'existence d'entreprises similaires à celles de Leclaire ou de Godin à Paris : Marie Moret et Fabre en ont discuté et Fabre répondra lui-même à la question prochainement. Transmet les remerciements de Fabre pour les portraits de Robert Owen et les meilleurs souvenirs d'Émilie et Jeanne Dallet. Sur l'admiration du foulard par la famille Moret-Dallet et par Fabre : « nous félicitons vivement les auteurs de ce joli travail. » En post-scriptum, espère que Johnston a bien reçu de la Société du Familistère les documents demandés.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 8 novembre 1896
La famille Moret-Dallet arrivée à Nîmes jeudi 5 novembre 1896. Demande des nouvelles du Familistère. Inscriptions au registre des services gratuits du Devoir : Jules Prudhommeaux à Montluçon et Félix Dallet à Bordeaux. Envoi prochain des 310 exemplaires du numéro du Devoir de novembre 1896. Va presser l'exécution du numéro de décembre pour faire les expéditions avant Noël. Prie Buridant de demander à madame Louis des nouvelles d'un avis de réception et le remercie pour les différents envois.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Prudhommeaux, 9 novembre 1896
Marie Moret déçue que Jules Prudhommeaux soit à Montluçon plutôt qu'à Nîmes, où elle l'imagine « travaillant parfois de concert avec nous », mais elle se réjouit de son travail de traduction de l'anglais. Informe avoir inscrit Prudhommeaux au registre des abonnés du Devoir à Montluçon et qu'il recevra bientôt le numéro d'octobre 1896. Fait savoir par Fabre que le service du Devoir continuera au 26, cours Morand à Lyon « où le Devoir a des lecteurs ». À propos d'un nouveau roman dans Le Devoir : Sans famille arrive à sa fin et Marie Moret sollicite Prudhommeaux sur le choix d'une œuvre, de préférence du domaine de la Société des gens de lettres avec qui elle a un accord ; elle aimerait mettre en avant la note spiritualiste, « faisant appel aux sentiments les plus élevés. » Presse « l'Amiral » [Auguste Fabre], qui prend une leçon d'anglais au moment où écrit Marie Moret, d'écrire à Prudhommeaux, et transmet les meilleurs souvenirs de « tout l'équipage. »

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 9 décembre 1896
Sur la bonne pensée de Buridant d'avoir envoyé à Marie Moret le numéro de L'Illustration avec le 3e article sur le Familistère car celui-ci est épuisé. Plusieurs points sur le service du Devoir : la modification de l'adresse de Frédéric Paulhan qui réside désormais à Viry-Châtillon ; l'arrivée très prochaine du numéro de décembre à Guise pour faire les expéditions avant les encombrements postaux de Noël ; le service d'échange avec La Revue féministe dont tous les numéros reçus depuis août 1896 sont à envoyer à Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Prudhommeaux, 11 janvier 1897
Marie Moret touchée de la lettre de Prudhommeaux du 8 janvier 1897 et confuse de la brièveté et de la maladresse de la sienne du 7 janvier 1897. Explique sa phrase « Je comprends bien comment vous êtes emporté dans une autre voie » : Marie Moret parlait de l'engagement de Prudhommeaux dans des travaux concernant le doctorat, et non d'un changement de filière. Marie Moret et Fabre comprennent le choix d'Edgar Quinet et de l'économie sociale comme sujet de thèse et conseillent à Prudhommeaux de s'« emparer de la langue anglaise ». Sur le désir de Fabre et de Marie Moret de voir Prudhommeaux occuper une chaire à Nîmes. Fabre parti à la bibliothèque pour répondre à la lettre de Prudhommeaux.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 1er février 1897
Marie Moret soulagée par la lettre d'Antoniadès du 22 janvier 1897 : elle était inquiète de n'avoir eu aucune nouvelle de lui et de voir Le Devoir d'octobre 1896 retourné à l'expéditeur. Informe qu'elle lui enverra le numéro de février 1897 à la fin du mois. Donne des nouvelles : c'est le quatrième hiver que la famille Moret-Dallet passe à Nîmes, Émilie Dallet s'occupe toujours des écoles du Familistère et a ajouté un livret à sa Méthode de lecture, Jeanne Dallet peint, joue de la musique et s'initie à la photographie, Pascaly toujours à Paris et rédacteur du Devoir. Marie Moret n'a plus de nouvelles de Gaston Piou de Saint-Gilles depuis 3 ou 4 ans, peut-être parti habiter en Allemagne. Exprime les souhaits de bonheur de la famille Moret-Dallet à l'adresse de la famille d'Antoniadès.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henry Gobréau, 3 février 1897
Retourne à Henry Gobréau une lettre adressée à une autre Veuve Godin et arrivée par erreur à la maison de Marie Moret à Lesquielles-Saint-Germain.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 29 juin 1897
Envoie à Sophie Quet un billet de 50 F pour ses appointements du mois de juin 1897. Demande de ses nouvelles. Nouvelles de Guise : chaleurs étouffante et orages, mais bonne santé de la famille. Rappel de quelques tâches domestiques : entretien des lainages, bordures des tapis et dessus du lit de Marie Moret à réparer. Le post-scriptum évoque une photographie sur laquelle Sophie Quet apparaît dans la cour de la maison de Nîmes, et les travaux photographiques de Marie-Jeanne Dallet au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Pascaly, 24 juillet 1897
À propos du numéro d'août 1897 du journal Le Devoir : Marie Moret a reçu hier soir le manuscrit des articles de Pascaly, « Chronique parlementaire » et « Faits politiques et sociaux » ; Auguste Fabre est d'avis d'abréger les « Faits politiques et sociaux » pour ne conserver que « Soleure et Perth » [les comptes rendus des congrès coopératifs de Soleure et Perth] ; en attente des épreuves des pages « Godin » et « Féminisme » pour déterminer la suite du contenu du numéro. Projet de sortie de Marie Moret « for photographies » en raison du beau temps. Envoi d'un chèque de 300 F à Pascaly. Moret et Fabre signalent à Pascaly les articles du Journal de Genève : sur l'« Électricité », sur la « République coopérative » de Debs aux États-Unis et sur le congrès coopératif suisse. Reçoit le manuscrit des pages sur la paix : Marie Moret choisira une ou deux pages et gardera le reste pour le mois prochain. Elle donne un premier état du chemin de fer du numéro de septembre 1897. Marie Moret indique à Pascaly que sa lettre a été interrompue par la visite d'Antoine Piponnier, par celle d'Alizart, venu parler photographie, et enfin par la sortie avec Fabre et Marie-Jeanne Dallet (« John »). À propos de Rouanet. Recommande à Pascaly l'asa foetida pour le mal de gorge. Informe Pascaly que Fabre a envoyé à Jules Prudhommeaux une lettre de Babut.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Molines père et fils, 25 juillet 1897
À propos de la cession par madame veuve Laporte de son imprimerie : Marie Moret demande à Molines père et fils des informations sur la valeur du fonds et sur les chances de madame Laporte de trouver un acquéreur sérieux ; demande de lui indiquer des imprimeurs de Nîmes dignes de confiance.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 26 juillet 1897
Demande à Sophie Quet si elle est rentrée de son séjour dans sa famille et si elle peut lui envoyer ses appointements du mois de juillet 1897.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Molines père et fils, 6 août 1897
Annonce l'envoi d'un chèque de 104,75 F à Théophile Tholozan.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Chastanier, 16 août 1897
Envoie à Chastanier le manuscrit des « Documents biographiques » avec lesquels s'ouvrira à la page 513 le numéro de septembre 1897 du journal Le Devoir. Pascaly enverra à Chastanier le manuscrit de l'article suivant consacré au Congrès des accidents du travail. Recommandations pour la composition des deux premiers articles du journal : l'interligne de 4 points, à la différence du reste du numéro. Demande d'envoyer à Pascaly les épreuves de son article et à elle les épreuves et les manuscrits des articles de Pascaly et des « Documents biographiques ». Recommandations pour la couverture du numéro 643 de septembre 1897. Remercie Chastanier de sa prévenance à l'égard de madame veuve Laporte. Indications pour le calendrier de fabrication des numéros du journal : manuscrits envoyés dès le 15 ou 20 du mois précédent ; le journal imprimé part de Nîmes entre le 10 et le 12 du mois ; l'expédition à Guise prend 14 jours ; il arrive le 20 du mois à Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 21 août 1897
Adresse un chèque de 199,05 F à madame Laporte. Marie Moret heureuse que les choses soient réglées entre madame Laporte et Théophile Tholozan, et que la question du papier du Devoir restant en magasin chez madame Laporte ait été résolue avec monsieur Chastanier.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 28 août 1897
Envoie un billet de 50 F à Sophie Quet pour ses appointements du mois d'août 1897 et une lettre d'Émilie Dallet qui lui est destinée. Donne des nouvelles d'Auguste Fabre : parti du Familistère depuis assez longtemps, il est allé voir sa fille à Castelsarrasin avant de rentrer à Nîmes. Nouvelles météorologiques : le temps se rafraîchit à Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 18 septembre 1897
Réponse à la lettre d'Antoniadès du 3 et 15 août 1897 dans laquelle Antoniadès donne des nouvelles de lui « au milieu des terribles événements dont [son] pays a été le théâtre. » Rappelle à Antoniadès ses envois de Nîmes de février 1897 et lui demande si le journal Le Devoir lui est parvenu, un numéro lui étant revenu. Elle ne peut indiquer à Antoniadès s'il existe à Nîmes un lycée admettant des étrangers, comme le fait celui de Marseille. Réflexions d'Antoniadès sur le journal Le Temps, que Marie Moret lit chaque jour. Question d'Antoniadès sur la bonté et réflexions de Marie Moret à ce propos : « Celui qui la possède est rattaché par elle au principe même de la vie ». Le souvenir d'Antoniadès souvent évoqué au Familistère ou pendant les promenades à Lesquielles-Saint-Germain. Sur la fête de l'Enfance des 5 et 6 septembre 1897, dont Marie-Jeanne Dallet a été la directrice : la matinée théâtrale montrait une masse de costumes allégoriques. Sur les écoles du Familistère, dont s'occupe toujours Émilie Dallet. Sur l'Association du Familistère : Louis-Victor Colin, homme de grande capacité industrielle, a remplacé François Dequenne à la tête de la société. Jules Pascaly s'occupe toujours du Devoir ; il a vu récemment Gaston Piou de Saint-Gilles revenant d'Allemagne et cherchant une place à Paris ; Marie Moret n'a pas de nouvelles de lui ni de sa famille.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au directeur du salon des renseignements de la Gare du Nord, 5 octobre 1897
Demande des informations sur les horaires du train Nice-Express partant de la Gare du Nord à 7 h 44 du matin, s'arrêtant à la Gare de Lyon à 8 h 25.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Molines père et fils, 16 octobre 1897
Annonce l'envoi d'un chèque de 326,65 F à Auguste Fabre à Nîmes.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Carré, Micheau et Chopin, 19 octobre 1897
Envoi d'un chèque de 10,85 F pour la commande d'une douzaine de cols semblables à ceux qui lui ont été fournis à Nîmes en avril 1897, lesquels, fait remarquer Marie Moret, ont rétréci au lavage. Demande la réception de sa commande avant son départ pour le Midi à la fin du mois d'octobre 1897.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Chastanier, 24 octobre 1897
Marie Moret a reçu hier les épreuves du compte rendu de l'assemblée générale de l'Association du Familistère, les a corrigées et les a communiquées à la Société du Familistère ; celle-ci est d'accord pour réaliser en premier le tiré à part avant la publication du compte rendu dans Le Devoir. Rappelle qu'aucune épreuve n'est à envoyer à Pascaly ce mois-ci. Remercie Chastanier de s'être procuré de nouveaux caractères typographiques pour l'impression du Devoir. A reçu les exemplaires du numéro d'octobre 1897 du journal, mais signale à Chastanier que le ballot était adressé à elle-même et non au gérant du Devoir, Henri Buridant. Informe Chastanier qu'elle sera à Nîmes avant l'expédition du numéro de novembre du journal et qu'elle rappellera à Chastanier que les exemplaires doivent être envoyés à Buridant. Préviendra Chastanier de son arrivée à Nîmes pour éviter l'envoi d'épreuves à Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Chastanier, 25 octobre 1897
Marie Moret retourne les épreuves corrigées des pages des « Documents biographiques » du numéro de novembre 1897 du Devoir. Marie Moret informe Chastanier que les épreuves du compte rendu de l'assemblée générale de l'Association du Familistère lui seront envoyées par la Société du Familistère, qui lui donnera les indications pour le tirage de la brochure spéciale. Marie Moret demande à Chastanier d'insérer le texte corrigé des 32 pages du compte rendu de l'assemblée générale de l'Association à la suite des 7 pages des « Documents biographiques ». Attend à Guise, avant son départ pour Nîmes dans les premiers jours de novembre, les épreuves des autres articles du numéro de novembre 1897 du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 31 octobre 1897
Envoie à Sophie Quet un billet de 50 F pour ses appointements d'octobre 1897, l'informe de son arrivée à Nîmes samedi matin vers 9 h 00 et lui demande de prendre quelques dispositions : faire des provisions avec l'argent que lui remettra Auguste Fabre et tenir prêt à allumer un feu dans sa chambre qui est froide « parce que le soleil n'y va pas ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à l'administrateur du Journal de Genève, 11 novembre 1897
Confirme sa demande de changement d'adresse d'expédition du journal en date du 30 octobre 1897. Le journal est à nouveau expédié au Familistère et non à Nîmes. Envoie un mandat postal de 9,50 F pour recevoir « Le porte-feuille artistique ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Offroy et Cie, 13 mai 1895
Demande l'envoi à Nîmes d'une somme de 2 000 F.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au directeur de la Banque cantonale de Berne, 15 mai 1895
Informe la Banque de Berne qu'elle va quitter Nîmes pour le Familistère de Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 29 mai 1895
En attente d'épreuves d'articles du numéro de juin 1895 du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Offroy et Cie, 1er juin 1895
Annonce l'envoi d'un chèque de 50,85 F à Henry Herth.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à James Johnston, 26 juillet 1895
Réponse à une lettre de James Johnston en date du 3 juillet 1895. Marie Moret décline l'invitation de Johnston. Demande si Johnston a été élu pour l'Independant Labour Party dans la circonscription de North East Manchester. Remerciement pour les documents envoyés notamment sur les Recreative Evening Classes et la Working Men's Club Association, qu'elle discutera avec Auguste Fabre, « homme absolument dévoué aux idées qui étaient chères à M. Vansittart Neale comme à M. Godin ». Compliments à madame Johnston.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à l'administrateur de La Ménagère, 29 juillet 1895
Demande d'information sur un bain de siège ordinaire, préférable au bain de siège anglais. Commande éventuelle lorsque Marie Moret s'apprêtera à retourner à Nîmes.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 27 août 1895
Auguste Fabre au Familistère depuis une semaine : il a attendu vainement l'américain Frankland, dont il n'a pas de nouvelles. Émilie et Marie-Jeanne Dallet occupées à la préparation de la fête de l'Enfance de dimanche prochain ; Marie-Jeanne a en charge la représentation théâtrale qui aura lieu le lundi suivant. Le temps à Guise est redevenu chaud après un été humide et froid. Sur la santé de Juliette Cros. Envoi à Corbarieu du numéro d'août 1895 du journal Le Devoir qui contient la fin du récit d'Auguste Fabre sur Robert Owen.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 28 août 1895
Envoi d'un billet de 50 F à Sophie Quet pour le règlement de ses appointements du mois d'août. De la part d'Auguste Fabre, qui se trouve au Familistère : si un américain du nom de Frankland se présente chez lui à Nîmes, lui demande de l'en informer par télégramme. La santé de Jules Pré ne s'améliore pas.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 4 septembre 1895
Réponse à la lettre de Juliette Cros en date du 1er septembre 1895. À propos d'un arrangement avec Sophie Quet [relatif à un séjour de Juliette Cros au domicile d'Auguste Fabre ou de Marie Moret à Nîmes]. Sur la fête de l'Enfance du 1er septembre 1895 : temps superbe ; Émilie et Marie-Jeanne Dallet écrasées de fatigue. Auguste Fabre a reçu une lettre de M. Frankland, qui s'est présenté chez lui à Nîmes le 28 août : Frankland parti pour la Belgique avant d'aller en Angleterre et de revenir à Paris. Salutations à madame Boudet, à la famille Ronzier-Joly et au mari de Juliette Cros.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 9 septembre 1895
Réception de raisins : remerciements de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre. Chaleur à Guise comparable à celle de Nîmes. Auguste Fabre toujours dans l'attente du mot de l'Américain Frankland l'informant de son arrivée à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 18 septembre 1895
Sur l'ennui qu'éprouve Juliette Cros. Auguste Fabre toujours dans l'attente de l'Américain Frankland : « Cet Américain me tient dans l'huile bouillante », dit-il. Auguste Fabre tient à voir Frankland « à cause des renseignements que cet homme peut fournir sur une société américaine qui a toujours excité au plus haut point l'intérêt de votre père. L'occasion est unique ; il y a peu de chance pour qu'elle se renouvelle ; c'est pourquoi votre père voudrait tant la saisir. » Juliette Cros attend son père à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 19 septembre 1895
Auguste Fabre a renoncé à attendre l'Américain Frankland. Il est parti de Guise aujourd'hui jeudi 19 septembre 1895 à 11 h 45 ; il sera à Lyon demain matin vers 8 h 50 pour y voir la famille Prudhommeaux au 26, cours Morand, avant de partir pour Nîmes. Marie Moret demande à Juliette Cros de ne plus lui envoyer de raisins car elle a des poires à manger « avant de retourner au pays du raisin ». Compliments à madame Boudet, à la famille Ronzier et à monsieur Cros.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 28 septembre 1895
Réponse à la lettre de Juliette Cros du 24 septembre 1895. Remerciements pour les raisins blancs et noirs envoyés par Juliette Cros-Fabre et pour ceux envoyés par madame Cros mère « au moment de votre départ pour Nîmes ». Le numéro de septembre 1895 du Devoir envoyé à Barbezieux et non à Nîmes. Sur Auguste Fabre et son petit-fils. Juliette Cros satisfaite des soins prodigués par Sophie Quet. Marie Moret a commencé ses préparatifs de départ pour Nîmes.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 29 septembre 1895
Réponse à la lettre de Sophie Quet du 30 août 1895. Lettre remise à Sophie Quet par Auguste Fabre avec un billet de 50 F pour sa rémunération. Préparatifs de départ pour Nîmes de la famille Moret-Dallet. Compliments à madame Gallas. La santé du mari d'Élise Pré ne s'améliore pas.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Fumouze frères, 7 octobre 1895
À propos du bris du flacon d'eau dentifrice d'une valeur de 10 F que Marie Moret cherche à se faire rembourser par la Compagnie des chemins de fer du Nord : Marie Moret aurait-elle dû refuser le colis et laisser Fumouze frère et la compagnie s'entendre ? Commande de produits de soin et d'hygiène à expédier avant le départ de Marie Moret pour le midi : savon antiseptique, vinaigre de Pennès, camphre, pince à pansement pour la bouche, plombage en ciment gutta percha, poudre de savon Raspail de marque Bouquet, eau dentifrice Raspail.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Marchand, 7 octobre 1895
Sur le paiement d'une promenade et du transport d'une valise de la gare au Familistère. Demande à Marchand de rentrer son landau et sa couverture au Familistère. Annonce son prochain départ pour Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 10 octobre 1895
Réception de la facture de veuve Laporte en date du 8 octobre 1895 et du numéro d'octobre 1895 du Devoir. Envoie un chèque de 197 F et informe madame veuve Laporte qu'elle arrivera à Nîmes le lundi matin 14 octobre suivant.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Eugénie Louis, 16 octobre 1895
Arrivée de la famille Moret-Dallet à Nîmes lundi matin vers 9 h 30. Beau temps à Nîmes. Demande des nouvelles d'habitants et d'habitantes du Familistère : madame Roger, Louisette, Élise, Césaire Louis (parti faire ses 28 jours), l'enfant et la mère de madame Louis.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 15 novembre 1895
Réponse à la lettre de Piponnier en date du 11 novembre 1895. Remerciements pour l'envoi du chant « Le Travail » remis par Firmin Poulain et pour l'empressement à traiter la commande de monsieur Gardet [un foyer économique destiné à Marie Moret]. « Toujours obligée de me garder contre l'insomnie, je ne puis travailler (à mon vrai travail : Docum. biogr. Godin) que le matin. L'après-midi, il faut que je me contente d'enlever lettres (sic), deux au plus, puis de sortir bien vite, ou gare l'insomnie. C'est là ce qui m'empêche de vous écrire au long comme j'aimerais tant le faire. » Remercie Piponnier pour les nouvelles d'Antonia, de Marcel et de Robert, et donne des nouvelles de la famille Moret-Dallet : le temps est beau et Marie-Jeanne a repris ses leçons de peinture. Sur le « malheureux Anciaux », les ravages causés par l'alcool et le rôle des statuts de l'Association du Familistère pour la prévention ou la répression de l'alcoolisme ; alcoolisme à Nîmes : très peu d'ivrognes selon Auguste Fabre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin pense qu'Auguste Fabre a reçu le numéro 26 du journal Le Devoir qu'il a demandé dans sa lettre du 12 septembre 1878. Il lui explique que Le Devoir ne peut traiter en détail du Familistère comme Fabre le souhaite car il faut servir à ses lecteurs des questions d'intérêt général, comme les caisses nationales de secours et de prévoyance. Il lui envoie les noms des personnes auxquelles le journal est envoyé à Nîmes. Il l'informe qu'au Familistère n'ont, jusqu'à présent, logé que des sociétaires ouvriers et employés de l'établissement. Il lui annonce qu'il aura plaisir à lui faire visiter le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Auguste Fabre du 31 mars 1879. Godin relève leur long silence réciproque. Il confie à Fabre son espoir d'avoir près de lui de chauds partisans de la coopération ou même de l'association comme l'est Auguste Fabre. Fabre a écrit à Massoulard qu'il tente de créer à Nîmes une société coopérative : Godin le félicite. Il comprend les difficultés de Fabre à contracter des abonnements au journal Le Devoir dont la première année l'a déçu. Il lui explique que les statuts de l'association du Familistère sont terminés et promet de lui en envoyer un exemplaire quand ils seront imprimés. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du rapport envoyé par Fabre le 2 juin sur la société coopérative qu'il a fondée à Nîmes. Il lui demande l'autorisation de le publier dans le journal Le Devoir. Il l'informe que les statuts de l'association du Familistère sont faits et qu'il veut les faire paraître en un volume expliquant les principes et les motifs de sa fondation. Godin fait des observations sur la société coopérative de Fabre : sur la boucherie, plus difficile que l'épicerie, sur le contrôle des opérations commerciales, sur la compétence de l'acheteur des produits et de la qualité de ceux-ci. Godin confirme à Fabre que le feuilleton La fille de son père sera prochainement édité en volume. Il lui annonce que Massoulard va quitter le Familistère à la fin du mois de juin pour des raisons de famille. Il lui adresse le souvenir de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Pascaly ce qu'il sait en comptabilité. Auguste Fabre l'a informé qu'il avait des compétences en la matière et qu'il touchait actuellement 1 200 à 1 300 F d'appointements par an, ce qui lui semble insuffisant compte tenu de ses charges. Godin souhaite être mieux fixé sur les services que peut rendre Pascaly avant qu'il fasse le voyage de Nîmes à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin voudrait obtenir des références sur Pascaly, mais ne peut s'adresser à son actuel employeur. Il lui demande de lui communiquer le nom d'autres personnes chez lesquelles il a travaillé auparavant. Il lui demande également s'il fait usage de tabac. Il le prie de dire à Auguste Fabre qu'il lui écrira dans quelques jours.
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